Selon la définition du Larousse (2021), le transhumanisme est un : « courant de pensée qui vise l’amélioration des capacités intellectuelles, physiques et psychiques de l’être humain grâce à l’usage de procédés scientifiques et techniques (manipulation génétique, nanotechnologies, intelligence artificielle, etc.). Conviction idéologique plus que position solidement argumentée, le transhumanisme est contesté aussi bien d’un point de vue scientifique que d’un point de vue éthique »[1].
On voit cependant, depuis plus d’une décennie, une tendance générale qui se dessine clairement, à savoir prendre le virage du transhumanisme à tous les niveaux : rendre l’hôpital incapable de fournir des soins classiques, et le rendre insupportable pour les patients comme pour le personnel médical (d’où le fait que beaucoup de gouvernements occidentaux privent chaque année les hôpitaux d’une aide conséquente et diminuent le budget alloué au secteur de la santé). Dans l’économie, la numérisation prend le pas sur l’économie classique. Avec le projet du Metaverse (développé par le fondateur principal de Facebook, Mark Zuckerberg)[2] ils veulent recréer un univers fictif et virtuel où ils pourront endormir et manipuler les consciences à leur guise, abêtir encore plus les masses, faire oublier Allâh et le sens de notre existence, pensant ainsi remplacer Allâh… L’ego indiscipliné (en soif d’un infini mais à rebours, c’est-à-dire emprisonné dans la matière) a ce désir d’avoir le contrôle sur tout et cet assouvissement de domination sur les autres, mais dans une logique de tyrannie.
Différents projets sont actuellement développés et vont dans ce sens, comme le Neuralink d’Elon Musk : « Rien ne semble arrêter le visionnaire Elon Musk, patron de Tesla et de SpaceX, qui prévoit, avec son entreprise Neuralink, l’implantation de puces dans le cerveau d’humains dès 2022. Dans un premier temps, ces implants cérébraux seront destinés aux personnes handicapées pour leur permettre de piloter un ordinateur par la pensée. La fusion de l’Homme avec la machine est en marche. Elon Musk espère pouvoir, via son entreprise Neurolink, implanter des puces dans le cerveau humain à partir de 2022. Cette puce, déjà testée sur des singes, permet d’enregistrer et de stimuler l’activité cérébrale. Elle se destine à un usage médical. Dans un premier temps, elle devrait permettre à des personnes atteintes de handicaps physiques de récupérer leur capacité de mouvement. Dans une courte interview d’Elon Musk au Wall Street Journal à l’occasion du Sommet du conseil des P.-D.G., l’entrepreneur américain a fait le point sur son projet Neuralink. Le P.-D.G. a annoncé que Neuralink espérait commencer les essais sur l’Homme dès 2022. Il doit cependant attendre l’approbation de la Food and Drugs Administration qui délivre des mandats pour autoriser la commercialisation de médicaments.
Cela fait plusieurs années que les premiers essais sur l’Homme sont repoussés. Une première date était prévue fin 2020, puis repoussée à 2021 et maintenant à 2022. Neuralink a créé un dispositif de puce électronique directement implanté dans le cerveau pour contrôler des appareils numériques ou encore permettre de réduire des handicaps de mouvements » (“Neuralink : les premiers essais sur l’être humain commenceront en 2022, d’après Elon Musk”, Futura Sciences, 14 décembre 2021 et MàJ le 17 décembre 2021 : https://www.futura-sciences.com/tech/actualites/intelligence-artificielle-neuralink-premiers-essais-etre-humain-commenceront-2022-apres-elon-musk-95495/).
Le problème réside dans le fait que, suivant une logique marketing, on ne parle que des avantages (qui peuvent être réels et prometteurs) mais jamais des inconvénients et de la généralisation expansionniste de ces technologies, qui atrophient et dégradent à la fois le corps, le cerveau, l’esprit, les interactions humaines et même l’environnement. Déjà qu’avec des outils technologiques simples ou complexes comme la calculatrice, le GPS ou l’agenda électronique, les humains se retrouvent avec des capacités cognitives diminuées dès qu’ils n’ont plus à disposition ces outils ou si ceux-ci connaissent des bugs, que dire pour ce genre de technologies impliquant des manipulations cérébrales ou médicales. Aussi, tout ce qui est numérique peut être piratable, falsifiable, manipulable et rendre vulnérable toute une société qui se repose exclusivement sur des machines, l’électronique ou le numérique, surtout en cas de pannes ou de catastrophes diverses. De nombreux crimes et délits sont déjà commis chaque jour par le biais du numérique…Et connaissant la propension de l’ego à dominer les autres ou la nature sans en respecter fidèlement leurs droits ou les limites, – ce que l’on peut clairement constater aujourd’hui à tous les niveaux malgré les fausses promesses et « vœux pieux » des différents gouvernements, il y a de quoi fortement s’en inquiéter, surtout avec le développement de l’intelligence artificielle, la manipulation numérique, l’abrutissement de masse, la surveillance totalitaire et la crise économique mondiale que nous traversons à cause des mêmes acteurs, – en partie du moins – qui nous imposent cette nouvelle vision (encore plus perverse et factice) de la société, – une société sans spiritualité, sans éthique, sans « authenticité » et sans contact direct avec la nature.
Sur le plan médical, ils veulent injecter des puces et contrôler totalement notre code génétique, nous localiser à chaque instant et diminuer notre liberté. Le transhumanisme va de pair avec le totalitarisme (contrôle total sur le corps, l’esprit et la société). La disparition des commerces locaux et indépendants n’est pas un hasard, puisque les multinationales ont de plus en plus d’influence et imposent leurs conditions même aux états…
Tout cela est déjà très bien documenté, même dans la presse dite officielle (américaine, britannique, française, belge, …).
Tout est fait pour isoler les individus les uns des autres et les opposer continuellement, d’abord entre les parents et les enfants, et ensuite entre le couple, et même entre les identités sexuelles : « femmes contre les hommes » là où dans la Tradition c’était les femmes AVEC les hommes, les parents prenant soin des enfants et les enfants respectant leurs parents.
Un excellent documentaire intitulé The Red Pill paru en 2017 autour du féminisme, réalisé par une femme brillante (Cassie Jaye), qui a décidé de donner la parole aux différents acteurs et associations qui militent et débattent de ces sujets aux Etats-Unis[3]. Quand on essentialise abusivement et que l’on pousse les gens à se détester pour des différences culturelles ou naturelles (comme le fait que l’on soit homme et femme) au lieu de lutter ensemble contre ce qui est mauvais ou injuste, cela ne peut qu’accentuer les dérives et les incompréhensions de part et d’autre. Le problème ce ne sont pas les hommes ou les femmes en soi, mais les personnes (hommes ou femmes) qui cultivent tous les vices ou qui commettent les pires atrocités qui soient et qui n’ont plus de perspective louable et élévatrice sur les plans éthiques et spirituels. Que l’on soit homme ou femme, on observe bien que les injustices comme les privilèges – pas toujours mérités – concernent aussi bien les hommes que les femmes, et que l’on ne peut donc pas tout réduire à une lutte sexiste entre la condition masculine et la condition féminine. Dans certains domaines, les hommes sont plus humiliés et discriminés que les femmes (beaucoup plus d’hommes sont généralement tués que les femmes, dans certains métiers, les hommes sont laissés pour compte, dans la garde des enfants ce sont les pères qui sont souvent discriminés, etc.), tandis que d’autres domaines, c’est l’inverse, ou même équivalent pour les 2 sexes. Beaucoup d’hommes et de femmes modernes se plaignent pourtant de leurs conditions actuelles et du comportement inadmissible des « autres », mais ce sont justement les idéologiques qu’ils et qu’elles défendent, qui y conduisent, soit directement, soit indirectement car engendrant de nombreuses frustrations et déviances qui ne peuvent être abolies ou tempérées que par une spiritualité opérative[4].
Les ravages du féminisme (entendu ici au sens idéologique, dans sa tendance décadente et hystérique) sont réels et nombreux, aussi bien sur les femmes que sur les hommes, comme le démontrent bien de nombreuses femmes (peu importe leur culture et leur origine)[5].
Les grands groupes internationaux qui veulent affaiblir les sociétés et favoriser l’éclatement et la division sociale, financent des films et séries visant à promouvoir leur idéologie, au point de renverser les valeurs et les normes traditionnelles (en phase avec la biologie et la psychologie), comme l’a encore une fois, bien décortiquée par exemple Virginie Vota[6].
L’extrémisme des LGTB dont on parle peu : menaces de mort, insultes et critiques envers toute personne rappelant quelques réalités et évidences biologiques ou statistiques.
Un exemple parmi tant d’autres où l’auteure de la saga Harry Potter, – J.K. Rowling – pour n’avoir rappelé que quelques vérités et faisant appel au bon sens, a été la cible de nombreuses insultes, critiques infondées et menaces, alors qu’elle n’appelait nullement à la haine ou à la violence. J.K. Rowling (22 novembre 2021) : « I’ve now received so many death threats I could paper the house with them, and I haven’t stopped speaking out. Perhaps – and I’m just throwing this out there – the best way to prove your movement isn’t a threat to women, is to stop stalking, harassing and threatening us. 8/X »[7].
Quand une nation n’a plus de repères traditionnels, et qu’elle se noie dans un certain confort matériel, pour trouver un certain sens existentiel, elle se lance ensuite dans des combats aussi illusoires qu’inutiles et violents, en embêtant toute la société (et en la tirant vers le bas et l’infra-humain dans sa totalité), en voulant revisiter de façon absurde et arbitraire la langue et la culture, – en y dépensant beaucoup d’argent du contribuable et de temps précieux – pendant que des gens meurent de faim ou sont réellement persécutés ou massacrés ! Quand les gens n’ont plus de contact avec la réalité et ont oublié de cultiver la bonté, ils se mettent à haïr et à mener des combats illusoires avec beaucoup de violence.
Les différentes déviances ou anormalités « sexuelles », y compris par rapport aux théories du genre, sont soutenues et financées par des détraqués et des pédocriminels, notamment à travers l’Institut Kinsey (qui mène des études sexuelles et des expériences traumatisantes sur des enfants) qui conseille d’ailleurs l’ONU et ses directives données aux différents pays, – facilitant les réseaux de prostitution et de pédocriminalité – (voir notamment les enquêtes et données de Karl Zéro sur le sujet ainsi que les écrits de Ariane Bilheran dont L’imposture des droits sexuels : Ou la loi du pédophile au service du totalitarisme mondial, éd. Independently published, 2017). Bien sûr, beaucoup de gens (même au sein des LGBT) ignorent par qui ils sont financés, mais sachant que des groupes détraqués ne financent jamais « gratuitement » ce genre de mouvements, c’est bien pour façonner une nouvelle société en détruisant les repères et normes de l’ancienne société (dite « traditionnelle »). En effet, promouvoir « l’apatrisme » (en lien avec les personnes « apatrides » qui n’ont plus d’attachement du sol ou d’une patrie terrestre), le matérialisme, la négation des normes traditionnelles et structurelles en rapport avec le couple, la famille, l’identité culturelle et religieuse, la société et la vie, la volonté d’imposer le brassage culturel et conjugal afin de tout uniformiser, – là où avant les mariages interethniques existaient mais de façon minoritaire et non pas comme un idéal ou une norme -, c’est exactement leur projet, tout comme nier les lois de la biologie et de la psychologie par des concepts flous, intrinsèquement subjectifs et déconnectés de la réalité, car cela est bien plus facile pour manipuler les corps et les consciences des gens qui n’ont plus aucun point de repère. En détruisant les systèmes éducatifs et hospitaliers, et en dégoûtant la population de leur propre condition humaine, tout en affaiblissant leur santé, cela les poussera à se tourner vers les promesses illusoires du transhumanisme, et à les éloigner davantage de la réalité et de la solidarité humaine. On traitait en effet de « complotistes » ceux qui parlaient d’un totalitarisme numérique (traçage numérique des appels, discussions, virements bancaires, réseaux sociaux, etc.) et d’implémentations de puces sous la peau pour tracer les gens et connaitre leur état de santé. Des années plus tard, cela se met déjà en place. Cela ne signifie pas que tous les dirigeants et acteurs politiques y sont favorables, mais c’est une volonté (évoquée et annoncée explicitement) des puissants qui financent à plus de 80% l’OMS, qui elle donne des directives (et fait pression le cas échéant) pour imposer la volonté des multinationales, ce n’est pas un secret, c’est de notoriété publique (suffit de suivre les financements de la fondation Bill Gates, de la fondation Soros, etc., et des mouvements qu’ils financent pour déstabiliser des sociétés et des états qui n’ont pas les mêmes projets décadents et criminels que les leurs).
« Des ingénieurs du MIT ont inventé des nanoparticules injectables sous la peau qui émettent une lumière fluorescente invisible à l’oeil nu mais visible par un smartphone, et qui pourraient un jour servir à confirmer que la personne a bien été vaccinée.
L’idée est d’inscrire sur le corps lui-même la preuve du vaccin, dans des pays en développement où les cartes de vaccination en papier sont souvent erronées ou incomplètes, et où les dossiers médicaux électroniques inexistants.
Le système, décrit mercredi dans la revue Science Translational Medicine, n’a pour l’instant été testé que sur des rats mais les chercheurs, financés par la Fondation Bill et Melinda Gates, espèrent les tester sur des humains en Afrique dans les deux prochaines années, dit à l’AFP la coautrice Ana Jaklenec, ingénieure biomédicale de MIT.
Les ingénieurs ont passé beaucoup de temps à trouver des composants à la fois sûrs pour l’organisme, stables et capables de durer plusieurs années.
La recette finale est composée de nanocristaux à base de cuivre, appelées des boîtes quantiques (“quantum dots” en anglais), de 3,7 nanomètres de diamètre, et encapsulés dans des microparticules de 16 micromètres (1 micromètre égale un millionième de mètre, et 1 nanomètre égale un milliardième). Le tout est injecté par un patch de microaiguilles de 1,5 millimètre de longueur.
Après avoir été appliquées sur la peau pendant deux minutes, les microaiguilles se dissolvent et laissent sous la peau les petits points, répartis par exemple en forme de cercle ou bien d’une croix. Ces petits points sont excités par une partie du spectre lumineux invisible pour nous, proche de l’infrarouge.
Un smartphone modifié, pointé sur la peau, permet de faire apparaître, fluorescent sur l’écran, le cercle ou la croix. Les chercheurs voudraient qu’on puisse injecter le vaccin contre la rougeole en même temps que ces petits points. Un médecin pourrait des années plus tard pointer un smartphone pour vérifier si la personne a été vaccinée.
La technique est censée être plus durable que le marquage par feutre indélébile — les chercheurs ont simulé cinq années d’exposition au Soleil. Et elle requiert moins de technologie qu’un scan de l’iris ou que la maintenance de bases de données médicales.
La limite du concept est que la technique ne sera utile pour identifier les enfants non-vaccinés que si elle devient l’outil exclusif. En outre, les gens accepteront-ils de multiples marquages sous la peau, pour chaque vaccin? Et qu’adviendra-t-il des points quand le corps des enfants grandira?
La Fondation Gates poursuit le projet et finance des enquêtes d’opinion au Kenya, au Malawi et au Bangladesh pour déterminer si les populations seront prêtes à adopter ces microscopiques boîtes quantiques, ou préféreront en rester aux vieilles cartes de vaccination »[8].
« Imaginez un monde sans clés, ni cartes. Un monde, où poser simplement sa main sur un lecteur permet d’ouvrir une porte, comme par miracle. Des employés de la société belge Newfusion se sont fait implanter sous la peau, près du pouce, une puce électronique, de la taille d’une mine de crayon. Elle permet, non seulement d’ouvrir la porte, mais aussi d’allumer son ordinateur. Plus besoin de badges, que l’on a tendance à oublier chez soi »[9].
« Grâce aux technologies de pointe et aux innovations d’aujourd’hui, nous avons accès aux soins de santé les plus avancés. En effet, l’événement qu’il ne fallait pas rater fin octobre était l’Epicenter Health & MedTech Innovation Days, en Suède. Epicenter est la première Maison de l’innovation numérique de Stockholm. À Epicenter, les membres sont invités à innover aux côtés des entreprises numériques ; les entrepreneurs et les entreprises se rencontrent pour collaborer, apprendre et développer leurs activités. Pendant une semaine entière, l’Epicenter Stockholm s’est transformé en un univers de santé numérique où les gens ont pu tester, sentir, découvrir et apprendre les dernières nouveautés en matière de santé et de technologies médicales et comment la technologie crée un changement de paradigme dans le système de santé mondial.
Les sujets abordés étaient :
– LE BIOHACKING : Améliorer le corps et l’esprit humains.
– L’ÉVOLUTION DU CORPS : Comment changeons-nous notre façon de bouger et de prendre soin de notre corps à l’ère du numérique ?
– L’ESSOR DE LA FEMTECH : Quelles sont les promesses des technologies pour la santé des femmes ?
– LA SANTÉ INTELLIGENTE : Comment la technologie transforme la médecine et le secteur de la santé.
(…) Mais un événement en particulier a fait le buzz. En Suède, les gens s’implantent maintenant (dans leur main ou n’importe où ailleurs sous la peau) des puces pour le vaccin Covid et les internautes sont terrifiés : « Lorsque vous voyagez, il est important d’avoir votre preuve de vaccination contre le covid à portée de main – à Epicenter, nous la conservons sous la peau ».
« Obtenez votre certificat Covid dans une puce implantée dans votre main ou ailleurs sous votre peau. L’insertion dans le corps de puces contenant différents types d’informations devient de plus en plus populaire en Suède (IoB) et maintenant vous pouvez également intégrer votre certificat Covid dans la micropuce », a rapporté le quotidien suédois, Aftonbladet »[10].
Mais face à l’éveil des consciences qui s’opère tout doucement en Occident, face aux dérives autoritaires et scientistes, le système s’affole et se met à contredire et à abolir toutes les idoles qu’il avait pourtant répandu et défendu pour mieux asseoir son impérialisme politique, idéologique, culturel, économique et militaire. Ainsi, en date du mois d’août 2020, YouTube avait déjà doublé la suppression de vidéos durant la pandémie : « Jamais YouTube n’avait supprimé autant de vidéos en un trimestre : 11,4 millions de vidéos ont été modérées par la plate-forme entre avril et juin 2020, a révélé l’entreprise américaine détenue par Google. A titre de comparaison, 6,1 millions de vidéos avaient été supprimées lors des trois premiers mois de l’année 2020 (…) »[11], ce qui s’est accentué tout au long de l’année 2021.
Quant à Facebook, du début de la pandémie jusqu’au mois d’août 2021 : « Le fondateur de Facebook Mark Zuckerberg affirme que le réseau social a supprimé 18 millions de publications contenant des fausses informations sur le Covid-19. Oui, Facebook lutte contre la propagation de fausses informations sur le Covid-19. C’est son PDG Mark Zuckerberg qui l’a affirmé à CBS jeudi dernier. “Depuis le début de la pandémie, nous avons supprimé plus de 3 000 comptes, pages et groupes car ils ont enfreint à plusieurs reprises nos règles en partageant de fausses informations sur les vaccins”. En tout, 18 millions de publications ont été effacées du réseau social. (…) »[12]. Or, de nombreux contenus qualifiés de « désinformation » s’étaient avérés vrais et pertinents, – confirmés souvent par plusieurs études scientifiques officialisées -, comme nous l’avons démontré dans un article traitant de ce sujet[13]. Même l’OMS et des agences sanitaires soumises à l’OMS avaint qualifié certaines théories de « complotistes » et de « fakes news » avant de les valider (timidement bien souvent certes) quelques semaines ou mois plus tard …
Officiellement, ils utilisent le prétexte de la lutte contre les fakes news, sauf qu’en vérifiant plusieurs vidéos et publications supprimées, il s’agissait de données factuelles et de réflexions tout à fait pertinentes, et que de vraies fakes news (émanant des médias mainstream et mensonges politiques) étaient valorisées et tournaient en boucle un peu partout…
C’est la même hypocrisie que les Etats totalitaires ou impérialistes qui utilisent le prétexte de la « lutte contre le terrorisme » pour imposer des mesures liberticides et museler injustement toutes formes d’opposition, quand au même moment, ils assassinent ou enferment des journalistes et opposants politiques « innocents », qu’ils planifient des attentats false flag (comme la CIA, le FBI, le Mossad, le FSB, etc. qui manipulent des individus qu’ils ont radicalisé et qui commettent des attentats terroristes ou qu’ils les instrumentalisent à des fins pernicieuses et diaboliques) ou qu’ils financent et soutiennent des organisations terroristes marxistes (comme les Etats-Unis, la France, etc.)[14] qui agissent et tuent des civils en Syrie, en Irak, en Iran et en Turquie. Par exemple : « Human Rights Watch accuse les forces de l’ordre d’avoir “dans certains cas transformé en terroristes des individus respectueux de la loi”. Guet-apens ou prévention : le FBI a “encouragé, poussé et parfois même payé” des musulmans américains pour les inciter à commettre des attentats qu’ils n’auraient peut-être jamais envisagés, lors des opérations de filature menées depuis le 11-Septembre, conclut un rapport publié lundi 21 juillet. (…) »[15], ce qui ne veut pas dire que de façon isolée, des fanatiques convaincus passent vraiment à l’acte, – mais le fanatisme en milieu musulman a été d’une part alimenté ou causé par le terrorisme alimenté par l’Occident dans le chaos imposé dans le monde musulman et par les frappes massives et criminelles de l’Occident qui ont causé la mort de plusieurs millions de civils dans le monde musulman depuis les années 1990, et d’autre part, l’Occident, en favorisant majoritairement une vision laïcisante[16] et peu crédible de l’Islam en même temps qu’une vision « salafiste »[17] (peu spirituelle, peu intellectuelle et peu orthodoxe à l’égard de l’Islam, occultant ou rejetant inconsciemment plusieurs pratiques et aspects islamiques, aussi bien concernant la spiritualité et l’éthique que concernant le droit et les rites islamiques), ayant eu pour conséquence d’éloigner, – par ces 2 visions tronquées et caricaturales de l’Islam -, les musulmans des principes métaphysiques, des valeurs éthiques et des finalités de l’Islam, donnant ainsi du grain à moudre aux différentes tendances extrémistes (laïques comme « najdites » ou « rawafidhs »). Aussi, la haine sociale, l’intolérance et les discriminations politiques, les agressions et meurtres commis contre des musulman(e)s, et le matraquage médiatique qui visent l’Islam et les musulmans (et notamment les femmes musulmanes) dans des pays comme la France, n’ont fait qu’attiser les tensions et des réactions violentes de la part de certains groupuscules extrémistes, – dont les dégâts sont cependant similaires aux attentats et discours violents émanant des groupuscules d’extrême droite ou d’extrême gauche – qui sont cependant nettement moins médiatisés, alors qu’ils ont continué à mener de nombreuses attaques et opérations terroristes en Occident de 2017 à nos jours.
La France comme les Etats-Unis, le régime israélien et d’autres pays, sont impliqués dans la traque et l’assassinat d’opposants politiques, de journalistes, de militants et d’intellectuels, soit de façon directe, soit de façon indirecte. Le scandale de Pegasus (logiciel espion) l’a encore une fois démontré : « Plusieurs pays sont accusés d’avoir espionné et capturé les données d’opposants, journalistes, avocats et hauts responsables politiques à l’aide de “Pegasus”, conçu et vendu par la start-up israélienne NSO. Le logiciel espion a notamment servi à cibler les données téléphoniques de 50 000 personnes »[18]. La France demande au Maroc d’espionner des intellectuels et des journalistes français pour le compte du gouvernement français (afin de contourner leur propre loi). Israël vend ce logiciel à des pays démocratiques et dictatoriaux à la seule condition de ne pas s’en prendre aux intérêts liés aux sols américains et russes, mais ils donnent carte blanche pour traquer et espionner des opposants politiques, des intellectuels, scientifiques et journalistes, contribuant à leur assassinat ou à leur détention (avec ou sans torture selon les cas). Les USA demandent à des pays européens d’espionner d’autres pays européens et volent leurs secrets et industriels et projets novateurs…puis dénoncent hypocritement la Chine quand elle fait la même chose que les Etats-Unis et Israël. Des dirigeants français mis en examen pour complicité d’actes de torture, …facilitant l’écoute, la surveillance, la violation de l’intimité, la traque et la torture de nombreux opposants politiques et journalistes. Les cas concernant les lanceurs d’alerte comme Julien Assange (même s’il a relayé aussi la propagande russe sur certains dossiers) et Edward Snowden[19], traqués et condamnés par des pays « démocratiques » occidentaux violant les droits humains (comme les Etats-Unis par exemple) sont très révélateurs et où, pour avoir alerté sur les violations des droits humains et les dérives autoritaires de certaines pratiques immondes, ces lanceurs d’alerte sont menacés de mort ou condamnés par des états occidentaux à de très lourdes peines dépassant les 100 années d’emprisonnement, alors que leur combat favorisait la dignité, la protection et la liberté humaine. Cette perversion va aussi très loin, puisque ces mêmes pays récompensent des personnalités extrémistes et racistes comme Alexei Navalny uniquement pour son opposition à Vladimir Poutine (lui aussi très peu enclin à respecter les droits humains envers un certain nombre de ses opposants ou des populations humaines dans les pays où les forces russes mènent des opérations militaires, pas plus ni moins immonde que les pays occidentaux). En Syrie, en Irak, en Palestine, en Libye, en Afghanistan et ailleurs, les frappes occidentales ou israéliennes ont tué énormément d’enfants, de femmes, de scientifiques, de journalistes, d’enseignants, d’infirmiers et d’intellectuels, sans parler des dégâts colossaux sur l’environnement et la faune, et l’immense majorité des coupables n’ont jamais été poursuivis, et certains sont même encore en poste actuellement.
Par ailleurs, l’Occident demande à ce que des figures politiques en lien avec des organisations terroristes ou criminelles soient relâchées[20], tant qu’ils s’opposent à des pays ou des gouvernements qui sont en froid avec l’Union européenne ou les Etats-Unis.
Les mesures politiques sous de faux-prétextes sanitaires, lors de la crise du Covid ont été en phase avec ce système totalitaire, – mesures traumatisantes et délétères pour la santé, la cohésion et la dignité humaine, comme l’ont expliqué et démontré de nombreux spécialistes comme le Dr. John P. A. Ioannidis (médecin et épidémiologiste) concernant les dégâts du confinement et son inefficacité dans la lutte contre la pandémie[21], le Dr. Martin Zizi (biophysicien, professeur de physiologie, chercheur et ancien Directeur épidémiologiste du Département de la Défense belge) sur l’inefficacité et le danger des pseudo-vaccins à ARNm[22], la psychologue Marie-Estelle Dupont sur le danger que ces mesures ont causé sur les enfants[23], avec Frédéric Goareguer, (pédopsychiatre) et Caroline Vandermeeren (Dr. en biochimie et biotechnologies et bio ingénieure en microbiologie industrielle pour les vaccins)[24] ou encore Nour de San (médecin en biologie clinique et développement de vaccins) qui démontrait à la fois les dangers et l’inefficacité des vaccins alors qu’il n’y avait pas de balance bénéfice/risque en faveur de ces pseudo-vaccins pour les gens en bonne santé[25], ce que des centaines de milliers de scientifiques corroborent et confirment, mais qui sont ignorés par de nombreux gouvernements occidentaux…
L’immunologue et virologue, et l’un des inventeurs de la technologie « vaccinale » ARNm, Robert Malone a signalé, en décembre 2021, l’absence de tout fondement scientifique concernant la vaccination des enfants et « Afin d’enrayer le processus de vaccination en masse des enfants en bonne santé, 15 000 médecins et scientifiques dans le monde ont conjointement signé une déclaration visant à marquer leur opposition à une mesure qui ne repose selon eux sur aucune donnée scientifique. C’est pourquoi, lors d’un meeting en ligne organisé ce 12 décembre par le Global Covid Summit et the Unity Project, le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm, s’est exprimé en leur nom collectif dans l’optique de mettre en garde les parents au sujet de l’irréversibilité à vie des dommages que pourrait engendrer leur vaccination. (…). Je m’appelle Robert Malone. Je suis un médecin et scientifique, mais plus important encore, je suis père et grand-père. Je n’ai pas l’habitude de lire un discours préparé, mais ce sujet est si important que je voulais m’assurer que chaque mot et chaque fait scientifique soient exacts. Je m’en tiens à cette déclaration, car j’ai consacré ma carrière à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement pro-vaccination. J’ai consacré toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses. Voilà mon message : Avant de faire injecter votre enfant – une décision qui est irréversible – je voulais vous faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée. Il y a trois points essentiels que les parents doivent comprendre avant de prendre cette décision irrévocable.
Le premier est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de votre enfant. Ce gène oblige l’organisme de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes critiques des enfants. Ces organes comprennent leur cerveau et leur système nerveux, leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris des caillots sanguins, le système reproducteur. Et le plus important : ce vaccin peut déclencher des changements fondamentaux dans leur système immunitaire. Le point le plus alarmant à ce sujet est qu’une fois que ces dommages ont eu lieu, ils sont irréparables. Ils ne peuvent pas être inversés. Vous ne pouvez pas réparer les lésions à l’intérieur de leur cerveau. Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque. Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé, et ce vaccin peut causer des dommages du système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille. La deuxième chose que vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate. Nous avons besoin d’au moins 5 ans de tests et de recherches avant que nous puissions réellement comprendre les risques associés à cette nouvelle technologie. Les effets néfastes et les risques des nouveaux médicaments sont souvent révélés des années plus tard seulement. Posez-vous s’il vous plaît, en tant que parent, cette question : voulez-vous que votre propre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité ? Un dernier point : la raison qu’ils vous donnent pour vacciner votre enfant est un mensonge. Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents. C’est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir reçu le Covid, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie. Enfin, en résumé, il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les vacciner contre le faible risque du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du vaccin avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de la vie. L’analyse bénéfice-risque n’est absolument pas favorable à ces vaccins s’agissant des enfants. En tant que parent et grand-parent, je vous recommande vivement de résister et de vous battre pour protéger vos enfants. Nous l’avions déjà reçu au cours d’un précédent debriefing cet été durant lequel il a évoqué sa carrière de scientifique, l’histoire de l’invention de cette technologie ARNm, l’échec de la vaccination de masse, le risque associé à la vaccination, et les traitements alternatifs contre le Covid-19 ». (“Robert Malone : son plaidoyer contre la vaccination des enfants”, France Soir, 16 décembre 2021 : https://www.francesoir.fr/politique-monde/robert-malone-plaidoyer-vaccination-enfants).
Dans divers médias officiels, on lit parfois des témoignages suspects – ou du moins des récupérations – de personnes non-vaccinées ayant fait une forme grave du Covid qui regretteraient de ne pas s’être fait vacciner. Or, il existe aussi de faux témoignages, – cela s’est vérifié en France avec des personnalités médiatiques et politiques jouant le rôle de patients et faisant la promotion de la vaccination en se faisant passer pour des non-vaccinés alors qu’ils n’étaient même pas malades (voir les preuves en vidéo, postée le 17 décembre 2021 : https://twitter.com/i/status/1471951624440537092) – , et on connait déjà la pratique de nombreux médias occidentaux (ainsi que des médias russes, syriens, etc.) pour interroger de faux témoins afin de renforcer leur propagande. Par ailleurs il y a beaucoup plus de gens vaccinés qui regrettent le vaccin (soit car ils ont tout de même contracté des formes graves du Covid malgré la vaccination, soit pour avoir subi de très graves effets secondaires), et nous en connaissons. Il y a (d’après ce que l’on peut observer et lire) au moins 20 fois plus de gens qui se plaignent du vaccin que du Covid, d’autant plus qu’être vacciné n’empêche pas de faire des formes graves du virus… raison pour laquelle les groupes facebook (de plusieurs centaines de milliers de membres) et vidéos YouTube qui en parlent ont été systématiquement censurées et supprimées. De nombreux vaccinés regrettaient amèrement s’être fait injectés ce qu’ils qualifiaient de poison, d’échec ou de plus grande erreur de leur vie, soit parce que cela ne les avait pas protégés du virus, soit parce que ce pseudo-vaccin les ont laissés handicaper d’une manière ou d’une autre.
La mascarade va aussi très loin puisque sont récompensés des « scientifiques » luttant contre des « fakes news » (ce qui n’est pas toujours vrai) par des adeptes de fakes news et qui encouragent la corruption dans la communauté scientifique tout en détournant la science à des fins idéologiques et marketing comme par exemple ici : « (…). A la faveur de la pandémie, la discussion sur la fraude scientifique a gagné une visibilité inédite. Elisabeth Bik a identifié près de 5000 articles scientifiques problématiques, ce qui a mené à des rétractations et à des correctifs. Mais aussi à des vagues de harcèlement, avec des menaces et tentatives d’intimidation — particulièrement lorsqu’elle a critiqué la qualité des travaux sur l’hydroxychloroquine menés par le microbiologiste français Didier Raoul. Le jury du prix a noté qu’Elisabeth Bik est « virtuellement seule à agir aux yeux du public », et que ses «efforts inlassables encouragent le public et les autres scientifiques à apprendre à repérer les données manipulées » (“Elisabeth Bik reçoit le prix Maddox pour son combat contre la fraude scientifique”, Heidi, 8 décembre 2021 : https://www.heidi.news/sciences-climat/elisabeth-bik-recoit-le-prix-maddox-pour-son-combat-contre-la-fraude-scientifique).
Or, de nombreux chercheurs et statisticiens ont évoqué que le nombre des décès, en Occident, imputables à ces « vaccins » à ARNm s’élevaient déjà à plusieurs centaines de milliers de morts (en décembre 2021, soit 1 an après le début de la campagne vaccinale ; par exemple Steven Todd Kirsch qui, rien qu’aux USA, parle de plus de 200 000 décès en septembre 2021, voir le document “Have COVID vaccines killed ~ 200,000 Americans?”, de Steve Kirsch : http://www.skirsch.com/covid/Killed.pdf qui date de l’été 2021 et “Vaccine resources” du 20 septembre 2021 : https://www.skirsch.io/vaccine-resources/), et que, officiellement, d’autres centaines de milliers de personnes sont mortes du Covid alors qu’ils étaient pourtant primo-vaccinés, doublement vaccinés ou triplement vaccinés (Voir notamment les données officielles de Worldometer : https://www.worldometers.info/coronavirus/#countries ; et il faut garder à l’esprit que même parmi les « non-vaccinés » décédés du Covid qui sont comptabilisés officiellement, beaucoup sont des vaccinés de moins de 7 ou 14 jours d’une part, ou de vrais non-vaccinés mais qui sont décédés d’autre chose que le Covid mais qui étaient testés « positif » même s’ils étaient asymptomatiques. Cela s’est vérifié en Suisse, en France, aux Etats-Unis, en Belgique, etc.). C’est donc un bilan bien plus lourd que toutes les victimes du terrorisme en Occident sur ces 50 dernières années, et ce en l’espace de simplement 1 an.
Il y a plus d’un siècle, René Guénon (1886 – 1951) avait « pressenti » et anticipé les conséquences du matérialisme conduisant l’Humanité vers un transhumanisme reflétant la dégénérescence humaine dans sa phase la plus froide et la plus artificielle qui soit : « Parler de « propriétés de la matière » et affirmer en même temps que « la matière est inerte », c’est là une insoluble contradiction ; et curieuse ironie des choses, le « scientisme » moderne, qui a la prétention d’éliminer tout « mystère », ne fait pourtant appel, dans ses vaines tentatives d’explication, qu’à ce qu’il y a de plus « mystérieux » au sens vulgaire de ce mot, c’est-à-dire de plus obscur et de moins intelligible ! »[26].
« Quant à ce que vous me dites que les médecins paraissent n’y rien comprendre, je n’en suis pas très surpris, car, d’une façon générale, je n’ai jamais eu grande confiance dans la médecine moderne… »[27].
« La médecine traditionnelle chinoise, en particulier, est en quelque sorte basée tout entière sur la distinction du yang et du yin : toute maladie est due à un état de déséquilibre, c’est-à-dire à un excès de l’un de ces deux termes par rapport à l’autre ; il faut donc renforcer ce dernier pour rétablir l’équilibre, et on atteint ainsi la maladie dans sa cause même, au lieu de se borner à traiter des symptômes plus ou moins extérieurs et superficiels comme le fait la médecine profane des Occidentaux modernes »[28].
« Le malheur est qu’ici l’ancienne médecine traditionnelle a complètement disparu devant l’invasion de la médecine moderne, à laquelle, pour ma part, je me suis toujours soigneusement abstenu d’avoir recours ! »[29].
« Je me demande si déjà certains médicaments qu’on lance à grand renfort de publicité ne seraient pas destinés en réalité à produire des résultats du genre de ceux dont il parle ; en tout cas, ce qu’il y a de certain, c’est que la science moderne tourne de plus en plus à la sorcellerie ! »[30].
« Et, à propos de « trucages chimiques », que dire aussi de la médecine actuelle, et, plus généralement, de tout ce qu’on fait pour que les gens ne puissent plus avoir qu’une vie presque entièrement artificielle à tous les points de vue ? »[31].
« Oui, comme vous le dites, tout est truqué aujourd’hui ; on veut obliger les gens à vivre artificiellement pour les changer plus facilement en des sortes de machines, et la médecine a sûrement un grand rôle à jouer dans la réalisation de ce plan diabolique. Je regrette souvent de n’avoir ni le temps ni la facilité d’examiner de plus près la dite médecine avec toutes les précisions voulues ; il serait bien à souhaiter qu’il se trouve quelqu’un qui puisse et ose entreprendre cette tâche »[32].
« [au sujet des médecins de leurs « tracasseries »]. Ces gens-là en sont arrivés à s’emparer en quelque sorte du monde entier, et bientôt on n’aura plus le droit de vivre sans leur permission »[33].
« Oui, à notre époque où tout est industrialisé et commercialisé, les médecins ne pensent plus guère qu’à leurs intérêts, et les fabricants de médicaments « à la mode » également ; mais il y a aussi dans le lancement de certains produits des « dessous », dont probablement ceux qui les recommandent sont généralement inconscients, et qui sont encore moins rassurants … »[34].
Tout cela doit concorde avec l’enseignement qurânique : « Nous faisons descendre du Qur’ân, ce qui est une guérison et une miséricorde pour les croyants » (Qur’ân 17, 82).
Le philosophe italien, poète, écrivain et « politologue » (formé aussi dans les mathématiques et l’ingénierie) Julius Evola (1898 – 1974) avait lui aussi analysé toutes les horreurs de la modernité, dont le totalitarisme économique avilit la plupart des autres activités humaines : « On n’entend parler que d’économie, de consommation, de travail, de rendement, de classes économiques, de salaires, de propriété privée ou socialisée, de « marché du travail » ou d’« exploitation des travailleurs », de « revendications sociales », etc. Pour les uns comme pour les autres on dirait vraiment qu’il n’existe que cela au monde. (…). Tout cela témoigne d’une véritable pathologie de la civilisation. C’est une hypnose, une démonie que l’économique est en train d’exercer sur l’homme moderne. Et comme il arrive souvent dans l’hypnose, ce sur quoi l’esprit se focalise finit par devenir réel. L’homme d’aujourd’hui est en train de donner corps à ce qui, dans une civilisation normale et complète serait apparu comme une aberration ou une plaisanterie de mauvais goût, à savoir, précisément, que l’économie, et le problème social en fonction de l’économie, « sont un destin » » »[35].
« L’inégalité est vraie de fait pour la seule raison qu’elle est vraie de droit, elle est réelle pour la seule raison qu’elle est nécessaire. Ce que l’idéologie égalitaire voudrait dépeindre comme un état de justice, serait au contraire, d’un point de vue plus élevé et à l’abri des rhétoriques humanitaires, un état d’injustice. C’est une chose qu’Aristote et Cicéron avaient déjà reconnue. Imposer l’inégalité veut dire transcender la quantité, veut dire admettre la qualité. C’est ici que se distinguent nettement les concepts d’individu et de personne »[36].
« Le système qui s’est établi en Occident avec l’avènement de la démocratie – le système majoritaire à suffrage universel – impose d’emblée la dégradation de la classe dirigeante. En fait, la majorité, libre de toute restriction ou clause qualitative, ne peut être que du côté des classes sociales les plus basses ; et pour gagner de telles classes et être porté au pouvoir par leurs votes, il faudra toujours parler la seule langue qu’elles comprennent, celle qui met en avant leurs intérêts prédominants, les plus grossiers, matériels et illusoires, celle qui promet et jamais n’exige. Ainsi toute démocratie est, dans son principe, inscrite à l’école de l’immoralité ; Elle est une offense à la dignité et à la stature qui convient à une véritable classe politique »[37].
« (…) en se promenant dans les rues d’une grande capitale ou de retour chez soi[38], devant la télévision, par exemple, on subira sans y prendre garde de multiples formes de violence hypocrite et souterraine, qui s’exercent au nom de la « liberté » et du « pluralisme » démocratiques : la violence de l’argent qui achète les âmes, du mensonge politique qui les berne, de l’exploitation économique qui les enchaîne, de la grande presse qui les abrutit, de la pornographie qui les avilit, de la publicité qui flatte leurs plus bas instincts. (…) ils se rallient bon gré mal gré à une société “qui pense que rien n’est pire que la mort, même pas l’esclavage”, en oubliant seulement ceci : « L’inconvénient est que ce type de société finit toujours par mourir », après avoir été esclave »[39].
« S’il devait être question d’une réaction de fond contre le système, ce qui revient à dire contre les structures de la société et du monde moderne en général, selon moi, il y a peu de perspectives […] Il ne s’agirait pas de contester ou de polémiquer mais de tout faire sauter : ce qui, à ce jour, est évidemment de l’ordre de la fantaisie ou de l’utopie, en laissant une bonne place à l’anarchisme sporadique. La chose possible et importante est l’action de défense intérieure individuelle, pour laquelle la formule adaptée est : “Fais en sorte que ce sur quoi tu n’as pas prise, ne puisse avoir de prise sur toi” »[40].
« Le démocratisme vit sur un vieux préjugé optimiste tout à fait gratuit. Il ne se rend pas du tout compte du caractère irrationnel de la psychologie des masses (…). La masse est portée non par la raison, mais par l’enthousiasme, par l’émotion, par la suggestion. Comme une femme, elle suit qui sait mieux la séduire, l’effrayer, l’attirer, par des moyens qui n’ont rien de logique en soi. Comme une femme, elle est inconstante, et passe de l’un à l’autre, sans qu’un tel deuil puisse être expliqué uniformément par une loi rationnelle ou par un rythme progressif »[41].
« Aucune civilisation traditionnelle ne vit jamais des masses aussi nombreuses condamnées à un travail obscur, sans âme, automatique, à un esclavage qui n’a même pas pour contrepartie la haute stature et la réalité tangible de figures de seigneurs et de dominateurs, mais se trouve imposé d’une façon apparemment anodine par la tyrannie du facteur économique et les structures absurdes d’une société plus ou moins collectivisée. Et du fait que la vision moderne de la vie, dans son matérialisme, a enlevé à l’individu toute possibilité d’introduire dans son destin un élément de transfiguration, d’y voir un signe et un symbole, l’esclavage d’aujourd’hui est le plus lugubre et le plus désespéré de tous ceux que l’on ait jamais connus »[42].
« A titre d’entrée en matière, nous dirons que rien n’apparaît plus absurde que cette idée de progrès qui, avec son corollaire de la supériorité de la civilisation moderne, s’était déjà créé des alibis « positifs » en falsifiant l’histoire, en insinuant dans les esprits des mythes délétères, en proclamant sa souveraineté dans ces carrefours de l’idéologie plébéienne dont, en dernière analyse, elle est issue. Il faut être descendu bien bas pour en être arrivé à célébrer l’apothéose de la sagesse cadavérique, seul terme applicable à une sagesse qui, dans l’homme moderne, qui est le dernier homme, ne voit pas le vieil homme, le décrépit, le vaincu, l’homme crépusculaire, mais glorifie, au contraire, en lui le dominateur, le justificateur, le vraiment vivant. Il faut, en tout cas, que les modernes aient atteint un bien étrange état d’aveuglement pour avoir sérieusement pensé pouvoir tout jauger à leur aune et considérer leur civilisation comme une civilisation privilégiée, en fonction de laquelle était quasiment préordonnée, l’histoire du monde et en dehors de laquelle on ne pourrait trouver qu’obscurité, barbarie et superstition »[43].
Ces écrits, datant de plusieurs décennies l’émergence des smartphones et de l’ère numérique, étaient « visionnaires », et l’actualité, désormais, ne fait que les confirmer :
« Pour le 31 janvier au plus tard, les banques mais aussi les sociétés boursières et les compagnies d’assurances devront communiquer au fisc le montant des sommes d’argent qui se trouvent sur vos comptes à vue, d’épargne ou titre, expliquent la DH et La Libre. L’administration fiscale aura donc accès à vos comptes mais aussi au solde de vos assurances vie ainsi qu’à toutes les actions boursières dans lesquelles vous avez investi. Concrètement, votre banque sera tenue de communiquer un état de vos avoirs en compte en date du 30 juin et du 31 décembre. Ces données seront collectées par le point de contact central de la Banque nationale. Le fisc pourra donc voir en un coup d’œil combien une personne physique ou une entreprise possède dans cette base de données électronique. Le fisc n’aura pas toutefois pas accès à vos transactions financières. Ces informations devront donc toujours vous être personnellement demandées, ou à la banque. Ceux qui ont de grosses sommes d’argent sur leurs comptes qui ne sont pas compatibles avec leurs revenus risquent d’être ainsi repérés par le système, traduisant potentiellement des revenus en noir. L’administration fiscale espère avec cette mesure récupérer 1 milliard d’euros d’impôts non payés »[44].
Par contre les milliards d’euro détournés par les multinationales, députés, présidents, ministres, etc. aux Etats-Unis et en Europe[45], – y compris la France avec de nombreuses personnalités politiques concernées[46] – voir le scandale des Pandora Papers qui a rapidement été étouffé – ne semblent poser aucun problème pour les personnes corrompues au pouvoir, seuls les citoyens de la classe moyenne qui peinent déjà à (sur)vivre en Occident, sont menacés et ciblés, car les énormes trous dans les caisses de l’Etat (causés par la corruption politique), – et mettant en péril la cotisation et la pension des citoyens – doivent être « renfloués » par de nouvelles taxes imposées aux citoyens, ou de nouvelles mesures pour mieux s’assurer que leur argent n’échappera pas à l’avidité sans cesse croissante de l’Etat.
L’ICIJ (Consortium international des journalistes d’investigation) déclare, – par rapport au Pandora Papers- que « de nombreux acteurs puissants qui pourraient aider à mettre fin au système offshore en ont au contraire profité, en cachant des actifs dans des sociétés secrètes et des fiducies alors que leurs gouvernements ne font pas grand-chose pour ralentir un flux mondial d’argent illicite qui enrichit les criminels et appauvrit les nations »[47]. Les Pandora Papers, ce sont des milliers de milliards d’euro qui sont détournés immoralement alors que ces mêmes personnalités sont responsables de la destruction des sociétés occidentales et non-occidentales, et qui empêchent que des centaines de millions de personnes ne soient pas « sauvés » de la famine, de la malnutrition, de la sécurité, de l’accès à l’eau potable et aux premiers soins. Ce sont donc de véritables criminels, et qui inversent la réalité et les accusations, en se déchargeant totalement sur des boucs émissaires désignés dans les médias qu’ils possèdent : « La nouvelle enquête du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et ses partenaires, dont la cellule investigation de Radio France, démontre que de nombreuses personnalités fortunées échappent toujours à l’impôt en ayant recours aux paradis fiscaux. Le mot “Pandora” parle de lui-même. Si les “Panama Papers” avaient été un électrochoc, cette nouvelle enquête planétaire est une confirmation. Plus on creuse, et plus on trouve. En dépit des changements de règlementation, l’évasion fiscale semble être un puits sans fond, et un sport qui se pratique dans la plupart des pays du monde.
Les “Pandora Papers” représentent l’enquête la plus importante jamais menée par le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et ses partenaires, dont la cellule investigation de Radio France. Durant de nombreux mois, 600 journalistes de 150 médias répartis dans 117 pays ont épluché 11,9 millions de documents issus de 14 cabinets spécialisés dans la création de sociétés offshore. C’est une source d’information gigantesque. À l’époque des “Panama Papers”, seules avaient été analysées les données du cabinet Mossack Fonseca, et les conclusions de cette vaste enquête laissent sans voix. L’argent des paradis fiscaux sert toujours à acheter des jets privés, des yachts, des manoirs, des œuvres d’art de grands maîtres… Nos découvertes confirment l’étude réalisée en 2020 par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), qui évaluait à 11 300 milliards de dollars les sommes détenues dans des places offshore, ce qui permet de transférer les bénéfices des pays à forte imposition où ils sont réalisés, vers des sociétés qui n’existent que sur le papier, dans des juridictions à faible imposition »[48].
Cette affaire montre l’hypocrisie des « grands démocrates » occidentaux, qu’ils soient américains, français ou britanniques, à l’instar de Tony Blair : « Les “Pandora Papers” éclairent aussi d’une lumière crue certaines déclarations faites par d’autres hautes personnalités. En février 2021, le Tony Blair Institute for Global Change invitait les décideurs politiques à taxer de manière plus importante les terrains et les maisons. Dès 1994, alors qu’il faisait campagne pour prendre la tête du parti travailliste britannique, Tony Blair lui-même regrettait que des personnes aisées échappent à l’impôt : “Pour ceux qui peuvent employer les bons comptables, le système fiscal est un havre d’arnaques, d’avantages et de profits”, déclarait-il lors d’un discours prononcé dans les Midlands de l’Ouest, en Angleterre. “Nous ne devons pas faire de nos règles fiscales un terrain de jeu pour les abuseurs fiscaux qui ne paient rien ou presque, alors que d’autres paient plus que leur part.”
Les “Pandora Papers” révèlent cependant qu’en 2017, Tony Blair et sa femme Cherie sont devenus propriétaires à Londres d’un immeuble victorien d’une valeur de 8,8 millions de dollars, où ils ont hébergé le cabinet d’avocats de Cherie Blair. Mais pour cela, ils n’ont pas acheté le bâtiment. Ils ont racheté les parts de la société des Îles Vierges britanniques qui détenait le bien, et qui appartenait à la famille du ministre de l’Industrie, du Commerce et du Tourisme de Bahreïn, Zayed bin Rashid Al Zayani. En prenant le contrôle de cette société plutôt qu’en achetant l’immeuble lui-même, les Blair ont bénéficié d’un montage juridique qui leur a évité de devoir payer plus de 400 000 dollars de taxes foncières en Angleterre »[49]. On y trouve aussi des dictateurs bien connus, des hommes d’affaires peu scrupuleux, et ça, de presque toutes les nationalités.
Certaines personnalités, qui ne sont pas « présidents » ou « ministres » mais qui « conseillent » (en réalité qu’ils manipulent et utilisent comme des pantins, puisque dans des pays comme la France, l’Angleterre, les Etats-Unis, etc. les présidents sont les obligés et les pions des grands influenceurs détenant des multinationales ou des groupes de « réflexion » ayant une emprise sur la politique), comme Jacques Attali par exemple, sont conscients et travaillent activement dans ce sens[50], tandis que les « pions » sont utilisés (en agitant les moyens de la peur, du gain facile ou de l’ignorance) afin d’avancer cet agenda des plus sinistres. Ce que l’on constate du moins, et peu importe les raisons officielles ou sociologiques avancées, est que nous sommes confrontées à cette barbarie politique, – un système totalitaire qui n’ose pas encore dire son mot -.
L’absence de démocratie en France ou aux Etats-Unis par exemple, où quelques familles élitistes (dont certaines sont liées au sionisme) décident de tout, montrent que les français comme les américains ne sont pas les décideurs principaux de leur politique, l’imposition du système totalitaire mondiale, la diabolisation de la monogamie ou de la polygamie traditionnelles, les déviances sexuelles, le consumérisme, les valeurs traditionnelles, le transhumanisme, etc., tout cela est décidé d’abord par les hautes instances, qui ensuite, exerceront une propagande acharnée par l’Education nationale, les médias et les productions audiovisuelles (films, reportages, séries, musique, …) afin de banaliser toutes ses horreurs (comme cela a déjà été fait pour banaliser le shirk, l’égoïsme, la sorcellerie, l’adultère, la fornication, le gaspillage, l’indifférence, le massacre de « faux-ennemis », etc.). Dicter l’orientation générale d’une société par l’appel à l’ignorance et à l’avidité matérielle d’une masse « déracinée » de toute identité spirituelle et traditionnelle, ne peut que conduire à de fâcheuses conséquences, comme le notait aussi le métaphysicien et logicien Frithjof Schuon : « (…) Logiquement, la démocratie s’oppose à la tyrannie, mais en fait, elle y mène ; c’est-à-dire : comme sa réaction est sentimentale — sans quoi elle serait centripète et tendrait vers la théocratie, seule garantie d’une liberté réaliste — elle n’est qu’un extrême qui, par sa négation irréaliste de l’autorité et de la compétence, appelle fatalement un autre extrême et une nouvelle réaction autoritaire, autoritaire celle-ci et tyrannique par son principe même. L’illusion démocratique apparaît surtout dans les traits suivants : en démocratie, est vrai ce que croit la majorité ; c’est elle qui « crée » pratiquement la vérité ; la démocratie elle-même n’est vraie que dans la mesure où — et aussi longtemps que — la majorité y croit, elle porte donc en son sein les germes de son suicide. L’autorité, qu’on est bien obligé de tolérer sous peine d’anarchie, vit à la merci des électeurs, d’où l’impossibilité de gouverner réellement ; l’idéal de « liberté » fait du gouvernement un prisonnier qui doit suivre constamment les pressions des divers groupes d’intérêt ; les campagnes électorales elles-mêmes prouvent que les aspirants à l’autorité doivent duper les électeurs, et les moyens de cette duperie sont si grossiers et stupides, et constituent un tel avilissement du peuple, que cela devrait suffire pour réduire à néant le mythe de la démocratie moderne. Ce n’est pas à dire qu’aucun genre de démocratie ne soit possible : mais alors il s’agit d’abord de collectivités restreintes — nomades surtout — et ensuite d’une démocratie intérieurement aristocratique et théocratique, non d’un égalitarisme laïc imposé à de grands peuples sédentaires (…) »[51].
De nombreux pays qui étaient des pseudo-démocraties avant le Covid-19 sont devenus des dictatures assumées (malgré des discours contradictoires) comme la France, les Etats-Unis, la Belgique, l’Allemagne ou l’Australie pour ne citer que ces pays-là, où malgré de légers progrès sur certaines questions, les restrictions et les mesures liberticides l’emportent sur les mesures politiques positives, mettant ainsi en péril de nombreux secteurs de la société comme la santé, l’économie, la morale et l’éthique, l’indépendance et la rigueur journalistique de la presse (qui verse essentiellement dans la propagande), l’éducation, la tolérance sociale, la liberté religieuse et de conscience, la liberté d’expression et de manifestation pour des enjeux importants … Ces pays sont devenus aussi les premiers opposants à la liberté d’expression et les censeurs les plus actifs, supprimant et censurant des millions de publications diverses (politiques, sociales, scientifiques, médicales, etc.) dans les médias, sur Facebook, Twitter, YouTube, etc., tout en licenciant des centaines de milliers de médecins, d’infirmiers et d’employés sous de faux-prétextes sanitaires qu’il faut absolument condamner. De même, criminaliser des millions de citoyens qui veulent protéger leur santé et celle de leurs proches, leur liberté, leur dignité et leur conscience, face à un produit expérimental dont les échecs successifs et les dangers réels sont désormais bien attestés, est un crime contre l’Humanité qu’ils s’évertuent à justifier notamment en inondant dans la presse mainstream, les discours les plus nauséabonds qui soient (chantages, pressions, injures, stigmatisations, menaces d’emprisonnement ou de sanctions économiques, etc.). Voir nos différentes interventions et publications au sujet du Covid-19, en citant les propos des députés, « experts » soumis à Big Pharma et ministres, qui étaient relayés par la presse mainstream (Le Soir, La Libre, Le Figaro, Cnews, etc.). De nombreuses manifestations, réunissant de nombreuses tendances différentes, ont ainsi eu lieu à maintes reprises, dans des pays comme la France, les Etats-Unis, l’Australie, le Royaume-Uni, la Belgique, l’Allemagne, les Pays-Bas et le Canada notamment, et de nombreux militants des droits humains, des intellectuels, scientifiques et avocats s’inquiètent du climat totalitaire qui s’installe en Occident, des dérives autoritaires et des mesures imposées alors qu’elles contredisent de nombreuses données scientifiques et médicales.
Paul Bouchet (président de la Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme), disait dans une interview le 23 janvier 1996, dans le Journal de 20 heures sur TF1 (chaîne française) que la liberté ne devait pas être confondue avec l’irresponsabilité, car la liberté exige justement la responsabilité, et doit s’opposer aux abus que les gens en font, convergeant ainsi avec le discours qurânique. Mais toute la difficulté de la problématique réside dans la définition de la responsabilité, l’identification des abus, puis l’articulation de la morale et des concepts juridiques dans les structures juridiques puis leur application (globalement neutre ou idéologiquement orientée) par les autorités compétentes dans chaque pays.
Jean-Claude Bourret, journaliste et ancien présentateur de TFI (viré pour avoir dénoncé certaines fakes news gouvernementales) disait déjà, dans une émission de Ruquier en juin 1994 : « Nous sommes très certainement dans une fausse démocratie, et que ce sont les grands groupes financiers internationaux qui nous manipulent et que ” Rien à cirer ” fait partie de cette manipulation en nous faisant rire alors qu’il devrait au contraire dénoncer les scandales ». Jean-Claude Bourret est une figure du paysage audiovisuel, incontestablement l’un des journalistes les plus célèbres de France. Journaliste à France Inter, rédacteur en chef et présentateur des journaux de TF1, puis de La 5, rédacteur en chef enfin à RMC, Jean-Claude Bourret a rapidement découvert, nous a-t-il dit, l’interpénétration entre le pouvoir politique et le pouvoir médiatique ».
« Je l’ai toujours dénoncée »
Jean-Claude Bourret: « Alors je l’ai toujours dénoncée, mais de façon mesurée, parce que vous ne pouvez pas attaquer de front ceux qui sont beaucoup plus puissants que vous. Sinon, ils vous écrasent et ce sont nos patrons. Mais je l’ai toujours, pour ceux qui savent décoder un peu la façon de s’exprimer, je l’ai toujours dénoncée. Et je ne l’ai pas dénoncée dans des journaux politiques, justement pour qu’on ne me dise pas, ah Bourret, c’est un type de gauche ou un type de droite. Il a parlé dans l’humanité donc c’est un type de gauche. Il a parlé dans Le Figaro donc c’est un type de droite. Je l’ai dénoncée dans des journaux comme Téléstar, Télé 7 jours, ça m’a valu d’ailleurs de perdre le journal de 20 heures sur TF1 au moment où il y a eu la grande manifestation en faveur de l’école libre parce que j’avais fait mon métier de journaliste et malgré tout le système qui avait été mis en place par la gauche à l’époque, c’est-à-dire qu’ils tenaient l’Agence France-Presse, ils avaient nommé les directeurs de l’information de toutes les grandes chaînes de télévision. Mais moi, je suis passé par-dessus eux.
« Voilà comment se fait la démocratie et l’objectivité de la télévision en France ».
Jean-Claude Bourret : « J’ai demandé directement au ministère de l’Intérieur et au service de presse combien il y avait de manifestants et ce n’était pas dans les dépêches de l’AFP qui censurait tout cela. Et donc, quand l’attaché de presse de M. Defert, qui était ministre de l’Intérieur socialiste, m’a dit il y a au moins 800 000 manifestants et que je lui ai demandé mais depuis combien de temps, il n’y a eu 800.000 manifestants à Paris, selon la préfecture de police, puisque c’était un nombre officiel ? Elle m’a dit un quart d’heure après, depuis la Libération. Et j’ai commencé le journal de 20 heures un dimanche soir, en disant : “Paris a vécu aujourd’hui sa plus grande manifestation depuis la Libération”. Il y avait comme directeur de l’information le fils d’un député socialiste qui était passé du grade de petit reporter au grade de directeur de l’information parce que c’était la gauche qui revenait au pouvoir, qu’elle avait une revanche à prendre et qu’il fallait mettre des gens “à nous”, comme disaient les socialistes, pour tenir l’information, il a failli avaler sa cravate, l’Elysée, on me l’a raconté après, l’Elysée, lui a téléphoné, fou de rage, mais qu’est-ce qu’il raconte Bourret ? Et on m’a viré du journal de 20 heures et on m’a mis à la création de la télévision du matin sur TF1. Bonjour la France, bonjour l’Europe. Voilà comment se fait la démocratie et l’objectivité de la télévision en France » »[52].
Les pseudo-journalistes sont ainsi minutieusement choisis par les autorités leurs de leurs interviews officiels, afin d’éviter les débats trop critiques et sérieux, car les autorités politiques n’assument pas leurs scandales, magouilles et dérives, et même la justice est très clémente et peu regardante envers les présidents, ministres et autres « élus » ayant commis ou ordonné des assassinats ciblés, des crimes de guerre ou d’énormes fraudes.
De nombreux cas de censures ou de scandales existent en France. Par exemple celui-ci : « Au départ, on voulait vous proposer un débrief, avec Marion Beauvalet, de l’émission d’Emmanuel Macron, reçu sur TF1 hier soir. Décryptage qu’on a diffusé normalement dans la Contre-Matinale mais, surprise, cette dernière a été bloquée dès la fin de la diffusion en direct. Bloquée sur Youtube par TF1 pour une raison proprement scandaleuse. Nous avons eu l’outrecuidance de diffuser des extraits de l’interview accordée par Emmanuel Macron à TF1 et à sa filiale LCI, toutes deux propriétés de la puissante famille Bouygues. Et pourtant : dans ce pays, la loi est claire. Les discours du président de la République relèvent de l’exception au droit d’auteur. Ils ne peuvent pas être privatisés. Personne ne peut se les approprier. Et on comprend pourquoi le législateur a voulu qu’il en soit ainsi. Dans le cas d’espèce, c’est le débat politique, la parole critique et citoyenne sur une intervention officielle du chef de l’Etat qui est censurée. C’est inacceptable »[53].
En menant ses enquêtes, le journaliste Vincent Jauvert, pour parler du système politique français (car même si les présidents et les « élus » changent, le système reste le même, c’est-à-dire corrompu dans son fonctionnement et son idéologie), le qualifiait de « Mafia d’État », notamment dans son ouvrage La Mafia d’état (éd. Le Seuil, 2021) : « En France, un petit groupe de hauts fonctionnaires truste la plupart des postes clés et lucratifs – dans les grandes entreprises privées comme au cœur de l’État. Depuis l’élection d’Emmanuel Macron, jamais cette caste n’a été aussi puissante et aussi riche. Comment cette caste, unique dans le monde occidental, s’est-elle constituée sous le gaullisme, a prospéré sous Mitterrand, pour atteindre son apogée aujourd’hui ? Comment a-t-elle réussi à contrer toutes les tentatives pour réduire son pouvoir ? Pourquoi des proches d’Édouard Philippe sont-ils des archétypes de cet entre-soi ? Grâce à une quarantaine de témoignages inédits, La Mafia d’État révèle les secrets de cette tribu de grands commis souvent plus préoccupés par l’argent et le pouvoir que par l’intérêt général. On y apprend comment ils se cooptent dans les conseils d’administration de groupes privés, parfois aux limites de la loi ; comment ils font fortune grâce au démantèlement de l’État qu’ils ont eux-mêmes orchestré ; comment certains ont continué à manœuvrer habilement et à prospérer pendant la crise sanitaire ».
Comme le disait le Dr. Ian Dallas (Shaykh Abdalqadir as-Sufi ; m. le 1 août 2021), – un intellectuel écossais devenu musulman – dans son ouvrage The Interim is Mine (éd. Dallas House (Pty) Ltd; Global edition, 2013, p. 146) : « La classe politique est uniquement le serviteur d’une oligarchie financière. Leur tâche consiste à enfermer la tyrannie oligarchique dans l’illusion d’un choix qui autorise la domination continue du grand capital ».
En 1548 déjà, Étienne de La Boétie écrivait dans le Discours de la servitude volontaire : « Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu’il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu’il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu’on dirait à le voir qu’il n’a pas seulement perdu sa liberté mais gagné sa servitude ».
Et cela est d’autant plus vrai de nos jours, où les autorités corrompues et criminelles dupent encore une grande partie de la foule, qui craint en même temps qu’elle chérit et entretient le pouvoir inique des injustes, et déploie de nombreux efforts pour se complaire dans les vices et les fléaux modernes.
Les présidents français Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron ont non seulement répandu de nombreuses fakes news, mais ont aussi achevé le processus de « totalitarisme » de la France, en plus d’avoir énormément de sang sur les mains, et d’avoir été complices des réseaux pédocriminels qui sévissent en France…
La perversion de ce système global ne fait plus l’ombre d’un doute, mais ces scandales atroces et perfides, sont constamment noyés dans l’abrutissement de masse alimenté par le « divertissement » (ce que certains appellent la « société du spectacle »), où les jeunes et les adultes sont lobotomisés par des séries et des émissions aussi décadentes qu’abrutissantes, et épuisés par la « lutte des classes », la « lutte des sexes » et la « lutte des identités diverses » qu’on leur agite pour mieux les neutraliser mutuellement et mieux les diviser.
On comprend aussi la nature de cette société hypnotique quand des proches sentent bien qu’il y a de la corruption et des contradictions dans l’air, – notamment dans les discours médiatiques et politiques – mais qu’ils ont renoncé à réfléchir, à pousser leurs recherches plus loin, pour finalement ne faire que ce qu’ils disent à la télévision, peu importe l’avis et l’expérience des spécialistes intègres qu’ils peuvent connaitre dans leur entourage. La foule est sous hypnose et renonce à toute démarche rationnelle et intellectuelle, dans ce qui concerne pourtant l’essentiel de leur vie, à savoir leur santé, leurs convictions ou leur liberté. Le Jour des comptes sera terrible pour les criminels et les manipulateurs de toutes sortes.
« Mais celui qui recevra son livre derrière le dos invoquera la destruction et tombera dans le brasier. Il se réjouissait sur la terre avec ses pareils, il pensait qu’il ne reviendrait pas. Mais si ! Son Seigneur n’était pas sans le voir » (Qur’ân 84, 15).
« Le jour où leurs langues, leurs mains et leurs pieds témoignent contre eux de ce qu’ils faisaient » (Qur’ân 24, 24).
« Jusqu’à ce qu’ils y arrivent et c’est alors que leur ouïe, leurs yeux et leurs peaux témoignent contre eux de leurs actions passées » (Qur’ân 41, 20).
En temps de crise profonde, les masques et les idoles s’écroulent et laissent place au Réel qui demeure et qui dissipe les illusions qui embrouillaient et égaraient une partie de l’Humanité. Confrontés aux situations difficiles, les individus montrent leur vrai visage, – ou du moins leur véritable force de caractère -, et les institutions se révèlent telles qu’elles sont réellement (corrompues, aux illusions trompeuses bien souvent), et paradoxalement, dans les temps troublés, les personnes intègres et justes brillent considérablement dans cette obscurité généralisée, dévoilant de magnifiques surprises qui bousculent les préjugés tenaces des uns et des autres, nous apprenant encore une fois qu’il est nécessaire de ne pas se fier qu’aux étiquettes ou aux apparences extérieures, ainsi qu’aux slogans artificieux.
« La Vérité est venue et le Faux (l’erreur, l’illusion) a disparu. Car l’Erreur est destinée à disparaître » (Qur’ân 17, 81).
Notes :
[1] https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/transhumanisme/188207
[2] “Metaverse: le monde ne sera plus jamais le même”, 7 Jours sur terre, 26 novembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=7IRVMY7nXq0
[3] “The red pill movie (vost-fr) full movie”, publiée aussi par Le Charbonneur, 4 décembre 2020 : https://www.youtube.com/watch?v=3KwNSTGCZYU
[4] Voir les œuvres de René Guénon, Martin Lings, Titus Burckhardt, Seyyed Hossein Nasr, Frithjof Schuon, Sofiane Meziani, Tayeb Chouiref, etc. sur le sujet.
[5] “Les ravages du féminisme sur les hommes | documentaire”, Virginie Vota, 4 septembre 2018 : https://www.youtube.com/watch?v=yfT73AHr_J4
[6] “Comment Netflix lobotomise le cerveau de nos enfants ?”; Virginie Vota, 13 avril 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=F4JFai3TbAM
[7] https://twitter.com/jk_rowling/status/1462759297465692162. Voir aussi “J.K. ROWLING, L’AUTEURE D’HARRY POTTER, DE NOUVEAU ACCUSÉE DE TRANSPHOBIE”, Cnews, 14 décembre 2021 : https://www.cnews.fr/monde/2021-12-14/jk-rowling-lauteure-dharry-potter-de-nouveau-accusee-de-transphobie-1160516
[8] “Un carnet de vaccination invisible sous la peau?”, RTL, 18 décembre 2019 : https://www.rtl.be/info/monde/international/un-carnet-de-vaccination-invisible-sous-la-peau–1182416.aspx.
[9] “La puce électronique sous la peau fait son chemin”, Euronews, 14 février 2017 : https://www.youtube.com/watch?v=O5nhM-5-xdM.
[10] “Suède implantation d’une puce sous la peau pour le passeport vaccinal covid”, IA Transhumanisme, 2 décembre 2021 : https://iatranshumanisme.com/2021/12/02/suede-implantation-puce-sous-la-peau-pour-le-passeport-vaccinal-covid/
[11] “YouTube a doublé la suppression de vidéos durant la pandémie”, Le Monde, 26 août 2020 : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/08/26/youtube-a-double-la-suppression-de-videos-durant-la-pandemie_6049981_4408996.html
[12] “Facebook supprime 18 millions de publications avec des fausses informations sur le Covid-19”, France Inter, 23 août 2021 : https://www.franceinter.fr/societe/facebook-supprime-18-millions-de-publications-avec-des-fausses-informations-sur-le-covid-19
[13] “Bilan concernant le Covid-19 et la vaccination”, paru le 27 octobre 2021 et mis à jour au début de 2022. https://editions-hanif.com/bilan-concernant-le-covid-19-et-la-vaccination/
[14] A titre d’exemple : « Le département d’Etat américain a commencé un nouveau programme de 400 millions de dollars destiné au PKK/YPG. Selon le programme qui a commencé le mois dernier et qui va durer jusqu’au nouvel an, des équipements de localisation de bombes, appareils de poursuite d’empruntes et équipements de police sont livrés aux membres de l’organisation. Excepté les équipements de sécurité dont elle a besoin dans les zones qu’elle occupe, l’organisation terroriste a aussi commencé à recevoir des tests de dépistage de Covid-19 dans le cadre du même programme. Le secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo avait annoncé le 28 septembre que son pays fournirait une aide supplémentaire de 720 millions de dollars à la Syrie. Dans le cadre des programmes de formation, les Etats-Unis avaient assuré plusieurs formations militaires et fourni de nombreux équipements et armes au groupe terroriste ». “Les Etats-Unis poursuivent leur soutien au groupe terroriste YPG/PKK en Syrie”, TRT, 3 octobre 2020 : https://www.trt.net.tr/francais/ameriques/2020/10/03/les-etats-unis-poursuivent-leur-soutien-au-groupe-terroriste-ypg-pkk-en-syrie-1502176
[15] “Le FBI aurait incité des Américains musulmans à réaliser des attentats”, Nouvel Obs, 21 juillet 2014 : https://www.nouvelobs.com/monde/20140721.OBS4325/le-fbi-aurait-incite-des-americains-musulmans-a-realiser-des-attentats.html
[16] Notamment en propageant soit une vision sécularisée et matérialiste de l’Islam, soit un faux soufisme qui n’a aucun rapport avec le véritable tasawwuf, enraciné dans l’orthodoxie islamique et une éducation spirituelle et éthique incompatibles avec la monstruosité capitaliste et consumériste.
[17] « Dans une interview au Washington Post, le prince héritier Mohamed ben Salmane a déclaré que l’Arabie saoudite avait commencé à propager l’idéologie wahhabite à la demande de ses alliés occidentaux, pendant la guerre froide, pour contrer l’URSS ». “Le prince Salman: l’Occident coupable de wahhabisme”, Monde Afrique, 9 avril 2018 : https://mondafrique.com/prince-salman-loccident-coupable-de-wahhabisme/ :
[18] “Écoutes, cyberattaques : les démocraties peuvent-elles se protéger ?”, 28 Minutes – Arte, 21 juillet 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=9A1GYY62aRI
[19] Voir par exemple le documentaire Citizenfour sorti en 2014 et qui dit long sur la corruption des services de renseignement. C’est « un film documentaire réalisé par Laura Poitras, sorti en 2014. Il traite des révélations d’Edward Snowden sur le scandale d’espionnage mondial de la NSA. Il s’agit du troisième volet de la trilogie sur l’Amérique post- 11 septembre réalisée par Laura Poitras ».
[20] La plupart des personnes incarcérées en Turquie dont parlent les médias occidentaux ont étrangement un lien établi avec des mouvances terroristes ou des activités criminelles et immorales, – ce que les médias occidentaux ne communiquent pas ou rarement – comme Selahattin Demirtaş (coprésident du HDP, ayant des liens avec le PKK qui mène des attentats contre des civils turcs, kurdes et touristes, qui procèdent à des enlèvements d’enfants et à du trafic de drogue à grande échelle) et Osman Kavala (proche de George Soros) pour soutien et financement au PKK ainsi que son implication dans des troubles à l’ordre public et peut-être, selon certaines accusations, dans la tentative du coup d’Etat en Turquie de juillet 2016, ayant fait plusieurs centaines de morts et plusieurs milliers de blessés parmi les civils.
[21] De nombreux articles en parlent, dont “INTERVIEW. Le confinement est sans effet ? Le chercheur John Ioannidis défend son étude polémique”, Sciences et Avenir, 6 décembre 2021 : https://www.sciencesetavenir.fr/sante/interview-le-chercheur-john-ioannidis-defend-son-etude-sur-le-confinement_151510
[22] Plusieurs vidéos et émissions ont été supprimées par YouTube notamment celles du média belge indépendant Kairos, mais il y a encore quelques vidéos disponibles comme “BAM! Interview : Dr Martin Zizi Le point sur la vaccination”, BAM! Belgian Alternative Media, 4 août 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=0eZGbpr5mEs et “Le variant Delta tue les vaccinés plus que les non-vaccinés, en Angleterre” Martin Zizi”, France Soir, 6 août 2021 : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/martin-zizi-2
[23] “«Restez à votre place de journaliste» Jérôme Béglé se fait remonter les bretelles par une psychologue”, L’actu citoyenne, 16 décembre 2021 : https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/sante/restez-a-votre-place-de-journaliste-jerome-begle-se-fait-remonter-les-bretelles-par-une-psychologue ; voir aussi ses interventions sur Sud Radio et Cnews tout au long de l’année 2021.
[24] “Talk Show Saison 2 Episode 4”, BAM, 16 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=pASwu2X_zxg
[25] “La vaccination va-t-elle nous sauver”, BAM, 23 juin 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=wUT6jzaRqXU
[26] René Guénon, Le Règne de la Quantité et Les Signes des Temps, Chap. 2 : « Materia signata quantitate », 1945.
[27] René Guénon, Correspondance avec Julius Evola, Décembre 1947.
[28] René Guénon, La Grande Triade, Chap. 4 : « Yin » et « Yang », 1946, en note de bas de page.
[29] René Guénon, Correspondance avec Julius Evola, Décembre 1948.
[30] René Guénon, Correspondance avec Patrice Genty, Juillet 1948.
[31] René Guénon, Correspondance avec Louis Cattiaux, Avril 1949.
[32] René Guénon, Correspondance avec Louis Cattiaux, Juin 1949.
[33] René Guénon, Correspondance avec Louis Cattiaux, Octobre 1949.
[34] René Guénon, Correspondance avec Louis Cattiaux, novembre 1949.
[35] Julius Evola, Les Hommes au milieu des ruines, éd. Pardès, 1996.
[36] Ibid.
[37] Ibid.
[38] Nous préciserons ici : dans la société consumériste et numérique.
[39] Philippe Baillet, dans la préface du livre Chevaucher le tigre de Julius Evola, éd. Guy Trédaniel, 1982.
[40] Julius Evola, Interview à Gianfranco de Turris, « Il Conciliatore », 15 janvier 1970.
[41] Julius Evola, Impérialisme païen, éd. Pardès, 2004.
[42] Julius Evola, Révolte contre le monde moderne, éd. Les éditions de l’Homme, 1972.
[43] Julius Evola, Révolte contre le monde moderne, éd. Les éditions de l’Homme, 1972.
[44] “Le fisc va pouvoir avoir accès à vos comptes bancaires”, 13 décembre 2021 : https://www.lesoir.be/412177/article/2021-12-13/le-fisc-va-pouvoir-avoir-acces-vos-comptes-bancaires
[45] Voir les scandales autour du Big Pharma et des milliards de $ – payés par le contribuable – sont versés pour les campagnes et manipulations de Big Pharma, ainsi que les scandales financiers (Affaire Bygmalion, Panama Papers, Pandora Papers, etc.).
[46] Rien que pour le scandale des Panama Papers : « En France, l’ancien ministre délégué au Budget accusé de fraude fiscale, Jérôme Cahuzac, est cité ainsi que le maire de Levallois-Perret, Patrick Balkany, Arnaud Claude, l’associé de Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, associé du fond luxembourgeois LSK, l’homme d’affaires franco-israélien Patrick Drahi, patron d’Altice et propriétaire de SFR, de Libération et de L’Express, Jean Marie Le Pen et plusieurs proches de Marine Le Pen, l’éditeur Jacques Glénat, patron des éditions Glénat. Deux banques francophones font partie des entreprises nommées, la Société générale et la banque Edmond de Rothschild. Selon le journal belge Le Soir, Waldemar Kita, le président du FC Nantes est lui aussi concerné. Sont aussi cités Jean-Noël Guérini, ancien président de la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône, sénateur des Bouches-du-Rhône et Cécilia Attias, ex-épouse de l’ancien président Nicolas Sarkozy ».
[47] “About the Pandora Papers”, ICIJ, 3 octobre 2021 : https://www.icij.org/investigations/pandora-papers/about-pandora-papers-investigation/
[48] “”Pandora Papers” : des milliers de milliards de dollars toujours à l’abri dans des paradis fiscaux”, France Info, 3 octobre 2021 : https://www.francetvinfo.fr/economie/impots/paradis-fiscaux/pandora-papers-des-milliers-de-milliards-de-dollars-toujours-a-labri-dans-des-paradis-fiscaux_4793443.html
[49] Ibid.
[50] Voir par exemple ”’Jacques Attali ”’ Documentaire complet par ”Faits & Documents”, Xavier Poussard, postée le 22 septembre 2021 : https://odysee.com/@PhilippeLeBel:4/Doc-Attali-1:3
[51] Frithjof Schuon, La Transfiguration de l’homme, Chap. Réflexions sur le sentimentalisme idéologique éd. L’Age d’Homme, 1995.
[52] Voir “Quand Jean-Claude Bourret balance: «Les grands groupes financiers qui nous manipulent»”, L’actu citoyenne, 28 février 2021 : https://www.lactucitoyenne.fr/actualites/social/quand-jean-claude-bourret-balance-les-grands-groupes-financiers-qui-nous-manipulent et “Ancien Présentateur de TF1 : Nous sommes certainement dans une fausse démocratie”, republiée le 16 janvier 2019 par La Tribune des Pirates : https://www.youtube.com/watch?v=I_9BQATMKU4
[53] “(Direct Censure par TF1) Interview de Macron : Un monarque en pré-campagne”, Le Média, 16 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=HJbFLTXj82c