Occultisme, Forum de Davos et leur propagande LGBT+

En ces temps troubles, le système du Dajjal se dévoile au grand public, et les ruses shaytanesques avancent plus loin dans les événements actuels. Le Qur’ân et la Sunnah décrivent tout cela – et l’observation de notre monde le confirme amplement –, à savoir le rejet ou l’étouffement du Divin, du Sacré, de la morale universelle, de la spiritualité et des nobles valeurs, et l’accentuation du matérialisme, du scientisme, du consumérisme, du capitalisme, du freudisme et des dérives liées au new-âge malgré l’abondante littérature critique (sur les plans métaphysique, théologique, historique, scientifique, logique, philosophique, économique, écologique, etc.) qui démontre leurs faussetés en même temps que leurs dangers réels pour nos sociétés et la planète.

Dans les sociétés où la loi continue de blâmer et d’interdire les délires et dangers liés aux mouvements LGBT+, il faut la préserver et ne pas céder, tout en éduquant spirituellement le peuple et en se montrant indulgent mais aussi intellectuellement critique, face aux victimes de ces idéologies pernicieuses et délétères, qui détruisent la société à petit feu comme on peut l’observer clairement aujourd’hui.

L’ère du Dajjal, c’est l’ère de la grande tromperie et le règne des pires charlatans et criminels qui soient. On le voit avec les régimes criminels, pollueurs et meurtriers comme la Chine, la Russie et Israël – tous les 3 alliés et très impliqués dans les cyberattaques, l’espionnage et la surveillance des citoyens et des journalistes -, mais aussi des fausses démocraties – qui sont en réalité des démoncraties – comme les Etats-Unis, la France, l’Angleterre et quelques autres puissances européennes, qui sont dirigées par des criminels de guerre notoire, des pédocriminels et des oligarques qui détournent chaque année des milliards d’euros, qui massacrent des millions de civils, qui planifient des famines, des coups d’Etat et des guerres civiles sous de faux-prétextes et des opérations false flag en Afrique, au Moyen-Orient, en Amérique du Sud et ailleurs. Ce sont les mêmes qui parlent des « droits humains » quand ils les bafouent partout sur Terre et dans leur pays, qui dépensent des milliards de $ dans la propagande, qui détruisent la santé des citoyens, qui instrumentalisent les femmes et les enfants en sacrifiant leur vie et leur santé pour imposer des idéologiques qui déstructurent mentalement et dégradent la santé des victimes de leur agenda idéologique. Ils prétendent interdire ou bannir l’idéologie et la politique dans les écoles, les événements culturels et sportifs, mais ils les imposent partout tant que cela peut enrichir les multinationales, détruire les valeurs morales et religieuses, diviser les peuples et les asservir – en sacrifiant au passage des millions de vies humaines -. Etant noyé dans un confort avilissant, ne sachant plus quoi faire de leur vie, n’occupant plus leur temps par des activités spirituelles, religieuses ou artistiques, ne connaissant plus la valeur inestimable de l’eau, de la nature et de la vie, ils se perdent, se laissent dominer par les grands criminels de ce monde, et s’opposent à tout ce qui est sacré, traditionnel, éthique et spirituel en imposant leurs idéologies (par la force et les menaces bien souvent), en refusant de respecter la liberté de conscience, de culte et d’expression dès qu’ils ont le pouvoir.

Alors certes, la violence ne résout rien, et dans les pays qui sont déjà gangrénés par ces idéologies mortifères et qui ont été infiltrés par des agents du Forum de Davos, il convient de se souvenir qu’il s’agit d’une sorte de « période mecquoise », où les justes et les pieux sont en situation de faiblesse, qu’ils doivent redoubler d’efforts et d’endurance pour faire le bien, endurer leur mal, et montrer intelligemment et sagement la bonne voie aux gens déviants et à ceux qui ont été endoctrinés inconsciemment. Il est donc important de ne pas banaliser, approuver, encourager ou rendre licite les choses mauvaises et abominables que beaucoup de lois occidentales ont désormais rendues licites tout en réprimant les voix contestataires (religieuses, scientifiques, culturelles, politiques, etc.), tout en se montrant bienveillant, indulgent et endurant. Allâh dit : « Ceux qui suivent le Messager, le Prophète illettré qu’ils trouvent écrit (mentionné) chez eux dans la Torah et l’Evangile. Il leur ordonne le convenable, leur défend le blâmable, leur rend licites les bonnes choses, leur interdit les mauvaises, et leur ôte le fardeau et les jougs qui étaient sur eux. Ceux qui croiront en lui, le soutiendront, lui porteront secours et suivront la lumière descendue avec lui ; ceux-là seront les gagnants » (Qur’ân 7, 157). Continuer à faire le bien, à se montrer juste, à cultiver la spiritualité et l’endurance, et se désavouer du mal et de l’injustice, font partie de la perspective et de l’attitude que le croyant doit toujours observer.

Il est rapporté également que : « Le Prophète me demanda, en croisant les doigts : « Comment te comporterais-tu, Abû Dharr ! si tu te trouvais avec la lie de l’humanité ? – Que me suggères-tu, Envoyé d’Allâh ? – La patience, la patience, la patience, répéta-il. Soyez indulgents pour la nature des hommes, mais ne les suivez pas dans leurs (mauvaises) actions ! » » (Rapporté par al-Bayhaqî dans Kitâb az-Zuhd n°192 sous l’autorité d’Abû Dharr, ainsi que par Al-Haythâmî dans son Majma’ al-Zawâ’îd 7/283). La « lie » signifie ici le rebut, ce qu’il y a de plus vil, de plus mauvais chez une personne ou un groupe de personne. On dit souvent par exemple « la lie du peuple ».

Il est inutile, illicite (du point de vue islamique et de ses règles juridiques), dangereux et contre-productif de persécuter, insulter ou opprimer des « déviants » qui le sont en raison de la banalisation politico-idéologique (d’un pays non-musulman) dont beaucoup n’en sont que les victimes, mais il est tout aussi dangereux de ne rien dire et de laisser faire, sans imposer un rapport de force politique, médiatique et intellectuel, car toute la société est en danger de mort face à ces dérives, puisque de nombreux enfants en sont déjà victimes. Laisser les gens s’autodétruire et emporter avec eux toute la société est un crime et un fléau qui ne peut pas être accepté et banalisé. En effet, le Prophète (ﷺ) a dit : « Celui qui respecte les limites d’Allâh et celui qui les transgresse sont semblables à un groupe de gens qui, sur un bateau, tirent au sort ; certains se retrouvent sur la partie supérieure et les autres dans la partie inférieure. Quand ils puisent de l’eau pour boire, ceux qui se trouvent en-dessous passent à côté de ceux qui se trouvent au-dessus et finissent par se dire : si nous faisions un trou dans notre partie, de sorte à ne pas déranger ceux qui sont au-dessus ? Ainsi, si [les gens d’en haut] les laissent faire, tous périront tous, tandis que s’ils les en empêchent, tout le monde sera sauvé » (Rapporté par al-Bukharî dans son Sahîh n°2493 et 2686 selon An-Nu’mân ibn Bashîr).

On le voit avec les lois pro ou anti-avortement, où aucune pédagogie et sensibilisation n’accompagne les lois. En Islam, l’avortement n’est autorisé que si la vie de la mère est clairement en danger, ou si une femme, victime d’une agression sexuelle commise par une personne n’étant pas son époux, décide d’avorter avant les 3-4 mois (les scientifiques divergent sur la période à partir de laquelle la « vie » est insufflée au fœtus, et les théologiens musulmans convergent plutôt vers les 4 mois – 120 jours selon un hadith prophétique -). Ainsi, soit certains fanatiques interdisent l’avortement même pour des cas extrêmes, tandis que les pro-avortements n’hésitent pas à assassiner des êtres vivants (des bébés) sans se soucier de leur droit ni des conséquences mêmes sur l’état de santé des femmes – certaines se suicident, d’autres subissent des traumatismes ou troubles psychologiques, d’autres encore développent des complications biologiques -. Or, tout cela fait partie d’un agenda idéologique planifié depuis plus d’un demi-siècle, en détruisant les structures traditionnelles et religieuses, en incitant d’abord à la fornication et à l’adultère – des millions de morts et de personnes victimes de violences diverses s’en sont suivis depuis 50 ans -, puis la banalisation de la pédocriminalité et de l’homosexualité et de sa pratique – en leur octroyant d’énormes avantages -, puis enfin avec les délires et théories LGBT qui n’ont aucun substrat biologique, religieux, spirituel ou psychologique, et qui consistent à nier la réalité, – les données scientifiques, comme la rationalité, le Sacré, la Religion et la spiritualité -. Est-ce que cela leur apporte pour autant le bonheur ? La réponse est non ; ils militent de plus en plus, dépensent de plus en plus d’argent et fracturent davantage la société, beaucoup de personnes issues de leur mouvance se suicident, dépriment ou ont vu leur corps et leur santé se dégrader dangereusement, surtout pour les nombreux enfants victimes parmi eux, puisque le changement de sexe par exemple est autorisé pour les mineurs dans plusieurs pays occidentaux, faisant de nombreux ravages et des victimes, alors que ces états ont pour obligation de protéger les enfants, ils les exposent aux plus grands dangers qui soient (changement de sexe et délires psychologiques, troubles mentaux, pseudo-vaccin, médicaments dangereux, malbouffe, expositions prolongées et nocives aux écrans et à des émissions télévisées abrutissantes et favorisant la haine et l’immaturité).

La Pologne est très critiquée par l’UE alors qu’elle a la position la plus rationnelle, éthique et médicalement fondée concernant l’avortement depuis 2020, à savoir l’autorisation qu’en cas de viol, d’inceste ou de mise en danger de la vie de la mère, préservant ainsi la stabilité, la vie (celle des foetus et nouveaux nés) et la santé physique et mentale des femmes dont les conséquences en cas d’avortement sont parfois terribles.
L’UE ne se souciant plus du tout de la dignité humaine, de la vie ou de la santé des enfants, des femmes ou des parents, cela n’est guère étonnant qu’elle critique des pays comme la Pologne et la Hongrie sur ces questions.

« À l’occasion du « pour » ou du « contre » l’avortement made in USA qui défraie la chronique en ce moment, voici le documentaire de 1979 « Le Cri silencieux ». Difficile de rester insensible aux propos du gynécologue Bernard Nathanson qui connaît tous les aspects de l’avortement.

Les images de ce documentaire « Le Cri silencieux » interpellent. Difficile de rester insensible aux propos du professionnel gynécologue Bernard Nathanson qui connaît tous les aspects de l’avortement et qui était l’un des plus fervents défenseurs. En effet, puisqu’en 1967, il part en croisade, accompagné du journaliste Lawrence Lader, l’auteur de « Avortement », et organisent un mouvement d’agitation pour l’abrogation des lois interdisant l’avortement.

Bernard N. Nathanson, médecin de l’État de New York en 1952, était obstétricien-gynécologue en 1960. Directeur du plus grand centre d’avortement autonome au monde, le Center for Reproductive and Sexual Health (CRASH), Bernard Nathanson est a la tête de quelque 75 000 avortements effectués à la clinique, dont 5 000 pratiqués de ses propres mains, y compris l’avortement de l’un de ses propres enfants, ce qui le hantera.

Son malaise face à l’avortement viendra à la suite des images rendues disponibles par les nouvelles technologies de la fœtoscopie et de l’échographie, il dira « Pour la première fois, nous pouvions vraiment voir le fœtus humain, le mesurer, l’observer, le regarder… »

Dans ce film de 28 minutes, le Dr Nathanson y décrit les différentes étapes du développement d’un fœtus, puis, à l’aide des images d’un sonogramme, commente dans le détail l’avortement d’un petit être de douze semaines par la méthode de la succion. On voit l’enfant se débattre pour tenter d’échapper aux instruments chirurgicaux ; on voit l’enfant, dans un réflexe de désespoir, ouvrir la bouche pour crier. Un cri que personne n’entendra.

Dans ses mémoires il écrira : « Je connais toutes les facettes de l’avortement. J’ai aidé à nourrir la créature à ses débuts en la nourrissant de grandes quantités de sang et d’argent. Je l’ai guidé tout au long de son adolescence alors qu’il devenait incontrôlable » ». (“Quand l’obstétricien-gynécologue Bernard Nathanson responsable de 75 000 avortements décide de tout arrêter”, Le Média en 442, 28 juin 2022 : https://lemediaen442.fr/quand-lobstetricien-gynecologue-bernard-nathanson-responsable-de-75-000-avortements-decide-de-tout-arreter/).

Le documentaire a été publié le 27 juin 2022 sur la plateforme Rumble ici : https://rumble.com/v1a4357-bernard-nathanson-responsable-de-60-000-avortements-dcide-de-tout-arrter.html

Malgré la multiplication des lois et des discours pro-féministes, pro-homos et pro-LGBT – 3 mouvements qui ne se supportent plus et qui sont exaspérés par le fanatisme des uns et des autres -, il n’y a jamais eu autant de violence qu’aujourd’hui dans leurs sociétés, or si le taux de suicide, d’agressions et de problèmes augmente, c’est le signal d’un profond malaise qui ne peut pas se régler avec des discours et de nombreux subsides (qui appauvrissent au passage l’ensemble de la société, provoquant de nombreuses autres inégalités, qui sont elles, bien réelles mais rendues invisibles par les médias officiels la plupart du temps).

Pour éviter le problème de l’avortement et des délires LGBT, ne faudrait-il pas éduquer les gens à se responsabiliser – aussi bien les hommes que les femmes -, à ne pas forniquer et à assumer les conséquences ou le devoir de parentalité, à s’accepter comme nous sommes (homme ou femme) et à vivre une vie plus digne en se satisfaisant de ce que l’on a (logement, apparence physique, intelligence, alimentation, éducation, famille, amis, etc.) ? Le « féminisme » – à ne pas confondre avec le devoir manifeste de protéger la dignité, le bien-être et la vie de la Femme -, le LGBTisme, la pédocriminalité, etc. qui sont des idéologies nées en Occident, ont travesti la réalité, opprimé les masses, trompé les citoyens, et sacrifié de nombreuses vies pour un résultat tellement médiocre, où le bonheur leur a été enlevé, et les exposant par contre à de terribles violences (intérieures ou extérieures) et déséquilibres de toutes sortes. La spécialiste Ariane Bilheran, psychologue et docteur en psychopathologie (née le 30 décembre 1978 à Saint-Denis en Île-de-France), ancienne élève de l’École normale supérieure et autrice d’ouvrages et d’articles sur le harcèlement, la manipulation mentale et la « psychologie du pouvoir », dans son ouvrage L’imposture des droits sexuels, ou la loi du pédophile au service du totalitarisme mondial publié en 2017 démontrait la déviance que constituait la pédophilie et dénonçait notamment les déclarations sexuelles qui fondent le « droit sexuel » en Amérique du Nord et en Europe, légitimant la pédophilie, en lien avec l’institut Kinsey (qui mène des expériences sexuelles sur des enfants de 0 à 16 ans). Elle développait également sa critique dans cette interview : “A. Bilheran – “Droits sexuels : un projet pervers et totalitaire sur l’enfant ?” – Juillet 2017″, Ariane Bilheran Officiel, 10 août 2017 : https://www.youtube.com/watch?v=xDN4zvfgGGg

Beaucoup de manipulateurs et pervers pro-LGBT endoctrinent les enfants et les poussent à changer de sexe à la moindre interrogation, sexualisant de façon perverse, criminelle et dangereuse, la dignité et la santé des enfants, et profitant de la moindre occasion pour distiller leur venin.

Quelques témoignages et articles montrent pourtant les ravages d’une telle idéologie, même pour les premiers concernés : « Je suis très inquiet de l’état de nos sociétés en général et de ma communauté LGBT en particulier, que je trouve dépressive et mortifère. Beaucoup d’homos, foncent au suicide par des conduites à risques et addictives. Tout cela s’est fortement accéléré ces dernières années comme avec le déclin de notre civilisation et les relents mortifères du Sida. Je pense notamment à cette crise sanitaire majeure que représentent les nouvelles drogues de synthèse, bon marché que l’on trouve sur Internet à 20 euros le gramme (elles se sont d’abord vendues à 6 euros le gramme LOLita) et que l’on se fait livrer par courrier. Et le slam surtout (l’injection de drogues par voie intraveineuse) terriblement désociabilisant et addictif. Cette révolution des drogues, qui aurait pu être géniale si elle avait été bien gérée, deviendra le tombeau de la communauté gay puis, très bientôt, des jeunes hétérosexuels. Avec les chems et les rézos (a)sociaux, notre communauté devient autiste et psychotique. Vous trouvez ça normal dans une partouze qu’un mec fiste d’une main et de l’autre chate sur Grindr ? (…) » (“Blog «Gay tapant» : Le suicide des communautés gay et LGBT”, Libération, 20 septembre 2017 : https://www.liberation.fr/debats/2017/09/20/le-suicide-des-communautes-gay-et-lgbt_1815325/).

« Lorsqu’on fait partie d’une minorité, on sait tout de suite quand les choses vont mieux, et qu’il reste pourtant des progrès à faire. La communauté LGBTQ a obtenu le droit au mariage entre personnes du même sexe et acquis une visibilité sans précédent dans le monde de la politique, des médias et du divertissement. Pourtant, en termes de santé mentale, de toxicomanie et de contamination par le virus du sida, nous ne sommes pas logés à la même enseigne que la population hétérosexuelle et cisgenre. En 2014, l’épidémiologiste Travis Salway – qui tente de combler cet écart – a constaté que le suicide est désormais la cause principale de mortalité chez les hommes homosexuels et bisexuels canadiens. (…) » (“Le taux de suicide chez les homosexuels augmente. Cet épidémiologiste a trouvé pourquoi”, Huffington Post, 16 juin 2019 : https://www.huffingtonpost.fr/entry/suicides-homosexuels-explosent-epidemiologiste-pourquoi_fr_5cfa8b24e4b02ee3477640a5)

« Comparés aux jeunes hétérosexuels, les adolescents gays, lesbiennes, bisexuels ou en questionnement sur leur orientation sexuelle (Lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres – LGBT) ont « plus tendance à avoir des pensées suicidaires ». Leurs idées noires peuvent aller loin car « ils sont également plus nombreux que la moyenne à aller jusqu’à effectuer une tentative de suicide », décrivent des chercheurs américains de l’Université de Californie (San Diego).

De l’idée au passage à l’acte

Ces données sont issues de l’analyse d’un échantillon de 15 624 lycéens. Parmi eux, « 40% des jeunes répertoriés parmi les minorités sexuelles avouent avoir déjà envisagé sérieusement le suicide », contre 15% dans le groupe des hétérosexuels. Qu’en est-il du passage à l’acte ? « Chez les adolescents LGBT, 25% ont déjà fait une tentative, contre 6% pour les hétérosexuels. » Les chercheurs se sont ensuite concentrés sur les bisexuels : un tiers d’entre eux a déclaré avoir tenté de mettre fin à leurs jours dans les 12 mois précédents l’étude, et 46% ont pensé à ce passage à l’acte. A l’évidence, « des comportements suicidaires sont le signe d’une détresse extrême », note le Pr Theodore L. Caputi, auteur de l’étude. C’est pourquoi, « les responsables politiques devraient mettre au point une stratégie nationale de lutte contre le suicide », estime-t-il. Par ailleurs, « les parents, enseignants et autres responsables pédagogiques devraient être plus vigilant vis-à-vis des signes d’alerte en la matière ». Enfin, « les chercheurs devraient se pencher davantage sur les causes potentielles de suicide, telles que la stigmatisation », conclut-il ». (“LGBT : un risque élevé de suicide chez les adolescents”, La Dépeche, 18 janvier 2018 : https://www.ladepeche.fr/article/2018/01/18/2724302-lgbt-un-risque-eleve-de-suicide-chez-les-adolescents.html).

« J’ai détruit mon corps en pensant que ça irait mieux»: le regret de Mila, redevenue femme après un changement de sexe. Après sept ans de testostérone et plusieurs opérations chirurgicales, le retour à la case départ pour cette «détransitionneuse» ne peut pas être total. L’époque où elle s’appelait «il» est révolue. À 26 ans, Mila* a tourné la page de la transidentité. La jeune fille qui s’était transformée en homme est redevenue une femme. Un gars, une fille… Depuis un peu plus d’un an, Mila est ce que l’on appelle une «détransitionneuse». Sa chevelure châtain, plaquée en arrière, encadre un visage aux traits fins. Sa voix a retrouvé des tonalités moins graves. À l’état civil pourtant, elle est encore un homme. Une étape qu’il lui reste à franchir car il faut le temps de prouver à la justice qu’elle ne reviendra pas une nouvelle fois en arrière. Aujourd’hui, elle déroule d’une voix posée les années où elle a vécu dans la peau d’un homme. Comme un souvenir déjà ancien. Mais après sept ans de testostérone et plusieurs opérations chirurgicales, le retour à la case départ ne peut pas être total. «J’ai détruit mon corps, mais on m’y a aidée. J’ai détruit mon corps en pensant que ça irait mieux. (…) Je n’ai plus de seins. Je n’ai plus d’utérus. Je n’ai plus d’ovaires… (…) » (“«J’ai détruit mon corps en pensant que ça irait mieux»: le regret de Mila, redevenue femme après un changement de sexe”, Le Figaro, 30 mai 2022 : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/j-ai-detruit-mon-corps-en-pensant-que-ca-irait-mieux-le-regret-de-mila-redevenue-femme-apres-une-transition-20220530).

De nombreux scientifiques, spécialistes, chercheurs et universitaires tirent cependant la sonnette d’alarme en Occident : « Un manifeste européen pour un traitement objectif de la «transidentité» des mineurs dans les médias. Les connaissances avérées concernant la transidentité chez les mineurs ne sont pas assez représentées dans les médias. Un changement de genre ou de sexe, avec tous les traitements que cela suppose, n’est pourtant pas sans conséquences… Nous, scientifiques, médecins et universitaires des sciences humaines et sociales, appelons les médias du service public et les médias privés de France, de Belgique, d’Allemagne, du Royaume Uni, de Suisse et d’autres pays d’Europe à présenter fidèlement les études sérieuses et les faits scientifiquement établis concernant le « changement de genre » des enfants dans les émissions destinées à un large public. Concernant l’éducation à la sexualité, nous appelons au respect du rythme des enfants et des adolescents dans les préconisations des écoles et des plateformes éducatives.

Un effet d’endoctrinement

A l’heure actuelle, trop d’émissions et de reportages véhiculent de manière univoque les revendications infondées des militants transaffirmatifs, souvent sans objectivité. Des enfants et des adolescents sont exhibés sur des plateaux télé avec leurs parents afin de montrer à quel point le changement de genre (euphémisation pour parler de sexe) est bénéfique, sans que jamais personne n’émette la moindre réserve, ni ne donne les données scientifiques relativisant les bienfaits de ces transformations à moyen et long terme, ou les risques des traitements. Les scientifiques qui seraient critiques n’ont aucune place, ou pire encore se font insulter avant tout débat. Ces émissions répétitives peuvent avoir un effet d’endoctrinement sur les jeunes, amplifié par les réseaux sociaux.

Ces pressions médiatiques sans nuance des programmes télévisés, relayés par une certaine presse écrite, normalisent et banalisent l’idéologie qui prétend que l’on pourrait choisir son genre à tout âge, au nom de l’« autodétermination », si l’on ne se sent pas en accord avec le « sexe assigné à la naissance ». Le changement de genre est souvent présenté comme une solution miracle pour régler les troubles de l’adolescence. Avec pour effet l’augmentation du nombre de jeunes qui s’auto-diagnostiquent « trans » alors qu’on peut douter qu’ils le soient lorsque les demandes ont été multipliées par vingt-cinq en moins de dix ans. En parallèle, se développe, dès le primaire dans les écoles, une « éducation à la sexualité » qui ne tient aucunement compte de l’immaturité psychique des enfants en les exposant à des contenus intrusifs et contraignants. Cette vision lénifiante oublie que ces jeunes vont entrer dans un processus de médicalisation dont on parle peu.

Un risque de confusion chez des jeunes encore fragiles

La rationalité et l’objectivité scientifiques sont absentes de ces présentations. La médicalisation s’étend alors que le nombre de jeunes détransitionneurs ne cesse de croître et ces jeunes très meurtris et portant des séquelles physiques de leur transition témoignent de la légèreté avec laquelle ils ont été traités par des médecins, des psychiatres et d’autres professions de santé.

En tant que scientifiques, professionnels de l’enfance et universitaires, nous nous opposons fermement à l’assertion selon laquelle les femmes et les hommes ne seraient que des constructions sociales ou des identités ressenties.

On ne choisit pas son sexe et il n’y en a que deux. On naît fille ou garçon. Le sexe est constaté à la naissance et inscrit à l’état-civil et chacun construit une identité jamais figée et qui évolue dans le temps, ce qui est trop souvent oublié. On peut changer l’apparence de son corps mais jamais son inscription chromosomiale. Il est urgent de rompre avec des discours usant d’un vocabulaire créé de toutes pièces pour s’imposer à tous, alors qu’il repose sur des croyances et met sur le même plan des vérités scientifiques et des opinions. Il y a un risque de confusion chez les jeunes. Nous appelons les directeurs de chaînes de télévision et de radio mais aussi la presse écrite à représenter non seulement la diversité des points de vue, mais également les connaissances avérées concernant la « dysphorie de genre » chez les mineurs. Actuellement, quand les professionnels soutiennent une prise en charge psychologique qui tient compte de la temporalité psychique des enfants et des adolescents en souffrance, ils sont notoirement disqualifiés ou absents des débats.

Dans l’intérêt de tous et principalement des plus jeunes, nous demandons également aux institutions publiques de veiller à l’exigence d’impartialité dans la présentation et la transmission des connaissances sur un sujet aussi important ». (“Un manifeste européen pour un traitement objectif de la «transidentité» des mineurs dans les médias”, Le Soir, 7 mai 2022 : https://www.lesoir.be/452711/article/2022-07-07/un-manifeste-europeen-pour-un-traitement-objectif-de-la-transidentite-des).

Jusqu’en 1990, l’OMS considérait encore l’homosexualité comme une maladie mentale : « Le 17 mai 1990, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a rayé l’homosexualité de la liste des maladies mentales. C’est en l’honneur de cette décision que la Journée se tient le 17 mai dans le monde. Pourtant c’est seulement en 2018 que l’OMS a retiré la transidentité de sa liste des maladies mentales » (“LGBTQI + : il y a 30 ans l’homosexualité quittait la liste des maladies mentales de l’OMS”, RTBF, 17 mai 2020 : https://www.rtbf.be/article/lgbtqi-il-y-a-30-ans-l-homosexualite-quittait-la-liste-des-maladies-mentales-de-l-oms-10500928).

On voit donc bien que l’OMS n’est plus du tout un gage de sérieux sur le plan scientifique, et qu’il est plutôt question d’idéologie plus que de science et de prudence. Par ailleurs, beaucoup de pays où les homosexuels et transgenres vivent de mauvaises expériences et des discriminations, sont les pays occidentaux progressistes où la promotion de l’idéologie LGBT est soutenue par le gouvernement et les médias, n’ayant donc aucun rapport avec une quelconque persécution religieuse. Depuis 1990, aucune « découverte scientifique » ne remettait pourtant en cause le jugement qui prévalait jusqu’à lors, c’est-à-dire que l’homosexualité était une forme de maladie ou d’anomalie mentale, bien que pouvant aussi être liée aux perturbateurs endocriniens pour beaucoup d’homosexuels d’aujourd’hui, et en raison de la propagande continuelle et des problèmes hommes/femmes liés à la sécularisation ainsi qu’à l’idéologie du consumérisme qui voit d’un bon œil la féminisation des hommes et la « masculinisation » des femmes ; de bien meilleurs consommateurs et plus de rivaux.

Les Etats-Unis et la Commission européenne favorisent et encouragent toutes ces dérives, sans se soucier le moins du monde du bien-être des enfants victimes (et des parents qui souffrent par la suite) de ces pratiques et mutilations, des troubles psychologies et perturbations biochimiques qui en découlent, et qui se terminent parfois en suicide ou en « complications médicales » qui aboutissent au décès. Pire même, ils criminalisent tous les états (dont la Hongrie et la Pologne) qui protègent les droits et la santé des mineurs par rapport à ce genre de folies et de monstruosités.  C’est ce que dénonçait aussi le spécialiste Max-Erwann Gastineau en 2021 : « L’UE doit veiller à l’état de droit mais pas à l’imposition d’une idéologie » (“Entre Est et Ouest de l’Europe, partageons-nous les mêmes valeurs”,  – Arte – 28 minutes, 22 juillet 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=I4n4cFt1TCA).

Il ne faut pas oublier ici que certains problèmes hormonaux sont engendrés par les perturbateurs endocriniens. La spécialiste Corinne Lalo dans son ouvrage Le Grand Désordre hormonal (éd. Cherche Midi, 2021) : « Certains fantasment sur un humain augmenté… Encore faudrait-il commencer par arrêter de le diminuer au point de menacer sa survie. Le principal danger ne vient pas des virus, mais des produits chimiques qui ont envahi notre environnement quotidien et dérèglent notre système hormonal : les perturbateurs endocriniens. En cinquante ans, les hommes ont perdu plus de la moitié de leurs spermatozoïdes et leur testostérone décline. Les femmes voient leurs capacités de reproduction décroître avec la montée de nouvelles maladies ovariennes. Les cas d’autisme et d’allergies explosent chez les enfants. Des maladies autrefois rarissimes comme le diabète, l’obésité, les dysfonctions de la thyroïde, l’endométriose deviennent communes. Cette perte de potentialité n’est pas propre à l’espèce humaine, c’est toute la biodiversité qui est menacée. Ce livre se propose de dresser un pont entre la recherche scientifique et le grand public. À l’aide de dessins explicatifs, Corinne Lalo y décrypte le phénomène de l’empoisonnement chimique de nos cellules et donne des conseils pour se protéger, car si nous sommes cernés par les perturbateurs hormonaux, nous pouvons apprendre à les reconnaître et ainsi à mieux les éviter ».

Parmi les méfaits des perturbateurs chimiques : puberté précoce, calvitie précoce, règles douloureuses, atrophies ou diminutions de la taille des organes reproducteurs, déviances et pulsions sexuelles, fausses couches, multiplication des cancers, etc. qui sont liés aux perturbateurs chimiques qui ont un impact sur le développement hormonal…Substances nocives que l’on retrouve d’ailleurs aussi dans les « vaccins » Pfizer et Moderna (“Corinne LALO : « Ces perturbateurs hormonaux qui nous empoisonnent ! »”, TV5 Monde, 21 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=UGeFrgmqxyE).

Contrairement à un argument fallacieux souvent utilisé, les suicides ne sont pas dus essentiellement aux moqueries dont ils font l’objet, mais déjà à un malaise intérieur plus profond, au fait qu’il y a une opposition entre la réalité vécue, la réalité extérieure et l’endoctrinement politico-idéologique dont ils ont été victimes (par la banalisation des déviances sexuelles et des troubles psychologiques que tout cela induit), et par les très mauvaises expériences dont ils ont fait l’objet au sein même de la communauté LGBT, et ce, malgré les privilèges, aides et visibilités dont ils ont bénéficié dans les pays occidentaux. Au final, les personnes LGBT meurent plus souvent en Occident qu’ailleurs (soit à cause des suicides ou de la drogue, soit à cause des violences dont ils font l’objet, aussi bien par les membres de leur communauté que par des individus extérieurs à leur communauté).

L’argument « on fait ce que l’on veut » n’est pas tenable, puisque d’une part leur corps et leur âme sont un dépôt du Divin, et doit être préservé et chacun doit donc en prendre soin. Ensuite, quand leur délire (n’ayant aucune base biopsychologique, religieuse, spirituelle et n’ayant aucune nécessité vitale) empiète sur les droits, la culture, la préservation de la famille (qui est le fondement de la civilisation et de la société qui perdure dans le temps) et la liberté d’autrui, cet argument n’est plus justifiable, et cela peut se retourner contre eux si leurs « opposants » usent du même argument pour faire valoir leurs droits et leur liberté de conscience pour dénoncer ce qu’ils jugent (ici à juste titre) blâmable, pervers et malsain.

Et leur autre argument « apprenez à nous accepter » n’est pas plus raisonnable, puisqu’ils sont les premiers à ne pas s’être acceptés tels qu’ils l’étaient nés (garçon/homme ou fille/femme) et qu’ils imposent ensuite aux autres d’accepter cette fois-ci une identité factice et illusoire qui ne correspond à aucune réalité perceptible et « objective ».

Dans plusieurs pays occidentaux, les personnes LGBT sont sélectionnées en priorité pour devenir professeurs ou assistants sociaux, parfois même, à partir d’un certain nombre de jours d’absence injustifié de l’enfant à l’école, les parents peuvent recevoir des amendes, risquer la prison ou voir leurs enfants enlever par les autorités. Ne pas approuver l’idéologie LGBT peut être une cause de licenciement, d’emprisonnement, de menaces diverses, de chantages ou de pressions politiques, ce qui implique que les autorités ne garantissent plus la liberté de conscience, la neutralité idéologico-politique et l’égalité des traitements entre les religions et les idéologies.  De même, l’Etat menace la protection et la santé physique et mentale des enfants. Le discours radicalisé des autorités tend à gommer les discours nuancés, à imposer une idéologie, à interdire la liberté de conscience et d’expression, et menace l’autorité des parents si ceux-ci ne se plient pas à l’agenda transhumaniste et à l’idéologie totalitaire d’un état dominé par une idéologie obscurantiste et délétère.

Ne pas persécuter ou insulter les personnes atteintes de déviances sexuelles et de troubles psychologiques n’est plus suffisant, il faut désormais en faire la promotion et renoncer à sa conscience et à ses convictions.

Par contre, les musulmans en particulier et les hétérosexuels en général n’ont pas droit au même traitement de faveur (détester ou critiquer l’hétérosexualité ou l’islam et/ou les musulmans sont autorisés et même encouragés par certains, mais critiquer ou refuser pour soi-même ou pour ses enfants l’idéologie LGBT est mal vu et peut devenir un délit sanctionné par les autorités). Si l’on suit leur raisonnement, toute personne refusant d’adopter l’Islam serait alors islamophobe et condamnable, de même concernant les personnes refusant d’être hétérosexuelles, juives, chrétiennes, végans, omnivores, ingénieurs, etc., ce qui n’a évidemment aucun sens. On peut ne pas porter atteinte aux juifs sans adopter le judaïsme ou sans en faire la promotion, de même avec l’Islam et les musulmans, la laïcité et les laïcs, le véganisme et les végans, etc. Il y a un juste milieu qui est effacé et criminalisé par l’Etat dans cette affaire gravissime et sordide. Certains homosexuels se plaignent d’ailleurs des discriminations qu’ils subissent de la part des lobbies LGBT : « Lily Cade, une star du porno lesbienne transphobe présentée par la BBC dans un article tristement célèbre la semaine dernière. a appelé à ce que les femmes trans soient “lynchées” et “exécutées” ». (“Anti-Transgender Activist Quoted by BBC Calls For Trans Women to Be ‘Lynched'”, Newsweek, 2 novembre 2021 : https://www.newsweek.com/anti-transgender-activist-quoted-bbc-calls-trans-women-lynched-1645231).

Ces extrémistes considèrent comme étant transphobe, toute personne refusant de tourner un film ou de promouvoir une femme possédant un pénis ou un homme à vagin, ce qui relève d’une discrimination et d’une atteinte à la liberté des hommes et des femmes hétérosexuels, et même des personnes homosexuelles.

Au Qatar avec l’annonce que toute promotion visant à distiller ce poison – l’idéologie LGBT ou l’incitation  à la débauche sexuelle – lors de la Coupe du monde 2022, d’une peine d’emprisonnement, il y a eu un tollé alors que le football est un sport où les états occidentaux disaient eux-mêmes qu’il ne devait y avoir ni politique ni idéologie, alors qu’ils ont imposé l’exclusion de la Russie (pour avoir envahi l’Ukraine) alors qu’ils ne l’ont pas fait pour les Etats-Unis, Israël, la France, le Royaume-Uni et d’autres états qui ont fait bien pire que le Kremlin. De même, ils imposent aux non-occidentaux de respecter les « valeurs » et « codes culturels » de l’Occident (même si l’Occident n’est pas homogène et qu’ils ne respectent pas eux-mêmes les propres valeurs traditionnelles et culturelles des peuples européens), mais interdisent aux non-occidentaux de préserver leurs propres valeurs et imposent – par la propagande, les menaces, les agences et les agents qu’ils placent dans ces pays – leurs idéologies dégénérées et décadentes qui engendrent de terribles inégalités et fléaux sociaux partout où cela se répand… Ainsi, soit ils sont là pour la « passion » du football – et ils n’ont pas alors à faire de la politique ou de l’idéologie surtout quand celles-ci sont nocives et portent atteinte aux valeurs religieuses et culturelles de la société qui accueille cet événement sportif – soit ils sont là pour d’autres raisons et ils n’ont pas à faire leur loi puisque leur but inavoué ne correspond pas à leur venue officielle dans le pays et dans cet événement sportif. La réalité est que ces événements dépassent le cadre sportif, puisque ce sont des milliards de $ qui sont en jeu, il y a les promoteurs et grandes entreprises qui font leur publicité, les instances politiques et les idéologies qui tentent de s’imposer par différents moyens.

Plusieurs pays occidentaux veulent empêcher également les parents de prodiguer une éducation saine et bénéfique à leurs propres enfants, afin que l’Etat les conditionne et endoctrine, de sorte que les parents ne jouent plus un rôle important dans leur vie et leur éducation – c’est le propre des états totalitaires que de « confisquer » les enfants et d’imposer ce genre d’obscurantisme et d’asservissement aux enfants et aux parents -. Là où tout ce que le Divin a créé et Lui appartenait en propre, l’état totalitaire veut Le remplacer, en privant les créatures de leur liberté, de leur sens des responsabilités et de leurs droits fondamentaux, et c’est ce qui arrive en Occident. Nous conseillons donc aux parents de faire attention à ce qu’ils achètent à leurs enfants (car de nombreux jouets, livres, dessins animés, etc. contiennent maintenant des incitations à la pédophilie, aux dérives LGBT, à la fornication, au changement de sexe qui comporte de terribles conséquences et souffrances pour le corps et l’esprit, etc.). De même, les parents doivent veiller à inspecter ce que leurs enfants apprennent à l’école publique, sachant que beaucoup d’erreurs et de propagandes y sont enseignées (que ce soit en médecine et en biologie, en neurosciences ou en psychologie, en histoire ou en politique, etc.), discuter avec eux, corriger les erreurs ou réfuter les propagandes idéologiques dont leurs enfants ont été victimes à l’école. Il faut aussi les éloigner des programmes télévisés et du contenu numérique qui peuvent les endoctriner ou les inciter à commettre des choses répréhensibles ou à développer des vices en eux. Bien que certains parents soient trop occupés avec le travail, il faut accorder de leur temps aux enfants, jouer avec eux avec des jeux de société par exemple – passer de très bons moments en famille tout en s’amusant -, leur proposer de faire de bons puzzles, de la calligraphie, du dessin, leur apprendre à jardiner ou à cultiver la terre, du sport, à mémoriser des poèmes sur la spiritualité, l’éthique, l’histoire, etc., car lorsque les enfants comme les adultes sont occupés d’une bonne façon, ils ne chercheront pas à combler le « vide » par les choses blâmables qui peuvent exister dehors (boites de nuit, réseaux criminels, drogue, délinquance, …) ou par les choses répréhensibles que l’on peut voir dans certaines séries ou dans certains films totalement décadents.

Les « Supérieurs inconnus » qui distillent ces poisons idéologiques, en leur faisant miroiter un bonheur inexistant – dans cette voie illusoire -, et en rendant détestable le fait de naître homme ou de naitre femme, ils encouragent ainsi la haine de l’autre et la détestation de soi, incitant les gens à subir des mutilations physiques, hormonales et autres pour dériver vers une identité hybride mais torturée et inachevée. Résultat ? La société est chamboulée et privée de repères, les gens sont de plus en plus mécontents et insatisfaits, les finances publiques vont très mal, les gens se haïssent pour rien, les défis majeurs liés à l’écologie, à la sécurité et au bien-être général et nécessaire des peuples mis de côté, pour des pseudo-combats qui exaspèrent tout le monde pendant que des millions de personnes meurent de faim chaque année – une mort pourtant évitable si ces pseudo-militants leur prêtait main forte et évitaient de gaspiller des milliards d’euros dans une lutte malsaine et rétrograde -.

Pire encore, ils instaurent la dictature de la pensée, où aborder ces questions et analyser rationnellement ces mouvements devient un délit, où les libertés fondamentales (de conscience, de culte, d’expression, de presse, d’observation scientifique, de réflexion philosophique, de conviction religieuse, etc.) sont bafouées sans le moindre scrupule pour imposer leur idéologie et criminaliser toutes les autres voies et alternatives possibles. Même dans le monde du cinéma, les homosexuels se trouvent aujourd’hui opprimés et étouffés par le mouvement LGBT – du moins par sa frange la plus fanatique -, et nombreux sont les intellectuels, artistes, romanciers et écrivains qui sont menacés de mort pour avoir rappelé simplement les réalités biologies fondamentales de l’espèce humaine, et affiché leurs convictions philosophiques ou religieuses qui n’avaient pourtant rien de répréhensibles et qui étaient totalement légitimes. Ces fanatiques s’autorisent de critiquer et de menacer tout le monde – sans jamais être inquiétés – mais s’offusquent dès qu’ils sont critiqués (à juste titre bien souvent) pour leurs propos anti-scientifiques, leur comportement déviant et malsain, leurs propos injurieux ou aberrants, etc.

Pour leur propre bien, ces idéologies ne doivent plus être promues, ainsi leur vie tout comme leur dignité seront peut-être mieux préservés, au lieu de les manipuler et de les instrumentaliser en jouant avec leur santé physique et mentale comme le font les autorités occidentales. Autre paradoxe, c’est que les pays qualifiés « d’autoritaires » ou « d’obscurantistes » par les pays dégénérés et rétrogrades occidentaux, sont ceux qui, sur ces questions, sont les plus lucides, les plus rationnels, les plus « scientifiques », les plus soucieux du bien-être général et les plus éthiques (notamment envers les enfants), et qui empêchent l’apparition des dérives et fanatismes liés à ces mouvements et idéologies.

Mais les insulter ou les enfoncer davantage comme le font certains n’est pas du tout productif, et l’Islam nous enjoint à juste titre, à discuter avec eux, à leur montrer la bonne voie, et pour nous, à incarner la meilleure attitude et les plus belles valeurs, tout en montrant aux gens les sagesses et bienfaits qu’il y a derrière les limites fixées par Allâh et les préceptes religieux.

« Par la sagesse et la bonne exhortation, appelle (les gens) au sentier de ton Seigneur. Et discute avec eux de la meilleure façon. Et si vous punissez, infligez [à l’agresseur] une punition égale au tort qu’il vous a fait. Et si vous endurez… cela est certes meilleur pour les endurants.  Endure ! Ton endurance [ne viendra] qu’avec (l’aide) d’Allâh. Ne t’afflige pas pour eux. Et ne sois pas angoissé à cause de leurs complots. Certes, Allâh est avec ceux qui [L’] ont craint avec piété et ceux qui sont bienfaisants » (Qur’ân 16, 125-127).

Et cela vaut pour toutes les personnes qui commettent des actes répréhensibles ou nocifs, que ce soit en lien avec l’alcool, la drogue, le tabagisme, les déviances et dérives sexuelles et mentales, la délinquance, la criminalité, les tendances terroristes ou violentes, etc. Il faut engager le dialogue constructif autant que dès que les conditions le permettent, fournir les meilleurs arguments possibles – sans être trop lourd au point de les rebuter, et parfois le silence accompagné de bonté est la meilleure solution dans certains contextes -, et comme l’a dit le Prophète (ﷺ): « Facilitez et n’entravez pas (la voie du Bien vers Allâh), annoncez la bonne nouvelle et ne rebutez (dégoûtez) pas (les gens) » (Rapporté par al-Muttaqî al-Hindî dans Kanz ul ‘Ummâl n°5323 et par quelques variantes légères par al-Bukharî dans son Sahîh et Ahmad dans son Musnad).

Yazid Ibn Aslam rapporte d’après son père que ‘Umar (qu’Allâh l’agrée) se rendit un jour à la mosquée où il trouva Mu’âdh entrain de pleurer auprès de la tombe du Prophète (ﷺ). A la question : « Pourquoi pleures-tu ? ». Mu’adh répondit : « Des paroles que j’avais entendues du Prophète (). Il a dit : « L’ostentation, dans sa forme la plus simple, est une (sorte d’) association à Allâh. Et quiconque se fait un ennemi des bien-aimés d’Allâh entre de fait en duel avec Allâh. Or, Allâh aime les bons, les justes, les pieux et ceux qui sont effacés (aiment rester en retrait et être discret autant que possible) : dont on ne remarque point leur absence et sont méconnus pendant leur présence. Leurs cœurs sont des lanternes de guidée. Ils sortent de toute Fitna (tentation) ténébreuse » (Rapporté avec de légères variantes par Ibn Mâjah dans ses Sunân n°3989, Al-Bayhaqi dans Kitâb az-Zuhd n°195 d’après Ibn ‘Umar et dans Shu’ab al-Imân, Al-Hakim dans Al-Mustadrak n°4 avec une chaine sahih, Ibn Al-Qayyim al Jawziyya dans Madarij as salikîn, Abû Nu’aym dans Hilyal al-awliyâ’ 1/5 et 1/15, par al-Muttaqî al-Hindî dans Kanz ul-‘Ummâl 1/269 et d’autres).

Ibn Mas’ûd, en se basant sur l’enseignement prophétique a dit : « Soyez des sources de science, des flambeaux éclairant le droit chemin. Restez dans vos demeures (lors de périodes de troubles). Soyez les lumières de la nuit. Ayez un coeur tendre et les vêtements usés (c’est-à-dire, soyez des ascètes détournés des illusions de ce bas-monde). Soyez connus auprès des habitants du ciel et inconnus auprès des habitants de la terre » (Rapporté par Ibn Al Qayyim, dans Al-Fawâ’îd, chapitre Les sagesses d’Ibn Mas’ûd).

Lorsque l’on remonte aux origines de ses différents mouvements sociaux et idéologiques, on s’aperçoit qu’elles émanent des milieux occultistes via de multiples ramifications – loges maçonniques dégénérées, Bilderberg, Rockfeller, Kinsey, Rotschild, Forum de Davos, etc. – avec les mêmes objectifs : dominer le monde – et les documents et faits établis le confirment clairement ainsi que de nombreuses allocutions accessibles sur leurs médias officiels depuis qu’il n’y a plus de contre-pouvoir -, détruire le noyau spirituel de toutes les Traditions spirituelles, éradiquer la piété religieuse (au sein de toutes les Traditions) et détruire les symboles spirituels du monde musulman, qui malgré la phase de décadence avancée, résiste encore tant bien que mal à leurs projets clairement shaytanesques et dajjaliques. En effet, s’attaquer à ces principes et au noyau de la Religion c’est détruire la protection individuelle et collective dont bénéficiait l’ensemble de toute une civilisation ou d’une société encore empreinte de sacré et de spiritualité, et en éradiquant la piété religieuse au cœur de la vie des sociétés, – ou du moins en tant qu’idéal – c’est s’assurer une domination totalitaire et avilissante sur la population dans sa condition humaine, détournée des plus nobles idéaux, pour n’être plus que des esclaves du « veau d’or » et des vices les plus sombres qui peuvent habiter l’Homme lorsqu’il n’aspire plus au Divin et à la vertu. Ainsi, s’attaquer à la piété religieuse, c’est priver l’être humain de ses potentialités spirituelles et de sa vigilance, pour en faciliter la manipulation et l’asservissement, puis le sacrifice pour des intérêts purement mondains et pervers.

Un article regroupant de nombreux éléments sourcés, sur les liens entre Davos, Soros, l’UE et le transhumanisme (dont la mouvance LGBT est un moyen d’y parvenir) a été publié sur le site Strategika même si nous ne les rejoignons pas sur certains points : « Le milliardaire George Soros comme d’autres pseudo philanthropes tel que Bill Gates pour le plus connu d’entre eux, ouvre son portefeuille pour transformer le monde depuis de nombreuses années en faisant pression par le biais de multiples Think Tank (groupes de pensées) et autres lobbies puissants à la discrétion du plus grand nombre de la masse endormie. Créer un monde de chaos, appauvri, non éduqué, ignorant de réelles informations, le tout sur une base de valeurs inversées mais ouvert à toutes les dérives des « droits de l’homme » (…) La fondation de Soros (Open Society Foundations) finance très fortement le mouvement LGBTQ, elle ne s’en cache pas, il est même partagé sur le site web un article qui traite de ce qui peut être fait dans le cadre du processus d’adhésion à l’UE pour promouvoir les droits des gay et de ce qui a été fait jusqu’à présent, c’est-à-dire les réalisations sur lesquelles les droits des gay, lesbiennes, transgenres etc. peuvent être bâtis.

La fondation vous explique clairement qu’elle finance le mouvement LGBTQI. Le journal First Things a même rendu publique la liste des milliardaires qui financent grassement le lobby LGBT. En Italie aussi le magnat finance les associations pro LGBT. A Miami les voitures de police affichent fièrement les couleurs du lobby LGBTQ+. Au-delà du simple lobby LGBT, George Soros finance aussi de nombreux autres mouvements. Il a une influence toute particulière sur les organismes « vérificateurs de fake news » sur internet. Et oui, quoi de mieux que de contrôler les entités toutes puissantes qui décident de qui dit vrai et qui dit faux. Parfait pour imposer sa vision au monde en étouffant toute opposition éventuelle n’est-ce pas ? (…) ». (“George Soros : L’argent et le pouvoir derrière le mouvement transgenre LGBTQ “, Strategika, 4 novembre 2021 : https://strategika.fr/2021/11/04/george-soros-largent-et-le-pouvoir-derriere-le-mouvement-transgenre-lgbtq/).

Ils vont même jusqu’à influencer la CEDH (Cour européenne des droits de l’Homme) en y plaçant des agents qui leurs sont acquis pour mieux imposer leur idéologie et étouffer toutes les voix contestataires, sans jamais se soucier des droits humains, de la justice, du bien-être ou de la liberté de conscience de ceux qui n’approuvent pas leurs dérives extrémistes. De nombreux analystes dénoncent les scandales liés à George Soros (“Révélations : le scandale Soros”, VA Plus, 2020 : https://www.youtube.com/watch?v=LGiXIvLF_qU) :

L’équipe de MoneyRadar semble rejeter certaines accusations visant George Soros alors qu’elles sont avérées, mais reconnait tout de même de graves dérives liées à son influence : https://www.youtube.com/watch?v=Foc-Q–_3dc

Soros est loin d’être un philanthrope, et sa fortune est fondée sur le malheur, le suicide et la mort de millions de personnes en raison de ses spéculations sur les marchés et les monnaies de nombreux pays dans le monde, son « ombre » derrière plusieurs coups d’Etat ou tentatives d’inciter à la guerre civile, tout comme il encourage de nombreuses discriminations et pousse de nombreuses personnes dans des délires psychologiques et des dérives sexuelles, pour ensuite ériger ces personnes déboussolées voire radicalisées – parmi celles que l’on appelle les minorités sexuelles – pour ensuite criminaliser ceux qui oseraient les critiquer ou préserver leur propre modèle civilisationnel, alors même que ces minorités sexuelles, manipulées par Soros & consorts, sont à la fois manipulées et très susceptibles d’être malheureux dans leurs conditions actuelles (plus enclin au suicide, à la violence et à sombrer dans les ravages de la drogue et plus exposés aux maladies sexuellement transmissibles).

Même chose pour le Forum de Davos qui prétend oeuvrer pour un monde meilleur mais dont les résultats montrent clairement l’augmentation des troubles et des inégalités diverses, et leur implication dans des guerres terribles et les nombreuses crises économiques de ces dernières décennies. Même si la chaine MoneyRadar n’ose pas aller plus trop loin dans leurs investigations, et que certains sujets traités comportent des erreurs et lacunes, il y a de très bonnes analyses concernant certains thèmes sur la finance, l’écologie et la politique, comme ici : Grand Reset – Qu’est-ce que les élites nous préparent réellement publiée en début 2022 : https://www.youtube.com/watch?v=-GG7u6cHXKM

Enfin, le spécialiste et fin connaisseur René Guénon ne disait-il pas dans son article Réflexions à propos du « Pouvoir Occulte » du 11 Juin 1914 (dans la revue La France antimaçonnique) : « Un autre point qui est à retenir, c’est que les Supérieurs Inconnus, de quelque ordre qu’ils soient, et quel que soit le domaine dans lequel ils veulent agir, ne cherchent jamais à créer des « mouvements », suivant une expression qui est fort à la mode aujourd’hui ; ils créent seulement des « états d’esprit », ce qui est beaucoup plus efficace, mais peut-être un peu moins à la portée de tout le monde. Il est incontestable, encore que certains se déclarent incapables de le comprendre, que la mentalité des individus et des collectivités peut être modifiée par un ensemble systématisé de suggestions appropriées ; au fond, l’éducation elle-même n’est guère autre chose que cela, et il n’y a là-dedans aucun « occultisme ». Du reste, on ne saurait douter que cette faculté de suggestion puisse être exercée, à tous les degrés et dans tous les domaines, par des hommes « en chair et en os », lorsqu’on voit, par exemple, une foule entière illusionnée par un simple fakir, qui n’est cependant qu’un initié de l’ordre le plus inférieur, et dont les pouvoirs sont assez comparables à ceux que pouvait posséder un Gugomos ou un Schroepfer (1). Ce pouvoir de suggestion n’est dû, somme toute, qu’au développement de certaines facultés spéciales, quand il s’applique seulement au domaine social et s’exerce sur l’ « opinion », il est surtout affaire de psychologie : un « état d’esprit » déterminé requiert des conditions favorables pour s’établir, et il faut savoir, ou profiter de ces conditions si elles existent déjà, ou en provoquer soi-même la réalisation. Le socialisme répond à certaines conditions actuelles, et c’est là ce qui fait toutes ses chances de succès ; que les conditions viennent à changer pour une raison ou pour une autre, et le socialisme, qui ne pourra jamais être qu’un simple moyen d’action pour des Supérieurs Inconnus, aura vite fait de se transformer en autre chose dont nous ne pouvons même pas prévoir le caractère. C’est peut-être là qu’est le danger le plus grave, surtout si les Supérieurs Inconnus savent, comme il y a tout lieu de l’admettre, modifier cette mentalité collective qu’on appelle l’ « opinion » ; c’est un travail de ce genre qui s’effectua au cours du XVIIIème siècle et qui aboutit à la Révolution, et, quand celle-ci éclata, les Supérieurs Inconnus n’avaient plus besoin d’intervenir, l’action de leurs agents subalternes était pleinement suffisante. Il faut, avant qu’il ne soit trop tard, empêcher que de pareils événements se renouvellent, et c’est pourquoi, dirons-nous avec M. Copin-Albancelli, « il est fort important d’éclairer le peuple sur la question maçonnique et ce qui se cache derrière » ».

Mis à jour le 8 juillet 2022.


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