La guerre des chiffres, l’illusion des statistiques et le cas du Covid

Depuis l’avènement du monde moderne, la quantification (au détriment de la qualité) exerce sa domination dans tous les domaines, de la santé en passant par les « indices de développement » et du « bonheur », comme si tout n’était en fin de compte, qu’une question de quantité. Or, il y a des « choses » comme la conscience, le bonheur, l’amour, les sentiments, le bien-être, etc. qui ne sont pas quantifiables, et beaucoup se laissent donc duper par les « chiffres avancés », qui du reste, ne sont pas toujours exacts ou représentatifs, notamment quand on avance des « sondages » pour prendre la « température » de l’opinion publique.

Prenons quelques exemples.

Le premier à propos du bonheur. Selon plusieurs sondages impliquant des milliers de personnes, les résultats varient considérablement, où des pays comme l’Arabie Saoudite se classe en très bonne position, devant la plupart des pays occidentaux. En effet, un récent sondage Ipsos place ce pays à la 3ème place du classement des pays dont la population est la plus heureuse, devant la France, les Etats-Unis, ou le Canada : « (…) Ce n’est pourtant pas ce que révèle cette étude Ipsos réalisée auprès de 1000 citoyens de chacun des 27 pays participants. Il en ressort au contraire que, si l’on retrouve bien nos voisins bataves dans le trio de tête, ils y sont accompagnés par la Chine et… l’Arabie saoudite. Dans le royaume saoudien, 80 % des répondants se sont déclarés “plutôt heureux”, ou “très heureux”. C’est d’ailleurs le pays qui compte la plus forte proportion d’adultes qui se considèrent « très heureux », avec 30 %, suivi de l’Inde avec 22 % et des Pays-Bas avec 20 %. La Chine caracole en tête avec 93 % des votants se déclarant du même état d’esprit (…) Les pays dont le niveau de bonheur est le plus faible dans l’indice sont l’Espagne, le Chili et le Pérou. L’enquête, pourtant réalisée cet été au cœur de la pandémie de covid-19, a généré des résultats relativement similaires à l’année précédente, peu chamboulés par le virus » (1).

Interrogeons maintenant les « résultats du sondage », où l’échantillonnage n’est pas très élevé, puisque 1000 citoyens dans chaque pays (comportant pour certains des centaines de millions d’habitants) ne représentent même pas 1% de l’ensemble de la population totale du pays en question, peuvent mentir (notamment car étant des « agents » du gouvernement), peuvent se tromper ou mal comprendre les questions, ne parler que sous l’effet de la bonne humeur à un instant T ou car ils font partie d’une classe privilégiée dans ces pays. Pour des sondages plus larges, quand il est dit que selon tel sondage « 40% des citoyens se disent favorable à », il faut voir combien de personnes ont voté, car là aussi, beaucoup de citoyens ne votent pas sur internet ou n’étaient même pas au courant dudit sondage, les mensonges et biais idéologiques et méthodologiques sont aussi nombreux. De plus, tout le monde n’a pas la même définition du « bonheur », puisque pour certains, avoir la foi (en Dieu), une famille, un logement décent et de quoi manger sont déjà le « bonheur en soi », tandis que pour d’autres, – les matérialistes notamment -, même la possession de plusieurs voitures et villas luxueuses ne les rendent pas « heureux ». Une enquête rigoureuse de terrain permet de vite se rendre compte de la complexité des choses, que ce soit en Arabie Saoudite, en France ou au Sénégal, dont les niveaux et conditions de vie sont très différents. On trouvera donc chaque pays des pauvres se disant très heureux, et des riches se disant malheureux (pressions ou difficultés sociales, idéologiques, politiques ou familiales selon leur « rang » dans la société), et a contrario, des pauvres se disant malheureux et des personnes riches s’estimant satisfaits et heureux. Dans les pays occidentaux, de nombreux témoignages montrent que l’accès à l’éducation, l’abondance des ressources vitales comme l’eau potable, avoir un emploi, connaitre la croissance économique, être capable d’acheter les derniers gadgets technologiques et être dans un pays qui n’est pas en guerre, ne suffisent pourtant pas pour les rendre heureux, – les Français par exemple, sont souvent déprimés ou même dépressifs -.

De même, quand on parle d’emploi ou d’éducation, sans aborder les questions du « contenu » ou de la « qualité », cela fausse aussi notre perception des choses. Beaucoup en France se plaignent par exemple de l’Education nationale, – biaisée, très idéologique et même profondément révisionniste sur les bords (notamment par rapport à la Révolution française qui a été sanglante et barbare, le poids idéologique du « laïcisme », la question de la colonisation ou l’omission des atrocités françaises commises dans certains « génocides » au Maghreb et dans certains pays africains) -, et n’offrant aucune perspective spirituelle, et étant « philosophiquement » peu satisfaisant. D’ailleurs, là où la France pouvait compter sur son softpower (renforcé par une propagande permanente) pour attirer l’intérêt du monde entier, elle a perdu énormément de crédibilité et de prestige à l’étranger (aussi bien aux Etats-Unis, en Chine, qu’en Afrique ou dans le monde arabe) il y a encore 20 ans, connait désormais une forte chute, son image publique, à l’intérieur du pays (qui connait beaucoup de crises et un fort mécontentement populaire depuis l’ère Sarkozy et qui s’est accentué avec l’ère Macron) qu’à l’extérieur, où elle subit de nombreuses critiques, – la plupart étant pertinentes et fondées – de la part d’ONG et d’instances internationales (violations des droits de l’Homme) et des nations comme la Turquie, les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, le Pakistan, la Russie, le Sénégal, etc. Son échec au Liban, au Mali, au Sénégal et ailleurs, annonce la perte de l’influence française dans de nombreux pays du monde. La gastronomie française, a, elle aussi, été fortement surestimée en raison du « prestige » entretenu par le softpower (marketing, pots de vin, séries télévisées, etc.). La politique extérieure de la France est décriée un peu partout, la crise économique qui secoue le pays depuis des années, la forte corruption politique, les multiples dérives autoritaires du gouvernement, les scandales et pressions politiques sur les journalistes, députés « indépendants », musulmans et les non-musulmans conservateurs ou lanceurs d’alertes, l’hypocrisie et l’intolérance affichées par une grande partie de la classe politique et la prolifération de la haine (financée et encouragée par la politique et les médias conventionnels), les atteintes à la liberté de culte et d’expression, et la propension à la débauche, manifestent ainsi tous les signes de la décadence française, qui continue à taper sur le même bouc émissaire (les musulmans) pour cacher leur incompétence et détourner l’opinion publique des enjeux et sérieux problèmes qui secouent la France. Depuis environ une décennie, il y a aussi des dizaines de milliers de français(e)s diplômé(e)s qui fuient la France et qui migrent vers la Turquie, le Royaume-Uni, le Qatar, les émirats arabes unis, la Malaisie et d’autres pays, pour vivre de façon plus libre, moins stressante et pour travailler dans de meilleures entreprises, ce qui s’apparente en quelque sorte à une « fuite des cerveaux ».

Le cas du Covid-19 est aussi très parlant concernant la manipulation et l’illusion des statistiques, puisque les fakes news et les manipulations ont proliféré un peu partout, – et pas seulement dans certains milieux « anti-vax » mais aussi et surtout, par les autorités politiques elles-mêmes ! -.

Alors que de nombreux ministres et porte-paroles gouvernementaux, et les médias qui sont partiellement ou globalement sous leur autorité, relaient des faux chiffres ou des fakes news, se contredisant constamment et sortant des chiffres qu’il est difficile de vérifier et qui ne correspondent pas aux réalités observables autour de nous ni dans les hôpitaux, beaucoup de questions se posent et demeurent en suspens. On ne parle pas seulement ici de l’instrumentalisation politique évidente liée au Covid et aux mesures liberticides qui ne règlent en aucun cas les problèmes sanitaires, mais qui servent à instaurer clairement un système totalitaire, – chaque pays occidental à sa manière et à son rythme – exigeant la docilité, l’aveuglément ou le consentement manipulé (à travers de faux-prétextes et des fakes news, l’appel à la peur et à la terreur ou aux émotions) des citoyens.

Ici, nous n’utiliserons que les données officielles – sauf indication contraire -, en gardant cependant à l’esprit qu’elles ne sont pas « fiables » parce que :

  • Le taux de contaminés est faussé (tests peu fiables, – indiquant un résultat positif ou négatif alors que la réalité est l’exact opposé, gens vaccinés ou non-vaccinés qui ne sont pas testés, la même personne testée plusieurs fois mais compter comme si c’était plusieurs personnes, faux tests, …).
  • Les « morts Covid » qui ne sont pas morts du Covid (il y en a eu beaucoup mais il est difficile de le quantifier, car il faut additionner tous les cas individuels et aucun organisme ne l’a fait).
  • Les « hospitalisés Covid » qui n’étaient pas hospitalisés pour cause de Covid mais pour cause de cancer, de fracture, de grippe ordinaire, etc.
  • Les « hospitalisés Covid vaccinés ou non-vaccinés » qui ont été hospitalisés pour principalement autre chose que le Covid mais comptabilisés quand même comme « hospitalisés vaccinés ou non-vaccinés Covid » et ceux qui ont été hospitalisés graves ou qui sont décédés à cause de facteurs graves (obésité, diabète, …) et n’étant pas pris en charge convenablement et à temps.
  • De nombreux chiffres et rapports qui ne sont pas approuvés et enregistrés pour des raisons et pressions économiques ou politiques, – et non pas pour des raisons médicales -. Les nombreuses clauses de confidentialité empêchent aussi les chercheurs, les médecins et secrétaires médicaux de rendre public certaines données, pourtant importantes, comme les effets secondaires des vaccins ou les vaccinés qui développent tout de même des symptômes causés par le Covid.
  • Des gens faussement vaccinés (injection d’eau saline, ou falsification de données ; en Allemagne, une infirmière, à elle seule, avait injectéde l’eau saline au lieu du vaccin à plus de 9000 personnes ; d’autres sont enregistrés comme « vaccinés Covid » mais ont falsifié les dossiers ou ont demandé de leur injecter autre chose).
  • Les vaccins dont les substances diffèrent d’un lot à l’autre alors qu’ils sont produits par la même marque (Pfizer ou Moderna), au Japon par exemple cela concerne plus de 3 millions de doses. Là encore, la quantification est difficile car tous les lots n’ont pas été analysés par les experts.

Au-delà des études et chiffres, il faut regarder dans la réalité, et ce que l’on constate est que le vaccin comporte des risques potentiels et un faible taux d’efficacité, la preuve ? Si l’absence de vaccination était potentiellement dangereuse et fragilisant pour les individus, il y aurait au moins 100 ou 1000 fois plus de personnes non-vaccinées hospitalisées ou décédées du Covid (selon les « études » pro-vax), d’autant plus que beaucoup sont contaminés selon les données officielles…en effet, l’immense majorité des non-vaccinés (des milliards dans le monde), soient ne sont pas symptomatiques soit ne sont pas hospitalisés ou décédés du Covid malgré leur contamination (dans le cas où ils sont contaminés), et les symptomatiques parmi eux se rétablissent très vite sans devoir être hospitalisés pour la grande majorité. Une autre omission des « pro-vax » alors qu’ils culpabilisent tous les « non-vaccinés » qui « rempliraient » les lits d’hôpitaux (alors qu’ils ne culpabilisent pas les nombreux alcooliques, fumeurs, drogués, etc. qui remplissent les hôpitaux et alourdissent le bilan des décès et des blessés graves avec des causes évitables !) alors même que des vaccinés sont hospitalisés à cause du Covid, est aussi que de nombreux médecins, patients et infirmières témoignent du fait qu’ils reçoivent beaucoup de gens vaccinés dans les soins intensifs ou en tant que « hospitalisés » à cause des effets secondaires du vaccin (AVC, paralysie, problèmes cardiaques, coma, …) ! Plusieurs personnes que nous connaissons personnellement et qui fréquentent (ou fréquentaient) les hôpitaux, en Belgique comme en France, nous informaient que les médecins et infirmiers leur déconseillait le vaccin parce qu’ils n’arrêtaient pas de recevoir aux urgences des vaccinés souffrants d’effets secondaires sévères …

L’OMS elle-même, bien que dénonçant parfois l’avidité des lobbies pharmaceutiques comme Pfizer (2) et sa volonté de vendre (encore plus cher) des vaccins et une 3ème ou 4ème doses dont les effets bénéfiques n’ont pas été démontrés, est elle-même impliquée dans la propagation de fakes news et n’a pas hésité à se contredire tout au long de la pandémie. Ainsi, l’hypothèse d’une manipulation humaine (volontaire ou accidentelle) dans un laboratoire à Wuhan avait été écartée d’un revers de la main, – la classant parmi les théories complotistes -, avant d’être réhabilitée environ 1 an plus tard comme étant l’hypothèse la plus probable. Et on sait désormais que des firmes et agences américaines et chinoises sont impliquées dans des expériences liées au Covid-19 et dans l’augmentation de sa transmissibilité : « Nous introduirons des sites de clivage adéquats spécifiques à l’homme. » Cette phrase, écrite en 2018, est-elle la preuve que le coronavirus responsable du Covid-19 est issu d’un laboratoire ? Elle témoigne en tout cas que des chercheurs internationaux et de Wuhan avaient l’intention de produire des virus semblables au Sars-CoV-2, deux ans avant la pandémie. Ce plan de recherche se trouve en effet inscrit en avril 2018 dans une demande de financement auprès de la défense américaine, faite par un groupe de chercheurs internationaux liés à l’Institut de virologie de Wuhan. Il prévoit en résumé d’insérer des sites de clivage adaptés à l’homme dans la protéine spike de coronavirus cultivés en laboratoires, et d’analyser ainsi le rôle des « sites de clivage de furine » chez les Sars-CoV, la famille du virus du Sras de 2003. Comme le reconnaît le document, l’ajout de cette insertion clé a pour conséquence d’accroître la transmissibilité chez l’homme de ces virus de chauve-souris. Or, elle n’a jusqu’à aujourd’hui jamais été trouvée au sein de cette famille de virus dans la nature. Mais elle se retrouve spécifiquement dans le Sars-CoV-2, apparu en 2019 à Wuhan ». (“Origine du Covid-19 : Defuse, le document secret qui accable les labos”, Le Point, 25 septembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=vN973JBkATA). Malgré la destruction de nombreuses preuves matérielles (dont des rapports) et le manque de transparence, des éléments ont pu être retrouvés, incriminant des éléments américains et chinois notamment.

Mais l’OMS n’est pas un organisme de santé fiable et transparent… Dans le documentaire Malaria Business, de Bernard Crutzen paru en 2017-2018 et diffusé aussi sur la RTBF (chaine nationale belge) en 2018, montrait les travers de l’OMS et de Big Pharma, et leurs intimidations, censures et menaces (notamment de couper leurs aides économiques) envers des chercheurs et solutions qui proposent des remèdes naturels plus efficaces, moins chers et ayant moins (ou pas du tout) d’effets secondaires. L’OMS émet même des fakes news et finance des fausses études pour contrer les remèdes naturels plus efficaces que les médicaments inefficaces ou dangereux que l’OMS valide, sous la supervision de Big Pharma (“Malaria Business”, 4 décembre 2018 : https://www.youtube.com/watch?v=Ujn-p-Pwzzo).

Les savants musulmans ne doivent donc pas suivre aveuglément les « recommandations » de l’OMS, car certaines d’entre elles sont mauvaises pour la santé, ou même mortelles. Avant donc de délivrer une fatwa, les savants doivent bien mieux s’informer et ne pas suivre aveuglément les agences sanitaires officielles (parfois incompétentes, parfois clairement achetées ou mises sous pressions par des multinationales qui les dépassent).

Même dans le camp pro-vax ils incriminent les lobbies pharmaceutiques les accusant de vouloir faire du profit au détriment des vies humaines (partant du postulat erroné, que selon eux, ce vaccin protège efficacement du virus) et d’empêcher les autres pays de développer leurs propres vaccins, surtout moins dangereux, mais Amnesty joue le jeu aussi des lobbies pharmaceutiques en voulant répandre la vaccination dans des pays pauvres qui ne sont pas affectés par les dégâts du Covid et qui s’en sortent bien mieux que de nombreux pays où la vaccination a été massive (“Scandale des vaccins – Les révélations d’Amnesty International”, Blast – Le souffle de l’info, 26 septembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=tVWDo4Jyoc4).

On nous disait que le Covid allait provoquer une hécatombe, avec des centaines de milliers de morts au moins dans chaque pays, avec un taux de contagion et de létalité très élevé, et la réalité était toute autre, malgré une létalité relative durant les premiers mois de la pandémie, – hygiène de vie très sale dans de nombreux pays, – y compris occidentaux -, obésité répandue, systèmes de santé défaillants et manques de moyens accordés aux hôpitaux dans des pays comme la France et aux Etats-Unis, etc. Cependant, même avant la mise sur le marché des vaccins, le taux de mortalité lié au Covid avait considérablement diminué, les médias et gouvernements ayant arrêté le focus sur le nombre de décès pour se concentrer plutôt sur le nombre de contaminés (mêlant cas asymptomatiques et cas symptomatiques).

Des études contradictoires inondaient les réseaux sociaux, vantant ou infirmant la nécessité du port du masque ou son efficacité après quelques heures ou quelques lavements. Le consensus scientifique a ici, volé clairement en éclat, où les études, médecins et chercheurs se livrent encore à une guerre d’informations et se réfutant mutuellement, sans même parler des nombreux laboratoires et chefs de service qui sont soumis aux lobbies pharmaceutiques et aux instances politiques, leur accordant très peu de liberté et d’indépendance, et les menaçant s’ils refusent de se conformer aux directives politiques, – elles-mêmes subordonnées aux instances économiques – même si cela met en péril la santé des citoyens ou si cela implique de falsifier des résultats ou surtout de taire les mauvais résultats et donc de tordre la réalité, et de la « dissimuler » au grand public.

Dans cette ère de mensonge et de confusion, la désinformation, la manipulation et les conflits d’intérêts sont partout, tout comme les erreurs, la naïveté ou les abus de confiance (même dans le domaine médical ou plus généralement de la « science »), surtout quand on s’y intéresse de très près et que l’on connait des gens qui travaillent dans ces milieux. Après il faut certes faire un tri et appliquer quelques « filtres » pour éviter les plus grosses erreurs ou les médias/sources connus pour ne répandre essentiellement que des fakes news.

A partir du moment où un gouvernement s’est illustré trop de fois par son incompétence, ses contradictions et ses mensonges (un petit échantillon des mensonges et fakes news propagés par le gouvernement de Macron (8 août 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=ooAajQGbtB0), il ne faut plus s’étonner que le peuple se mette à douter et à suspecter (souvent à raison) que les politiciens sont plutôt soumis aux multinationales et à l’appât du gain qu’au bien-être des citoyens.

De plus, des musulmans qui étaient (autrefois ?) les pourfendeurs de la démocratie et dénonçaient la corruption et l’ignorance des élites, – à juste titre -, font, comme par magie, une heureuse exception, – sur aucune base rationnelle ou empirique – pour ce qui concerne les lobbies pharmaceutiques, dont leur bilan catastrophique n’est pourtant plus à démontrer… De nombreux documentaires et reportages, comme Cash investigation ou même Arte qui alterne entre documentaires pertinents et objectifs et documentaires médiocres et très partisans. Parmi les bons documentaires d’Arte, il y a celui intitulé La fabrique de l’ignorance diffusé sur leur chaine youtube en 2021 (https://www.youtube.com/watch?v=6IGVqsnxCE0) et dans lequel on apprend que les multinationales et grands patrons occidentaux, dans les secteurs du tabac, de la santé, des produits industriels, de l’agriculture, de l’agroalimentaire ou encore d’autres secteurs, sont responsables chaque année de la mort de millions de personnes, tout en faisant perdre un temps précieux et de l’argent aux contribuables et aux tribunaux qui doivent trancher les litiges, les enquêtes et les dégâts immenses qu’ils causent chaque année, le tout par avidité et appât du gain. Ils sont aussi responsables de répandre des fakes news, de semer le doute et les confusions dans le domaine scientifique, et d’entretenir une stratégie de l’ignorance touchant tous les pans de la société et de la population. Paradoxalement, par leurs mensonges et manipulations, ils ont semé les graines qui fournissent les conditions et causes du complotisme et de l’absence de confiance de la population envers les autorités et les multinationales qui dirigent nos sociétés.

https://youtube.com/watch?v=MltUGD07ePw

Nous connaissons aussi personnellement des chercheurs, médecins, infirmiers, neuropsychologues, généticien(nes) dans mon entourage, et leurs recherches vont à contre-courant de ce qui est relayé par les média mainstream (dont les contradictions sont récurrentes dans leurs articles).

Les « morts » et les nombreux effets secondaires des vaccins ne sont pas si « rares » que ça (et rares par rapport à quoi ?), la balance bénéfice/risque ne concerne pas du tout les jeunes et les adultes (de moins de 65 ans), et même pour les plus de 65 ans, beaucoup sont décédés (du covid) en raison d’autres maladies et de leur obésité. Tous les arguments visant à défendre la campagne vaccinale (immunité collective, très peu de chances d’être contaminés ou de transmettre le virus, immense efficacité contre le décès ou les formes graves, retour d’une vie à la normale, …) ont été battus en brèche par les faits et les observations…

Peut être une image de texte qui dit ’Base de données européenne des rapports d' effets indésirables susceptibles d'être liés à l'utilisation de médicaments nt:/epos.userch.sus.h VACCIN Contacts FAQ français (fr) moderno Pfizer TOTAL AstraZeneca 363 Janssen TOTAL FATAL (décès) après vaccination 5347 371 mise à jour au 24/07/2021 709 19 790’

La base de données européenne des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médicaments (ADRreports.eu) et de vaccins, le nombre de décès (toute cause ; maladies ou vaccins) était de 19790 en date du 24 juillet 2021 en Europe pour les 4 vaccins (Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Johnson & Johnson). Alors ils diront ici que tous les décès ne sont pas liés aux vaccins (ce qui est sans doute vrai, puisque comptabilisant les facteurs de comorbidité ou aussi d’autres causes de décès) car il faut une analyse au cas par cas pour établir une causalité ou une corrélation entre les décès et ces vaccins, sauf qu’ils ne vont jamais appliquer cette méthode aux statistiques liées au Covid non plus, et dont on sait avec certitude, – pour les médecins, infirmiers, ambulanciers et patients – que les chiffres ont été gonflés dans plusieurs pays comme en Belgique ou en France, – contrairement à la Chine qui a sans doute mis fin au décompte officiellement pour ne pas perdre la face, – certains estimant que le vrai chiffre tournerait autour de 3 ou 5 fois plus que le bilan officiel -, où de nombreux décès et hospitalisations (des gens venus par exemple avec et pour une fracture du bras !) sans aucun lien avec le Covid, avaient été comptés comme « mort/hospitalisation Covid » et où d’autres décès avaient un lien avec le Covid mais aussi avec d’autres maladies et complications tout aussi létales, – on parlera donc ici de comorbidité -. Le 5 août 2021, sur BFMTV, dans l’émission Palier 3 du plan blanc activé en PACA, Maria Cloarec (infirmière) et Pascal A. (chirurgien) témoignaient de la propagande gouvernementale sur les hospitalisations liées au Covid, en affirmant que beaucoup de services de réanimation n’étaient pas du tout débordés par les cas liés au Covid-19, ainsi que des risques réels et graves en rapport avec les vaccins à ARNm (comme Pfizer). Mais suite aux multiples pressions des politiques et des lobbies, la vidéo a été retirée en prétextant une fake news, mais de nombreux infirmiers, spécialistes et ambulanciers, en France comme en Belgique, nous avaient eux aussi, confirmé cette information (beaucoup d’hôpitaux n’étaient pas débordés par les hospitalisations Covid contrairement à d’autres hôpitaux selon certains témoignages).

De plus si des milliers de gens sont décédés très peu de temps après l’injection du vaccin, alors qu’ils étaient pour beaucoup en relative bonne santé, il y a de quoi se poser des questions, et a minima, ce vaccin leur était alors inutile s’ils allaient de toute façon mourir dans les jours ou semaines qui suivaient en leur rajoutant des risques (graves) inutiles.

Ils ne vont pas mener non plus d’études approfondies, – ou déclarer le cas échéant – l’imputabilité du décès lié au vaccin quand c’est l’explication la plus probable. De plus si des milliers de gens sont décédés très peu de temps après l’injection du vaccin, alors qu’ils étaient pour beaucoup en relative bonne santé, il y a de quoi se poser des questions, et a minima, ce vaccin leur était alors inutile s’ils allaient de toute façon mourir dans les jours ou semaines qui suivaient en leur rajoutant des risques (graves) inutiles.

Le 29 juillet 2021, une autre révélation jetant le discrédit sur « l’incroyable efficacité des vaccins anti-Covid », nous vient d’Israël, où la chaine médiatique israélienne i24news affirmait que l’efficacité du vaccin Pfizer contre le variant Delta avait été nettement revue à la baisse, passant des 98% (puis 88%) annoncés initialement, à seulement 16% plusieurs semaines après les premières annonces (3). Chaque semaine, l’efficacité du vaccin recule d’un niveau. Sachant que les vaccins pour le Covid sont toujours en phase expérimentale, et que le nombre de décès et d’effets secondaires se révèle beaucoup plus grave et important qu’annoncé, les autorités continuent dans cette impasse, tout en imposant de nouveau les mesures en vigueur avant le vaccin (gestes barrières, masques, confinement dans certains pays, …) preuve de la relative inefficacité du vaccin, aussi bien concernant la contamination, que la transmission du virus ou même pour les hospitalisations ou les décès (de nombreuses personnes vaccinées sont tout de même mortes du Covid (tout variant confondu), notamment aux Etats-Unis, en Belgique, en France, au Royaume-Uni et en Israël, pour les données que nous avons consulté personnellement).

Ainsi, même selon les données officielles, il est désormais reconnu que les vaccins n’éradiquent pas le covid puisqu’ils n’empêchent pas efficacement la contamination ou la transmission, leur seul argument restant est celui de la diminution des formes graves, – sauf que cette diminution n’est ni totale ni optimale, puisqu’il y a des morts et de nombreux vaccinés qui meurent du vaccin et d’autres qui meurent encore du Covid, – variant delta principalement (officiellement) alors qu’ils ne savent même pas s’il s’agit bien de l’Alpha, du Delta ou d’un autre variant et que ce vaccin a causé quand même des millions d’effets secondaires dont au moins des centaines de milliers qui étaient handicapants ou graves -.

Quand ils avancent des statistiques (4), rares sont les précisions qui sont fournies avec. Quand ils parlent de « décès », il faut préciser s’il s’agit là de comorbidité, de corrélation ou de causalité directe en lien avec le virus (même chose quand on impute un décès au vaccin, ce que des « anti-vax » ne font pas, tombant dans les mêmes erreurs méthodologiques et scientifiques que les « pro-vax » dans le cadre de cette pandémie), quand il est question de contaminations, distinguent-ils les cas asymptomatiques (où l’infection ne présente aucun danger pour la personne contaminée) des cas symptomatiques, se posent-ils la question des « faux positifs » (les tests antigéniques et PCR n’étant pas toujours fiables) et incluent-ils seulement les personnes non-vaccinées ou les personnes vaccinées (pouvant aussi être symptomatiques), de même qu’ils omettent de préciser que de nombreuses personnes vaccinées sont donc « exclues » des statistiques puisqu’elles ne sont plus testées, ce qui peut fausser considérablement les données et donc les mesures sanitaires à adopter ! – un peu comme les chiffres sur la baisse du chômage alors que cela fausse la réalité puisqu’ils omettent de préciser que des gens ont été virés du chômage sans pour autant avoir obtenu un emploi -. Philippe Poindron, virologue et professeur honoraire de virologie à l’Université de Strasbourg remettait d’ailleurs en cause les chiffres français sur les hospitalisations sur les non-vaccinés et rétablissait quelques vérités sur Cnews dans l’émission Covid-19 : 85% des non-vaccinés à l’hôpital, en mi-juillet 2021. Le 2 juillet 2021, sur Cnews, il mettait en garde également contre la vaccination concernant les jeunes et les adultes en bonne santé, concluant que la balance bénéfice/risque ne penchait pas pour le vaccin, et dénonçait aussi les fausses déclarations de certains instituts (comme l’Institut Pasteur) qui sortaient des chiffres ahurissants sans aucune vérification et fiabilité (https://twitter.com/CNEWS/status/1410871983533871108), dénonçant aussi les décisions politiques imposées pour satisfaire les ambitions économiques des firmes pharmaceutiques.

Un statisticien avait vérifié aussi les données avancées par la propagande pro-vax et la réalité était toute autre : « Le 13 juillet 2021, la DREES, la direction réalisant les statistiques pour le ministère de la santé a sorti une étude récapitulant les données connus des résultats de tests Covid-19 pour les vaccinés et les non-vaccinés en France. Cette étude a été complétée le 23 juillet 2021 par une autre étude ajoutant cette fois-ci les données d’hospitalisations et de décès liées à la Covid-19. Cette dernière étude est utilisée en ce moment par le gouvernement et les médias pour justifier la politique vaccinale, puisqu’elle affirme notamment que : – Les non-vaccinés représentent près de 85 % des entrées hospitalières, que ce soit en hospitalisation conventionnelle ou en soins critiques. – Les patients complètement vaccinés comptent pour environ 7 % des admissions, une proportion cinq fois plus faible que celle observée en population générale (35 % en moyenne durant la période d’étude). – À tout âge, la part de patients vaccinés entrant à l’hôpital est nettement inférieure à celle qu’ils représentent dans l’ensemble de la population. Seulement, comme l’a relevé @NiusMarco sur Twitter et détaillé Patrice Gibertie dans un article, les données utilisées pas la DREES posent un énorme problème : il manque la moitié des décès Covid-19 français. Dans cette vidéo, nous allons détailler les données de l’étude pour comprendre d’où viennent les données, comment la DREES a pu retirer la moitié des décès de son analyse et ce que cela signifie pour les conclusions de l’étude. Sources : Etude DREES sur les tests : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG… Etude DREES sur les hospitalisations / décès : https://solidarites-sante.gouv.fr/IMG… Géodes pour les données SIVIC : https://geodes.santepubliquefrance.fr… Fichier public des personnes décédées : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/… Etude anglaise sur la mortalité Covid vaccinés / non vaccinés : https://assets.publishing.service.gov… Données israéliennes sur la mortalité Covid : https://data.gov.il/dataset/covid-19/… » (“Efficacité de la vaccination : Il manque plus de la moitié des décès !”, Décoder l’éco, 6 août 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=hLARwm6jqbA), la DREES a omis de comptabiliser un certain nombre de décès des vaccinés, ce qui donnerait en réalité les résultats suivants : 38% (720 décès) pour les non-vaccinés, 5% (103 décès) pour les primo-vaccinés (1 dose) et 56% (1057 décès) pour les personnes totalement vaccinées (2 doses), ce qui est cohérent aussi avec les données observées en Israël et au Royaume-Uni, où le nombre de décès de gens vaccinés est supérieur aux décès de gens non-vaccinés.

En France, de nombreux patients vaccinés reviennent pour se faire soigner à cause du virus ou du vaccin (“Le témoignage d’Adélaïde, soignante, refusant le vaccin : “Je ne pourrais plus travailler”, Touche pas à mon poste, 5 septembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=zy1m73I-VP8), ce que nous ont confirmé aussi plusieurs médecins, infirmières et secrétaires médicales.

Des pompiers et ambulanciers, parfois même vaccinés, s’inquiètent du taux alarmant de vaccinés qui subissent des effets secondaires graves du vaccin et qui doivent être hospitalisés, mais dont les médias parlent très peu, et Karim Zeribi quant à lui, souligne aussi le fait que les vaccinés peuvent contracter le virus et le transmettre, et que le Pass sanitaire peut donc être un danger pour la santé des personnes les plus vulnérables, ce qui rend le gouvernement complice d’une dictature politique et de mise en danger de la santé d’autrui pour des raisons politiques tout en discriminant les non-vaccinés (voir l’émission de Balance Ton Post, La France est en retard sur la vaccination des personnes vaccinées, 4 septembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=snRcYdajIy8).

Le climat anxiogène produit par les autorités politiques est déjà très difficile à vivre, et comme si cela ne suffisait pas, ils ont décidé d’imposer de nouvelles mesures liberticides et discriminatoires sous de faux-prétextes. Avant les licenciements et les menaces du gouvernement français à l’encontre du personnel médical et soignant, environ 50% était contre ces vaccins, et ils les faisaient culpabiliser en disant que le personnel médical ne devait pas contaminer leurs patients et qu’ils devaient donc se faire vacciner, or le vaccin n’empêche pas la contamination et la transmission ! De même, ils envoient la police (qui n’est pas concernée par l’obligation vaccinale) pour empêcher les non-vaccinés d’accéder à certains endroits, alors que la police est aussi au contact des citoyens (politiciens, patients, commerçants, vendeurs, enfants, voisins, …). Il ne s’agit donc ici ni de bon sens ni d’intelligence ni de santé, mais d’une mesure discriminatoire purement politique. Pire encore quand ils interdisent l’accès (aussi bien aux soins qu’aux lieu de loisirs) à des personnes non-vaccinées (contaminées ou non) alors qu’ils autorisent l’accès aux vaccinés (contaminés ou non). Rien qu’en France, ce sont des milliers d’experts et de professionnels de la santé (médecins, chercheurs, immunologues, généticiens, biologistes, épidémiologistes, infirmiers, cardiologues, réanimateurs, …) qui s’élèvent contre les décisions gouvernementales et les fakes news qu’ils propagent, et ces experts sont exclus des « comités officielles de la santé en lien avec le gouvernement ». Or, sans faire appel aux charlatans ou aux « conspirationnistes » les plus extrêmes dans leurs allégations et théories, voici ce que concluent des experts reconnus dans de nombreux pays occidentaux. En se basant sur les données officielles liées au Covid, avec une analyse critique et une contextualisation des données, une équipe internationale composée de chercheurs de l’AIMSIB (ne dépendant d’aucun grand groupe pharmaceutique ou gouvernemental ; évitant ainsi au maximum les risques liés aux conflits d’intérêt, et donc à une absence d’objectivité scientifique quant aux protocoles et aux résultats), la conclusion du rapport, publié le 25 juillet 2021 est sans appel : « Le bénéfice tiré de la vaccination est donc à relativiser pour les personnes en bonne santé, c’est-à-dire ne présentant pas de comorbidité.

Il apparaît alors clairement que:

Pour les personnes âgées de moins de 45 ans :

– Le risque de décès après vaccination est 140% plus élevé par rapport à la mortalité Covid-19

– Le risque d’effet secondaire très grave entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé après vaccination est jusque 370% plus élevé par rapport au Covid-19

– Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est 60 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé » (5). Il semble toutefois qu’il faille revoir à la baisse leurs pourcentages, puisqu’ils comptent apparemment (sauf erreur de notre part) parfois des décès non-vaccinaux parmi les décès vaccinaux, ce qui change les données, – l’ampleur des décès mais pas le principe en tant que tel (le vaccin peut entrainer plus de complications graves, – voire la mort ! – plus que le Covid pour les jeunes et les adultes en bonne santé). mais l’actualisation des données a de fortes « chances » d’aller dans leur sens, avec un nombre plus important de décès et de maladies/complications graves liés aux vaccins.

« Les tableaux présentés ont été construits à partir des données suivantes :
• La répartition INSEE de la population par âge en 2021 (4)
• Le nombre de décès par tranche d’âge à l’hôpital et en EHPAD du Point Epidémiologique publié par Santé Publique France du 27 mai 2021 (5)
• Les données de pharmacovigilance des vaccins du 27 mai pour Pfizer (6) et Moderna (7), et du 20 mai pour Astrazeneca [8]
• Les détails des calculs sont téléchargeables ici (9)

Les résultats concernant la mortalité de la Covid-19 (tableau 1) ont été exprimés en « risque pour 100 000 habitants ». Les informations relatives aux comorbidités par classe d’âge ne sont disponibles que pour les décès certifiés par voie électronique (page 43 de (5)), qui ne représentent que 48 676 décès sur les 108 908 décès comptabilisés page 1. On peut constater qu’une proportion, variant de 100% pour les plus jeunes à 64% pour la tranche d’âge la plus haute, présente au moins une comorbidité. Toutefois, Santé Publique France précise (page 37 de (5)), à propos des caractéristiques des cas graves admis en réanimation, que « pour les deux périodes étudiées (sept.-dec. 2020 et janv.-mai 2021), 94% des personnes décédées présentaient au moins une comorbidité » Le risque de décès calculé dans le tableau 1, sur la base des certificats électroniques, semble donc encore surestimé pour les personnes en bonne santé ».

« Concernant les effets secondaires des vaccins, exprimés en « risque pour 100 000 vaccinés », les résultats ont été obtenus pour la létalité des vaccins en divisant le nombre de décès supposés liés aux vaccins par le nombre de personnes ayant été vaccinées, c’est-à-dire le nombre de premières doses. Les séquelles très graves regroupant les décès, invalidité et mise en jeu du pronostic vital, ont également été analysées. Il faut noter que les données de pharmacovigilance ne sont pas réparties par âge. Selon les déclarations d’effets secondaires rapportées auprès de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé (ANSM), on peut obtenir le tableau 2 : »

« Les données de pharmacovigilance permettent-elles de conclure que les décès et séquelles invalidantes sont liés à la vaccination ? En pharmacovigilance, une forte preuve de l’imputabilité est la ré-apparition de l’évènement lors d’une ré-administration du médicament en question. Dans le cas des décès survenant après vaccination cela est doublement impossible :
• on ne peut pas « enlever les anticorps produits par le patient suite au vaccin »
• on ne peut pas ressusciter le patient pour voir « s’il remeurt » lors de la réintroduction du vaccin.

Comme l’explique cet extrait d’article (10) : « L’évolution de l’événement à l’arrêt du traitement et le résultat d’une éventuelle ré-administration, critères habituellement déterminants pour évaluer l’imputabilité, ne sont pas, le plus souvent, évaluables pour imputer un événement survenu après l’administration d’un vaccin. En effet, une fois administré, le vaccin déclenche dans l’organisme une cascade d’événements immunologiques qui perdure malgré l’absence de ré-administration. Il est indispensable de mettre en place une analyse du risque, notamment en connaissant bien les caractéristiques épidémiologiques et cliniques des maladies qui peuvent survenir dans la tranche d’âge de la population-cible du vaccin. »

Les données de pharmacovigilance par pathologie ne sont pas ventilées par classe d’âge. Toutefois, le nombre de cas graves est bien précisé par tranche d’âge. Ainsi, les cas graves rapportés après vaccination Pfizer et Moderna sont pratiquement uniformément répartis sur les différentes tranches d’âge, alors que pour Astrazeneca, les problèmes graves sont plus souvent rencontrés par les personnes plus jeunes (49% des cas graves sont rapportés pour les moins de 49 ans). C’est pourquoi, l’hypothèse d’une répartition homogène dans les différentes tranches d’âge, des risques de décès ou de séquelles graves, a été adoptée afin de construire le tableau 3 qui permet d’estimer le bénéfice/risque des vaccins. Ce tableau est obtenu en divisant la létalité (ou les séquelles graves) supposées liées au vaccin (tableau 2) par la mortalité Covid pour chaque tranche d’âge (tableau 1). Le rapport bénéfice/risque de la vaccination est défavorable lorsque le nombre est supérieur à 1 (cases rouges) ».

Cela est inquiétant, alors que beaucoup de cas graves et légers, dû aux vaccins, ne sont pas recensés dans les bases de données officielles, soit parce que les gens ignorent que de telles plateformes existent, soit parce que la démarche est fastidieuse et demande du temps et de l’énergie que des gens malades n’ont pas ou plus (6).

Les médias conventionnels et les politiciens à la tête des gouvernements manipulent ou inventent parfois des chiffres, et cela a été très bien démontré, notamment par des statisticiens avertis. Voici une analyse pertinente basée sur les chiffres disponibles : « La politique vaccinale bat son plein dans de nombreux pays avec des thérapies géniques en phase 3 d’essai clinique qui se terminent au plus tôt en 2022. Depuis les documents enregistrés avec les régulateurs (FDA Federal Drug Agency, EMA European Medecine Agency) qui étaient faites par les fabricants des vaccins, quelques études d’efficacité ont été réalisées dont celle de Dagan et al en Israël, un des pays ayant le plus vacciné. Avec une autorisation temporaire d’utilisation, de nombreuses études sur la génotoxicité, immunotoxicité et biodistribution n’étaient pas disponibles alors qu’elles sont des informations clés pour l’obtention d’une autorisation complète. Les attentions se sont donc tournées vers les bases de données de pharmacovigilance pour mesurer les effets secondaires avec une donnée importante et connue, la sous-déclaration des effets secondaires. Il est en effet complexe de déclarer les effets secondaires et des études ont estimé cette sous-déclaration. Un groupe de chercheurs autour du Pr Walach a tenté d’amener un éclairage sur les choix et les conséquences des politiques vaccinales sur les données disponibles à l’heure actuelle. Son étude, après avoir été revue par les pairs et publiée dans la revue Vaccines a été retractée sous la menace de démission d’un certains nombres de membres du comité éditorial – dont certains ont des liens d’intérêt bien réels avec l’industrie pharmaceutique. Cette vidéo revoit l’étude de Walach, mettant en avant de manière indépendante les avantages et les inconvénients du travail effectué, pour conclure qu’en l’état actuel des choses, l’étude aurait pu faire l’objet d’une modification de texte. Cependant ses conclusions tiennent et doivent faire l’objet d’une analyse approfondie. Le point principal qui a poussé le directeur de la publication à rétracter l’étude est lié à l’imputabilité des effets secondaires graves au vaccin, ce qui fait l’objet d’une discussion. L’article essaie aussi d’estimer les intervalles de confiance associés aux diverses variables de l’étude Walach ». (7)

L’étude de Walach a été retirée sans raison convaincante, et leurs auteurs sont en désaccord et ont pu justifier scientifiquement et logiquement leurs données et positions, sur base d’estimations et de chiffres fiables et plausibles, – qui peuvent, comme toute autre étude statistique, comporter des « lacunes » ou des « écarts » (qu’il faudra corriger et actualiser) avec ce qu’il adviendra dans la réalité – tout en y mettant les réserves et nuances qui s’imposent en pareil cas,  mais ils ont été censurés pour des raisons idéologiques et politiques plus que scientifiques. Il y a une « erreur » dans l’article, qui était de laisser sous-entendre que tous les décès et complications graves survenant après la vaccination étaient causés par le vaccin, – ce qui est loin d’être toujours le cas bien que cela soit tout de même fréquent (et non pas « rare ») dans le contexte des vaccins à ARNm contre le Covid -, mais d’un autre côté, cette « erreur » dont les chiffres doivent être revus à la baisse -, est compensée par un phénomène bien connu et attesté qui est celui d’une forte sous-évaluation des cas qui ne remontent pas dans les basées de données dédiées à la pharmacovigilance, et dont des études ont montré qu’entre 60 et 95% des cas n’étaient pas enregistrés dans ces bases de données (“Chapitre 5 – La pharmacovigilance”, LEEM (Les entreprises du médicament) p.4, : https://www.leem.org/sites/default/files/pharmacovigilance.PDF) pour plusieurs raisons (en plus du fait que dans le contexte du Covid, beaucoup d’efforts sont fournis pour éviter que les cas graves remontent par des « voies officielles » afin de ne pas ternir le « prestige » des vaccins et donc des firmes pharmaceutiques, – beaucoup de données sont ainsi « privées » et rendues inaccessibles (ou difficilement) aux chercheurs pour vérifier l’imputabilité des décès et effets secondaires aux vaccins (ce qui aurait tendance à prouver les conclusions de l’étude de Walach sur la dangerosité de ces vaccins). En conclusion, l’étude de Walach est globalement pertinente mais le résultat final peut être logiquement revu à la hausse (leur donnant encore « plus raison ») sur la balance bénéfice/risque, mais ; c’est l’interprétation de Walach qui doit être légèrement corrigée tout au plus (son interprétation peut être juste, comme étant sous-évaluée ou surévaluée car il y a d’une part des « événements » survenus indépendamment du vaccin, et d’autre part, beaucoup d’effets/décès liés aux vaccins qui n’ont pas été comptabilisés), ce qui, dans tous les cas, manifeste un « signal fort » qu’il y a là un problème majeur sur les vaccins (taux anormalement élevé de décès/effets secondaires d’au moins 30 fois supérieures avec les autres vaccins, et d’autre part, beaucoup d’incertitudes sur les complications et effets à long terme ! Dès lors, la balance bénéfice/risque ne penche pas du côté de ces vaccins. dans leur étude, il manque toutefois d’autres données intéressantes à analyser, comme l’estimation concernant les formes graves du Covid-19 évitées par la vaccination (à ARNm), les âges des décès évités par le vaccin et ceux qui sont dus au vaccin.

Le Dr. Carole Cassagne confirmait la pertinence de l’article de Walach et al., et montrait aussi que selon de nombreuses données, que la vaccination n’a pas eu d’effets réellement positifs (et même parfois négatifs) dans plusieurs pays connaissant un fort taux de vaccination (“Bénéfices et risques de la vaccination COVID – Dr. Carole Cassagne, MCU-PH AP-HM”, IHU Méditerranée-Infection, 30 juin 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=IbIsH7N1KkU).

La façon de présenter l’information, par les médias mainstream, pour vendre les vaccins aux citoyens, est très pernicieuse, affirmant, sans l’ombre d’une preuve scientifique qu’une personne vaccinée sauverait 10 autres personnes… Comme on le sait depuis, notamment en Inde, en Islande, au Royaume-Uni, aux Etats-Unis, en Israël ou ailleurs, des vaccinés sont décédés du Covid tandis que d’autres sont décédés du vaccin lui-même. Et dans des pays peu vaccinés, le taux de mortalité lié au Covid reste très bas. Au lieu de renforcer le système immunitaire et de prévenir les maladies et facteurs de mortalité (obésité, carences en vitamines C et D, pollution, fast food, tabac, alcool, etc.) qui font plus de morts que le covid en soi, les autorités préfèrent dépenser encore plus d’argent (des milliards de $) dans des vaccins d’un nouveau type qui non seulement ne se révèlent pas « optimalement » efficaces, mais qui en plus, présentent de sérieux dangers pour la santé des citoyens, pouvant les conduire jusqu’à la mort. Ils partent aussi faussement du principe que tous les citoyens mourront du Covid, ou que tous les contaminés (même pas 50% du pays, ce qui prouve le caractère peu contagieux, – par rapport aux annonces terrifiantes des gouvernements occidentaux) risqueraient de contracter des formes graves ou qu’ils ne pourraient pas être soignés efficacement par d’autres traitements. Or, avant les vaccins, l’immense majorité des personnes hospitalisées pour le Covid avait pu très bien se rétablir (et pour un certain nombre seulement, avec quelques séquelles ; souvent moins graves que celles pouvant être causées par les vaccins), et parmi les dizaines de milliers de contaminés, très peu sont hospitalisés (pour des cas graves), et moins encore en meurent (même parmi les non-vaccinés). Nous, en tant que musulmans, ne devons pas craindre la mort en tant que tel, mais devons plutôt être dans un état permanent de tawakkul (remise confiante en et à Allâh), peu importe la situation et ce qui surviendra, mais il nous a aussi été demandé par Allâh, d’éviter autant que possible ce qui peut constituer des nuisances inutiles ou corrompre notre esprit, souiller notre âme et polluer ou dégrader notre corps alors qu’il n’y a aucune nécessité à cela et que la balance bénéfice/risque n’est pas bien établie à la faveur de telle ou telle pratique médicale.

La course aux vaccins a été motivée principalement pour 3 raisons : l’argent (des centaines de milliards de $ que se répartissent les grands lobbies pharmaceutiques en l’espace d’une seule année, sans même parler des doses supplémentaires et des tests PCR payants qui rapportent aussi des milliards de $, contrairement aux « pro-vax » qui affirmaient que ces vaccins ne leur rapporterait pas beaucoup d’argent) (8), politique (prétexte idéal pour mater, tuer, – sur le compte du Covid – ou mieux contenir l’opposition, et mieux contrôler les citoyens via différentes mesures liberticides tout en maintenant le pays sous « l’état d’urgence ») et géopolitique (étendre son influence, comme l’ont fait principalement les américains, les britanniques, les russes et les chinois). D’ailleurs, avant même d’avoir des résultats fiables, les Etats-Unis et l’Union Européenne ont discrédité les vaccins chinois et russes, et n’acceptaient pas (en tant que « vaccinés ») les citoyens vaccinés par les injections russes ou chinoises, ce qui en dit long sur la manipulation politique autour du Covid.

Mais ces mensonges et manipulations politiques ne datent pas de la pandémie du Covid, mais déjà bien avant. Par exemple, en France, en 2009, les autorités prédisaient la mort de nombreux français s’ils ne se faisaient pas vacciner lors de la pandémie de la grippe A (H1N1) – pandémie de grippe qui dura de 2009 à 2010, la seconde des 2 pandémies historiques causées par le sous-type H1N1 du virus de la grippe A (la première étant la grippe de 1918) – …. résultat, il n’y a pas eu l’hécatombe annoncée… Or en France, cette forme de grippe n’a touché que 450 personnes (France 2), ne faisant aucun mort dans le mois qui suivirent cette annonce, et selon le bilan officiel (final) ne comptabilisera que 302 victimes au total (dont des personnes mortes par d’autres causes et facteurs) alors que l’immense majorité des Français avait refusé cette vaccination (dont la campagne aura coûté 600 millions d’euro !), soit bien moins que la grippe ordinaire. Les autorités politiques (et notamment la ministre de la Santé de l’époque Roselyne Bachelot-Narquin) n’avaient pas hésité à mentir et à amplifier les chiffres pour conditionner les citoyens dans la peur et le désir de se faire vacciner alors que la balance bénéfice/risque était en défaveur du vaccin, mais Sanofi avait fait pression pour augmenter son chiffre d’affaires (9).

Un célèbre scientifique américain, le Pr. Peter McCullough avait aussi réfuté les fakes news et affirmations véhiculées par le président français Emmanuel Macron.

« Lors de son allocution en date du 12 juillet 2021, le président Macron a fait état d’un certain nombre d’assertions scientifiques : “le variant Delta est trois fois plus contagieux que la première souche” ; “les vaccins divisent par 12 le pouvoir de contamination et évitent 95 % des formes graves” ; pourtant il faut “vivre avec le virus”… Toutes avaient pour objectif d’établir sa décision de rendre la vaccination obligatoire pour les soignants, ainsi que la mise en place d’un passe sanitaire, qui correspond peu ou prou à une obligation vaccinale. En effet, les Francais non vaccinés ont de grandes chances – sous réserve de votes – de se voir interdire l’accès aux restaurants, bars, commerces, voyages, etc. Une des mesures les plus coercitives d’Europe.

Pour autant, la charge de la preuve incombe à celui qui énonce un fait scientifique, mais Emmanuel Macron n’a pas eu le temps d’étayer son propos dans le cadre de son discours.

Nous avons donc demandé à un spécialiste, le Dr McCullough, qui a témoigné sous serment devant le Sénat américain de revoir chacune de ces assertions et de les commenter.

Conclusion : aucune assertion n’est fondée. Le professeur McCullough va plus loin et déclare que l’obligation vaccinale et le pass vaccinal ne sont pas nécessaires étant donné l’état de l’épidémie, y compris pour le variant Delta. Par ailleurs, il se tient à disposition des parlementaires français pour venir témoigner de son expertise de manière factuelle et rigoureuse ». Source : “Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough”, France Soir, 14 juillet 2021 : https://videos.francesoir.fr/?mediaId=300bc659-8794-449c-8fc2-20c42a5e48c9

Il est aussi très étonnant que l’on nous demande d’accorder une confiance aveugle en des compagnies et des gouvernements qui ont souvent menti et qui n’ont pas hésité à nous priver de libertés tout en mettant notre santé en danger, pour leur amour de l’argent et de la domination (passant par l’asservissement des populations).

A supposer que l’efficacité du vaccin soit prouvée et qu’il évite les formes les plus graves, – mais on sait que les vaccins ont aussi entrainé des formes graves ainsi que la mort à des milliers de personnes en quelques mois -, mais que ce même vaccin tue des gens en bonne santé qui ne développent pas de formes graves, on se fiche du fait qu’il évite les formes graves, à moins qu’il s’agisse là de cas extrêmement rares (quelques individus sur 8 milliards de personnes). De même, les phases de test pour le vaccin Pfizer par exemple durent jusqu’en 2023, et seulement une situation catastrophique (des millions de gens qui meurent un peu partout dans le monde chaque mois par exemple) aurait pu exiger une commercialisation avant la fin des tests, par nécessité. Or, la situation est globalement sous contrôle (sauf dans quelques pays, comme en Inde, qui a pourtant connu une campagne de vaccination), ce qui ne justifie aucunement de jouer avec la vie des gens, et d’abandonner les précautions qui s’imposent.

A partir du moment où un vaccin n’immunise pas totalement, qu’il n’empêche pas la transmission du virus ni d’être recontaminé, il est dangereux de le rendre obligatoire, surtout sur des personnes bien portantes, et encore moins si le virus est globalement sous contrôle et qu’il ne tue plus beaucoup de personnes (surtout des jeunes) ; car la balance bénéfice/risque n’est pas à son avantage. Il est inutile de faire culpabiliser ceux qui refuseraient d’être vacciné, mais libre à chacun de le faire ou de refuser, à partir du moment où chacun est prêt à assumer son choix, qui de toute façon n’aura pas de répercussion directe sur les autres (avec ou sans vaccin, la contamination demeure).

Big Pharma agit souvent comme ça aussi : tous les résultats négatifs (équivalents ou supérieurs aux résultats positifs) sont occultés et mis de côté, – et les quelques effets positifs sont souvent attribués à l’effet placebo. Comme ça ils écoulent leurs produits jusqu’à ce qu’un scandale éclate, et qu’ils perdent en procès (parfois plusieurs années ou décennies après le scandale), ayant fait des milliards de $ de bénéfices et payant au pire après la fin du procès une somme nettement inférieure aux gains engrangés.

Certains vaccins ont pris des années et même des décennies afin d’être testés et d’avoir le recul nécessaire sur leurs effets sur la population humaine. Or, pour ces vaccins à ARNm, nous n’avons pas encore le recul nécessaire, – et les premières retombées sont très mauvaises -, et ne garantissaient pas une bonne immunité sur le court ou long terme, ni une réponse efficace contre les nouveaux variants, comme nous le savons désormais. A noter que les vaccins peuvent entrainer des maladies auto-immunes pouvant se manifester même quelques années après l’inoculation du vaccin, et que les personnes vaccinées pourraient voir leur système immunitaire fortement amoindri face à d’autres variants.

Le médecin, professeur et chef du service d’urologie à l’hôpital Cochin Michaël Peyromaure disait aussi au mois de juillet 2021 sur le plateau de Cnews dans l’émission Du passeport sanitaire au passeport vaccinal que ces vaccins comportent des risques pour les personnes en bonne santé, qu’ils pourraient développer des maladies auto-immunes dans les années à venir, – ce qui serait catastrophique – et qu’il faut laisser le choix aux gens de se faire vacciner ou non. Comme pour éviter les pressions et les censures et pour rassurer la chaine, il dit avoir été lui-même vacciner. Cependant il dit que ces vaccins empêchent grandement la formation de cas graves et diminuent fortement la contamination/transmission du virus, ce qui, selon des études et données américaines et israéliennes ont été considérablement revues à la baisse, donc ces vaccins n’apportent pas une bonne protection contre la contamination et la transmission, ni n’empêchent efficacement l’apparition de formes graves liées au virus et à ses variants. Il rappelait aussi que les vaccins qui avaient été rendus obligatoires étaient totalement sûrs (ce qui est à relativiser, car les effets secondaires et les décès existent aussi, mais pas du tout dans les mêmes proportions) mais avaient des décennies de recul après la mise au point de ces vaccins expérimentaux, et non pas 6 mois (comme dans le cas des vaccins à ARNm). Il pose aussi la question de la durée de protection de ces vaccins, dont on ne sait rien. Or, en Israël, en l’espace d’1 mois (début juillet à début août) ils sont passés d’une efficacité théorique de 95-98% à une efficacité « réelle » de 16%, pourcentage qui baisse à chaque semaine, ce que confirme aussi une étude menée sur 45 000 personnes vaccinées, concluant que l’efficacité du vaccin Pfizer diminuerait de 6% tous les 2 mois, selon une étude de medRxiv : « L’efficacité du vaccin Pfizer/BioNTech tomberait de 96 % à 84 % en quatre mois, selon une étude (encore non relue) parue sur la plateforme medRxiv. Le pic d’efficacité (96 %) est atteint deux mois après la deuxième dose, et l’effet décline ensuite progressivement. Menée chez 45.000 patients vaccinés avec deux doses dans six pays, cette étude montre une baisse graduelle de l’efficacité de 6 % environ tous les deux mois, indiquent les auteurs. (…) « Les données en provenance d’Israël indiquent une diminution de l’efficacité, qui est au départ à quasiment 100 % contre le risque d’hospitalisation. Après une période de six mois, l’efficacité devient faible chez les personnes âgées de plus de 90 ans et moyenne chez les plus de 80 ans, confirme Albert Bourla, le P.-D.G. de Pfizer sur CNBC. La bonne nouvelle, c’est que nous pensons qu’une troisième dose pourra faire revenir le niveau d’immunité à un niveau suffisant pour protéger contre le variant Delta. » Un résultat qui arrange donc bien les affaires du laboratoire. En juin, une étude sur le vaccin Moderna indiquait que la demi-vie des anticorps neutralisants est de 109 jours (ce qui signifie qu’il ne reste plus que la moitié des anticorps après ce délai), le niveau global restant toutefois largement satisfaisant même après 209 jours. De plus, le déclin semble ralentir au fil du temps, ce qui suggère qu’on atteint un plafond au bout d’un moment. Plusieurs autres études suggèrent que l’immunité pourrait même durer plusieurs années, voire plusieurs dizaines d’années. Bref, il est bien trop tôt pour tirer des conclusions hâtives sur la nécessité d’une troisième dose ». (“L’efficacité du vaccin Pfizer/BioNTech diminuerait de 6 % tous les deux mois”, Futura-sciences, 7 août 2021 : https://www.futura-sciences.com/sante/breves/vaccin-anti-covid-efficacite-vaccin-pfizer-biontech-diminuerait-6-tous-deux-mois-4886/). En fait ils n’en savent rien pour le long terme…

Dans un article de Télérama, datant du 13 juillet 2021 (et MàJ le 16 juillet 2021) intitulé Homophobe, antivax et climatosceptique : le grand chelem de Cnews, ils n’ont pas aimé l’intervention du médecin Michaël Peyromaure, en n’hésitant pas à mentir et à falsifier les données scientifiques, ainsi qu’à déformer un peu ses propos, pour tenter de le discréditer. Or, les propos de ce médecin sont scientifiquement fondés, et d’autres médecins et spécialistes nous l’ont aussi confirmé.

S’il est vrai que les études sur les vaccins à ARNm datent d’il y a environ 25 ans, les résultats n’étaient pas satisfaisants, et ne se faisaient pas sur une aussi large population, ni face à ce virus, ni n’avaient suscité l’intérêt constant et permanent des scientifiques à travers le monde. Par ailleurs, selon les protocoles scientifiques en vigueur, reconnues même par Pfizer par exemple, indiquent que nous sommes toujours en phase de test, et les premières retombées (nombreux décès et cas graves liés aux vaccins) démontrent la nocivité de ces vaccins.

Tandis qu’en 1976, aux États-Unis, après la mort de 25 personnes, le programme de vaccination avait été arrêté lors de la pandémie de la grippe, en 2021, alors que des dizaines de milliers de personnes sont mortes de ces vaccins, les autorités font du forcing contre toute prudence médicale.

Comme nous le signalait au début du mois d’août 2021 une soeur généticienne et neurologue (dans le Sud de la France) que nous connaissons personnellement : « J’ai des témoignages scandaleux de mes collègues de l’hôpital et il y a de plus en plus d’AVC (liés à la vaccination) d’ailleurs et demandent à ceux qui sont en congé de revenir en imagerie, parce qu’il y a énormément d’AVC et ils sont submergés. Une fois de plus Alexandra Henrion-Caude nous avait prévenu, les essais cliniques des différents vaccins aboutiront en 2023. Avant, on appelle ceux qui se vaccinent des cobayes. Normalement, en essai clinique, les cobayes sont rémunérés… bref. C’est peut-être le scandale planétaire le plus massif qui pointe le bout de son nez ». Auparavant, elle nous avait déjà informé des scandales et données médicales recensées qui ont été reconnues par la suite, notamment le nombre croissant d’effets secondaires lié aux vaccins anti-covid.

On assiste donc souvent à un combat de coq entre des « pro-vax » imbus de leurs personnes, peu averties des réalités politiques et économiques (conditionnant le domaine de la santé), très peu critiques, relayant des fakes news ou des études peu fiables (comportant de nombreux biais) et ne faisant pas de recherches approfondies pour la plupart d’entre eux, et des « anti-vax » regroupant aussi bien des gens lucides, érudits et rationnels, que des hystériques aux idées délirantes et qui relaient eux aussi des fakes news ou des études qu’ils ne comprennent pas toujours. Il est aussi assez étonnant, que pratiquement toutes les théories « sérieuses », qualifiées par le gouvernement français de « complotiste » se sont réalisées, aussi bien dans les doutes liés aux effets secondaires des vaccins et à leur relative inefficacité (contre le virus et ses variants) que dans les décisions politiques qui ont été prises plusieurs mois plus tard (mensonges, menaces et mesures discriminatoires, pass sanitaires, confinement, etc.) malgré les fausses promesses (indiquant initialement le contraire de ce qu’ils allaient faire) des autorités politiques. A noter aussi que des scientifiques sérieux, qui alertaient contre les dangers des vaccins anti-covid ou qui émettaient de sérieuses réserves à ce sujet, ont été forcés de démissionner ou ont été licenciés et même attaqués ou poursuivis en justice, notamment aux Etats-Unis et en France (10). Même sur Facebook, les censures et suppressions de messages ou liens qui ne vont pas dans le sens des autorités politiques officielles sont légion, même quand elles proviennent d’études sérieuses, des médias conventionnels (comme LCI ou Le Parisien pour la France), – le comble étant que Facebook relaie des fakes news, et considérait aussi des informations fiables comme étant des « Fakes News » car non-approuvées par l’OMS avant de les autoriser de nouveau quand l’OMS a changé de position notamment sur l’origine du virus (“Nouveau rapport : le virus du PCC provient du laboratoire de Wuhan”, NTD Actualités, 4 août 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=HkwfQTptJuM) instrumentalisant aussi ce revirement pour ternir l’image de la Chine, montrant ainsi son incompétence et une vision plus « politico-idéologique » que médicale. Sous la pression de certaines instances, YouTube supprime même les discours scientifiques fondés sur la rationalité et l’empirisme qui se montrent un peu trop critiques (et ils se comptent par dizaine de milliers au moins) comme celle intitulée Ne faisons pas un remède pire que le mal : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot parue sur France Soir le 30 juin 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=nLyP03Iq4-4 (supprimée depuis, puis ré-uploadée et re-supprimée). Pourtant, il s’agissait d’un scientifique rigoureux, maître de conférence en génétique moléculaire à l’université Paris-Sud, directeur scientifique du comité scientifique du Comité de recherche de l’information indépendante du génie génétique (CRIIGEN).

A la question « le vaccin protège-t-il efficacement contre la contamination, la transmission et l’apparition des formes graves du Covid ? », la réponse est non, et elle nous vient notamment de 3 pays fortement vaccinés, à savoir l’Islande (11), le Royaume-Uni (12) et Israël (13), qui non seulement ont enregistré une « explosion » de nouvelles contaminations (asymptomatiques et symptomatiques), mais aussi des décès et de formes graves de personnes pourtant vaccinées.

C’est la conclusion d’ailleurs de nombreux spécialistes à travers le monde : « (…) Le vaccin protège des formes graves ? Un récent rapport du Public Health semble montrer le contraire. De février à juin, sur les 257 personnes mortes de la covid au Royaume Uni, 163 avaient reçu au moins une dose de vaccin, soit 63%. Ces chiffres montrent que la mortalité est très supérieure chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. Pris comme cela, c’est tendancieux, ce qui ne gênerait pas Olivier Véran, si ce n’était dans l’autre sens. Effectivement, il faut tenir compte que les personnes âgées dominent chez les vaccinés, et les jeunes chez les non-vaccinés. En cas d’infection, il est donc normal qu’il y ait plus de décès chez les anciens, donc parmi les vaccinés. Il est donc sans doute donc faux de dire que l’on meurt plus si on est vacciné, par contre ces chiffres montrent une chose : les vaccins ne protègent pas (ou peu) des formes graves, sinon il y aurait moins de décès chez les vaccinés, qui meurent autant en fonction de l’âge. Variant delta et traitements ? Si ce variant semble très moyennement sensible aux vaccins, qu’en est-il des traitements médicaux ? L’Inde s’est très rapidement débarrassé de ce variant né chez elle, et la vague annoncée par tous nos journaux comme une catastrophe à venir n’a pas fait long feu. En intensité, le nombre de cas/million d’habitants, a été de moitié inférieur à la France. Ceci sans doute grâce à la seule arme dont ils disposaient : l’ivermectine. Les vaccinés complets représentaient 3% de la population indienne au moment de la vague. (…) Conclusions sur ce variant delta : 1) Plus contagieux, bien moins virulent. Équivalant à la grippe saisonnière ? 2) Vaccin moyennement efficace, ne protégeant pas tant que cela des formes graves. 3) Traitements efficaces. Ce sont les chiffres qui le disent. Est-ce que cela mérite le drame que l’on vit en France depuis deux semaines, et qui laissera des traces pendant des décennies ? » (14).

Aux Etats-Unis il y a aussi des hôpitaux qui enregistrent plus de cas graves chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. Le CDC relatait le 30 juillet 2021 que 74 % des personnes infectées du COVID-19 au Massachusetts ont été vaccinées. Les 3/4 des 469 cas de COVID-19 associés aux événements estivaux et aux grands rassemblements publics ce mois-ci dans le comté de Barnstable, au Massachusetts, concernaient des personnes entièrement vaccinées contre le Covid-19, selon un rapport publié le Centers for Disease Control and Prevention. Environ 90 % des 133 patients testés présentaient la variante delta du virus SARS-CoV-2, 5 patients ont été hospitalisés, dont 4 qui avaient été vaccinés ; le patient non-vacciné et 2 des patients vaccinés avaient des problèmes de santé sous-jacents. (“CDC: 74% infected in Massachusetts COVID-19 outbreak were vaccinated”, American Hospital Association, 30 juillet 2021 : https://www.aha.org/news/headline/2021-07-30-cdc-74-infected-massachusetts-covid-19-outbreak-were-vaccinated). 2 semaines auparavant, 79 personnes vaccinées décédèrent du Covid-19 aussi dans la même ville, ainsi que quelques centaines de vaccinés qui furent hospitalisés pour le Covid-19 (“79 fully vaccinated Massachusetts residents have died, 303 hospitalized in very rare COVID ‘breakthrough’ cases, officials say”, Boston Globe, 14 juillet 2021 : https://www.bostonglobe.com/2021/07/13/nation/state-says-number-covid-cases-vaccinated-people-is-incredibly-low/). Dans l’article cependant, ils tentent de minimiser l’échec de la vaccination en se cachant derrière des chiffres douteux et théoriques, en ce sens qu’ils procèdent à un calcul statistique en ne prenant pas en compte les millions de vaccinés qui ne sont plus testés par les tests PCR ou antigéniques (afin de recenser les personnes contaminées), de même, ils disent que le vaccin accorde une protection largement supérieure, or, dans les faits, on devrait alors trouver en moyenne, une constante de 3 à 50 fois plus de personnes décédées ou gravement hospitalisées parmi les non-vaccinés, ce qui n’est pas le cas dans la réalité.

« « Obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte. » L’épidémiologiste en chef islandais, Þórólfur Guðnason, n’y a pas été par quatre chemins, dimanche soir, pour tirer les conséquences de la spectaculaire flambée d’infections Delta dans son pays, qui figure parmi les plus vaccinés au monde : 93 % des habitants de plus de 16 ans y sont entièrement vaccinés. En juillet, le flux quotidien d’infections représentait presque 0,1 % de la population, un des taux les plus élevés de la planète. Þórólfur Guðnason estime que la capacité des vaccins à empêcher une réinfection des personnes inoculées est bien trop faible et qu’il faudrait laisser les gens se contaminer naturellement afin d’obtenir à terme une immunité collective ». (“Covid 19 : l’Islande s’interroge sur sa stratégie d’immunité collective”, Les échos, 9 août 2021 : https://www.lesechos.fr/monde/europe/covid-19-lislande-sinterroge-sur-sa-strategie-dimmunite-collective-1337710). Comme pour ne pas devoir reconnaitre cet échec total, ils se rabattent sur leur dernière carte : le vaccin protégerait hypothétiquement contre le décès ou les formes graves du vaccin, ce qui est faux, puisqu’il y a autant si ce n’est plus de gens vaccinés qui développent des cas graves ou qui meurent du virus que de non-vaccinés selon les pays et les semaines. Ahcene Kerbadj, médecin et Chef de service à EPH Miliana en Algérie (11 août 2021) : « Nous avons beaucoup de cas de Covid même pour les gens vaccinés, il faut rester sur vos gardes ». Une personne lui demandait s’il fallait se faire vacciner, il répondit (sur son compte facebook) : « (…) Ce que je peux vous dire par contre, moi personnellement je ne l’ai pas fait, j’ai mes anticorps fabriqués lors de ma contamination qui a failli m’emporter, ils sont naturels et plus fiables ». Quant à la corrélation entre les vaccins et les nouveaux variants il dit (9 juillet 2021) : « l’éventualité a été maintes fois soulevée par d’éminent spécialistes » (pour les 2 dernières citations, voir ses commentaires sous cette publication https://www.facebook.com/ahcene.kerbadj.1/posts/565072221451787?__cft__[0]=AZUzlWSJG2fn2nSoBLNHwC2ZZFGhpMNJr5YTkPgbQNiSTufFfvC8yRXD-09rnpsDokDKicJEHWL6xGe9-gMJLdQYQDXB8NGEcRH288wfePrFwetiHKYQhfYN3mqxaC3fdRPSC_uflXEhDARb6PSha9eo&__tn__=%2CO%2CP-R). En résumé, même s’il n’est pas formellement contre ces vaccins, il préfère nettement l’immunité naturelle au vaccin, il déconseille à ceux qui ont choppé le Covid de se faire vacciner car l’immunité naturelle est meilleure. Il rapporte aussi que le vaccin ne protège pas de façon très efficace et qu’ils ont recensé beaucoup de cas Covid parmi les vaccinés. Une sœur tunisienne que nous connaissons, et qui avait chopé le Covid en Turquie voulait éviter le vaccin en France, mais ils ont refusé car le « Covid de Turquie n’est pas valable en France », aucun sérieux scientifique, même là, c’est encore politique. De nombreux médecins disent que l’immunité naturelle est meilleure et moins dangereuse que la vaccination, mais les autorités politiques contredisent les précautions médicales et les données scientifiques. (https://www.facebook.com/ahcene.kerbadj.1/posts/575599117065764?comment_id=576353696990306&__cft__[0]=AZWP2aT7OIXhmkfCfnWaSGLZFVToGuaKBNbDOQCv46Lj7Z8AL9ig6uCL1VFlJUQ7tOhZVqfckrTF9eKP6VlahaIf74zFjfU26gCptvt0t1bHi687-f_J2S3Or3aASTAhe7s&__tn__=R]-R).

Le virologue, biophysicien et microbiologiste Jean-Michel Claverie affirme (et confirme) aussi que l’immunité naturelle est plus efficace contre le Covid et ses variants, que le vaccin (efficace en théorie contre la première forme du virus mais nettement moins efficace, – selon les données recensées – contre les variants) et ne comporte pas les nombreux risques du vaccin. On sait par ailleurs que de nombreux vaccinés contractent, ou recontractent, le Covid et ses symptômes (légers ou graves selon les cas) et qu’ils peuvent toujours décéder du Covid mais aussi du vaccin, donc avec un risque accru pour leur santé et celle des autres. (“Vaccination des enfants : pour ou contre”, Cnews, 6 septembre 2021 : https://www.dailymotion.com/video/x83z4jo).

Le Dr. Martin Kulldorffprofesseur à la Harvard Medical School expert en biostatistique, et épidémiologiste, et qui a cosigné La Déclaration de Great Barrington (un texte qui met en cause les politiques de confinement général à travers le monde pour leurs effets délétères) a affirmé aussi le 6 août 2021 que les personnes vaccinées avaient 6,72 fois plus de chance d’être infectées par le Covid (et développer des symptômes) que des personnes qui ont développé une immunité naturelle par rapport au Covid : « Vaccinated people were 6.72 times more likely to get infected than those with natural immunity from prior #COVID disease » (https://twitter.com/martinkulldorff/status/1423630939222122496) montrant ainsi la supériorité de l’immunité naturelle sur le vaccin, et sans les effets secondairs. Il dénonça aussi les effets délétères du port prolongé du masque et du confinement sur la santé physique et mentale, – ayant causé de nombreux décès à travers le monde -, et n’est pas favorable à la vaccination pour les jeunes. Ses conclusions scientifiques sont partagées aussi par le Dr. Michael Levitt, biophysicien, biologiste et chimiste, – et prix Nobel de chimie en 2013 -, qui avait aussi relayé des études indiquant que les personnes vaccinées après 1 dose avaient des risques accrus d’être infectées par le Covid, notamment du Professeur Shahar le 23 septembre 2021 : « Israel data: another piece of evidence of increased risk of infection after dose 1. See text in Figure, which was taken from @OS51388957 » (https://twitter.com/prof_shahar/status/1440855916140662786).

Fin août 2021, une étude israélienne portant sur plus de 779 000 personnes concluait aussi à la supériorité d’une immunité naturelle par rapport au vaccin : « Les personnes ayant été atteintes de la Covid seraient mieux protégées contre le variant Delta que celles immunisées avec le vaccin Pfizer-BioNTech, selon des résultats préliminaires publiés sur la plateforme medRxiv. L’étude, menée sur 779.000 personnes en Israël, est la plus vaste à ce jour comparant l’immunité naturelle et l’immunité vaccinale. Elle montre que les patients vaccinés avec deux doses de vaccin Pfizer (le seul utilisé en Israël) ont 13 fois plus de risque d’être infectés par le variant Delta, comparativement aux personnes atteintes par le virus lors des vagues de janvier ou février 2021. Le risque est encore 5,96 fois plus élevé comparé aux individus touchés lors des vagues de 2020, où d’autres variants étaient en circulation, et 7,13 fois plus élevé concernant les formes symptomatiques. (…) ». (“Une infection à la Covid-19 protégerait mieux du variant Delta que le vaccin Pfizer”, Futura-Sciences, 31 août 2021 : https://www.futura-sciences.com/sante/breves/coronavirus-infection-covid-19-protegerait-mieux-variant-delta-vaccin-pfizer-5028/). La fin de l’article, visant à satisfaire les exigences de Pfizer, est biaisée et très hypothétique, sur l’importance de poursuivre la vaccination ou de rajouter une dose vaccinale aux non-vaccinés ayant déjà contracté le virus, alors que des médecins ainsi que l’OMS (mais qui change trop souvent d’avis…) mettaient en garde contre cela.

Des pays comme le Japon, l’Australie, la Norvège, la Corée du Sud et Taïwan, dont la population est en majorité non-vaccinée, avaient déjà su maîtriser la situation et le nombre de morts lié au Covid était inférieur à celui des pays européens comme la France ou l’Italie, pour une population pourtant plus importante au Japon. Ainsi, avant la phase vaccinale, le Covid ne constituait déjà plus une menace « inquiétante » ni l’une des principales causes de mortalité dans ces pays. La Norvège avait d’ailleurs clairement renoncé aux vaccins impliqués très tôt dans la mort ou l’apparition de complications graves chez les premiers vaccinés, notamment AstraZeneca et Johnson & Johnson dont la Norvège a cherché à vite s’en débarrasser, après la mort de plusieurs jeunes (qui étaient en bonne santé) à cause de ces vaccins (“Covid-19 : la Norvège renonce au vaccin d’AstraZeneca et suspend celui de Johnson & Johnson”, Le Figaro, 12 mai 2021 : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/covid-19-la-norvege-renonce-au-vaccin-d-astrazeneca-et-suspend-celui-de-johnson-johnson-20210512).

Pour la Corée du Sud, à la mi-juillet 2021, seulement 11,6% de la population (soit près de 6 millions de personnes) était complètement vaccinée, et depuis la phase vaccinale, on recense quelques décès supplémentaires liés au Covid (“Covid-19 : le nombre de nouveaux en Corée du Sud atteint un niveau record de plus de 1.400”, Yonhap News Agency, 13 juillet 2021 : https://fr.yna.co.kr/view/MYH20210713025900884) tandis que l’on suspecte aussi de nombreux morts vaccinés – un peu plus de 224 au mois de juin 2021 – (“La Corée du Sud reconnaît le premier décès après vaccination”, Yonhap News Agency, 22 juin 2021 : https://fr.yna.co.kr/view/MYH20210622003900884), tandis que les non-vaccinés qui meurent du Covid en Corée du Sud restent rares.

Malgré des populations fortement vaccinées (Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Israël, …), on recense une explosion de contaminations du variant Delta, et cette augmentation de contamination a été observée au Japon aussi, surtout depuis les JO (avec l’arrivée de nombreuses personnes vaccinées). “Covid-19 : une semaine après le début des JO, le Japon étend l’état d’urgence”, France 24, 30 juillet 2021 : https://www.france24.com/fr/asie-pacifique/20210730-covid-19-une-semaine-apr%C3%A8s-le-d%C3%A9but-des-jo-le-japon-%C3%A9tend-l-%C3%A9tat-d-urgence

La situation au Maghreb (surtout l’Algérie et la Tunisie) est toute autre. La situation avait été sous contrôle avant la campagne vaccinale, depuis le mois de juin, le nombre de décès liés au Covid (vaccinés ou non-vaccinés) est alarmant, mais cela s’explique aussi beaucoup par un système de santé à la dérive et de très mauvaise qualité, et des pays où l’insalubrité est répandue, ces pays étant alors facilement débordés en cas d’épidémies. L’influence française, empêchant le développement des infrastructures et des systèmes de santé dans ces pays, et soutenant tous les systèmes corrompus et autoritaires, y est pour beaucoup dans cette situation. Néanmoins, nous connaissons aussi des familles en Algérie et en Tunisie, qui voient et connaissent des personnes vaccinées qui décèdent en nombre conséquent, contaminant également des enfants, certains médecins sur place font l’hypothèse que les vaccinés contaminent les autres avec un variant qui détruit les poumons en l’espace de quelques jours. La vaccination n’empêche donc pas le nombre de morts ni l’augmentation de la contamination, certaines données indiqueraient même que la vaccination dans certains cas, empirerait la situation, comme au Maroc puisque malgré la vaccination massive la situation est catastrophique : explosion de décès et de contamination, Casablanca ville la plus vaccinée du pays paie un lourd tribut : 92 nouveaux décès, 240 nouveaux cas graves ou critiques, 10 609 nouveaux cas confirmés (“Covid-19 / Maroc : La situation épidémiologique au 7 août 2021 à 16H00 ( Un record de décès : 92 )”, Aujourd’hui Le Maroc, 7 août 2021 : https://aujourdhui.ma/societe/covid-19-maroc-la-situation-epidemiologique-au-7-aout-2021-a-16h00-un-record-de-deces-92

Ainsi, beaucoup de pays orientaux, moins touchés par les « morts Covid » que des pays occidentaux, sont aussi des pays où la majorité de la population n’est pas encore vaccinée, et où au Japon cela s’explique aussi « par une méfiance ancienne à l’égard des vaccins après des scandales dans les années 1970 et 1980, et qu’il s’est aussi heurté à un manque de personnels médicaux » (“Chine, Japon, Corée du Sud : comment l’Asie a accéléré sa campagne de vaccination après un retard à l’allumage”, Le JDD, 23 juin 2021 : https://www.lejdd.fr/International/Asie/chine-japon-coree-du-sud-comment-lasie-a-accelere-sa-campagne-de-vaccination-apres-un-retard-a-lallumage-4053530), et vers la fin du mois de juillet 2021, la population japonaise était vaccinée à seulement « 22% » (“Vaccination: le Japon compte seulement 22% de sa population pleinement vaccinée”, BFMTV, 22 juillet 2021 : https://www.bfmtv.com/international/asie/chine/vaccination-le-japon-compte-seulement-22-de-sa-population-pleinement-vaccinee_VN-202107220417.html). Coïncidence ou corrélation, l’augmentation du nombre de cas (décès et contaminations) coïncide souvent avec le nombre de personnes nouvellement vaccinées… A l’heure où le virus initial ne tue presque plus les personnes (notamment les jeunes et adultes en bonne santé), et qu’il a été prouvé que l’efficacité des vaccins contre les autres variants était assez faible, quelle est donc « l’urgence » ou la « nécessité » médicale qui imposerait une campagne de vaccination massive, – avec cette fois-ci, des morts et complications graves chez les vaccinés -, on sort donc du cadre sanitaire, pour s’emprisonner dans des considérations économiques et (géo)politiques.

Il est aussi très grave et dangereux de ne pas écouter les autres points de vue émanant de scientifiques sérieux, car certains médias n’hésitent pas à relayer des articles surfant sur la méconnaissance en matière de santé et sur un manque affolant de prudence, comme dans cet article dangereux et irresponsable paru sur le média La Libre (média belge) le 26 juillet 2021 intitulé Les vaccins contre le Covid-19 augmentent-ils les risques d’infertilité, fausse couche ou dérèglement menstruel ? (https://www.lalibre.be/planete/sante/2021/07/26/les-vaccins-contre-le-covid-19-augmentent-ils-les-risques-dinfertilite-fausse-couche-ou-dereglement-menstruel-NWXCBPGKABB5VHHD6RD2XR4TZM/) incitant notamment les femmes enceintes à se faire vacciner en priorité : « Le double avantage de la vaccination des femmes enceintes. Pour l’épidémiologiste à l’ULB, Muriel Moser, la vaccination pour les femmes enceintes représente un double avantage : “on empêche les femmes de contracter la maladie à près de 95% et on protège aussi les bébés après la naissance : il y a des anticorps qui passent à travers le placenta ou dans le lait si la mère allaite”. Attraper le Covid-19 peut être dramatique si l’on est enceinte. Les cas de formes graves du coronavirus étant plus élevés pour elles que pour le reste de la population, rappelle l’Organisation Mondiale de la Santé, et “pas seulement chez les femmes enceintes ayant des comorbidités comme l’obésité ou le diabète”, précise la gynécologue Dr. Oranite Goldrat. Une étude internationale publiée en avril 2021 dans la revue scientifique JAMA Pediatrics a ainsi montré une augmentation de la mortalité maternelle et des accouchements prématurés chez les femmes ayant contracté le Covid-19 pendant leur grossesse. Face à ces risques, le CSS a estimé en avril dernier que toutes les femmes enceintes étaient prioritaires à la vaccination par rapport à une femme non enceinte. Se faire vacciner contre le Covid-19 en début de grossesse augmente les risques de fausses couches. Plusieurs informations circulant sur les réseaux sociaux reviennent sur le fait de devoir respecter un nombre minimum de semaines d’aménorrhée avant de se faire vacciner contre le Covid-19. “Ce délai était surtout un principe de précaution au début de la campagne vaccinale” estime le Dr. Oranite Goldrat. “Aujourd’hui, avec toutes les études menées et les vaccinations effectuées sans que l’on ait observé de risques particuliers, ce délai du premier trimestre de grossesse n’est donc plus la règle aujourd’hui en Belgique”. Même discours en France, où le ministre de la Santé, Olivier Véran, a réaffirmé le 20 juillet dernier que la vaccination était ouverte aux femmes enceintes dès le premier mois de grossesse. Certains médecins comme le docteur Isabelle Dehaene, gynécologue à l’UZ Gent, prônent une vaccination “avant le troisième trimestre de grossesse” durant lequel les effets secondaires graves du coronavirus “sont plus élevés pour le bébé” ».

Or de nombreux médecins s’insurgent contre de telles déclarations, scientifiquement fausses ou contestables. Nous savons désormais que dans les conditions réelles et à grande échelle, ces vaccins n’accordent pas de grande efficacité, que les variants Alpha et Delta tuent « très peu » de jeunes et d’adultes en bonne santé, et que donc ces vaccins ne sont pas nécessaires, mais où les effets secondaires et les décès sont déjà très importants aujourd’hui. Or, avant de dire qu’un vaccin est « globalement » inoffensif, il faut en être sûr, c’est-à-dire mener de longues études sur plusieurs années, sur des millions de personnes, ce qui n’a pas été fait, donc la précaution médicale et sanitaire ici n’a pas du tout été respectée, et les affirmations gratuites pour défendre cette pratique sont fausses ou a minima très contestables. De nombreuses femmes vaccinées ont déclaré avoir fait des fausses couches et on sait que ces vaccins entrainent de nombreuses perturbations menstruelles chez un certain nombre de femmes, ce que confirme l’ANSM, bien qu’ils pensent, – sans aucune certitude scientifique – que ces effets (assez nombreux) ne sont que temporaires et disparaissant au bout de quelques jours, ce que de nombreux témoignages démentent déjà. Des médecins, des spécialistes et des internautes ont donc raison de se méfier et de ne pas se faire vacciner en cas de grossesse, puisque l’on interdit la prise de certains médicaments (pouvant entrainer des complications graves, voire même la mort), alors qu’ici, il n’a pas en amont, le recul nécessaire sur les effets secondaires, et qu’aujourd’hui, nous connaissons déjà une partie des complications graves et légères causées par ces vaccins, – il reste encore à en définir l’ampleur mais elle est déjà anormalement élevée même pour des vaccins ! -. Des oncologues s’inquiètent d’ailleurs des complications graves pour les femmes enceintes. Des études indiquaient pourtant que les résultats préliminaires concernant l’innocuité ces vaccins pour les femmes enceintes n’étaient pas du tout établies (voir “Preliminary Findings of mRNA Covid-19 Vaccine Safety in Pregnant Persons”, New England Journal of Medecine, 2021 Jun 17;384(24):2273-2282. doi: 10.1056/NEJMoa2104983. Epub 2021 Apr 21 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33882218/) !  Le Dr. Peter A. McCullough (médecin universitaire, professeur à la faculté de Médecine d’A&M du Texas et cardiologue) dans une longue interview donnée le 19 mai 2021 à John Leake à Dallas (au Texas – USA) dénonçait aussi cette folie à propos d’injecter ces vaccins aux femmes enceintes ainsi que le fait que ces vaccins, en mai 2021, avaient déjà tué plus de 4000 américains peu de temps après leur injection, et environ 10 000 européens au même moment, alors que pour tous les autres vaccins, les injections étaient arrêtées en cas de quelques dizaines ou centaines de morts, et que de plus, de nombreux virologues et médecins (dont des prix Nobel) affirmaient qu’il ne fallait pas vacciner la majorité de la population, d’autant plus que le virus initial avait déjà totalement (ou presque) disparu, et que la vaccination massive pouvait entrainer la prolifération de nouveaux variants, – ce que nous constatons aujourd’hui -, soit plus contagieux (mais moins létaux) soit encore plus virulents et mortels selon les cas. Selon lui toujours, le nombre de morts liés au Covid-19 aux USA durant la première année de la pandémie est lié aux décisions politiques et aux instances médicales qui disaient aux personnes malades de rester chez elles et de venir à l’hôpital que s’ils étaient sur le point de mourir, empêchant ainsi d’une part les traitements préventifs, et propageant la contagion d’autre part (membres de la famille, taxi, SAMU, etc. qui conduisaient dans les hôpitaux les malades déjà fortement infectés). Aucun traitement (pour faciliter la respiration, renforcer le système immunitaire, …) ne leur était conseillé ou prescrit, ce qui ne pouvait qu’empirer la situation et donc conduire à ce bilan désastreux pour les Etats-Unis, et même pour la France durant la même période. -. (cf. https://odysee.com/@corona_research:6/mccullough_itw:d?src=embed).

L’ANSM ne recense pas tous les cas avérés, et jette souvent (étrangement) la suspicion assez gratuitement sur les corrélations entre les décès/complications et les vaccins, – même s’il faut rester prudent en effet – avant de les confirmer en partie quelques mois ou années plus tard quand il n’est plus logiquement et empiriquement possible de le nier. Cette « suspicion » va toujours (ou presque) dans un seul sens, et jamais contre les bénéfices théoriques des vaccins à ARNm contre le Covid-19, et qui, dans la réalité, ne se montrent pas si efficaces que ça.

Dans nos contacts, une personne non-vaccinée avait attrapé le Covid (fin juillet) et avait été hospitalisée environ 10 jours (jusque début août), – des jours pénibles à vivre pour lui -, et une autre personne, – lui répondant dans une discussion -, quant à elle vaccinée, avait attrapé quand même le covid à 3 nouvelles reprises, avec des symptômes graves et similaires (durant en moyenne 3 jours), comme pour beaucoup de non-vaccinés qui attrapaient le Covid. Dans un cas comme dans l’autre, la souffrance n’est jamais agréable, mais le vaccin n’est pas la solution « miracle » qu’on nous vend, – même s’ils prennent soin désormais d’avertir sur le fait que le vaccin comporte des risques aussi ni qu’il n’offre une protection « optimale » -. Il faut faciliter la vie aux vaccinés comme aux non-vaccinés, et non pas livrer une guerre « (in)humaine » aux non-vaccinés ou aux vaccinés, ni les faire culpabiliser.

Comme on peut le voir, il n’y a pas d’un côté les « scientifiques, gens bienveillants et cultivés » (pro-vax) et les « obscurantistes, fous furieux, ignorants ou égoïstes » (anti-vax), et d’après nos recherches et observations tout autour de nous et sur Internet, on trouve aussi bien des gens naïfs, délirants, ignorants ou sans esprit critique du côté des pro-vax que des anti-vax, et des gens intelligents et cultivés dans les 2 camps qui s’opposent, mais nous avons constaté aussi que les personnes ayant poussé de la façon la plus approfondie et lucide leurs recherches, avec une analyse critique (aussi bien concernant l’aspect médical, que les questions et implications éthiques, philosophiques et politiques) étaient des personnes très compétentes et qualifiées, se rangeant du côté des « anti-vax » (par rapport au Covid, et non pas forcément à la vaccination non-Covid en tant que tel). Un vrai débat existe donc, – et doit exister – mais il n’est pas voulu par beaucoup de gouvernements occidentaux impliqués dans de juteux contrats avec les lobbies pharmaceutiques, ce qui doit nous interroger, d’autant plus que les arguments les plus probants, aussi bien du point de vue scientifique qu’éthique, ne sont pas de leurs côtés. Aussi, beaucoup de personnes hésitantes le sont justement pour avoir mené des recherches approfondies de spécialistes, – avec les désaccords qui caractérisent leurs postures respectives – et en raison des premières retombées négatives, ainsi que des mensonges et contradictions des autorités politiques occidentales qui ont accompagné et entouré toute la propagande vaccinale (ou campagne ; selon le point de vue envisagé).

Pour éviter les débats de fond, les pro-vax vont taxer leurs détracteurs de « complotistes » par commodité (s’épargnant le débat critique et l’humiliation sur le terrain argumentatif) et tous les mettre dans le même panier afin de les discréditer d’emblée, – un peu comme les médias et politiciens véreux qui taxent « d’islamistes » tout musulman trop critique et « d’islamogauchistes » tout intellectuel islamophobe ou « neutre » qui ne s’aligne pas sur le fanatisme politique des personnalités islamophobes -. Certains anti-vax par contre, vont eux aussi répandre des fakes news, commettre des syllogismes, refuser le vaccin pour préserver leur santé (tout en s’empoisonnant au fast food, au tabac, à l’alcool, à la drogue, aux médicaments, …), ignorer des données et réalités médicales et scientifiques ou croire sur parole tout ce qu’ils peuvent lire ou entendre, sans aucun esprit critique, ou en distinguant pas les causes des effets, la réalité scientifique des intérêts politiques (qui peuvent parfois instrumentaliser des faits scientifiques bien établis, sans devoir les inventer ou déformer de toute pièce), autant de défauts que l’on peut retrouver aussi chez de nombreux pro-vax. Les vaccins n’ont jamais été sans risque, mais il y a l’application du principe lié à la balance bénéfice/risque, raison pour laquelle on ne prescrit pas non plus un certain nombre de médicaments à de nombreux patients, car ces médicaments peuvent comporter des risques inutiles pour des patients plus fragiles alors qu’il existe d’autres alternatives et que leur prognostique vital ne sont pas engagés. C’est au rôle du médecin (averti et clairvoyant) de prescrire au cas par cas, le traitement adéquat, et là, la vaccination massive de façon uniforme et irresponsable cause plus de dégâts (et favorise aussi l’apparition de variants dans certains cas) que de bienfaits, surtout pour des personnes qui étaient en bonne santé et qui étaient immunisées contre le virus (du moins contre les formes graves), où le vaccin engendre donc des risques graves inutiles.

Comme le disait le médecin Ahmed Amine Khelifa le 6 juillet 2021 (que nous connaissons) : « Dans ce genre de situation, il y a deux approches qui sont souvent mélangées dans la tête des gens y compris chez des professionnels de santé.

1- A l’échelle de la santé collective (épidémiologie, santé publique): il sera toujours aisé de prouver que le nombre de morts par Covid19 est mille fois supérieur au morts suite aux vaccin dans l’hypothèse où on concède qu’il y a un lien de cause à effet entre vaccination et morts par AVC, thromboses…etc.

Le même lien de cause à effet de morts par Covid19 n’est pas tellement recherché et vérifié car on taxe facilement mort de Covid19 toute personne décédée ayant eu un test PCR+.

A ce niveau-là, le nombre de morts par Covid19 (comptabilisés sur base des tests PCR en règle générale) sera toujours supérieur au nombre de morts suite à la vaccination.

Conclusion : la vaccination [nda : si son efficacité est prouvée et qu’elle ne comporte pas une technologie pour laquelle nous n’avons pas de recul] s’impose en termes de santé publique.

2- A l’échelle d’un individu lambda (ça relève de la médecine ici) : la réflexion devrait prendre une autre dimension.

Il est tout à fait logique de proposer de vacciner la personne si elle est à risque (âgée, poly-pathologique ou obèse).

Par contre si elle est jeune et en bonne santé, lui proposer la vaccination n’est pas pertinent voire dangereux sauf si la personne le demande pour protéger les autres par convection altruiste en connaissance des risques qui sont maintenant connus mais sous-médiatisés.

NB: La pharmacovigilance donne un aperçu en deçà de la réalité et malgré ça les cas graves sont loin d’être négligeables à l’échelle de la réflexion individuelle (à l’échelle collective ils seront toujours de l’ordre de 0.00X).

Toute la problématique et qu’il y a une volonté d’annihiler cette réflexion à l’échelle individuelle que le médecin doit faire avec son malade au cas par cas pour imposer la seule approche collective comme paradigme via une propagande de plus en plus agressive.

 C’est un drame de ne pas laisser les médecins prescrire des traitements qui fonctionnent selon les règles de la médecine basée sur les preuves si chères pour les gens de Bigpharma quand ça les arrange. Mais en l’état l’équation est réduite à ce qui est imposé. Il y a une différence entre le vaccin tue et expose à un risque de mort.

A l’échelle collective le nombre de morts par virus est une évidence absolue même s’il est incontestable qu’il y a une surestimation du nombre de morts pour des raisons politiques (manipulation des cycles de détection de la PCR par exemple). Même avec cette précaution, le virus a fait des ravages que j’ai constaté moi-même et je suis le dernier à écouter la propagande. Je me suis occupé d’une unité Covid, donc c’était mon quotidien lors de la première vague. J’ai des preuves formelles que le Sars-Cov2 tue (mes propres patients dont certains moins de 50 ans , dont j’ai constaté les dégâts pulmonaires au Scanner). Ça fait 20 ans que j’exerce dans les hôpitaux français (…) Je reconnais qu’il y a récupération politique et même des manipulations et de la corruption y compris à une échelle internationale via l’OMS et organismes affiliés. (…) Cette affaire aurait dû être laissé aux médecins généralistes et non aux politiciens mais comme vous dîtes la crise doit profiter à certains.

Vous pouvez suivre les rapports de pharmacovigilance, qui par définition sont faits sur la base du volontariat, et donc il y a une sous-estimation des effets secondaires (le formulaire est long à remplir et donc très décourageant). Malgré cela nous avons des cas graves de myocardites : 45 cas sur juin par exemple dont 14 cas chez des jeunes de moins de 30 ans. L’ANSM va essayer de noyer le poisson en disant ça reste rare, mais rare par rapport à quoi ? Ils ont toujours comme repère le nombre de morts par Covid19 qui concerne 98% des personnes âgées. Donc 14 cas de myocardites chez des jeunes de moins de 30 ans, c’est trop, c’est énorme, ça ne devrait pas exister. C’est pour ça qu’il faudrait faire du cas par cas : une infirmière en surpoids qui travaille aux urgences ou en réanimation ne devrait pas être traitée comme une femme du même âge qui bosse ailleurs. Une personne âgée en maison de retraite (collectivité) ne devrait pas être traitée comme une personne âgée autonome chez elle. Vouloir vacciner tout le monde c’est du délire surtout ce n’est pas un vaccin anodin comme celui contre la grippe. Les chiffres sont publiés régulièrement en pdf sur le site officiel de l’ANSM (https://ansm.sante.fr/actualites/point-de-situation-sur-la-surveillance-des-vaccins-contre-la-covid-19-periode-du-11-06-2021-au-24-06-2021) mais ça fait tilt à personne ». Néanmoins certains hôpitaux n’étaient pas surchargés (certains étaient même pratiquement vides), et en fin d’année les hôpitaux sont souvent débordés en raison de plusieurs virus (grippes notamment) et maladies, en plus du fait que les médias ont engendré une ambiance propice à la psychose et à l’effet nocebo, incitant les citoyens qui pensaient avoir des symptômes, à se rendre à l’hôpital. Par ailleurs, le nombre de cas graves avait déjà diminué avant la campagne de vaccination, et des pays non-vaccinés ou avec peu de gens vaccinés, et imposant moins de confinement, ont connu de biens meilleurs résultats que des pays qui ont fortement vacciné et confiné leur population (comme l’UK, Israël, etc.). Près d’1 mois après la publication de ce texte (écrit par le médecin Khelifa), les cas d’effets secondaires graves et de morts liés aux vaccins ont explosé, et de plus en plus de victimes prennent la parole et témoignent. Nous sommes en contact avec plusieurs chercheurs et spécialistes dans le monde, et ils disent que pour les jeunes, ces vaccins (qui sont toujours en phase de test jusqu’en 2023) peuvent être très dangereux. Nous avons personnellement failli perdre des proches à cause du vaccin. Et parmi nos proches, des amis ou des proches à eux ont perdu la vie peu de temps après s’être fait vaccinés, sans qu’une autre cause soit détectée/identifiable. Il n’existe aucun consensus scientifique là-dessus mais beaucoup de médecins, généticiens, biologistes, neurologues et épidémiologistes mettent en garde contre ces vaccins, surtout pour les jeunes et les autres personnes non à risque. Il ne faut donc pas imposer aux gens l’obligation de se faire vacciner par ces « vaccins », car ils auraient alors plusieurs morts ou cas graves (avec des effets irréversibles) sur la conscience. Chacun doit agir en son âme et conscience sachant que le virus même en cas de vaccination peut circuler, et selon la version officielle, ne tuera (avec très peu de chances) que les non-vaccinés, donc ce vaccin n’annihile pas la contagiosité du virus, donc cette volonté de forcer les gens à se vacciner n’a aucun sens médicalement parlant, et risque même de favoriser l’apparition de nouveaux variants et de mutations, plus graves, ou de tuer ou d’affaiblir des jeunes qui étaient en bonne santé avec la vaccination anti-covid. Tout est fait pour culpabiliser les jeunes non-vaccinés qui ne sont pourtant pas à risque, et dont la vaccination n’empêche pas la contamination…Et c’est scandaleux. Certains pro-vax semblent ne pas se soucier des milliers de vaccinés décédés du vaccin alors qu’ils n’étaient pas à risque, des dizaines de milliers de jeunes qui souffrent du vaccin (des effets très graves), etc., comme si cela n’était pas important alors que leur vie (avant la vaccination) n’était pas en danger ! Il faut avoir une vision d’ensemble, et après recherches approfondies, il faut savoir assumer ses choix (vaccin ou anti-vaccin, le risque 0 n’existe pas dans le domaine médical). Personnellement, nous suivons des spécialistes et médecins très compétents, très loin des délires new-âge et « complotistes » et qui ne cherchent nullement à faire le buzz, et qui sont sur le terrain et dans la recherche médicale, en première ligne.

Ce qui a été prouvé par contre, du côté « pro-vax » concerne surtout les manipulations et dérives politiques en tous genres, et la violente propagande « vaccinale » à coup de chantages, de licenciements, d’appels à la terreur et à la peur, aux fakes news, des cafés gratuits, des bons d’achat ou des tickets de loterie.




Pourquoi autant d’efforts pour convaincre ou contraindre des gens à suivre une piste pouvant leur être fatale et où la balance bénéfice/risque ne penche pas en faveur du vaccin ? Car le bon sens et la science admettent difficilement les théories et fakes news répandues dans les médias mainstream et certains gouvernements (qui ont des contrats avec des lobbies pharmaceutiques).

Les « pro-vax » mettent en avant parfois des personnes regrettant ne pas s’être vaccinées (15), on trouve également des centaines de milliers de personnes qui témoignent depuis quelques mois, du profond regret qu’ils ont d’avoir accepté la vaccination (maladies graves, décès de leurs proches liés au vaccin, etc.) (16). Ce qui est certain, c’est que les décès et effets secondaires liés à la vaccination sont nombreux, que de nombreux experts l’interdisent pour les jeunes (enfants et jeunes adultes) ainsi que pour des personnes adultes (jusqu’à 65 ans souvent) qui sont en bonne santé, car le vaccin augmente les risques de mortalité et de complication tandis que le virus tue très rarement les personnes en bonne santé. Il demeure néanmoins des incertitudes et des questions en suspens, pourquoi de nombreux vaccinés décèdent tandis que d’autres ne décèdent pas, et parmi ceux qui sont encore vivants, quelques millions souffrent d’effets secondaires (graves ou légers) tandis que d’autres n’ont observé aucun souci de santé ? Se pourrait-il que tous les stocks de vaccin ne contiennent pas le même dosage ou les mêmes substances, – pour diverses raisons (économie des coûts, expériences à grande échelle, erreurs humaines, « accidents », etc.) ? En juillet 2021, aux Etats-Unis, la scientifique Jane Ruby citait une étude espagnole menée par l’université d’Alméria indiquant avoir trouvé de l’oxyde de graphène en grande quantité (qui peut devenir un poison) dans certains échantillons analysés (du vaccin Pfizer) comme elle l’affirmait dans l’émission du 11 juillet 2021 sur Stew Peters Show. Cette affirmation a été partiellement démentie par l’AFP (mais avec des lacunes dans le démenti et encore quelques zones d’ombre) (17), mais évidemment, même si cela s’avérait fondé, cela ne concernerait pas la totalité des vaccins, – sinon ses effets délétères auraient touché pratiquement tous les vaccinés -, mais cela pose tout de même la question de savoir si tous les vaccins d’une même compagnie sont identiques en tous points, – alors qu’il est difficile de tous les contrôler et les vérifier en laboratoire -.

A l’affirmation : « Mais comment osez-vous contredire le consensus scientifique !? », nous répondrons qu’ils doivent s’intéresser à l’histoire des sciences qui est une succession de paradigmes dominants (proches du consensus d’une époque ou d’une région) qui ont évolué au cours du temps, et où des milliers de chercheurs et savants adhéraient en une théorie qui fut ensuite (majoritairement) abandonnée, révisée ou totalement infirmée (on peut ainsi citer le géocentrisme abandonné pour l’héliocentrisme, l’âge de l’univers et de la terre, l’univers statique et « éternel » abandonné au profit de l’univers en expansion et né du Big Bang, la théorie des humeurs en médecine, l’éther, …). Quant au cas de la médecine en général et du Covid en particulier, il n’existe aucun consensus, – rien que pour la question de la génétique, du lait, des cancers, des virus et des variants il existe de nombreuses études contradictoires publiées dans de nombreuses revues scientifiques -, et pour le Covid, ce sont facilement des milliers d’experts, qui dans chaque pays, s’opposent à la version officielle adoptée par de nombreux gouvernements dans le monde (connus pour leur soumission aux multinationales, leurs mensonges, leurs délits et leurs dérives en tous genres).

Et ce qui était qualifié de « fakes news » encore il y a peu par un certain nombre de médias et de députés, a été confirmé récemment par plusieurs études scientifiques : « Le variant Delta du Covid-19 est aussi contagieux que la varicelle, a probablement des effets plus graves que ses prédécesseurs et les personnes contaminées semblent autant le transmettre qu’elles soient vaccinées ou non, selon des documents officiels américains.

Ces constats, qui s’appuient sur des études scientifiques, figurent sur une présentation circulant en interne au sein des Centres de prévention et de contrôle des maladies (CDC), principale agence sanitaire des Etats-Unis.

Révélés par le Washington Post, ces documents, dont l’authenticité a été confirmée à l’AFP, s’accompagnent d’une mise en garde à l’égard des responsables: “la guerre a changé”.

La directrice des CDC s’est appuyée sur ses conclusions pour recommander à nouveau, depuis deux jours, le port du masque en intérieur même pour les personnes vaccinées.

La contagiosité est la même, que l’on soit vacciné ou non. La présentation s’appuie notamment sur une analyse menée à Provincetown, dans l’Etat du Massachusetts, où près de 900 cas de Covid ont été dépistés après les festivités de la fête nationale du 4 juillet, bien que les trois-quarts de la population ait été vaccinée. Or, il n’y avait “pas de différence” dans la charge virale des personnes vaccinées ou non vaccinées, selon la présentation des CDC, ce qui semble indiquer un même degré de contagiosité quel que soit le statut vaccinal. (…) Ce constat “est le facteur principal du changement des recommandations du CDC” sur le masque, explique à l’AFP Celine Gounder, spécialiste des maladies infectieuses à l’université de New York: (…) Par ailleurs, les documents du CDC montrent que les contaminations de personnes vaccinées ne sont pas aussi rares qu’on le pensait avec “35.000 infections symptomatiques par semaine sur les 162 millions d’Américains vaccinés”.

Aussi contagieux que la varicelle. Sur la base d’études internationales, les CDC jugent que le Covid était initialement à peu près aussi contagieux que la grippe, mais est devenu comparable à la varicelle (une personne contaminée par le variant delta le transmettant à huit autres en moyenne) toujours en deçà de la rougeole. Des données du Canada, de Singapour et d’Ecosse suggèrent qu’il pourrait être plus dangereux, avec davantage d’hospitalisations et de morts. L’efficacité des vaccins varient (…) » (18). L’article révèle donc l’inefficacité relative du vaccin, et tente tout de même d’en défendre les vertus, – comme pour montrer patte blanche aux lobbies pharmaceutiques et pour ne pas trop pointer du doigt l’ignorance des autorités et l’impasse dans laquelle ils se sont engouffrés par fanatisme alors qu’ils montraient une telle assurance au début – à la fin de l’article, avec des chiffres contestables, puisqu’ils omettent de préciser que la plupart des vaccinés ne se font plus tester, ce qui ne permet plus d’atteindre les 90% d’efficacité (car ne prenant en compte que les vaccinés qui se font tester, qui ne sont plus qu’une minorité, puisque les vaccinés sont rarement testés dans les aéroports, les douanes, les boites de nuit, les restaurants, etc.).

Les contrats imposés aux états par des firmes comme Pfizer expliquent en partie cela : « Extrêmement contraignants pour les États qui les ont signés, les contrats Pfizer semblent les avoir ligotés. Quelques explications qui s’appuient sur les tweets de Marceau qui a traduit et commenté ces révélations faites sur Twitter. (…) Tout d’abord, on note que le coût de développement des contrats est très élevé et prend beaucoup de temps (cycles de relectures juridiques). Pfizer, comme toutes les entreprises, développe un modèle d’accord standardisé et utilise ces accords avec des ajustements relativement mineurs dans différents pays. Ces accords sont supposés être confidentiels… Mais comme vous êtes sur le point de le voir, il y a une bonne raison pour laquelle Pfizer se battait pour en cacher les détails.

Pour commencer, parlons du produit : l’accord couvre non seulement la fabrication des vaccins contre le Sars-COV-2 et ses mutations, mais également tout « dispositif, technologie ou produit utilisé pour l’administration ou pour améliorer l’utilisation ou l’effet d’un tel vaccin ».

Si vous vous demandiez pourquoi l’ivermectine a été empêchée, eh bien, c’est simplement parce que l’accord conclu avec Pfizer ne leur permet pas d’échapper à leur contrat, qui stipule que même si un médicament efficace était trouvé pour traiter le Covid-19, le contrat ne peut pas être annulé. Difficile donc, de jouer sur deux tableaux. Vous imaginez les millions de doses payées et vouées à la destruction si un traitement efficace et peu cher devait exister ?

Approvisionnement en vaccins :

    « Pfizer n’assumera aucune responsabilité en cas de non-livraison des doses conformément aux dates de livraisons estimées. Et un tel manquement ne donnera à l’acheteur aucun droit d’annuler les commandes pour toute quantité de produit »

    « Pfizer décidera des ajustements nécessaires du nombre de doses contractuelles et du calendrier de livraison dus à l’acheteur (…) sur la base de principes à déterminer par Pfizer (…) l’acheteur sera dans l’obligation d’accepter toute révision »

Pour être clair, “l’acheteur renonce à tous les droits et recours qu’il peut avoir en vertu de la loi”, et donc subira les conséquences de produits défectueux et/ou manquants si cela venait à arriver. La seule façon d’obtenir un rappel est de prouver un défaut de fabrication.

« Pour plus de clarté, l’acheteur n’aura pas le droit de rejeter un produit sur la base de réclamations de service à moins qu’un produit ne soit matériellement conforme aux spécifications ou aux standards de fabrication ». Notons toutefois que c’est une preuve difficile à apporter puisque le procédé de fabrication n’est même pas encore stabilisé.

    « Cet accord est au-dessus de toute loi locale de l’État ».

Étudions maintenant ce qui pourrait intéresser les avocats.

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus ». (…). Par ailleurs, il existe des clauses concernant la possibilité de résiliation, mais en tout état de cause, l’acheteur n’a presque rien qui puisse être considéré comme une violation substantielle (même en cas d’inefficacité des vaccins ou en cas d’effets secondaires grave/mortels), tandis que Pfizer peut facilement le faire s’il n’obtient pas son argent ou s’il le juge nécessaire. En d’autres termes, ça marche dans un sens mais pas dans l’autre…

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et d’assumer toutes responsabilités incombant à Pfizer et ses filiales (…) suite à des poursuites, réclamations, actions en justices, pertes, dommages, responsabilité, pénalités, amendes, coûts et dépenses… Le monde à l’envers, vous dites ?

L’État acheteur doit défendre Pfizer :

« Pfizer informera l’acheteur des pertes pour lesquelles il demande une indemnisation. Dès cette notification, l’acheteur assumera rapidement la conduite et la défense de ces réclamations indemnisables au nom de « Pfizer ». Cependant, Pfizer aura le droit d’assurer sa défense et l’acheteur devra payer toutes pertes, y compris et sans limitation, les honoraires d’avocat et d’autres dépenses encourues.

Pfizer s’assure que le pays en question paiera pour tout :

“Les frais et dépenses, y compris les honoraires et décaissements des avocats, encourus lors d’une plainte pouvant donner droit à indemnisation, seront remboursés sur une base trimestrielle par l’acheteur.”

Le pays acheteur est presque entièrement responsable et renonce à tout droit d’immunité. Il doit fournir à Pfizer une immunité totale contre toutes les réclamations et toutes les pertes, doit la mettre en œuvre conformément aux exigences légales ou réglementaires, et seul Pfizer peut décider du niveau de protection qu’il juge suffisant.

Par ailleurs, à l’heure où les données de santé de l’individu s’apprêtent à être de plus en plus divulguées et étudiées, la confidentialité du côté des laboratoires ne perd pas de sa valeur. Ainsi, chaque destinataire est tenu de protéger les données et les contrats avec Pfizer, et “ne divulguera les informations confidentielles qu’à ceux de ses représentants qui ont besoin de connaître ces informations confidentielles pour remplir ses obligations en vertu du présent accord”. Le contrat doit théoriquement rester confidentiel pendant 10 ans. Ce qui laisse en théorie du temps pour voir venir les effets secondaires et pour s’en prémunir.

Commentaires de l’auteur : ce contrat est simplement terrifiant et met les États à la merci de Pfizer. Des milliards de doses commandées vont être livrées sans aucun moyen pour les États de stopper l’approvisionnement. Le seul moyen de rompre le contrat est de prouver le défaut de fabrication, ce qui est virtuellement impossible. Le processus de fabrication n’est pas stabilisé donc il est impossible de démontrer que les vaccins ne seraient pas conformes. Pfizer a une immunité totale et n’est même pas responsable pour la non-efficacité de ses vaccins ou de la survenue d’effets secondaires, à court ou long terme. Les montants en jeu sont tels et les risques pour les États tellement démesurés qu’il est à présent aisé de comprendre pourquoi il n’y a pas de pharmacovigilance. Mener d’importantes études sur les effets secondaires des vaccins reviendrait, pour les États, à se tirer une balle dans le pied, puisqu’ils devraient en payer toutes les conséquences.

L’État fera donc tout pour minimiser, cacher, nier tout effet secondaire afin d’éviter les poursuites et devoir payer pour Pfizer. Les États se sont clairement mis au service du laboratoire au détriment de la santé de leurs populations (…) » (19). N’est-ce pas là odieux et scandaleux, où l’on confie la santé des gens, – sans aucun recul – à des firmes peu scrupuleuses qui ne se soucient avant tout que d’argent et de domination sans en assumer les conséquences…

Aussi, à force de ne parler que du Covid dans les médias, les gens oublient que d’autres choses tuent plus que le Covid, comme les guerres financées ou menées par l’Occident en Afrique et au Moyen-Orient par exemple (des millions de mort en à peine 40 ans), le tabac (environ 3 millions de morts rien que depuis le début de l’année 2021 jusqu’au début du mois d’Août ; cf. “Décès dus au tabagisme dans le monde”, Planétoscope : https://www.planetoscope.com/mortalite/403-.html), l’alcool (environ 3 millions de morts par an selon l’OMS, dont environ 30 000 morts rien que pour la France de Janvier 2021 à Août 2021, soit plus que le Covid, cf. “Mortalité due à l’alcool en France”, Planétoscope : https://www.planetoscope.com/mortalite/1626-.html), le VIH (près d’1 million de morts, cf. worldometers.info), les cancers (plus de 4, 8 millions de morts, cf. worldometers.info), la malaria (plus de 233 000 morts, cf. worldometers.info), le suicide (plus de 634 000 morts, cf. worldometers.info) alors que l’année n’est même pas terminée. Or, nous n’avons pas vu les autorités sanitaires et politiques, se battre pour améliorer considérablement la situation, imposer des mesures drastiques, et dépenser des milliards d’euro pour lutter contre ces fléaux, plus meurtriers que le Covid, et pour beaucoup, plus facilement évitables ! Quant à la grippe saisonnière, selon l’OMS, elle serait responsable dans le monde de 290 000 à 650 000 décès par an, et entre 3 et 5 millions de cas graves, survenant principalement dans les groupes à haut risque (personnes âgées, malades chroniques, …) comme pour le Covid et les épidémies de grippe surviennent entre octobre et avril dans l’hémisphère Nord et entre avril et octobre dans l’hémisphère Sud. Sous forme d’épidémies saisonnières classiques, la grippe touche déjà chaque année des millions de personnes dans le monde, et provoque des centaines de milliers de décès. (“La mortalité de la grippe dans le monde”, Planétoscope, base de données du 5 août 2021 : https://www.planetoscope.com/mortalite/602-.html). Si les médias auraient mis le « focus » sur la grippe ou les cancers à longueur de journée, l’hystérie et l’angoisse auraient été décuplées au sein de la population…

Quand certains veulent jouer sur la peur (quand elle est injustifiée), ils vont prendre une tournure alarmante en jouant souvent sur le pourcentage, par exemple « augmentation des morts ou des contaminations de 300% ou de 1000% en l’espace de 48 heures ! », sauf qu’il faut  interroger ces chiffres et les resituer dans leur contexte ; si on part de 0 morts/contaminés ou de 2 morts/contaminés, et que ce nombre passe à 5-10 morts/contaminés, et que c’est « contenu », ce n’est pas « alarmant », ou en tout cas, pas si « alarmant » qu’une augmentation de 5000 ou 10 000 morts ou contaminés, ce qui change considérablement la donne à l’échelle locale, régionale, nationale ou internationale. Quant aux chiffres des « non-vaccinés hospitalisés », comme l’ont rapporté des infirmiers, des patients et des médecins, cela prend souvent en compte les cas légers ou des gens qui n’ont pas été hospitalisés pour cause du Covid mais pour d’autres maladies ou problèmes ou même des accidents. En France, des médecins et spécialistes travaillant dans des hôpitaux et centres de santé nous ont confirmé l’augmentation de nouveaux cas de personnes vaccinées ayant fait des AVC, certains étant même submergés et demandant aux médecins et assistants en vacances de venir les épauler.

En lisant les articles des médias mainstream qui rapportent les décès liés aux vaccins, survenus dans de nombreux pays, les cas de myocardites, les syndromes comme celui de Guillain-Barré, les cas de thrombose, les paralysies diverses, les dérèglements menstruels, les comas, les difficultés respiratoires, l’infertilité, hépatites, la fatigue chronique, les troubles neurologiques, troubles visuels, augmentation du risque de faire des fausses couches pour les femmes enceintes et autres complications graves, qui elles sont durables et permanentes (ou très longues), contrairement aux effets secondaires temporaires (fièvres, douleurs, perturbations menstruelles, fatigue, maux de tête, …), on s’aperçoit que la liste est longue alors que le Covid-19 ne tue presque plus et que les bénéfices du vaccin sont inférieurs aux risques encourus par les vaccins, mais ces articles, n’ayant aucune vision d’ensemble, concluent, hypothétiquement, dans les bénéfices du vaccin, alors qu’ils rapportent des faits et risques majeurs bien établis sur sa dangerosité, tout en admettant l’absence réelle de recul sur ses effets sur le long terme…Ces médias rapportent des cas graves bien réels (bien que sous-évalués) mais se veulent quand même, par un tour de magie, très rassurant, tout en recommandant vivement l’inoculation d’un vaccin dont les risques majeurs ne sont pas si rares, et dont l’efficacité et la nécessité sont fortement remises en question. Il y a de quoi, encore une fois, se poser des questions. Voir notamment cet article pro-vax, “Effets secondaires vaccins Covid : hépatite et troubles menstruels après Pfizer et Moderna”, Journal des femmes, 2 août 2021 : https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2686947-effet-secondaire-vaccin-covid-pfizer-moderna-astrazeneca-janssen-hepatite-troubles-menstruels/ qui recense une liste non-exhaustive des effets secondaires légers et graves, temporaires et permanents, en sachant qu’ils ne parlent que des cas rapportés et non pas des nombreux cas qui n’ont pas été inclus dans les bases de données officielles, et qu’ils jettent quand même le doute sur certaines corrélations, pourtant hautement probables ; même avec cette approche minimaliste sur les dangers du vaccin, on constate que les dangers, risques et problèmes sont majeurs et fréquents. De même, les vaccins ont causé des complications aussi qui forçaient les gens à être amputés de leurs membres (“Minnesota medical worker has both of her legs AMPUTATED after contracting COVID-19 just days after receiving her second vaccine dose”, 26-27 juillet 2021 : https://www.dailymail.co.uk/health/article-9826739/amp/Minnesota-woman-legs-AMPUTATED-contracting-COVID-19-days-receiving-vaccine).

Et enfin, d’un point de vue économique, les vaccins coûtent cher aux contribuables (des centaines de millions d’euro ou des milliards d’euro selon les pays), à cela se rajoute des centaines de millions d’euro dans chaque pays pour la campagne vaccinale (pots de vin, clip vidéo, marketing, etc.), et encore des centaines de millions d’euro pour les dégâts liés aux vaccins (maladies et complications graves), et donc une éventuelle saturation des hôpitaux, avec l’augmentation des hospitalisations liées aux gens vaccinés. Cet argent aurait pu servir à lutter contre les facteurs de comorbidité comme l’alcool, la drogue, l’obésité et d’autres fléaux qui rendent les gens beaucoup plus fragiles face aux virus notamment, car il faut miser avant tout sur le renforcement du système immunitaire (renforcer les racines/sources) plutôt que de soigner indéfiniment des symptômes et d’être constamment « affaibli » face aux virus, qui peuvent se multiplier ou perdurer (puis muter) dans le temps… Bonne nouvelle cependant pour les pigeons (parmi les humains), Pfizer et Moderna ont décidé d’augmenter le prix de la 3ème dose. Raisons invoquées (cf. “Égalité d’accès aux vaccins / Macron, président ou influenceur ?”, 28 Minutes – Arte, 7 août 2021) pour justifier ce prix (à part de s’en mettre plein les poches sur des solutions peu efficaces voire même dangereuses évidemment) ? Garantie d’être livrés à temps, production en Europe en partie (donc ça devrait être moins cher en fait pour les européens !) et ce n’est pas le même vaccin, ils auraient été développés spécifiquement en vue de lutter contre le variant Delta (mais on n’en sait rien), qui laissera la place encore à de nouveaux variants (on parle depuis peu du variant colombien). Pfizer souhaite fidéliser sa clientèle en parlant déjà de 3ème et 4ème dose, ou d’un rappel vaccinal tous les 6 mois environ, augmentant, à chaque dose, les risques de décès et de cas graves. Une étude publiée début août 2021 dans The New England Journal of Médicine indique que les vaccinés qui ont été contaminés développeraient moins d’anticorps que les autres (notamment les non-vaccinés qui n’ont pas été contaminés) comme le relaie la chaine israélienne i24news dans l’émission Certaines personnes développeraient moins d’anticorps (https://video.i24news.tv/details/_6265700455001?lang=fr%C2%A0). L’étude indique en effet que certains vaccinés auraient jusqu’à 7 fois moins d’anticorps que les non-vaccinés, les rendant plus fragile face aux nouveaux variants et aux autres virus, et augmentant également le risque de transmission du virus aux autres personnes. Les firmes développant les vaccins y ont ainsi nettement contribué (volontairement ?), en proposant de nouvelles doses (payantes), y trouvant là un juteux marché.

Vu le nombre de décès, de complications graves et légères liées à ces vaccins, ils devraient faire comme les paquets de cigarette (dont ils ont pris des décennies avant d’en reconnaitre le caractère vraiment nocif pour la santé) : « Attention, ce vaccin peut tuer ou nuire considérablement à votre santé ». La comparaison est au moins partiellement valable, puisque le fumeur peut « contaminer » les gens autour de lui, fumer peut tuer très rapidement comme détériorer la santé sur le très long terme, etc.

Le 20 décembre 2020 en Israël, la phase de vaccination a été lancée à l’échelle nationale, et les chiffres indiquent une hausse de contamination et de décès, qui n’ont seulement n’ont pas baissé ou stagné, mais ont même considérablement augmenté en comparaison avec la période pré-vaccinale (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/israel/). On observe la même chose pour des pays comme la Turquie (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/turkey/), les Seychelles (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/seychelles/), l’Islande (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/iceland/), les Etats-Unis (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/us/), la France (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france/), le Royaume-Uni (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/uk/) ou encore l’Italie (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/italy/) des pays où la vaccination fut massive, mais où les décès et les contaminations ont augmenté par rapport à la période pré-vaccinale ! Comment expliquer cela ? Soit la vaccination a empiré la situation, – puisqu’il n’y a ni amélioration ni stabilisation -, soit un autre facteur (ou plusieurs) sont en cause, rendant le vaccin inutile, nuisible ou peu efficace face à cette épidémie, et dans tous les cas, cela ne justifierait en aucun cas une vaccination de masse, et encore moins obligatoire !

En août 2021, le Dr. Vladimir Zelenko (qui avait notamment Donald Trump comme patient) et qui est un médecin et chercheur ayant traité avec succès plusieurs milliers de patients atteints du Covid-19, montrait que ces vaccins étaient dangereux, – ayant déjà causé entre 11 000 et 45 000 personnes vaccinées (si l’on ne prend que les chiffres officiels, souvent sous-évalués, car n’enregistrant pas tous les décès ou effets graves liés aux vaccins, – directives imposées par les firmes pharmaceutiques – et pouvant monter jusqu’à 200 000 morts par « extrapolation statistiques » si on se base sur les rapports indiquant que seulement 5 à 30% des cas remontent dans les bases de données, ce qui donne une énorme sous-évaluation par rapport aux cas réel), et qu’il y avait un effort délibéré pour censurer tout rapport ou médecin incriminant les lobbies pharmaceutiques et exprimant des doutes (avérés) sur ces vaccins (https://odysee.com/dr-zelenko:a6d1f62ee70cefd74d04efc5c0d2d0f7a75875bc?src=embed), ce que des spécialistes, médecins, infirmiers, secrétaires médicaux, ambulanciers, etc. nous ont aussi conformé en Europe.

Ce sont souvent les administrateurs sanitaires de chaque pays qui s’arrangent avec les firmes pharmaceutiques pour dire qu’à chaque fois, peu importe ce qui se passe après la vaccination, il n’y a pas de corrélation avec le vaccin et c’est une directive générale qui est imposée (ce que des personnes travaillant dans le milieu confirment de façon indépendante les unes des autres). Un ami très proche nous a relaté aussi que la mère d’une personne qu’il connaissait, avait eu, 3 heures après l’administration du vaccin, une boule qui lui est sortie dans le cou, elle a eu des problèmes de fièvre et n’arrivait plus à respirer, mais ils ont prétendu (sans aucun diagnostic !) que ce n’était pas lié au vaccin. Une amie généticienne que nous connaissons, nous avait confié, en début du mois d’août que : « Je discute (aussi) avec d’autres chercheurs et ils affirment à l’unanimité qu’il y aura un scandale ! Les firmes pharmaceutiques et les gouvernants peuvent se targuer d’une grande réussite. Ils ont réussi à obtenir l’immunité ! Hélas ce n’est pas de celle de la population vaccinée puisqu’elle devra continuer à craindre la contagion, respecter la « distanciation sociale », porter le masque, présenter partout son droit à se déplacer et tout ce qui fait que sa liberté n’existera plus que dans ses souvenirs ».

   Le médecin Ahmed Amine Khelifa (11 août 2021) : « Tout le problème vient du fait que nous avons aucun moyen de prédire la quantité de protéine Spike qui va être produite par un individu lambda après l’injection de l’information génétique sous forme d’ARNm ou ADN, contrairement aux vaccins classiques où la dose de l’antigène (virus désactivé) est connue à l’avance. Le vaccin génique est de l’information avec une quantité inconnue, imagine on vous injecte un produit avec une posologie inconnue, c’est exactement ce qui se passe.

Il y a trois cas de figure en théorie:

1-Votre organisme ne produit pas assez de protéine S et donc votre réaction immunitaire est minime et donc vous ne serez pas immunisé = risque de contracter la maladie.

2- Vous fabriquez une quantité énorme de protéine S, c’est l’équivalent d’une véritable infection endogène avec tempête inflammatoire, thrombus et toutes les complications connues.

3- Vous fabriquez juste ce qu’il faut = vous êtes immunisé sans risque de complications.

Aucun moyen de doser la protéine S après l’injection de l’ARNm en l’état actuel de nos connaissances, donc impossible de prédire dans quelle catégorie vous serez …. Et réduire l’enveloppe virale à la seule unité S est trop simpliste, le mécanisme réel est beaucoup plus complexe que le modèle du laboratoire. D’où les surprises avec des effets inattendus comme les pancréatites et l’atteinte des gonades ».

En décembre 2020, le Pr Marc Wathelet (virologue et biologiste moléculaire belge) préconisait déjà l’Ivermectine, – que l’OMS avait écarté sans aucune raison dès le début de la pandémie avant d’en reconnaitre les bénéfices plus d’un an après (quand les vaccins avaient déjà été massivement administré sans résultats positifs significatifs) – qui était très efficace et presque sans aucun effet secondaire contre le Covid-19 (““Un plan simple pour éradiquer le nouveau coronavirus de Belgique ” (Marc Wathelet)”, Le spécialiste, 21 décembre 2020 : h ttps://ww w.lespecialiste. be/fr/debats/ldquo-un-plan-simple-pour-eradiquer-le-nouveau-coronavirus-de-belgique-rdquo-marc-wathelet.html). Le 30 mai 2021 dans une interview donnée pour le média BAM!, il se plaignit des pressions et censures qu’il subit par différents médias mainstream et réseaux sociaux (Twitter notamment) pour avoir défendu ses positions scientifiques (fondées sur des données rigoureuses !) car n’allant pas dans le sens des lobbies pharmaceutiques (pourtant déjà maintes fois condamnées pour fraudes, abus de confiance, mise sur le marché de médicaments dangereux, corruption politique et mensonges commerciaux en achetant des scientifiques afin de faire une promotion de leurs produits qui n’étaient pourtant pas efficaces ou qui étaient même dangereux !). Il souligne aussi la corrélation de l’augmentation des décès liés à la vaccination (“Interview BAM! de Marc Wathelet, Biologiste Moléculaire”,  BAM! Belgian Alternative Media, 30 mai 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=MxjWv43N5ss).

Le Dr. Martin Zizi, MD-PhD, biophysicien, Professeur de Physiologie (KULeuven et VUB), ancien Directeur épidémiologique du Département de la Défense, ancien Directeur Scientifique et Président de Comité d’Éthique, ancien Conseiller UN pour le désarmement biologique et bio-inspecteur Unscom, indique, qu’en se fiant uniquement aux données officielles (notamment de la VARS), on recense plus de 30 fois plus d’effets secondaires (légers et graves) et de décès que pour les anciens vaccins (classiques) liés aux vaccins à ARNm (comme Pfizer et Moderna d’une part, et AstraZeneca, John&Jonhson d’autre part bien qu’ils soient légèrement différents, …) et qu’en 2008 déjà, un vaccin à ARNm avait tué de nombreuses personnes. Cela ne veut pas dire que tous les décès ont été causés par le vaccin directement, mais qu’il y a un lien bien réel entre ces décès anormalement élevés et la vaccination (rendant peut-être plus faible face aux variants, affaiblissant l’organisme, incitant les gens à délaisser les gestes barrières et l’hygiène, …), et dont il est désormais établi que ces vaccins causent de nombreux effets secondaires (allant jusqu’au décès) de façon directe, pour une balance bénéfice/risque qui penche totalement en sa défaveur pour les jeunes et les adultes en bonne santé. De même, il souligne l’absence de fiabilité des tests PCR tout comme il dénonce les pressions politiques en Occident qui visent les chercheurs et spécialistes qui ont identifié et collecté les dangers et doutes autour des vaccins à ARNm (“BAM! Interview : Dr Martin Zizi Le point sur la vaccination”, BAM! Belgian Alternative Media, 4 août 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=0eZGbpr5mEs). Quelques jours auparavant, il avait déjà fait remarquer que dans certains pays et selon certaines périodes, les vaccinés étaient ceux qui décédaient le plus du variant Delta malgré le fait qu’il tuait 10 fois moins que le variant Alpha. (“”Le variant Delta tue les vaccinés plus que les non-vaccinés, en Angleterre” Martin Zizi”, France Soir, 6 août 2021 : https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/martin-zizi-2).

Dans une interview datant du 7 juin 2021, le Dr. Christian Vélot (Docteur en biologie et généticien moléculaire à l’Université Paris-Saclay et Président du Conseil scientifique du CRIIGEN) mettait aussi en garde contre les dangers des vaccins à ARNm, la mauvaise gestion du Covid par les politiques, le problème de la santé globale (responsable des décès liés au Covid plus qu’au virus lui-même) et l’absence de fiabilité des études publiées par les firmes pharmaceutiques elles-mêmes pour « auto-valider » leurs études (avec des résultats biaisés) ayant produit les vaccins. Dans une autre interview, le 30 juin 2021 dans l’émission “Ne faisons pas un remède pire que le mal” : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot diffusée sur France Soir, il dénonçait la folie, sur le plan scientifique, de mener une vaccination massive même sur des personnes en bonne santé qui ne sont pas du tout à risque, et des graves dangers qui en découleront (ce que la pharmacovigilance confirme déjà, avec un taux très élevé de décès et d’effets secondaires graves liés à cette vaccination). (“Interview BAM! de Christian Vélot”,  BAM! Belgian Alternative Media, 7 juin 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=nC7p6Zn6uX8). Il n’est pas contre les vaccins en tant que tel (comme les vaccins inactivés basés sur un virus inactivé, car il s’agit d’une technologie plus ancienne, – dont la fiabilité relève du cas par cas), mais contre les vaccins génétiques (à ARNm) dont il n’existe pas encore suffisamment de recul sur le plan scientifique -.

La Dr. Henrion- Caude Alexandra, biologiste, généticienne, neurobiologiste et bioéthicienne, ayant travaillé avec plusieurs prix Nobel dans des projets scientifiques, directrice de recherche à l’Inserm de 2012 à 2018, en tant que chef d’équipe à l’unité 781, elle est aussi l’une des 22 lauréats du Eisenhower Fellowship en 2013, et explore les possibilités de diminuer les coûts en santé, comme les nouveaux contours de la science avec plusieurs Prix Nobel aux Molecular Frontiers sous l’égide de la Fondation Nobel, de l’Académie royale des sciences de Suède et de l’université de Corée. Elle découvre en 2012 l’implication d’ARN non-codant dans des maladies génétiques. De confession chrétienne, ses prises de position scientifiques sont aussi en phase avec une éthique, motivant aussi ses positions rationnelles sur l’avortement. Etant très critique envers les scandales et dérives des lobbies pharmaceutiques, et des dangers des vaccins à ARNm, – pour des raisons scientifiques avec des implications éthiques -, elle fut diabolisée, calomniée, menacée, insultée, « licenciée » et marginalisée par et dans de nombreux médias affiliés aux multinationales et lobbies pharmaceutiques. Comme pour elle, le Pr Luc Montagnier (prix Nobel de médecine) a été calomnié et diabolisé par les médias mainstream en raison de ses critiques et de ses prises de position scientifiques. Lorsqu’il avait dit, en 2020, dès le début de la pandémie du Covid, que ce virus était en partie le résultat d’une manipulation humaine, les médias l’ont dénigré et traité de fou, puis, environ 1 an plus tard, l’OMS et les instances sanitaires ont confirmé qu’il s’agissait là probablement de l’explication la plus probable et la plus solide actuellement.

Le Dr. Geert Vanden Bosshe, qui est un expert mondial des vaccins et virologue, met en garde contre les dangers des vaccins à ARNm dans le contexte du Covid, parlant clairement des complications graves qui apparaitront plusieurs mois ou quelques années après l’inoculation du vaccin (“Urgent call to WHO: time to switch gears”, 11 mars 2021 : https://youtu.be/mUlDeCRDLnU).

Michèle Rivasi, parlementaire européenne, agrégée en normal sup et agrégée en biologie médicale, se montre aussi très sceptique envers les vaccins en général, et surtout envers les vaccins à ARNm, et se positionne contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire, qui ne sont pas justifiables du point de vue strictement médicalo-sanitaire (“Interview BAM! de Michèle Rivasi”, BAM! Belgian Alternative Media, 15 août 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=B64dkQ2XMUE). En janvier 2015, elle lança aux côtés de nombreux médecins comme Irène Frachon l’appel pour une opération « Mains propres sur la santé », dénonçant la corruption, les coûts énormes et les dérives des firmes pharmaceutiques et leur emprise dans le domaine de la santé, notamment en France. Comme toutes les autres personnes défendant une vision de la science plus rationnelle mais aussi plus éthique et « intégrative » tout en se montrant sceptique à l’encontre des pratiques douteuses, immorales et scientifiquement frauduleuses qui ont souvent cours dans les firmes pharmaceutiques, elle est souvent taxée de « pseudo-scientifique » mais reste soutenue (scientifiquement et moralement) par une partie importante de la communauté scientifique, même si, comme pour tous les autres scientifiques (qu’ils soient « pro-vax » ou « anti-vax »), elle peut aussi commettre des erreurs ou adopter des positions qui ne font pas l’unanimité et qui manquent de preuves empiriques probantes selon de nombreux scientifiques (comme pour l’homéopathie), mais qui ne sont pas des positions irrationnelles ou anti-scientifiques (si l’on devait qualifier chaque « scientifique » de « pseudo-scientifique » pour chaque posture ou avis comportant des erreurs ou des biais, plus de 99% de la communauté scientifique serait à « jeter à la poubelle »).

Lors d’une session en 2021 de l’America’s frontline doctors (qui réunit de nombreux médecins et spécialistes qui n’ont pas ou peu de conflits d’intérêt avec les firmes pharmaceutiques), il a été clairement dit et établi que plus de soldats sont morts du vaccin que du COVID « Le ‘Vaccin’ tue plus de gens que le COVID » comme détaillé par la Dr. Teryn Clarke (https://americasfrontlinedoctors.org/videos/summit-sessions-the-science). Les cas de décès et de cas grave liés aux vaccins surpassent ceux qui sont causés par le Covid… Evidemment, pour avoir tenu ces déclarations scientifiques (fondées sur les données médicales officielles) ils ont été accusés de répandre des fakes news par certains organes pseudo-scientifiques et propagandistes comme Wikipédia ou la CDC par exemple. En effet, ils font plus de la mauvaise politique que de la science, et se soucient bien plus du portefeuille des firmes pharmaceutiques que de la santé de la population, et ont commis et tenu un nombre incroyablement élevé d’erreurs et de contre-vérités scientifiques en un laps de temps record (en moins de 2 ans) à propos de la vaccination à ARNm sur l’ensemble de la population. Pour toutes ses raisons, les zététiciens, agences de presse officielles qui ne sont pas indépendantes (comme les médias conventionnels), et les comités qui dépendent des gouvernements corrompus (comme la France et les Etats-Unis), plateformes propagandistes comme Wikipedia, YouTube et Facebook qui censurent à tour de bras, sont devenus les apôtres du charlatanisme et de la pseudo-science   sous couvert de “promouvoir la pensée critique” qu’ils combattent et interdisent au quotidien, ce qui ne veut pas dire que tous les autres font dans la science et ne promeuvent que des théories ou des approches sérieuses, loin de là, mais que, eux, comme d’autres, sont animés par des croyances idéologiques et motivés par des raisons financières et politiques plus que par la science et le bien-être général de la population. Les zététiciens, wikipédia, Facebook, autorités politiques, l’OMS et les médias conventionnels, se sont ainsi trompés de façon quasi-systématiquement sur toute la ligne depuis le début de la pandémie, à croire que l’incompétence médicale et politique prédomine dans toutes leurs instances…. sauf si l’on pense que leurs manipulations sont volontaires…En discutant avec un YouTubeur du cercle zététique, on s’aperçoit de la malhonnêteté systématique dont ils font preuve. Ils ne « vulgarisent » même pas convenablement la science, ils font de la propagande et des attaques personnelles sur base d’une « croyance idéologique ». Une accumulation d’affirmations gratuites, de mensonges, de dénis, d’omissions et d’attaques gratuites sur des scientifiques, intellectuels, personnalités publiques et médias indépendants qui ne relaient pas de fakes news, – même si leurs intervenants peuvent se tromper sur tel et tel point comme tous les autres intervenants, et qui, bien loin d’être parfaits et irréprochables certes, sont moins propagandistes et plus respectables que les médias mainstream et personnalités politiques qu’ils défendent. Sur les décès toute cause liés aux vaccinés, rien silence total…sur les chiffres bidons des « mort covid » pareil, sur les rapports bénéfices/risques liés au vaccin c’est de l’anti-science que qu’ils nous vendent, or tous les médecins sérieux disent clairement que la balance B/R ne penche pas en sa faveur pour les jeunes et les personnes en bonne santé ; ce que les observations permettent de corroborer, et conforment même aux chiffres officiels (pourtant bien « gonflés »). Sur les doses des vaccins les firmes pharmaceutiques gagnent beaucoup d’argent (même l’OMS déplorait cela de Pfizer qui voulait vendre l’utilité de la 3ème dose) et les traitements efficaces sont moins coûteux que les vaccins…Ils mentent en parlant d’un pseudo-consensus scientifique, puisqu’il n’y en a pas concernant le Covid et les vaccins, et en tant que non-spécialistes ils se permettent de rabaisser ou de contester ce que d’éminents virologues ou immunologues affirment sur les dangers et la non-utilité de ces vaccins pour les personnes en bonne santé (pour une maladie qui ne tue presqu’aucun jeune ni adulte bien-portant …) en distribuant les bons et les mauvais points du haut de leur ignorance, tout en occultant TOUS LES FAITS qui ne vont pas dans leur sens et écartant d’un revers de main tous les doutes raisonnables et les dangers potentiels…Ce n’est ni rationnel ni scientifique, c’est de la croyance et une démarche plus politicienne que scientifique qu’ils produisent, et leur pseudo-science se vérifie dans de nombreux sujets où ils avaient faux (en physique quantique avec le principe de non-localité, en médecine et en neurosciences avec les EMI/OBE qui font voler en éclat le paradigme matérialiste, sur l’histoire et la métaphysique concernant la Religion où ils déblatéraient des absurdités et des contre-vérités, etc., sur leur déni concernant certains scandales sanitaires en lien avec les lobbys pharmaceutiques et agroalimentaires, leur ignorance des mécanismes psychologiques et politiques à l’œuvre dans la prise de décisions politiques mettant en danger la vie et la santé d’une population, etc.). Beaucoup de gens s’étonnent que des pays et des instances internationales puissent être gangrénées par la corruption, comme si c’était là chose impossible car ils n’oseraient pas jouer avec la santé des individus. Mais ils ne s’étonnent guère quand leurs gouvernements considèrent leurs pays ennemis ou rivaux comme la Chine, la Russie, la Corée du Nord, etc. comme étant des pays totalement corrompus et « criminels » à tous les niveaux de la société et du pouvoir politique… Nous citerons ici T-Bag dans Prison Break, à la question : « Que serais-tu prêt à faire pour 1 million de $ ? » il répondit : « Je suis prêt à tuer pour un paquet de cannettes de bière, alors imagine-toi ce que je serai prêt à faire pour 1 million de $ ». La santé, la dignité ou la vie des gens n’ont jamais été un frein pour les esclaves de ce bas-monde. La guerre en Irak, en Libye et en Afghanistan, les réseaux pédocriminels, la seconde guerre mondiale, les nombreux scandales sanitaires liés aux industries pharmaceutiques ou agroalimentaires, pris dans l’engrenage et prisonniers de la voie de shaytan, ils n’ont ni foi ni loi, et peuvent donc tout se permettre, en se cachant simplement derrière de « pieux mensonges ». Et nous demander de leur faire confiance alors qu’ils sont toujours en liberté et décident des affaires politiques de plusieurs pays après tous leurs mensonges et leurs crimes infâmes, c’est de la folie et relève de l’absurde.

Beaucoup de spéculations et d’études peu fiables dans leurs exposés, et qui ne correspondent pas aux observations sur le terrain ni aux déclarations faites par de nombreux médecins sur le terrain…Il y a d’ailleurs souvent un fossé entre certaines études « officielles » (qui excluent de nombreux faits et rapports qui déplaisent aux autorités) et la réalité…d’où le danger de se cantonner qu’aux études « approuvées officiellement » même quand elles sont biaisées et très partielles et partiales, voire complètement fausses (d’où des rétractations ou des réfutations par la suite). En vérifiant les données officielles on s’aperçoit plutôt que la vaccination est responsable de pics de contaminations et de décès…Islande, Australie, Nouvelle-Zélande, Japon, Seychelles, … la période pré-vaccinale connaissait des résultats très bons (peu de décès et de contaminations) dont la situation s’est totalement inversée avec la campagne de vaccination…Il n’y a par ailleurs aucune réfutation en règle chez les « zététiciens », et ce n’est pas parce que dans un cas, l’apparition d’un variant X est survenue à cause de tel facteur, que les autres variants n’apparaissent que selon tel facteur… Dans leurs vidéos, ils omettent de nombreux faits et éléments, et intègrent par contre des attaques personnelles et des sophismes frisant le ridicule sur le prétendu « ridicule » de certains chercheurs car ils accepteraient de parler sur des médias indépendants qui ne les censurent pas comme dans les médias mainstream alors qu’eux-mêmes (les zététiciens) sont sur YouTube (repère des milieux « conspi » et anti-vax également) et sur des plateaux télévisés connus pour leur déchéance et manque de sérieux, en somme dans des émissions ridicules et très peu crédibles pour faire leur promotion…En conclusion, ils sont dans la croyance et l’idéologie, – leurs prises de position sont liées à ces dernières et manquent cruellement d’objectivité et de rationalité – sans même parler de leurs conflits d’intérêt et dont ils se servent pour s’enrichir. Ce serait bien d’être plus dans la science et moins dans la croyance et l’idéologie ….

Le nombre de vaccinés décédés (du vaccin ou du covid), rendus malades par le vaccin ou recontaminés (avec symptômes) est très élevé, notamment chez ceux qui ont choisi Pfizer. Cela dépasse de très loin les chiffres anecdotiques…mais ils n’en ont que faire… Ils disent que les « anti-vax » devraient être arrêtés, censurés et enfermés et qu’ils alimentent le « catastrophisme » autour des vaccins, alors que ce sont les « pro-vax » qui n’ont cessé d’alimenter le « catastrophisme » en mentant sur l’ampleur des dégâts du Covid et en demandant aux porte-paroles de prendre un ton faussement alarmant et alarmiste pour inciter à la vaccination, quand celle-ci s’avère dangereuse et inutile pour les personnes en bonne santé et dont le vaccin est inefficace contre les variants…Or, les données suggèrent clairement que le vaccin anti-covid tue plus ou présente plus de risques pour les jeunes et adultes en bonne santé que le Covid selon les données officielles encore une fois, et ce, même si certains « anti-vax » exagèrent avec les « dangers liés aux vaccins », la réalité indique bien que le vaccin est plus dangereux que le Covid sous un certain nombre de rapports et pour une bonne partie de la population (la jeunesse et les adultes en bonne santé), – la vaccination représentant clairement un danger supplémentaire et un risque inutile pour eux -, en plus du fait que ces vaccins se révèlent très inefficaces contre la contamination, la transmission et le développement des symptômes légers ou graves des variants du Covid, , et où les autorités admettent à demi-mot que le vaccin était en fait (théoriquement) très efficace contre le virus initial, – alors qu’il ne causait déjà presque plus de décès avant la mise sur le marché des vaccins à ARNm -.

Le cas australien est très intéressant car depuis la campagne vaccinale on a enregistré plus de décès liés aux vaccins qu’au Covid… : « L’Australie compte 25,858 millions d’habitants et attribue 1076 décès à la Covid-19, soit 41,62 décès par million d’habitants. Une mortalité très faible eu égard aux 169 301 décès en 2019 rapportés dans les statistiques nationales australiennes. L’Australie décompte 8,27 millions de personnes pleinement vaccinées, soit 32% de la population et 53% de la population a reçu une première dose. La base de données australienne des effets secondaires fait état de 487 décès signalés après vaccins covid – sur sélection des trois possibilités : Comirnaty (Pfizer-BioNtech), AstraZeneca et type de vaccin non identifié. Au 22 février 2021, l’Australie comptait 909 décès attribués à la covid-19, et 1076 décès au 9 septembre 2021. Soit 167 décès attribués à la covid-19 depuis le début de la vaccination.

Analyse

–  Sur la base de ce qui précède, il y a donc 2,91 fois plus de décès signalés après vaccin covid que de décès attribués à la maladie.

– 487 décès signalés après vaccin dans la base de données des effets secondaires, pour 167 décès attribués au Covid depuis le début de la vaccination. 

– De plus, le site des effets secondaires recense 547 décès tous vaccins confondus depuis 1971.

– Les décès rapportés des vaccins Covid représente 487/547, soit 89% de tous les décès.

    Sur six mois, il y a donc huit fois plus de décès rapportés suite aux vaccins covid qu’en 50 ans pour les autres vaccins, avec un total de 60 décès (grippe, hépatite, rougeole, DTP).
Il est important de noter que la population australienne compte une part importante de personnes ayant des comorbidités, en particulier du diabète et de l’hypertension. En 2017-2018, environ deux Australiens sur trois (67 %) âgés de 18 ans et plus étaient en surpoids ou obèses (36 % étaient en surpoids mais pas obèses, et 31 % étaient obèses). Cela représente environ 12,5 millions d’adultes. Ceci comprend 23 % qui présentent une pression artérielle élevée non contrôlée, et environ 5% de diabétiques. Étant donné que ces comorbidités sont associées à une inflammation chronique importante et une facilitation de la coagulation dans l’organisme de ces personnes, il semble urgent de se poser la question de la dangerosité des vaccins à ARNm (produisant de la protéine spike de façon incontrôlée) sur ces populations déjà en état d’inflammation. En effet, de nombreux articles scientifiques commencent à rapporter l’activité très inflammatoire et pro-coagulante des vaccins à ARNm, en particulier à cause de la protéine Spike. Une étude de Pfizer a montré que l’ARNm était détecté dans la plupart des tissus dès les premiers instants après injection (15 minutes) et les résultats confirment que le site d’injection et le foie sont les principaux sites de distribution (EMA, 2021). Après 48 heures, on retrouve cet ARNm surtout dans le foie (jusqu’à 21,5 %), les glandes surrénales, la rate (≤ 1,1 %) et les ovaires (≤ 0,1 %). Il a été démontré aussi par différents auteurs que la protéine Spike produite se retrouvait sous forme libre dans la circulation et pouvait atteindre de nombreux organes vitaux et essentiels, où elle peut exercer son action inflammatoire et activatrice de la coagulation : cœur, cerveau, foie, rein, organe génitaux (Trypsteen W et al., 2020) »
. (“Australie : depuis le début de la vaccination, près de trois fois plus de morts signalées après vaccin qu’attribuées à la covid-19”, France Soir, 10 septembre 2021 : https://www.francesoir.fr/societe-sante/australie-trois-fois-plus-de-deces-rapportes-vaccins-vs-covid). Il faut toutefois relativiser aussi les « décès après vaccination » car certains décès peuvent être dû à d’autres causes, mais cela montre que le vaccin est souvent fort inutile pour un certain nombre de personnes souffrant déjà d’autres maladies et étant donc « sujettes » à des comorbidités, mais ça s’équilibre avec les morts « Covid » qui sont généralement liés aux comorbidités.

Le Dr. Christina Parks, docteure en biologie cellulaire et moléculaire (en août 2021, House Bill 4471) affirmait quant à elle : « A Barnstable, Massachusetts, le CDC a suivi une épidémie sur 469 cas de Covid, 74% sont survenus sur des personnes complètement vaccinées et 4 sur 5 des personnes hospitalisées étaient vaccinées (…). Un article (rapport scientifique) est sorti et ce qu’il nous apprend c’est que, avec ce variant Delta, quand vous êtes vacciné, votre corps produit des anticorps qui sont censés neutraliser le virus, mais ils étaient censés neutraliser l’ancien variant. Avec ce nouveau variant, les anticorps prennent le virus et l’aident à infecter les cellules (…) » (https://www.facebook.com/watch/?v=233338345373370).

C’est bien beau de spéculer le font les « pro-vax » en propageant des fakes news, mais nous concernant, nous nous en tenons aux faits observables (confirmés de façon indépendante par d’autres personnes dans bien d’autres cas aussi) :

1) Beaucoup de non-vaccinés sont moins atteints par les symptômes du Covid que des vaccinés (notamment Pfizer) et s’en remettent même sans traitements médicaux spécifiques (c’est notre cas par exemple).

2) Des gens ont failli mourir du vaccin quelques heures après son inoculation (dont certains de nos proches).

3) Des gens vaccinés sont morts du vaccin (aucune autre cause identifiable) alors qu’ils étaient en bonne santé (entre 18 et 40 ans) ; cela interroge sur les dangers du vaccin et le fait qu’il n’est pas sans risque.

4) Des personnes sont mortes de crise cardiaque suite au vaccin (entre 45 et 65 ans).

5) Des personnes doublement vaccinées depuis plusieurs semaines sont mortes du Covid quand même (cela questionne l’efficacité du vaccin).

6) Des personnes vaccinées ont développé d’autres maladies (neurologiques, cardiaques et autres) ou ont connu de graves conséquences (comme le coma ou la paralysie, soit temporaire soit durable jusqu’à présent).

7) Des personnes vaccinées et non-vaccinées qui vivent ensemble et mangent la même chose, mais les personnes non-vaccinées se rétablissent parfois bien plus vite du Covid que les personnes vaccinées.

Alors que le gouvernement français imposait sans le consentement populaire l’obligation du Pass sanitaire pour des raisons politiques (suivant la ligne de l’autoritarisme et du système totalitaire du gouvernement Macron), cela a produit de sérieux dangers pour la santé mentale et physique de la population, de l’aveu même d’un scientifique « pro-vax » et qui avait opté pour le confinement lors de la première vague tout en disant après coup que le confinement comportait de nombreux effets négatifs pour la santé et qu’il ne préconiserait plus cette mesure à l’avenir : « Alors qu’il assurait que selon lui il n’était d’aucune utilité, le Dr Martin Blachier s’exprime à nouveau sur le pass sanitaire. L’épidémiologiste affirme que ce dernier est même à l’origine de nombreuses contaminations. Le pass sanitaire est loin de faire l’unanimité. “Je le dis et le redis : le pass sanitaire ce n’est pas mon truc à la base”, indiquait même Olivier Véran lors de son entretien avec Society, contraint comme d’autres au gouvernement de multiplier les apparitions publiques et interviews, afin de convaincre les Français. Le Dr Martin Blachier fait partie de ceux pas vraiment partisans de ce pass sanitaire. Lundi 9 août, l’épidémiologique indiquait même que selon lui ce dernier n’était “d’aucune utilité”. Invité sur LCI ce vendredi 13 août, il en remet une couche et estime que le pass sanitaire est même “responsable de nombreuses infections”.

“Le pass sanitaire est en train d’être mis en brèche par toutes les informations qu’on a”, a-t-il expliqué. Indiquant que les pays qui mettent désormais en place des pass, sont plus des “pass vaccinaux” que des pass sanitaire. “Parce que le pass sanitaire a probablement été responsable de nombreuses infections cet été, il faut le dire, a-t-il fait savoir. On croyait qu’il ne pouvait pas y avoir de transmission avec les gens vaccinés, or il y a pu en avoir.” Toutefois, pour le Dr Martin Blachier, ce n’est “pas une si mauvaise nouvelle que ça”, comme il l’a exprimé. “Parce qu’on a acquis de l’immunité vaccinale cet été et on a aussi acquis beaucoup d’immunité naturelle, a affirmé ce médecin spécialiste en santé publique. C’est à dire que comme le virus a beaucoup circulé, finalement il y a aussi des gens qui ont acquis l’immunité et qui n’étaient pas forcément vaccinés.” “Entre les gens qui ont déjà été infectés et les gens qui ont été vaccinés, on n’est pas si loin de la fin du premier cycle de cette épidémie”, a-t-il conclu » (“« Le pass sanitaire a été responsable d’infections » : le Dr Martin Blachier tape du poing sur la table”, Gala,  13 août 2021 : https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/le-pass-sanitaire-a-ete-responsable-dinfections-le-dr-martin-blachier-tape-du-poing-sur-la-table_474531). Pour « l’immunité vaccinale », cela a cependant été contredit et démenti par des scientifiques britanniques.

Les responsables dans chaque pays, ayant signé le contrat avec les grosses firmes produisant les vaccins, sont soit de mèche (recevant un gros chèque), soit ont été dupés par de faux chiffres et des résultats qui étaient biaisés. Dans leurs contrats, ces firmes se dégagent pourtant de toute responsabilité en cas de problèmes, de décès ou de maladies graves, ce qui aurait dû alerter les (ir)responsables politiques… L’objectif n’est donc pas de guérir, mais de vacciner à tout va, sans même prendre de précaution, et alors même que les données disponibles s’opposent à une telle folie. L’histoire aurait dû les alerter et leur servir de leçon car ce n’est pas la première fois que Pfizer avait arnaqué les citoyens et mis leur santé en danger : « Le laboratoire américain Pfizer accepte de payer la plus grosse amende jamais infligée par la justice américaine à un groupe pharmaceutique. Il a été reconnu coupable de pratiques commerciales frauduleuses. AFP – Le groupe pharmaceutique américain Pfizer, fabricant du Viagra, a accepté de payer une amende record de 2,3 milliards de dollars pour solder une plainte sur ses pratiques commerciales, ont annoncé mercredi les parties prenantes. Il s’agit “de la plus grosse amende jamais infligée par la justice américaine dans le secteur de la santé”, a souligné le ministère de la Justice dans un communiqué, alors que l’administration Obama cherche à lutter contre la fraude et à réduire le coût astronomique de la santé aux Etats-Unis. Cet accord définitif fait suite à un accord de principe dévoilé en début d’année. Il porte sur “des pratiques commerciales frauduleuses” concernant l’anti-inflammatoire Bextra, a rappelé le ministère. Le Bextra avait été retiré du marché en 2005, en raison d’inquiétudes sur ses effets secondaires, particulièrement cardiaques. Selon les plaignants, Pfizer “a fait la promotion du Bextra pour plusieurs usages et dosages que la FDA (l’autorités sanitaire, ndlr) avait refusé de valider en raison de doutes sur les risques” associés à cet anti-inflammatoire. Pfizer était également poursuivi pour pratiques commerciales abusives concernant trois autres traitements: le Zyvox (infections bactériennes), le Geodon (troubles bipolaires et schizophrénie) et le Lyrica (troubles nerveux). Les avocats des plaignants au civil ont salué le montant record de l’amende. “Pfizer a ciblé des pédiatres et des adolescents pour étendre la commercialisation du Geodon”, citent-ils à titre d’exemple, alors que “la FDA a validé le Geodon pour une population de 18-65 ans”. “Pfizer a régulièrement versé des commissions à ces médecins pour enfants pour qu’ils fassent des présentations promotionnelles à leurs pairs sur les bienfaits du Geodon”, poursuivent les avocats du cabinet Kenney Egan McCafferty & Young, dans un communiqué. L’accord solde les plaintes au civil et au pénal sur le sujet. Pfizer, et sa filiale concernée Pharmacia & Upjohn Company, va verser 1,3 milliard de dollars pour solder le volet pénal de l’affaire, et 1 milliard supplémentaire pour solder le volet civil (…) » (“Le laboratoire Pfizer écope d’une amende de 2,3 milliards de dollars”, France24, 3 septembre 2021 : https://www.france24.com/fr/20090903-le-laboratoire-pfizer-ecope-dune-amende-23%C2%A0milliards-dollars-). Et on nous demande de leur faire confiance sans aucun recul…c’est grave, alors que leurs pratiques n’ont pas changé depuis leurs anciennes condamnations.

En conclusion, oui, ce virus et ses variants existent, oui ils peuvent tuer ou détériorer la santé, – mais les plus gros pics de décès sont le résultat des décisions politiques dictées par l’OMS et appliquées en France et aux Etats-Unis par exemple (« restez chez vous, ne vous soignez pas, n’allez pas à l’hôpital ni voir votre médecin traitant, ne prenez pas d’antibiotiques, sauf si vous êtes sur le point de mourir » mais c’est trop tard) et dont plus de 95% des décès concernaient des personnes très âgées et souvent déjà malades et affaiblies -, mais pas selon l’ampleur décrite par les médias mainstream. Ces virus peuvent tuer au même titre que la grippe saisonnière, l’alcool, le cancer et le tabac. Le vaccin, lui aussi, peut tuer, causer des complications graves et légères, sans certitude (ni de grande probabilité) d’immuniser contre les formes graves du virus ou de ses variants.

L’hygiène, la vitamine C, la vitamine D, d’autres nutriments, le maintien de quelques gestes barrières et le port du masque dans les endroits très fréquentés ou insalubres, protègent mieux que le vaccin anti-covid, et ne comportent pas d’effets secondaires s’ils sont consommés selon une dose appropriée. D’autres traitements médicaux, qui ont fait leur preuve, permettent aussi de soigner les personnes infectées par le Covid comme la dexaméthasone (sous prescription médicale), quand que le patient ressent une gêne respiratoire ce traitement est mis rapidement en place ; le prednisone à la dose de 40 mg/j ou d’hydrocortisone à la dose de 160 mg/j pendant 10 jours, en prévoyant une décroissance progressive ; pour les symptômes plus légers, il faut une cure de vitamine C (par exemple celle d’Alimed, vitamine C en poudre pure 100%), des tisanes (verveine, clou de girofle, miel de jujubier , et quelques gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus), et mettre en place un suivi au domicile pour vérifier la tension  s’il faut de l’oxygène (pour les cas les plus graves). A noter aussi qu’un traitement qui était prometteur, avait rapidement été écarté par l’OMS, avant d’être considéré comme étant « efficace » récemment, à savoir l’ivermectine, comme le rapportait un article intitulé Une étude israélienne affirme que l’ivermectine pourrait réduire drastiquement la transmission du Covid-19 parLe Figaro en date du 15 juillet 2021 (https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-l-ivermectine-traitement-miracle-ou-enieme-fausse-piste-20210715) : « Un scientifique israélien a mené un essai randomisé en double aveugle sur 89 volontaires, qui tend à prouver que les patients sous ivermectine sont beaucoup moins contagieux, et ce plus rapidement. L’hydroxychloroquine, le remdesivir, le lopinavir/ritovanir… et maintenant l’ivermectine ? Depuis le début de la pandémie, plusieurs traitements ont été promus par différents scientifiques pour lutter contre le Covid-19. Un à un, ils ont été écartés par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), faute de résultats probants. Lundi 2 août, le Jérusalem Post s’est fait l’écho d’une étude, menée par un scientifique israélien, qui tend à prouver que le médicament pourrait réduire considérablement la transmission du coronavirus. Le professeur Eli Schwartz, fondateur du Centre de médecine géographique et des maladies tropicales de Tel Aviv, a en effet mené un essai randomisé, contrôlé et en double aveugle (ni le médecin ni le personnel soignant ni le patient ne savent si ce dernier reçoit le médicament ou le placebo) sur 89 volontaires, positifs au Covid-19, du 15 mai 2020 à fin janvier 2021. Divisés en deux groupes, la moitié des patients ont reçu de l’ivermectine pendant trois jours d’affilée, une heure avant le repas, et l’autre moitié un placebo, aux mêmes horaires. Deux résultats en sont ressortis. Au bout de six jours, 72% des volontaires traités à l’ivermectine se sont révélés négatifs, contre 50% chez ceux à qui l’on a administré le placebo. Surtout, seulement 13% des patients soignés avec le médicament se sont révélés être infectieux après six jours, contre 50% du groupe placebo. « Notre étude montre avant tout que l’ivermectine a une activité antivirale, mais aussi qu’il y a 100% de chances qu’une personne soit non infectieuse dans les quatre à six jours, ce qui pourrait entraîner un raccourcissement du temps d’isolement et avoir un impact économique et social énorme », s’est félicité le professeur Schwartz. Cet essai, qui n’a pas encore fait l’objet d’un examen par les pairs, ne prouve en revanche en aucune façon que l’ivermectine pourrait prévenir la maladie ou réduire les risques d’hospitalisation. (…) « Les résultats de l’étude suggèrent que l’ivermectine pourrait être considéré comme un agent thérapeutique contre le Covid-19 », résume l’Institut Pasteur dans un communiqué. Ce traitement agit ainsi « sur la modulation de la réponse immunitaire sur les animaux infectés par le SARS-CoV-2 et permet ainsi de diminuer l’inflammation au niveau des voies respiratoires ». Conséquence : l’apparition des symptômes se réduit, comme le risque de perte d’odorat. Néanmoins, l’ivermectine ne permet pas de réduire «la réplication virale » du coronavirus. (…) De son côté, le principal auteur de l’étude de l’Institut Pasteur, Guilherme Dias de Melo voit néanmoins dans l’ivermectine un signe d’espoir : « Notre étude apporte des données précliniques qui démontrent scientifiquement une action protectrice de l’ivermectine pendant l’infection par le SARS-CoV-2 dans un modèle animal. Ces données sont essentielles pour appuyer les essais cliniques chez l’homme ». « Ces travaux ouvrent la voie à des axes de développement pour de meilleurs traitements contre le Covid-19 chez l’homme », abonde Hervé Bourhy, un autre auteur de l’étude. Malgré le peu de données disponibles, quelques pays ont déjà adopté l’ivermectine. C’est notamment le cas de la Bolivie, où les agents de santé ont distribué quelque 350.000 doses aux habitants du nord du pays, constatait la revue Nature en octobre 2020. En Inde, si le gouvernement ne recommande pas le traitement, certains États l’utilisent déjà de manière préventive, selon les informations de Libération. Enfin, les Indonésiens s’arrachent également le médicament qui est, là-bas, largement plébiscité par des hommes politiques et des influenceurs, selon Capital ». Dans le même article, Le Figaro disait aussi ceci : « Mais la sphère « antivax » oublie sans doute un peu vite un élément essentiel : l’ivermectine avait, à l’époque de l’étude, été testée uniquement sur des animaux de laboratoire. Or, depuis la pré-publication de cette étude, le 22 novembre 2020, près de huit mois avant la publication officielle (les délais de publication sont souvent très longs), beaucoup de chemin a été parcouru. « En réponse à l’attention croissante que suscitait à l’échelle internationale le recours à l’ivermectine comme traitement potentiel », l’OMS a ainsi chargé un groupe d’experts international indépendant de tester le traitement lors de 16 essais contrôlés randomisés, portant sur 2407 patients ambulatoires ou hospitalisés atteints du Covid-19. Et les résultats se sont avérés peu concluants, puisque les chercheurs ont « conclu que les données selon lesquelles l’ivermectine permettrait de réduire la mortalité, la nécessité d’un recours à la ventilation mécanique, la nécessité d’une hospitalisation et la durée avant une amélioration clinique chez les patients Covid-19 étaient “très peu fiables”, en raison de la petite taille des essais et des limites méthodologiques des données d’essai disponibles, notamment du faible nombre d’effets indésirables » », comme si cela ne concernait pas aussi les essais cliniques des vaccins faits à l’arrache et sur un nombre limité de patients/cobayes, – avec des résultats biaisés – et un laps de temps trop court pour avoir une fiabilité globale du vaccin, alors qu’il ne fallait pas écarter non plus les autres pistes prometteurs (traitements médicaux)…

Que l’on soit « pro-vax » ou « anti-vax » on observe souvent des biais de confirmation et des raccourcis fallacieux de part et d’autre (des appels aussi à l’émotion), mais au fond, ce qui est reproché aux « anti-vax » en tant que tel (et non pas pour les aberrations individuelles de certains d’entre eux), c’est leur méfiance à l’égard des dérives bien établies et fondées des lobbies pharmaceutiques et des conflits d’intérêt établis avec des politiciens et des scientifiques, de même que leur esprit critique (et scepticisme) à l’égard des discours (contradictoires) politiques, des fraudes et biais méthodologiques et idéologiques de certaines études scientifiques (ce qui est connu dans le monde médical comme dans les autres domaines de la science, surtout là où les enjeux idéologiques et financiers sont énormes) et le fait qu’ils ont de très bons arguments scientifiques de leur côté (sur les dangers du vaccin et une efficacité relative ne jouant pas en sa faveur dans la balance bénéfice/risque) et une crainte légitime non seulement quant aux complications de santé liées aux vaccins mais aussi par rapport aux dérives totalitaires mises en place par les politiques de plusieurs pays occidentaux (mais pas que). Dès lors, il faut accepter cet état de fait, et se balancer mutuellement des études (dont certaines sont biaisées ou encore trop hypothétiques d’un côté comme de l’autre),et ne pas imposer des choses qui ne jouissent pas d’une grande garantie sur le plan médical, et qui menacent nos principes moraux et nos libertés individuelles et juridiques.

Cependant, l’imposition du Pass sanitaire, les menaces, chantages et licenciements exercés sur le personnel de santé sont inacceptables, surtout, sous un faux-prétexte : protéger les patients en évitant la contamination, alors que le vaccin ne diminue pas de façon significative la charge virale et la transmission du virus ; et dans des centres où les patients aussi bien que le personnel médical étaient vaccinés, plusieurs cas de décès ont été enregistré comme en Belgique : « L’établissement belge a vu une vague de résidents infectés malgré une vaccination complète conduite avec double dose en janvier de cette année. Selon la directrice Anne-Catherine Roobaert que nous avons contactée, « la phase critique est derrière nous ». La moitié des résidents vaccinés ont été infectés et 12 décès : « A ce jour, le bilan est le suivant : près de la moitié des 117 résidents complètement vaccinés en janvier (vaccin Pfizer) ont été infectés entre mai et juin, explique la directrice. Ce sont 55 résidents qui ont été touchés dont 52 des 117 vaccinés (44%). Malheureusement, nous avons 12 personnes vaccinées qui sont décédées et encore 2 personnes diabétiques en situation instable actuellement hospitalisées. Le bilan est donc très sérieux et interroge ». On sait bien que la vaccination n’est jamais protectrice à 100% mais dans le cas de cet établissement, on est loin de ce qui est annoncé. L’expérience de Nivelles en est la preuve. C’est le variant indien qui a été identifié majoritairement chez ces personnes âgées.

Trois des quatre personnes non vaccinées (75%) ont été touchées mais sans conséquences graves pour elles : l’une d’entre elles est asymptomatique et une autre est actuellement sous oxygène, mais va bien. (…) Les essais cliniques ont pourtant montré une très grande efficacité des vaccins y compris chez les personnes âgées et toutes les données que ce soit de l’expérience acquise en Israël, au Royaume-Uni ont montré une très bonne protection contre le virus : les variants vont-ils remettre en question ces résultats ? On n’a pas encore un recul suffisant sur la durée de l’immunité conférée par les vaccins, mais dans ce cas précis, la vaccination complète date de 4 mois et demi.

Pourquoi la Covid-19 a-t-il infecté autant de personnes vaccinées et pourquoi a-t-il causé autant de morts, alors que la maison de retraite a été épargnée jusqu’à présent ? Pourquoi un tel impact alors que le taux de vaccination est proche de 100 % chez les résidents et de près de 70 % chez le personnel ? L’enquête épidémiologique doit répondre à ces questions. « Tout sera vraiment scruté, explique Lara Kotlar, porte-parole d’AVIQ, l’Agence wallonne pour la qualité de vie. Nous voulons vraiment une enquête à 360° pour comprendre ce qui a pu se passer là-bas. Il s’agit encore d’un cas isolé et nous espérons qu’il le restera… » (20), , et plus récemment encore, toujours en Belgique, un variant du virus a été identifié comme étant la cause de décès des vaccinés dans une résidence de Zaventem d’une maison de repos touchés par un nouveau variant du Covid-19, tous étaient entièrement vaccinés contre le Covid-19 : « Sept résidents de la maison de repos Ter Burg à Zaventem sont morts en l’espace de deux semaines après avoir été contaminés par un nouveau variant du coronavirus, dit colombien. Tous étaient entièrement vaccinés contre le Covid-19, signale vendredi VRT NWS. (…) Les deux premières infections avaient été détectées le 16 juillet, dans un service destiné aux patients atteints de démence, qui avait été mis en quarantaine et soumis à toutes les mesures nécessaires. Au total, 20 contaminations avaient été révélées, mais toutes étaient circonscrites à ce service. Sur les sept patients décédés, certains présentaient déjà un mauvais état de santé, alors que d’autres se portaient relativement bien. Les 20 résidents infectés, mais aussi l’ensemble du personnel – à l’exception d’un étudiant -, avaient été vaccinés. (…) Au total, 21 résidents et sept membres du personnel ont été infectés (…) » (21), ce qui montre que les essais cliniques publiés par certains laboratoires ne sont pas fiables et qu’il faut prolonger la phase expérimentale avant la circulation sur le marché et une campagne collective, – c’est un fondement scientifique qui a donc été bafoué sans aucune nécessité impérieuse – alors qu’avant la campagne de vaccination le Covid-19 ne tuait déjà « presque plus » en Europe comme on l’observait déjà au moins depuis plus d’1 an (août 2020) : « Malgré des foyers inquiétants ici ou là, les grands pays européens, massivement frappés au printemps, n’enregistrent plus que des flux résiduels de cas ou de décès. Avec un léger regain de cas détectés en France et surtout en Belgique et Espagne. Le Covid-19 tue dix fois moins qu’en avril » (22), et même ceux qui exécutent les directives politiques, face aux plaintes et arguments scientifiques, reconnaissent que ces mesures n’ont aucun fondement scientifique, mais qu’ils sont obligés d’appliquer la loi (pour continuer à travailler, à payer leurs factures, ne pas être poursuivis ou mis sous pression) comme en France, où très peu de médias conventionnels intègrent le débat contradictoire, où la propagande domine, ainsi que les propos les plus orduriers et criminels qui soient, à l’égard des scientifiques, médecins, intellectuels et citoyens qui refusent la vaccination obligatoire tout comme le pass sanitaire, comme par exemple dans l’émission Qui sont les anti-passe sanitaire ? de 28 Minutes sur Arte, diffusée le 5 août 2021, n’hésitant pas à propager des fakes news, nier des faits scientifiques, omettre des informations capitales, citer des chiffres douteux et difficilement vérifiables, caricaturer le mouvement anti-pass et oublier de dire que de nombreux citoyens avertis et bien informés, – dont des scientifiques, médecins et des intellectuels – sont contre la vaccination obligatoire et le pass sanitaire. En procédant à certaines statistiques de la même manière que le font les « pro-vax », en restreignant les cas par exemple à certaines résidences ou à certains lieux, à peu près 100% des personnes décédées ou contaminées étaient des gens vaccinés, – ce qui, dans la réalité, s’avère en vérité plus complexe évidemment -. La campagne vaccinale est un échec pour plusieurs raisons, d’après les données scientifiques et les hypothèses explorées par de nombreux scientifiques (même pro-vax), puisqu’il n’a pas été démontré que ces vaccins étaient clairement efficaces contre le Covid-19 (dans sa première forme/phase), – comme on le sait, pour prouver l’efficacité d’un vaccin ou d’une pratique il faut que l’essai clinique soit mené sur au moins des milliers d’individus en éliminant tous les biais possibles et dans des conditions réelles (intérieures et extérieures) et sur une longue durée et non pas uniquement en laboratoire -, et certains disent que son efficacité diminuait déjà à partir de 3 ou 6 mois après l’injection contre la forme initiale du Covid-19, et que face aux autres variants, – qui apparaissent plus rapidement que la mise en application de la campagne vaccinale -, ces vaccins sont déjà obsolètes, – dans le meilleur des cas ils protègent théoriquement un peu plus mais comportent aussi des risques mortels ou graves pour les vaccinés, sans leur garantir une bonne protection contre les variants -, ce qui fait que ces vaccins auront toujours un train de retard contre les nouveaux variants (on parle déjà de l’apparition de plusieurs variants qui se propagent depuis juin 2021). Il faut donc miser sur des traitements préventifs plus efficaces que les vaccins. Il faut parfois attendre des mois ou des années avant que les agences sanitaires décident à inscrire formellement l’identification d’effets secondaires liés aux vaccins. En août 2021, l’Agence européenne des médicaments (EMA) décidait enfin d’identifier 2 nouveaux effets secondaires qui sont liés au vaccin de Johnson & Johnson, à savoir des vertiges et des acouphènes. Ces effets doivent désormais être indiqués sur la notice. En l’espace de plusieurs mois, il y a eu 1200 signalements de vertige clairement identifiés (dans les bases de données), – un chiffre probablement sous-évalué – et une centaine de cas signalés concernant des bourdonnements dans les oreilles après le vaccin (23). Chose assez étrange et cocasse, c’est que les dizaines de milliers de cas (pour chaque effet secondaire bien établi lié aux vaccins) sont toujours mis au conditionnel (dans les articles mainstream) mais la balance bénéfice/risque en faveur du vaccin, – alors que les faits indiquent le contraire ! – est perçue, dans leurs propos, comme relevant d’une certitude absolue…

Et si on fait coïncider les chiffres avec la réalité du terrain, alors on constate les faits suivants :

  • Le variant delta peut sembler plus contagieux mais tue nettement moins que le virus initial.
  • Les vaccinés ont la même charge virale que les non-vaccinés.
  • Les vaccinés qui ont été infectés présentent parfois moins d’anticorps que des personnes non-vaccinées.
  • Des milliards de personnes non-vaccinées, qui ont côtoyé (ou même vécue avec) des personnes infectées (symptomatiques ou asymptomatiques) par le Covid-19 étaient asymptomatiques ou alors n’ont eu qu’une sorte de rhume ou de grippe non-critiques.
  • De nombreux vaccinés ont attrapé encore le Covid-19 avec des symptômes légers, mais d’autres parmi eux ont développé aussi des formes graves et en sont décédées.
  • Le vaccin a tué déjà des dizaines de milliers de personnes rien qu’aux Etats-Unis et en Europe (jusqu’au mois d’août).
  • Ce virus et ses variants ne font même pas partie des 5 premières causes impliquées dans les fortes mortalités à l’échelle mondiale.
  • De nombreux médecins confirment le danger de vacciner massivement la population et surtout les jeunes.
  • Le virus ne tuait presque plus personne en Europe dès le mois d’août 2020, donc bien avant la phase de vaccination.
  • Il y a eu une explosion de nouvelles contaminations, de nouveaux variants ainsi qu’une augmentation de décès et d’hospitalisations depuis la campagne vaccinale (il peut donc y avoir une corrélation, voire une causalité, entre ces faits constatés et les vaccins).
  • Les jeunes ont plus de chances de mourir du vaccin ou de développer des maladies graves que du virus.
  • Les menaces, censures, pressions, licenciements et chantages sur le personnel médical et les citoyens, émanant des autorités au pouvoir (surtout aux Etats-Unis et en Europe) sont inadmissibles et les classent désormais parmi les états totalitaires sous ce rapport, avec l’imposition de mesures, de discriminations ou d’outils de surveillance que la situation actuelle n’exige pas du tout.
  • Les mensonges, conflits d’intérêt, contradictions et fakes news avérés des autorités politiques et des médias mainstream qui leurs sont alignés doivent nous faire cogiter et amener à une plus grande vigilance.
  • Le manque de recul, le nombre anormalement élevé d’effets secondaires, de cas graves et de décès liés à ces vaccins à ARNm (qui ne sont pas similaires aux anciens vaccins dans leurs fonctionnements ou leurs compositions, et qui eux tuaient moins de gens selon les données disponibles) sont avérés, et la balance bénéfice/risque n’est pas du tout en leur faveur pour les jeunes et les adultes en bonne santé, comme l’ont expliqué des milliers de médecins à travers le monde. Laurent Micchielli, Directeur de recherche au CNRS (sociologue de formation, il fut formé aussi en histoire, en épistémologie, en criminologie, en statistiques et participa à de multiples recherches aux côtés de scientifiques et de chercheurs interdisciplinaires en plus d’avoir obtenu plusieurs prix et distinctions) disait le 29 juillet 2021 que cette mortalité vaccinale est inédite et que le grand nombre d’effets secondaires enregistrés jusqu’à présent devraient logiquement conduire à l’arrêt de la campagne vaccinale massive (voir sa vidéo ici : https://rumble.com/vkmdg0-directeur-de-recherche-au-cnrs-cette-mortalit-vaccinale-est-indite-cest-cri.html), cependant, pour avoir démontré les fakes news gouvernementales et débunké les manipulations statistiques mises en avant pour angoisser la population, des pressions ont été exercées pour supprimer certains de ses articles (pourtant bien documentés et rationnels), et le considérer comme un « complotiste » (accusation fourre-tout pour éviter le débat contradictoire et imposer la « pensée unique » du dominant).
  • Les chiffres de la première vague ont volontairement été gonflées (tout en prenant en compte énormément de personnes très âgées en phase terminale qui allaient tout de même mourir durant la même année) pour semer la peur et « dociliser » la population, avec comme objectif de montrer par la suite l’efficacité du vaccin dans la réduction des morts/cas graves, sauf que plusieurs mois avant le début de la vaccination, le Covid-19 ne tuait presque plus. Ils ont voulu ensuite jouer sur la peur des contaminés et des pourcentages par rapport au décès (en « augmentation ») sauf que l’on arrive pas du tout aux chiffres de la première vague, et qu’on oublie, parallèlement, le grand nombre de personnes décédées en raison de la pollution, de l’alcool, du tabac, du cancer, du VIH, etc. qui sont bien plus importants que ceux du Covid-19 et de ses variants. Les dépenses publiques devraient plutôt être mises dans la prévention sanitaire, un mode de vie plus sain et moins consumériste, si l’on voulait éviter de nombreux décès liés aux maladies engendrées par le mode de vie moderne. Cependant, de nombreuses autorités estiment que l’on est déjà « trop sur terre » et qu’il faudrait réduire considérablement la population mondiale, et que donc, ils ne sont pas vraiment intéressés par la santé générale de la population, sauf si cela risque de leur gâcher la vie ; leurs priorités restent cependant la domination et la richesse « matérielle » (ou aujourd’hui aussi numérique).
  • Sur l’immunité naturelle face au Covid : “Longitudinal analysis shows durable and broad immune memory after SARS-CoV-2 infection with persisting antibody responses and memory B and T cells”, medRxiv, 18 juin 2021. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.04.19.21255739v2
  • Sur le fait que le vaccin n’empêche pas de façon efficace et réellement significative la transmission du virus voir “Early signs COVID-19 vaccines may not stop Delta transmission, England says”, Reuters, 6 août 2021 : https://www.reuters.com/world/uk/england-says-delta-infections-produce-similar-virus-levels-regardless-vaccine-2021-08-06.
  • Pour de graves problèmes de myocardites chez les jeunes en raison de la vaccination voir “Association of Myocarditis With BNT162b2 Messenger RNA COVID-19 Vaccine in a Case Series of Children”, Jama Cardiology, 10 août 2021 : https://jamanetwork.com/journals/jamacardiology/fullarticle/2783052?utm_campaign=articlePDF&utm_medium=articlePDFlink&utm_source=articlePDF&utm_content=jamacardio.2021.3471
  • Il est scandaleux que des  vaccins à ARNm qui n’avaient jamais été appliqués massivement sur les êtres humains, et qui étaient encore en phase expérimentale, – faisant des êtres humains des cobayes sans les avertir des nombreux risques sachant que des animaux sont décédés lors des essais cliniques – soient imposés alors que dans les études préliminaires il était dit déjà que : « Le 8 décembre 2020, Pfizer/BioNTech et la FDA (Food and Drug Administration) ont chacun publié un document d’information sur l’étude C4591001, l’étude de phase 2/3 du vaccin à ARN messager BNT162b contre la COVID-19. Cette étude a inclus 43 448 personnes dans 6 pays, avec une durée de suivi médiane d’un peu moins de 2 mois après la seconde injection de vaccin. Selon ces documents, ce vaccin à ARN messager (ARNm) semble d’une grande efficacité (95 % de taux de protection sur l’ensemble des données analysées) pour prévenir les formes symptomatiques légères à modérées de COVID-19 chez les personnes n’ayant jamais été infectées par SARS-CoV-2. L’efficacité apparaît rapidement avec un taux de protection de 52,4 % dès la première injection. Cette efficacité semble se maintenir à travers divers sous-groupes évalués selon leur âge, sexe, origine ethnique et certaines comorbidités. Par contre, les résultats présentés ne peuvent pas confirmer l’efficacité de ce vaccin contre les formes graves de COVID-19, ni contre les formes asymptomatiques, ni chez les personnes de plus de 75 ans. Le profil de toxicité à court terme est rassurant, avec essentiellement des réactions habituellement observées après une vaccination, assez fréquentes, plus intenses chez les personnes de moins de 56 ans et après la seconde injection : fatigue, maux de tête, courbatures, frissons, douleurs articulaires, fièvre, etc. Si ces résultats sont globalement encourageants, de nombreuses questions persistent, tant sur la durée de l’immunité conférée que sur la protection des personnes les plus à risque de formes sévères, l’impact sur la transmission du virus par les personnes vaccinées, ou la toxicité à long terme. Si les données présentées semblent justifier une mise à disposition en urgence de ce vaccin, des études complémentaires seront rapidement nécessaires, ainsi qu’un dispositif de vaccinovigilance pour compenser le faible recul de l’étude C4591001 (…) » (“VACCIN PFIZER/BIONTECH CONTRE LA COVID-19 : ENFIN DES DONNÉES À ANALYSER !”, Vidal, 10 décembre 2020 : https://www.vidal.fr/actualites/26337-vaccin-pfizer-biontech-contre-la-covid-19-enfin-des-donnees-a-analyser.html). L’article a été édité aussi le 2 juillet 2021, affirmant : « Attention, cet article a été publié fin 2020 et reflète les connaissances à cette date. Depuis, une masse considérable de données a été recueillie, en particulier grâce aux campagnes vaccinales, que cet article n’aborde évidemment pas. En particulier, on sait désormais que le vaccin BioNTech Pfizer (COMIRNATY) est très efficace pour prévenir les formes sévères de la COVID-19, y compris chez les personnes âgées, y compris pour les variants Alpha, Bêta, Gamma et Delta ». Or cela est faux, puisqu’en août 2021, nous savons que ces vaccins n’ont pas immunisé suffisamment et n’ont pas empêché des dizaines de milliers de personnes vaccinées de décéder du virus ou de développer des formes graves, et que son efficacité sur le long terme est remise en question (une efficacité qui décroit tous les mois), que sa protection face au variant Delta est nettement moindre et qu’il n’empêche pas efficacement la transmission du virus. Quant aux autres vaccinés qui ne développent pas de formes graves ou qui ne décèdent pas, ils sont dans la même situation, face au virus, que les millions de personnes non-vaccinées qui n’ont jamais développé de formes graves ou qui se sont rapidement rétablies du Covid-19 par d’autres moyens que la vaccination. Mais ce qui est intéressant, est que les médias affirmaient que les premières études fournies par Pfizer (et qui devaient être corroborées par des études INDEPENDANTES et menées sur le long terme afin de recenser les éventuelles complications graves) donnaient la certitude que ces vaccins immunisaient optimalement face aux formes graves, ce qui n’était pas du tout le cas dans les études réalisées par Pfizer, et alors même que Pfizer avait déjà été épinglé et condamné pour des abus de confiance, des médicaments dangereux mis sur le marché et des pratiques frauduleuses, en même temps que des études biaisées pour accélérer la validation de leurs produits sur le marché. Ainsi, quand bien même ce vaccin se révélait sans danger, – ce qui n’est pas le cas -, il était en phase expérimentale, pouvant causer la mort ou des catastrophes sanitaires de grandes ampleurs (ce qu’annoncent d’éminents médecins sur long terme), et dont nous savons déjà que sur le court terme, des milliers de personnes qui étaient en bonne santé, sont décédés du vaccin et d’autres, – des centaines de milliers -, ont développé des complications graves et des handicaps qui durent et qui ne sont pas juste des effets passagers, le bénéfice/risque n’étant donc pas du tout du côté du vaccin, leur rajoutant des risques graves pour un résultat non-garanti (puisque beaucoup de gens vaccinés sont quand même décédés du Covid).

Beaucoup de « zététiciens » (des « rationalistes » qui aiment bien adopter des approches irrationnelles, des accusations infondées et qui aiment à falsifier ou manipuler les données tout en omettant les études et les données qui ne cadrent pas avec leurs croyances) n’hésitent pas à mentir et ont des conflits d’intérêt pour certains d’entre eux (en plus de gagner beaucoup d’argent grâce à leurs activités d’influenceurs et de surfer sur ce genre de buzz et calomnier ou « humilier » leurs contradicteurs ou ceux qui ne pensent pas comme eux ; ils sont donc souvent très sectaires, arrogants et idéologisés, plus que « rationnels », intellectuels et « scientifiques »). Et pourtant, de nombreux scientifiques et chercheurs, compétents, acquis à l’empirisme et à la rationalité, tout en « pensant » intelligemment la science, adoptent des positions totalement contraires et opposées aux leurs. Ainsi, de nombreux spécialistes comme les Dr. Robert Wallace Malone (virologue, immunologue et spécialiste reconnu de la technologie à ARNm), Dr. Michael Levitt (biophysicien, biologiste et chimiste, prix Nobel de chimie en 2013), Dr. Harald Walach (chercheur en psychologie clinique et en médecine et historien des sciences), Dr. Angelina Farella, Dr. Martin Zizi, Dr. Vladimir Zelenko, Dr. Christian Vélot, Pr. Luc Montagnier (virologue et biologiste, prix Nobel de médecine en 2008), Dr. Peter A. McCullough, Dr. Carole Cassagn, Pr Marc Wathelet, Dr. Geert Vanden Bosshe, Dr. Philippe Poindron, et bien d’autres (qu’ils soient des sommités dans leur domaine, ou des personnes un peu moins connues ou qualifiées), qui sont des professeurs, chercheurs et médecins renommés, ont tous tirés la sonnette d’alarme face aux vaccins à ARNm, le fait qu’ils n’aient pas respecté les protocoles expérimentaux, administratifs et médicaux avant leur mise sur le marché, que leurs expériences ont été arrêtées après la mort de nombreux animaux puis injectés malgré tout sur des centaines de millions de personnes (avec un taux élevé de décès et de cas graves, plus que le Covid pour les non-vaccinés), en plus du fait que ce vaccin n’a pas empêché de nombreux vaccinés de mourir du Covid, de transmettre le virus ou de développer des formes graves. Pour avoir tenu des propos rationnels, exprimé leurs craintes fondées, et avancées des arguments scientifiques vérifiables et pertinents, ils ont été discrédités et calomniés par de nombreux médias et agences en lien avec les firmes pharmaceutiques. Tous les scientifiques défendant une vision de la science plus rationnelle mais aussi plus éthique et « intégrative » tout en se montrant sceptique à l’encontre des pratiques douteuses, immorales et scientifiquement frauduleuses qui ont souvent cours dans les firmes pharmaceutiques, sont souvent taxés de « pseudo-scientifiques » mais restent soutenus malgré tout (scientifiquement et moralement) par une partie importante de la communauté scientifique, même si, comme pour tous les autres scientifiques (qu’ils soient « pro-vax » ou « anti-vax »), ils peuvent aussi commettre des erreurs ou adopter des positions qui ne font pas l’unanimité et qui manquent de preuves empiriques probantes selon de nombreux scientifiques (comme pour l’homéopathie), mais qui ne sont pas des positions irrationnelles ou anti-scientifiques (si l’on devait qualifier chaque « scientifique » de « pseudo-scientifique » pour chaque posture ou avis comportant des erreurs ou des biais, plus de 99% de la communauté scientifique serait à « jeter à la poubelle »).

L’histoire des sciences fournit assez de cas concrets montrant que le « consensus scientifique » n’a jamais été un gage de vérité en science, et qui a souvent changé de positions sur à peu près tout (biologie, astronomie/astrophysique, paléontologie, physique, etc.). Puis aujourd’hui certains éjectent arbitrairement des scientifiques de haut rang de la communauté scientifique pour des raisons idéologiques et politiques, les taxant de charlatans ou « d’hérétiques », ce qui n’est ni rationnelle ni scientifique comme approche… Ils sont aussi dans le déni à croire que l’OMS et les firmes pharmaceutiques ne paient personne pour défendre leur ligne éditoriale (il faut être totalement idiot, naïf, aveugle ou malhonnête pour croire le contraire). Les censures sur Facebook et YouTube de publications de chercheurs et médecins anti-vaccins à ARNm sont légions également, et les abus des « anti-vax » existent aussi chez les « pro-vax ».

Et il y a une confusion permanente autour des notions de rationalité et de « scientificité » dans leurs discours, puisque l’on peut aboutir à des conclusions opposées, dans le domaine scientifique, par une approche à la fois rationnelle et scientifique, c’est le B.A.-B.A pourtant…Il y a aussi des interprétations logiques, mais divergentes, des chiffres et des données observées ou recensées…Donc utiliser des qualificatifs inappropriés pour discréditer ses opposants est un procédé assez pathétique auquel ils y ont souvent recours. Il y a aussi des calomnies et des conclusions hâtives qui ne sont soutenues par aucune preuve … Puis la dilapidation de l’argent pour des choses nocives, des études biaisées ou des futilités, il faut le dire au gouvernement et aux firmes pharmaceutiques qui dépensent énormément d’argent pour mieux faire valider leurs études ou contredire les études mettant à mal l’inefficacité ou le danger des produits qu’ils vendent (ou espèrent vendre). En contactant des chercheurs et spécialistes à l’INSERM on se rend compte aussi que beaucoup sont sceptiques ou contre ces nouveaux vaccins. Dans les hôpitaux en France, ils se plaignent du nombre de personnes vaccinées qui font aussi des AVC de façon anormalement élevée….

Les quelques fois où nous les avons écouté, nous avons été intellectuellement très déçus : manipulations des chiffres, occultation de rapports/études contradictoires, raccourcis fallacieux, sophismes, biais de confirmation, arrogance, diffamations, fakes news et il ne vérifie pas la fiabilité (ni le contexte) des articles qu’il cite et qui vont dans son sens (comme ici dans cette vidéo sur les 99% de non-vaccinés dans les hôpitaux, ce qui est faux, surtout que dans d’autres hôpitaux ce n’est pas du tout pareil, et qu’aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et en Israël, la majorité des hospitalisés Covid sont des vaccinés selon les semaines ; entre 40 et 70% de gens totalement vaccinés, et le reste étant des primo-vaccinés ou des non-vaccinés avec des comorbidités, ce qu’il omet de préciser.

Certains avancent des études statistiques très douteuses pour justifier la campagne vaccinales comme celle-ci : « Combien d’hospitalisations ont été évitées grâce au vaccin Covid19 ? Quelle est l’importance de la non vaccination du Covid19 dans les décès hospitaliers ? Cet outil permet d’évaluer l’impact de la vaccination sur les hospitalisations et décès de la Covid19. Ces statistiques s’appuient sur les données issues des études de la DREES mises à jour chaque semaine (dernière donnée : 01/08/2021). La méthodologie et les calculs sont décrits en bas de page (…) Cela signifie que sur les 38 décès observés chaque jour en France (au 01 août), 22 décès sont directement évitables par la vaccination. D’autres décès auraient pu être indirectement évités, la vaccination permettant de réduire les contaminations (protection individuelle et immunité collective) et les hospitalisations) » (“Évaluez l’impact de la vaccination sur l’épidémie”, Covid Tracker, 1 août 2021 : https://covidtracker.fr/vaximpact/).

Or, cette étude se base sur beaucoup d’hypothèses et de projections invérifiables, que la réalité dément dans bien des cas. Ils omettent beaucoup de variables aussi et parlent de causalité ou de corrélation sans le démontrer (par contre quand il s’agit des problèmes liés à la vaccination, là ils font l’effort inverse ; jeter le doute à chaque fois sans analyser les chiffres/cas un par un, ce n’est pas très sérieux). Il est indispensable de mettre en place un protocole pour produire les chiffres qu’il faut analyser, au lieu de prendre des chiffres dans la nature (à travers n biais de sélections) et d’en déduire des choses douteuses ou contestables (et pour le moins invérifiables). Prenons par exemple ceux qui parlent des hospitalisations évitées, il s’agit d’une erreur grossière (ou d’un mensonge) puisqu’il aurait fallu tester 100% de la population, seul moyen d’obtenir quelque chose de fiable à comparer à la population vaccinée. Si par exemple on a 10M de non-vaccinés et à côté 10M de vaccinés. Parmi les 10M de non-vaccinés, on voit qu’il y a 50% d’infections, dont 10% d’hospitalisations, et que parmi les 10M de vaccinés, il y a seulement 10% d’infection dont 10% (10% des 10% = 0.1% des 10M totaux) hospitalisés, là nous disposerions de chiffres qui signifieraient réellement quelque chose dans la réalité. Or, dans cette étude « pro-vax », ils se gardent bien de compter les gens non-vaccinés infectés qui vont très bien, parce que les seules personnes testées en général sont celles ayant des symptômes, tandis que beaucoup de vaccinés ne sont plus testés, alors qu’ils sont infectés et contagieux, ce qui aboutit donc à des résultats très biaisés et donc non-concluants, car il manque notamment 2 variables cruciales : le nombre d’infectés et d’hospitalisés non-vaccinés, et le nombre d’infectés non-hospitalisés parmi les non-vaccinés. Des statistiques sans protocole n’ont donc aucune valeur concluante, et de la même façon, des chercheurs « anti-vax » ont abouti, à travers des études statistiques, à des résultats totalement opposés (mais là aussi, sur base d’estimations difficilement vérifiables) :

« Le bénéfice tiré de la vaccination est donc à relativiser pour les personnes en bonne santé, c’est-à-dire ne présentant pas de comorbidité. Il apparaît alors clairement que :

Pour les personnes âgées de moins de 45 ans :

– Le risque de décès après vaccination est 140% plus élevé par rapport à la mortalité Covid-19

– Le risque d’effet secondaire très grave entraînant une invalidité, un décès ou un pronostic vital engagé après vaccination est jusque 370% plus élevé par rapport au Covid-19

– Concernant les enfants avec comorbidité, le risque de décès supposé lié à la vaccination est 60 fois plus élevé qu’avec la Covid-19. Et puisqu’aucun enfant en bonne santé n’est décédé de la Covid-19, le risque lié à la vaccination est tout simplement infiniment plus élevé.

Le gouvernement a ouvert la vaccination aux adolescents à partir de 12 ans. Ils sont 2 446 848 enfants entre 12 et 14 ans. En reprenant les calculs précédents:

La vaccination des adolescents de plus de 12 ans pourrait entraîner 85 décès et jusqu’à 235 invalidités graves, pour un bénéfice totalement inexistant.

Ajoutons à ce constat à court terme, le fait que les effets secondaires à moyen et long terme (3 à 10 ans) sont totalement inconnus.

Rappelons également que ces vaccins n’ont reçu qu’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) conditionnelle (11), ce qui signifie que l’évaluation de leur efficacité et de leur innocuité est encore en cours. Il est d’ailleurs à noter qu’il faut habituellement 10 ans pour s’assurer de l’innocuité d’un vaccin (12) » (“La comparaison entre mortalité par Covid et létalité due aux vaccins est juste catastrophique”, AIMSIB, 25 juillet 2021 : https://www.aimsib.org/2021/07/25/la-comparaison-entre-mortalite-par-covid-et-letalite-due-aux-vaccins-est-juste-catastrophique/).

Quant à l’argument de l’immunité collective par la vaccination, beaucoup de chercheurs le remettent désormais en doute, et malgré les slogans erronés ou incertains (comme nous l’avons vu) qu’ils répètent incessamment sur « l’efficacité présumée » du vaccin, ils font face à la réalité, devant forcément admettre que le vaccin ne parviendra pas à remplir l’objectif visé : « (…) “L’Organisation mondiale de la Santé parle de l’immunité collective comme une protection indirecte des personnes qui n’ont pas été immunisées”, explique, au cours de la même réunion, Paul Hunter, médecin de santé publique britannique. Et selon lui, cette immunité collective avec le Covid-19 “est irréalisable, car nous savons que l’infection peut se propager dans les populations vaccinées”. (…) Si elle est grandement affaiblie avec le vaccin, la possibilité d’attraper et de transmettre le virus existe donc toujours même après deux doses, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est toujours question de respecter les gestes barrières dans la population. Mais “nous n’avons rien qui puisse arrêter cette transmission à d’autres personnes”, explique Andrew Pollard. “Maintenant, la seule chose que le vaccin peut faire, c’est ralentir un peu le processus de cette transmission”. Il reste toutefois très sceptique quant à la possibilité d’une immunité collective prochaine grâce au vaccin et déclare même penser que “le virus produira prochainement une variant qui sera peut-être meilleur pour se propager dans les populations vaccinées ». (“”L’immunité collective n’est pas possible” avec le variant Delta, avertissent des chercheurs britanniques”, BFMTV, 11 août 2021 : https://www.bfmtv.com/sante/l-immunite-collective-n-est-pas-possible-avec-le-variant-delta-avertissent-des-chercheurs-britanniques_AN-202108110164.html).

Le vaccin actuel serait inefficace face à un nouveau variant selon des scientifiques britanniques : « (…) Ce dimanche 15 août, des scientifiques ont à leur tour tiré la sonnette d’alarme. Ils ont pressé les ministres britanniques à se préparer à l’apparition d’un nouveau variant du Covid, face auquel les vaccins actuels seraient inefficaces, et à dévoiler le plan d’urgence qu’ils mettraient en place dans ce cas de figure. Le groupe d’experts chargés de conseiller le gouvernement (Sage) a ainsi estimé que l’arrivée d’une telle mutation constituait “une possibilité réaliste”.

“C’est vraiment quelque chose que les décideurs et les scientifiques doivent prendre très au sérieux, puisque cela nous ferait revenir en arrière de façon catégorique”, a averti Graham Medleyy, dans des propos rapportés par The Guardian. Le groupe d’experts a ainsi émis quelques recommandations telles que de continuer à travailler pour trouver des vaccins qui réduisent davantage les risques de contaminations et de complications, ou encore de mener plus d’études en laboratoire pour prévenir l’arrivée de nouveaux variants.

“Nous devrions peut-être réimposer des restrictions”. Pour M. Medleyy, il faut préparer l’arrivée de cette nouvelle variante comme si l’on se prémunissait d’une nouvelle pandémie, puisqu’il s’agirait là d’un “nouveau virus”. “L’avantage, c’est que nous savons que nous pouvons créer des vaccins contre ce virus, et ce, relativement rapidement”, a-t-il ajouté à The Guardian. “L’inconvénient, c’est que nous serions à nouveau dans la même situation que celle que nous avons connue il y a un an, en fonction de l’impact qu’aura l’immunité actuelle face au nouveau variant.” » (“Des scientifiques appellent à se préparer à un scénario “probable et à prendre très au sérieux” dans la crise du coronavirus: “Nous serions à nouveau dans la même situation qu’il y a un an””, La Libre, 16 août 2021 : https://www.lalibre.be/planete/sante/2021/08/16/des-scientifiques-appellent-a-se-preparer-a-un-scenario-probable-et-a-prendre-tres-au-serieux-dans-la-crise-du-coronavirus-nous-serions-a-nouveau-dans-la-meme-situation-quil-y-a-un-an-Q63NVMRBSRD2RB5AOKZGV3LTJU/). Cela semble toutefois être une stratégie marketing visant à vendre continuellement des vaccins qui ne règleront pas le problème, alors qu’il faudrait plutôt trouver d’autres solutions, et combattre plus efficacement les causes de l’obésité et du diabète par exemple, qui sont les premières victimes des coronavirus, et renforcer « naturellement » le système immunitaire.

Donc, oui, le Covid tue BEAUCOUP moins que le cancer, l’alcool, le tabac, le suicide, le VIH ou la drogue à l’échelle mondiale. Et même parmi les morts COVID, dans plus de 95% des cas, il s’agissait de personnes âgées avec des comorbidités (diabète, obésité, etc.). Ce sont les chiffres officiels encore une fois. Avant de vacciner les gens, il faudrait leur dire que le Covid ne tue plus beaucoup à l’échelle globale (en Inde, dans les Antilles et en Martinique par exemple, il s’agit surtout des facteurs de comorbidité, le non-respect des gestes barrière, la méfiance fondée à l’égard des médicaments ou vaccins vendus par les occidentaux et des scandales sanitaires, de très mauvaises infrastructures sanitaires, et cela touche aussi les vaccinés !) comme l’a expliqué par exemple Barbara Lefebvre dans le cas des Antilles en critiquant les propos mensongers et méprisants du Premier ministre français Jean Castex – qui racontait n’importe quoi -, dans l’émission 24H Pujadas, diffusée sur LCI le 11 Août 2021 (https://www.youtube.com/watch?v=c8x_RvIkyh4), et que par ailleurs, il existe des traitements plus sûrs en cas d’infection grave, et que les vaccins à ARNm développés contre le Covid peuvent aussi causer la mort (nous en sommes déjà, selon l’estimation rationnelle et empirique la plus basse, à plusieurs milliers de décès liés directement ou indirectement à la vaccination rien qu’aux Etats-Unis et en France, pour un résultat très mitigé face au virus alors qu’il tue beaucoup moins depuis plus d’1 an déjà), la paralysie, des troubles neurologiques, des thromboses, des myocardites graves, etc. sur le long terme, ainsi que de fortes douleurs, maux de tête, fièvre, etc. sur le court terme, et que pour les jeunes en bonne santé, il y a statistiquement très peu de chances de mourir du Covid, mais plus de mourir du vaccin ou de développer des effets secondaires graves, et que ces vaccins n’empêchent pas la contamination, la transmission ou l’immunité contre le fait de mourir ou de développer des formes graves du virus, et que son efficacité est bien plus faible qu’annoncée, et demeure encore incertaine et mal connue, tout comme son efficacité à moyen et long terme, mais qu’il existe aussi d’autres effets secondaires qui se manifesteront que des mois ou des années plus tard.

Voilà ce que nous savons avec certitude sur le plan scientifique, et il est triste que peu de personnes fassent l’effort d’être nuancé et sérieux dans ses analyses, aussi bien du côté des pro-vax que des anti-vax. Les pro-vax et les anti-vax auront beau se balancer mutuellement des études prouvant leur point de vue respectif, ces études comportent pour la plupart des biais de confirmation et des biais méthodologiques, excluent des données importantes, partent de postulats qu’il faudrait démontrer déjà en amont, et les comparer ensuite avec les données du Réel. Et là, on observe souvent un immense fossé entre les déclarations dans les études, et la réalité sur le terrain. Se contenter d’études biaisées théoriques ou simulées en laboratoire, et ne pas regarder les phénomènes en situation réelle, est une erreur fondamentale que commettent beaucoup de personnes, dont les zététiciens.

Nous avons donc des vaccins à ARNm peu efficaces mais dangereux (pour des millions de personnes jusqu’à présent) contre un virus qui ne tue presque plus et pour lequel il existe de très bons traitements prouvés et testés en cas de formes graves (qui restent peu fréquents) et qui soignent totalement. Quant aux vaccins chinois et russes, qui ne sont pas de type ARNm, ils semblent présenter une meilleure efficacité (même si elle n’est pas optimale non plus) tout en comportant moins d’effets secondaires et de décès selon les données à notre disposition.

La rhétorique de la propagande vaccinale :

– « La vaccination est la seule solution possible mais ne sera pas rendue obligatoire ».

Problème : l’OMS a volontairement écarté tous les traitements efficaces, et de nombreux pays occidentaux ont fini par le rendre obligatoire pour de nombreuses personnes, à coup de menaces, de sanctions, de fakes news, de pressions, etc. alors que la situation était déjà grave et pénible. Cela a poussé aussi de nombreuses personnes à faire de faux certificats, de faux pass sanitaires, etc. Résultats donc catastrophiques. Renoncer à explorer les autres solutions (dont les coûts sont moins élevés que la vaccination, et pour les recherches, et pour le prix des traitements médicaux) relève d’une incompétence et d’une irresponsabilité des plus ahurissantes, car si l’on mise que sur une solution (la vaccination expérimentale), – et qui selon les données actuelles n’a pas été la bonne du tout – qui pouvait s’avérer dangereuse ou inutile, l’Humanité aurait été confrontée à une mortalité accrue. Fort heureusement, le Covid-19 ne tuait déjà que très peu au début (beaucoup de morts aux USA, en France, en Belgique et ailleurs étaient dû à la mauvaise gestion politique et touchaient surtout les personnes âgées, – plus de 75 ans avec des facteurs de comorbidités – en leur disant de rester chez eux et de prendre du doliprane si ça n’allait pas).

– « L’OMS est fiable et s’y connait très bien ».

Problème : l’OMS a menti, changé de discours et d’avis à de nombreuses reprises, n’a pas alerté à temps sur la pandémie (ce qui a propagé le virus un peu partout), possède de nombreux conflits d’intérêt et est gangrénée par la corruption, tout comme l’ONU qui sanctionne jamais économiquement, politiquement ou militairement les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni ou Israël pour leurs massacres, assassinats politiques, coups d’Etat, crimes de guerre, mensonges d’Etat, destructions de villes et pollutions en tous genres. La corruption de l’OMS, son absence de rigueur scientifique, de transparence et de bonnes coordinations, sont critiquées par de nombreux experts et politiciens, dont l’ancien Président des Etats-Unis, – Donald Trump -, en voulant par ailleurs ne plus financer l’OMS en raison de son incompétence manifeste.  Les autorités politiques occidentales sont elles aussi, très peu fiables. Exemple où en France : « L’ex-ministre de la Santé a été mise en examen pour “mise en danger de la vie d’autrui” à l’issue de son audition par des magistrats de la Cour de justice de la République (CJR), qui enquête sur la gestion de l’épidémie de Covid-19, a-t-on appris du parquet général de la CJR ». (10 septembre 2021, AFP : https://twitter.com/afpfr/status/1436374285686394886?s=19). L’énorme corruption dans le système de santé en France avait déjà été relevée dans un reportage complet de Cash investigation, Santé : la loi du marché (Intégrale), diffusée en 2015 : https://www.youtube.com/watch?v=2pPCt0XqZLs

Comment peut-on leur faire confiance ? Pour amoindrir un peu les critiques politiques envers la corruption des autorités politiques françaises, des enquêtes ont été ouvertes contre l’ex-Ministre de la Santé après qu’elle ait fait le sale boulot qu’on lui a demandé de faire contre de belles sommes d’argent,  et dont le gouvernement était parfaitement au courant… mais selon l’avocat Fabrice Di Vizio, les médias se trompent en invoquant la raison de la mise en danger de la santé d’autrui, car il est à l’origine de la plainte : « Oui elle est convoquée non c’est pas pour mise en danger puisqu’aucune information judiciaire n’a été ouverte de ce chef ! Mais bon une info sur 2 vraie c’est pas mal ! Je rappelle que c’est moi qui suis à l’origine des plaintes! Et il faut persévérer ». (9 septembre 2021 : https://mobile.twitter.com/DIVIZIO1/status/1435909592572211201?s=20) et pourtant, dans les faits, oui, elle a mise en danger la santé des citoyens français pour satisfaire les firmes pharmaceutiques contre de l’argent.

– « Le vaccin procure une protection optimale (jamais à 100% mais de l’ordre de 95 à 99%) et empêche la transmission du virus, donc pensez à vos proches ».

Problème : l’efficacité n’est que théorique et le chiffre avancé n’a pas été démontré et reste hypothétique. Or dans les faits, pour une maladie (Covid-19) qui tue très peu les personnes en bonne santé, le vaccin se révèle très peu efficace puisque de nombreux vaccinés sont contaminés, transmettent le virus, contractent des symptômes graves ou légers, et peuvent décéder aussi du virus (aux Etats-Unis, en Israël, au Royaume-Uni et ailleurs, durant les mois de juin, juillet, août notamment, “beaucoup” de vaccinés sont décédés du virus).

– « Vaccinez-nous si vous voulez retrouver la « vie d’avant » ».

Problème : les pays fortement vaccinés ont imposé de nouveau le port du masque, les gestes barrières, et même parfois le confinement pour les gens vaccinés car ils n’étaient pas bien protégés contre le virus ou sa propagation.

– « La vaccination protège les personnes à risque ».

Problème : Beaucoup de personnes âgées et à risque sont mortes soit de la vaccination, soit du virus quand même. L’efficacité n’est donc pas optimale, et ce même si les spécialistes sont très divisés sur la nécessité de vacciner (du moins avec un vaccin à ARNm, car les vaccins dits classiques, semblent être moins dangereux pour la santé selon les données disponibles) les personnes âgées qui présentent des comorbidités.

« La vaccination est la seule solution dont nous disposons et qui marche, et grâce à la vaccination nous atteindrons l’immunité collective rapidement ».

Problème : D’autres solutions ayant fait leur preuve fonctionnent très bien mais ne sont pas mis à l’honneur, et tous les pays qui vaccinent massivement ont connu de nouveaux pics de contamination, d’hospitalisation et de décès par rapport à la période pré-vaccinale. Coïncidence ? Non. Un continent comme l’Afrique, très peu vacciné, connait beaucoup moins de décès et d’hospitalisations que l’Europe, l’Amérique du Nord ou l’Asie. Pourquoi donc vouloir leur refourguer une solution risquée et dangereuse, qui est probablement responsable de l’apparition de nouveaux variants et explosions de contaminations ? D’ailleurs les pays les plus touchés en Afrique sont les pays du Maghreb, qui comptent beaucoup de vaccinés (majoritairement avec le vaccin chinois néanmoins). L’OMS a une nouvelle fois revu ses positions : « En mai, l’OMS avait affirmé que «la pandémie sera(it) terminée lorsque nous aurons atteint une couverture vaccinale de 70% » de la population mondiale. Des propos pas vraiment rassurants. Le directeur de l’OMS en Europe s’est montré davantage pessimiste ce vendredi 10 septembre sur la capacité d’un taux élevé de vaccination à stopper à lui seul la pandémie de Covid-19, du fait des variants qui ont réduit la perspective d’une immunité collective. (…) En mai, le responsable sanitaire onusien avait affirmé que « la pandémie sera(it) terminée lorsque nous aurons atteint une couverture vaccinale minimale de 70%» de la population mondiale. Interrogé sur le fait de savoir si cet objectif valait toujours ou s’il devait être relevé, Hans Kluge a souligné que les nouveaux variants plus contagieux, principalement Delta, avaient changé la donne. (…) Selon des épidémiologistes, il semble désormais illusoire d’atteindre l’immunité collective uniquement grâce aux vaccins » (“Covid-19 : L’OMS finalement pessimiste sur la vaccination pour vaincre la pandémie”, Cnews, 10 septembre 2021 : https://www.cnews.fr/france/2021-09-10/covid-19-loms-finalement-pessimiste-sur-la-vaccination-pour-vaincre-la-pandemie). Le reste de l’article tend à idéaliser la vaccination alors que les données scientifiques indiquent clairement l’inefficacité du vaccin pour réduire la pandémie. Au départ, ils nous annonçaient qu’avec une vaccination de 70 à 85%, le problème serait réglé ; au final ils se sont encore trompés et ont menti, puisque même en atteignant plus de 90% comme en Islande, le problème a même empiré, et que le variant devance presque à chaque fois la campagne vaccinale, puis, ils continuent dans l’impasse et le danger de la vaccination en s’en prenant aux plus jeunes… au lieu de chercher des solutions plus efficaces… Donc à chaque étape, ils trompent et ils mentent, jusqu’à vouloir vacciner tout le monde, même ceux pour qui la vaccination représenterait un danger majeur ou potentiel alors que le virus a très peu de chances de les tuer. Par ailleurs, un vrai « vaccin » sera toujours en retard par rapport aux nouveaux variants, car au moment de son élaboration, et en respectant tous les protocoles et phases de test, il est question de plusieurs années, or les variants disparaissent souvent au bout de quelques mois pour laisser la place à d’autres variants, surtout lors d’une vaccination massive « antérieure ». Il faut donc trouver plutôt des solutions qui boostent le système immunitaire, ainsi que réduire l’obésité, le diabète et l’hypertension (qui sont les facteurs souvent déterminants parmi les personnes décédées du Covid), favoriser l’hygiène, améliorer les infrastructures médicales et le système de santé, et appliquer des traitements médicaux efficaces en cas d’hospitalisation, ce qui existe déjà…

– « L’Union européenne est très généreuse et va exporter des vaccins (dont les européens ne veulent plus) pour aider les pays les plus pauvres ».

Problème : ils apportent un nouveau danger sur le continent africain, et veulent se débarrasser des vaccins qui ont été refusés dans plusieurs pays européens (comme la Norvège par exemple) pour leurs nombreux problèmes et risques (décès, thromboses, …) comme le vaccin AstraZeneca (pourtant moins dangereux que Pfizer selon les données de la pharmacovigilance).

– « Nous avons des décennies de recul sur le vaccin à ARNm ».

Problème : Nous n’avons aucun recul sur l’administration de ce vaccin sur l’homme à grande échelle et sur le long terme, ce qui peut se vérifier dans les documents fournis par Pfizer lui-même, et dont le vaccin est toujours dans une phase « expérimentale » jusqu’en 2022 ou en 2023 selon les vaccins (Pfizer, Moderna, …). Les tests effectués sur les animaux ont été arrêtés puisque nombre d’entre eux sont morts lors des essais expérimentaux. On sait aussi que des dizaines de milliers de vaccinés sont décédés en Occident directement en raison du vaccin (causalité ou corrélation selon les cas) sans qu’aucune autre cause probable ne soit identifié, en date du mois de juillet 2021. Pour juger l’efficacité d’un vaccin, il ne suffit pas d’avoir un grand nombre d’individus/patients/cobayes, car cela ne remplacera jamais le « temps long » pour voir les effets sur la santé sur le long terme.

– « Le vaccin fournit une meilleure immunité que l’immunité naturelle ».

Problème : cela est scientifiquement faux, et des études à grande échelle (notamment en Israël) ont démontré exactement l’inverse. Pour faire fa

– « Le vaccin permet d’avoir une immunité sur le long terme ».

Problème : dès le mois de juin 2021, on constate que l’efficacité théorique des 95-99% annoncée ne correspond pas aux observations scientifiques, et durant l’été, cette efficacité théorique annoncée a été largement revue à la baisse (autour des 15% en Israël pour le vaccin Pfizer), et en septembre 2021, Israël a connu un record de contaminations. Plusieurs explications ont été données pour expliquer l’inefficacité du vaccin, comme le fait que sa durée de protection n’était efficace que durant 6 mois et qu’elle diminuait chaque mois de quelques pourcents (2% selon certains). Problème : même des personnes récemment vaccinées (depuis 3 à 6 semaines) ont contracté le Covid avec des symptômes légers ou graves ou même décédés du Covid. L’efficacité initiale n’est donc pas du tout optimale. De fausses excuses et explications fumeuses « ad-hoc » sont données pour expliquer ça comme « l’existence de poches de non-vaccinés » alors qu’en Israël par exemple les non-vaccinés comme les Juifs orthodoxes transmettent moins le virus que les vaccinés qui fréquentent les lieux publics, et sachant que les Juifs orthodoxes restent souvent entre eux et se mêlent que très rarement aux autres dans les endroits publics qui sont mixtes. Cette communauté existe d’ailleurs depuis longtemps, et aucune explication ne permet de démontrer qu’elle en est à l’origine, sachant que durant de nombreux mois, on a constaté aucune transmission du virus dans cette communauté de façon anormalement élevée. Or, au plus la vaccination se répandait, au plus le virus a circulé et au plus on observait des taux records de contamination et d’hospitalisations et décès par rapport à la période pré-vaccinale. Dans les autres pays vaccinés, nous observons la même chose, à savoir de nombreux vaccinés qui contaminent d’autres vaccinés dans des endroits réservés aux vaccinés de façon générale (maisons de repos, restaurants, boites de nuit, etc.). Enfin, dans des pays fortement vaccinés comme l’Islande, qui avait atteint l’hypothétique seuil « d’immunité collective » a connu son pic le plus élevé de décès et de contaminations durant l’été 2021 au « sommet » de la campagne de vaccination.

– « Le vaccin va améliorer la situation ».

Problème : en consultant les graphiques officiels sur la situation pré-vaccinale et la période vaccinale, on constate que la situation globale était très bonne et sous-contrôle (très peu de décès, de contaminations et d’hospitalisations liés au Covid), et que depuis la campagne vaccinale, la situation a été totalement renversée, même si le ton alarmiste doit être relativisé (d’autres maladies et facteurs continuent d’être toujours plus mortels que le Covid, comme l’obésité, l’alcool, le tabac, le VIH, le cancer, la drogue, etc.). Des pays imposent le Pass sanitaire pour quelques décès liés au Covid (avec comorbidités) alors qu’ils ne l’envisagent pas une seule seconde pour des maladies bien plus mortelles contre lesquelles on ne lutte pas assez.

– « Le vaccin est gratuit alors profitez-en ».

Problème : Il n’y a pas d’argent magique, et c’est le peuple qui paie cette campagne vaccinale (qui coûte plusieurs milliards d’euro), – une solution peu efficace contre le virus et parfois même mortelle pour la population -, qui devra rembourser cet argent via les taxes et les impôts.

– « Le vaccin empêche considérablement les hospitalisations ».

Problème : c’est faux, de nombreux vaccinés continuent à être hospitalisés pour cause de Covid, notamment aux Etats-Unis, en Israël, en France, au Royaume-Uni, etc., et de plus, de nombreux vaccinés sont hospitalisés peu de temps après leur vaccination : augmentation significative des cas d’AVC, de malaises, de coma, d’attaques cardiaques, etc., remplissant donc les hôpitaux !

– « Les non-vaccinés sont égoïstes et surchargent inutilement les hôpitaux ».

Problème : c’est faux et égoïste comme accusation. Quid des obèses, des alcooliques, des fumeurs, des drogués, etc. qui « saturent » les hôpitaux alors qu’il s’agit de facteurs évitables ? Quid des nombreux vaccinés qui sont hospitalisés ?

– « Le pass sanitaire est là pour votre bien »

Problème : C’est faux, plusieurs députés, invités médiatiques, personnalités politiques, etc. ont dit qu’il était là pour rendre la vie « impossible » aux non-vaccinés et leur imposer une mort « sociale ». En outre, cela pose des problèmes concernant les libertés individuelles et les données privées, et plus encore, cela est un danger pour la santé et la lutte efficace contre le virus, puisqu’il a été prouvé que les vaccinés pouvaient encore contracter et transmettre le virus, et que ce faux-sentiment de sécurité les rendaient aussi plus imprudents et irresponsables, avec la négligence du port du masque et des gestes barrières : résultats, beaucoup de nouvelles contaminations ainsi que des hospitalisations. Cela a poussé d’ailleurs les autorités à fermer des boites de nuit, à annuler des activités liées à l’événementiel, certains restaurants, etc.

– « Le virus est ultra-contagieux ».

Problème : La contagiosité de ce virus est bizarre, car il semble être globalement (mais pas totalement) inoffensif dans les endroits ouverts et bien ventilés, que des familles qui se cotôient alors que certains (vaccinés ou non) sont positifs au Covid (soit asymptomatiques, soit symptomatiques) sans que les autres membres de la famille soient contaminés alors qu’ils vivent sous le même toit et mangent à peu près la même chose. Par contre, dans les endroits bondés et clos, ce n’est généralement qu’en y restant de longues heures que les risques de manifester quelques symptômes augmentent de façon significative.

– « Nous connaissons bien le coronavirus qui ne date pas de 2019 donc les vaccins sont sûrs ».

Problème : au début de la pandémie la plupart des autorités sanitaires affirmaient ne rien connaitre au Covid-19, où leurs mesures et théories étaient hypothétiques et expérimentales selon leurs dires, avec des avis scientifiques se contredisant mutuellement à chaque étape des mesures politico-sanitaires. De même ils affirmaient ne rien y connaitre durant plusieurs mois, et ce fut toujours le cas même après 6 mois, où selon les autorités, les seules nouvelles avancées résidaient dans l’augmentation du nombre de personnes testées (tests pcr et antigéniques disponibles) et la plus grande disponibilité du stock de masques… En outre, le fait de connaitre un virus depuis des années n’implique en rien le fait d’en avoir une très bonne connaissance (complète ou presque), ni sur ses variants, et encore moins sur des vaccins développés à la hâte selon les affirmations officielles des firmes pharmaceutiques…

– « Les anti-vax menacent, sont violents et répandent des fakes news ».

Problème : les fakes news des autorités politiques et sanitaires officielles se comptent par centaines. Leurs prévisions sont fausses, les omissions et mensonges autour des vaccins à ARNm, leurs contradictions et leurs lacunes démontrent d’une part leurs manipulations et leurs mensonges officiels (des mesures politiques allant à l’encontre des normes sanitaires et des faits scientifiques alors même que le recul est là et que l’on dispose de données scientifiques précises sur ses aspects) et leur incompétence d’autre part, sans parler de leurs soumissions et conflits d’intérêts en lien avec les firmes pharmaceutiques (de juteux pots de vin et contrats).

Les pro-vax répandent ainsi énormément de fakes news et de contre-vérités scientifiques. Qu’il y ait des anti-vax aux théories fumeuses ou farfelues oui, on en trouve aussi chez les pro-vax, que certains se montrent menaçant ou injurieux sur Internet, oui, tout comme de nombreux pro-vax. Mais ceux qui ont le pouvoir politique de nuire aux gens, ce sont bien les autorités pro-vax, où à coup de millions d’euro ils propagent des fakes news, achètent et corrompent des chercheurs, et où ils mettent énormément de pressions sur le personnel de santé, licencient, menacent, sanctionnent, méprises, intentent des procès, et privent injustement de leurs droits de nombreux citoyens (chercheurs, médecins, restaurateurs, chômeurs, etc.), ce qui ne peut que radicaliser une partie de la population qui se sent impuissante, opprimée, angoissée, incomprise et écrasée. En France, mais aussi en Belgique, des personnalités politiques menacent les non-vaccinés de leur priver de leurs droits, malgré que la science, le droit, la morale, la liberté de conscience et l’intelligence soient du côté des non-vaccinés qui ne sont pas à risque : « Le ministre de la Santé, Frank Vandenbroucke (Vooruit), ne souhaite pas débattre d’une obligation vaccinale généralisée, mais il estime que les personnes qui ne veulent pas se faire vacciner peuvent être privées d’un certain nombre de libertés. Sur cette question, il est d’ailleurs « en total désaccord » avec le président du MR, Georges-Louis Bouchez, a-t-il déclaré jeudi lors de l’émission Terzake (Canvas-VRT) » (“« Il n’y a rien de mal à priver quelqu’un qui ne veut pas se faire vacciner de certaines libertés », lance le ministre de la Santé Frank Vandenbroucke”, Sud Info, 9 septembre 2021 : https://www.sudinfo.be/id415690/article/2021-09-09/il-ny-rien-de-mal-priver-quelquun-qui-ne-veut-pas-se-faire-vacciner-de-certaines). Dire « vous avez le choix » en menaçant ensuite les gens par des contraintes et des restrictions de libertés ceux qui ne se plient pas au « diktat » des politiques, c’est une forme de dictature qui ne se justifie même pas du point de vue médical et sanitaire… En France, c’est la même chose, avec des personnalités politiques et publiques qui menacent et culpabilisent les non-vaccinés (qui ont pourtant de très bonnes raisons scientifiques, médicales, rationnelles et politiques de refuser ce vaccin), comme par exemple Christophe Castaner, président du groupe La République en Marche (LREM) à l’Assemblée nationale, était invité sur BFMTV à s’exprimer sur les restrictions imposées par le pass sanitaire, et, en parlant des gens refusant de se faire vacciner, a dit : « On va vraiment vous pourrir la vie » (“« On va vraiment vous pourrir la vie » : Christophe Castaner face à une question délicate”, Gala, Julie Baranton, 22 juillet 2021 : https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/on-va-vraiment-vous-pourrir-la-vie-christophe-castaner-face-a-une-question-delicate_473161).

Par ailleurs, des chercheurs et personnalités anti-vax ont aussi été menacées de mort ou d’agressions, dont le célèbre scientifique Didier Raoult et l’avocat Fabrice Di Vizio (“Arrêt de TPMP, salaire, harcèlement judiciaire : Fabrice Di Vizio répond aux polémiques”, TPMP, 20 septembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=qau85pW3xKc).

En termes de fakes news, les pro-vax en propagent énormément, comme par exemple Emmanuel André qui n’hésite pas à dire que : « Didier Raoult est responsable de milliers de décès évitables dans les pays francophones de notre planète » : « Le microbiologiste critique fortement Didier Raoult, responsable de nombreux décès selon lui. Emmanuel André revient sur une figure du début de la pandémie, le médecin Didier Raoult. Selon lui, les fausses informations répandues par celui-ci font des victimes dans toute la francophonie. « Didier Raoult tue à petit feu. Lorsque je discute avec des personnes qui refusent de se protéger contre la covid-19 grâce au vaccin, je suis interpellé d’entendre qu’ils citent encore et toujours Didier Raoult comme seule source d’information à laquelle ils donnent du crédit. Ce médecin a, depuis le début de la pandémie, inondé les réseaux sociaux d’informations non vérifiées et fait preuve d’un scepticisme opportuniste bien plus que scientifique par rapport aux vaccins. Ces vidéos ont été vues des millions de fois », écrit Emmanuel André sur Twitter. « J’estime que Didier Raoult est responsable de milliers de décès évitables dans les pays francophones de notre planète, y compris en Belgique et en Afrique. Et que chaque jour qui passe ne fait qu’alourdir la tare infernale qu’il représente dans la gestion de cette pandémie », écrit-il encore ». (“Emmanuel André: «Didier Raoult est responsable de milliers de décès évitables dans les pays francophones de notre planète»”, Le Soir, 20 septembre 2021 :  https://www.lesoir.be/395844/article/2021-09-20/emmanuel-andre-didier-raoult-est-responsable-de-milliers-de-deces-evitables-dans)

Or, il part d’un postulat qui est faux selon les données médicales et statistiques : « le vaccin évite que les gens qui contractent le virus décèdent », or les données observables et fiables indiquent plutôt ceci :

1) Des milliards de non-vaccinés ne sont pas mort du covid, et la plupart des gens non-vaccinés contaminés sont asymptomatiques ou ne développent que des symptômes légers.

2) De nombreux vaccinés sont morts du Covid (Israël, USA, UK, France, Belgique, Algérie, Maroc, Tunisie, …).

3) Le vaccin a tué aussi des dizaines de milliers de personnes au moins en Europe et autant aux Etats-Unis selon les bases de données de pharmacovigilance (les chiffres tout décès confondus sont au moins 10 fois plus élevés mais dans beaucoup de cas il n’y a ni causalité ni même corrélation avec les vaccins, contrairement à d’autres cas où le lien semble évident et direct ; ce qui concerne au moins des dizaines de milliers de morts donc en Europe).

4) Les hôpitaux sont remplis de personnes vaccinées (soit à cause du Covid car le vaccin protège mal, soit à cause des effets secondaires et complications graves). Rappelons que sont comptés encore comme non-vaccinés les gens totalement vaccinés entre 1 et 14 jours après leur seconde injection, et beaucoup sont justement des vaccinés qui sont rapidement hospitalisés selon le rapport du CDC du 27 août 2021… : « persons were considered fully vaccinated ≥14 days after receipt of the final vaccine dose (…). Fourth, this study did not estimate VE by vaccine product, and persons were categorized fully vaccinated at 14 days after final dose, per CDC definitions; however, the Janssen vaccine might have higher efficacy at 28 days (…) Persons were determined to be fully vaccinated following 14 days after final vaccine-series dose receipt, per the Citywide Immunization Registry and the New York State Immunization Information System (…) ». (“New COVID-19 Cases and Hospitalizations Among Adults, by Vaccination Status — New York, May 3–July 25, 2021 Weekly / August 27, 2021 / 70(34);1150-1155” : https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/mm7034e1.htm?s_cid=mm7034e1_w). Pas très honnête la façon dont ils exposent les chiffres, les vaccinés (de moins de 14j) hospitalisés sont comptés comme des non-vaccinés…

– « Le virus (Covid-19) est mortel, très contagieux et cela exige donc de vacciner les plus jeunes ».

Problème : Ce virus ne tue moins de 0,8% des personnes contaminées, et l’immense majorité des victimes ont plus de 65 ans avec des facteurs de comorbidités comme l’obésité, le diabète, l’hypertension, etc. La solution réside donc dans la prévention sanitaire : diminuer la consommation de soda, de sucre industriel, etc. mais ce qui ne plait pas aux multinationales auxquelles sont soumises de nombreux politiciens qui ne font rien contre cela. Et c’est CELA qui engendre de nombreux décès chaque année, et qui fragilisent considérablement les personnes qui décèdent du Covid. Quant aux jeunes, rares sont ceux qui décèdent du Covid, SAUF depuis l’apparition de variants (engendrés en grande partie par la vaccination massive selon de nombreux experts virologues et généticiens) pouvant être plus sévères, et là aussi, le vaccin n’est pas la solution puisqu’elle ne leur accorde pas de protection suffisante mais augmente le risque de contracter des complications graves diverses, voire même la mort dans un certain nombre de cas. Et à l’heure actuelle, le Covid tue moins de jeunes que le vaccin, ce qui implique que la balance bénéfice/risque est contre le vaccin. La nécessité de faire une 3ème, 4ème ou 5ème dose pour des millions de vaccinés montre l’échec du vaccin à leur procurer une immunité et une protection suffisantes contre le virus et ses variants.

– « En fait le vaccin est efficace contre les formes graves du Covid ».

 Problème : après avoir admis que toutes les promesses initiales du vaccin s’avéraient scientifiquement fausses (protection optimale, absence de contagion ou de transmission, efficacité contre les symptômes légers, etc.), c’est leur dernier argument, sauf que celui-ci est faux aussi. D’une part, dès le mois de décembre 2020, Vidal nous informait déjà que le vaccin n’avait montré aucune efficacité particulière contre les symptômes graves du Covid, ce qui s’est vérifié sur le terrain, avec de nombreux vaccinés qui ont été hospitalisés ou qui sont décédés du Covid.

Cette conclusion se base notamment sur les rapports, propos, recherches et observations de nombreux virologues, immunologues, biologistes, médecins, infirmiers, généticiens, épidémiologistes et neurologues, ainsi qu’en lisant les rapports officiels et en analysant les statistiques, ce qui révèle clairement la manipulation et les biais de confirmation qui sont énormes et flagrantes.

Mais rappelons que toutes ces « prédictions » et « mises en garde » comme découlant des implications logiques et concrètes de la croyance matérialiste, avaient déjà été faites plus d’un siècle auparavant, notamment par René Guénon, qui écrivait à ce sujet :

« Revenons maintenant à la considération du point de vue plus proprement « scientifique », tel que les modernes l’entendent ; ce point de vue se caractérise avant tout par la prétention de réduire toutes choses à la quantité et de ne tenir aucun compte de ce qui ne s’y laisse pas réduire, de le regarder en quelque sorte comme inexistant ; on en est arrivé à penser et à dire couramment que tout ce qui ne peut pas être « chiffré », c’est-à-dire exprimé en termes purement quantitatifs, est par là même dépourvu de toute valeur « scientifique » ; et cette prétention ne s’applique pas seulement à la « physique » au sens ordinaire de ce mot, mais à tout l’ensemble des sciences admises « officiellement » de nos jours, et comme nous l’avons déjà vu elle s’étend même jusqu’au domaine psychologique. Nous avons suffisamment expliqué, dans ce qui précède, que c’est là laisser échapper tout ce qu’il y a de véritablement essentiel, dans l’acception la plus stricte de ce terme, et que le « résidu » qui tombe seul sous les prises d’une telle science est tout à fait incapable d’expliquer quoi que ce soit en réalité ; mais nous insisterons encore quelque peu sur un aspect très caractéristique de cette science qui montre d’une façon particulièrement nette combien elle s’illusionne sur ce qu’il est possible de tirer de simples évaluations numériques, et qui d’ailleurs se rattache assez directement à tout ce que nous avons exposé en dernier lieu.

En effet, la tendance à l’uniformité, qui s’applique dans le domaine « naturel » aussi bien que dans le domaine humain, conduit à admettre, et même à poser en quelque sorte en principe (nous devrions dire plutôt en « pseudo-principe »), qu’il existe des répétitions de phénomènes identiques, ce qui, en vertu du « principe des indiscernables », n’est en réalité qu’une impossibilité pure et simple. Cette idée se traduit notamment par l’affirmation courante que « les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets », ce qui, énoncé sous cette forme, est proprement absurde car, en fait, il ne peut jamais y avoir ni les mêmes causes ni les mêmes effets dans un ordre successif de manifestation; et ne va-t-on pas même jusqu’à dire communément que « l’histoire se répète », alors que la vérité est qu’il y a seulement des correspondances analogiques entre certaines périodes et entre certains événements ? Ce qu’il faudrait dire, c’est que des causes comparables entre elles sous certains rapports produisent des effets également comparables sous les mêmes rapports ; mais à côté des ressemblances qui sont, si l’on veut, comme une identité partielle, il y a aussi toujours et nécessairement des différences, du fait même que, par hypothèse, il s’agit de deux choses distinctes et non pas d’une seule et même chose. Il est vrai que ces différences, par là même qu’elles sont des distinctions qualitatives, sont d’autant moindres que ce que l’on considère appartient à un degré plus bas de la manifestation et que par conséquent les ressemblances s’accentuent dans la même mesure, de sorte que, dans certains cas, une observation superficielle et incomplète pourra faire croire à une sorte d’identité ; mais, en réalité, les différences ne s’éliminent jamais complètement, sans quoi on serait au-dessous même de toute manifestation ; et n’y eût-il même que celles qui résultent de l’influence des circonstances sans cesse changeantes de temps et de lieu, celles-là encore ne pourraient jamais être entièrement négligeables ; il est vrai que, pour le comprendre, il faut se rendre compte que l’espace et le temps réels, contrairement aux conceptions modernes, ne sont point seulement des contenants homogènes et des modes de la quantité pure et simple, mais qu’il y a aussi un aspect qualitatif des déterminations temporelles et spatiales. Quoi qu’il en soit, il est permis de se demander comment, en négligeant les différences et en se refusant en quelque sorte à les voir, on peut prétendre constituer une science « exacte » ; en fait, et rigoureusement, il ne peut y avoir d’« exactes » que les mathématiques pures, parce qu’elles se rapportent vraiment au domaine de la quantité, et tout le reste de la science moderne n’est et ne peut être, dans de telles conditions, qu’un tissu d’approximations plus ou moins grossières, et cela non pas seulement dans les applications, où tout le monde est bien obligé de reconnaître l’imperfection inévitable des moyens d’observation et de mesure, mais encore au point de vue théorique lui-même ; les suppositions irréalisables qui sont presque tout le fond de la mécanique « classique », laquelle sert elle-même de base à toute la physique moderne, pourraient ici fournir une multitude d’exemples caractéristiques (1).

(1) Où a-t-on jamais vu, par exemple, un « point matériel pesant », un « solide parfaitement élastique » un « fil inextensible et sans poids », et autres « entités » non moins imaginaires dont est remplie cette science considérée comme « rationnelle » par excellence ?

L’idée de fonder en quelque sorte une science sur la répétition trahit encore une autre illusion d’ordre quantitatif, celle qui consiste à croire que la seule accumulation d’un grand nombre de faits peut servir de « preuve » à une théorie ; il est pourtant évident, pour peu qu’on y réfléchisse, que les faits d’un même genre sont toujours en multitude indéfinie, de sorte qu’on ne peut jamais les constater tous, sans compter que les mêmes faits s’accordent généralement tout aussi bien avec plusieurs théories différentes. On dira que la constatation d’un plus grand nombre de faits donne tout au moins plus de « probabilité » à la théorie ; mais c’est là reconnaître qu’on ne peut jamais arriver de cette façon à une certitude quelconque, donc que les conclusions qu’on énonce n’ont jamais rien d’« exact » ; et c’est aussi avouer le caractère tout « empirique » de la science moderne, dont les partisans, par une étrange ironie, se plaisent pourtant à taxer d’« empirisme » les connaissances des anciens alors que c’est précisément tout le contraire qui est vrai car ces connaissances, dont ils ignorent totalement la véritable nature, partaient des principes et non point des constatations expérimentales, si bien qu’on pourrait dire que la science profane est construite exactement au rebours de la science traditionnelle. Encore, si insuffisant que soit l’« empirisme » en lui-même, celui de cette science moderne est-il bien loin d’être intégral, puisqu’elle néglige ou écarte une partie considérable des données de l’expérience, toutes celles en somme qui présentent un caractère proprement qualitatif ; l’expérience sensible, pas plus que tout autre genre d’expérience, ne peut jamais porter sur la quantité pure, et plus on s’approche de celle-ci, plus on s’éloigne par là même de la réalité qu’on prétend constater et expliquer ; et en fait il ne serait pas difficile de s’apercevoir que les théories les plus récentes sont aussi celles qui ont le moins de rapport avec cette réalité et qui la remplacent le plus volontiers par des « conventions », nous ne dirons pas entièrement arbitraires (car une telle chose n’est encore qu’une impossibilité, et pour faire une « convention » quelconque il faut nécessairement avoir quelque raison de la faire), mais du moins aussi arbitraires que possible, c’est-à-dIre n’ayant en quelque sorte qu’un minimum de fondement dans la véritable nature des choses.

Nous disions tout à l’heure que la science moderne, par là même qu’elle veut être toute quantitative, se refuse à tenir compte des différences entre les faits particuliers jusque dans les cas où ces différences sont le plus accentuées, et qui sont naturellement ceux où les éléments qualitatifs ont une plus grande prédominance sur les éléments quantitatifs ; et l’on pourrait dire que c’est là surtout que la partie la plus considérable de la réalité lui échappe, et que l’aspect partiel et inférieur de la vérité qu’elle peut saisir malgré tout (parce que l’erreur totale ne saurait avoir d’autre sens que celui d’une négation pure et simple) se trouve dès lors réduit à presque rien. Il en est surtout ainsi quand on en arrive à la considération des faits d’ordre humain car ils sont les plus hautement qualitatifs de tous ceux que cette science entend comprendre dans son domaine, et pourtant elle s’efforce de les traiter exactement comme les autres, comme ceux qu’elle rapporte non seulement à la « matière organisée » mais même à la « matière brute », car elle n’a au fond qu’une seule méthode qu’elle applique uniformément aux objets les plus différents, précisément parce que, en raison même de son point de vue spécial, elle est incapable de voir ce qui en constitue les différences essentielles. Aussi est-ce dans cet ordre humain, qu’il s’agisse d’histoire, de « sociologie », de « psychologie » ou de tout autre genre d’études qu’on voudra supposer, qu’apparaît le plus complètement le caractère fallacieux des « statistiques » auxquelles les modernes attribuent une si grande importance ; là comme partout ailleurs, ces statistiques ne consistent, au fond, qu’à compter un plus ou moins grand nombre de faits que l’on suppose tous entièrement semblables entre eux, sans quoi leur addition même ne signifierait rien; et il est évident qu’on n’obtient ainsi qu’une image d’autant plus déformée de la réalité que les faits dont il s’agit ne sont effectivement semblables ou comparables que dans une moindre mesure, c’est-à-dire que l’importance et la complexité des éléments qualitatifs qu’ils impliquent sont plus considérables. Seulement, en étalant ainsi des chiffres et des calculs, on se donne à soi-même, tout autant qu’on vise à donner aux autres, une certaine illusion d’« exactitude » qu’on pourrait qualifier de « pseudo-mathématique » ; mais en fait, sans même s’en apercevoir et en vertu d’idées préconçues, on tire indifféremment de ces chiffres à peu près tout ce qu’on veut, tellement ils sont dépourvus de signification par eux-mêmes ; la preuve en est que les mêmes statistiques, entre les mains de plusieurs savants pourtant adonnés à la même « spécialité », donnent souvent lieu, suivant leurs théories respectives, à des conclusions tout à fait différentes, pour ne pas dire même parfois diamétralement opposées. Dans ces conditions, les sciences soi-disant « exactes » des modernes, en tant qu’elles font intervenir les statistiques et qu’elles vont même jusqu’à prétendre en tirer des prévisions pour l’avenir (toujours en conséquence de l’identité supposée de tous les faits envisagés, qu’ils soient passés ou futurs), ne sont en réalité rien de plus que de simples sciences « conjecturales », suivant l’expression qu’emploient volontiers (en quoi ils reconnaissent d’ailleurs plus franchement que bien d’autres ce qu’il en est) les promoteurs d’une certaine astrologie moderne dite « scientifique » qui n’a assurément que des rapports très vagues et très lointains, si même elle en a encore autrement que par la terminologie, avec la véritable astrologie traditionnelle des anciens, aujourd’hui tout aussi entièrement perdue que les autres connaissances du même ordre; cette « néo-astrologie », précisément, fait aussi un grand usage des statistiques dans ses efforts pour s’établir « empiriquement » et sans se rattacher à aucun principe, et elles y tiennent même une place prépondérante; c’est pour cette raison même qu’on croit pouvoir la décorer de l’épithète de « scientifique » (ce qui implique d’ailleurs qu’on refuse ce caractère à la véritable astrologie, ainsi qu’à toutes les sciences traditionnelles constituées d’une façon similaire), et cela est encore bien significatif et bien caractéristique de la mentalité moderne.

La supposition d’une identité entre les faits qui ne sont en réalité que du même genre, c’est-à-dire comparables sous certains rapports seulement, en même temps qu’elle contribue, comme nous venons de l’expliquer, à donner l’illusion d’une science « exacte », satisfait aussi le besoin de simplification excessive qui est encore un autre caractère assez frappant de la mentalité moderne, à tel point qu’on pourrait, sans y mettre aucune intention ironique, qualifier proprement celle-ci de « simpliste » tant dans ses conceptions « scientifiques » que dans toutes ses autres manifestations. Tout cela se tient d’ailleurs, et ce besoin de simplification accompagne nécessairement la tendance à tout réduire au quantitatif et la renforce encore car évidemment il ne saurait y avoir rien de plus simple que la quantité; si l’on réussissait à dépouiller entièrement un être ou une chose de ses qualités propres, le « résidu » qu’on obtiendrait présenterait assurément le maximum de simplicité ; et à la limite, cette extrême simplicité serait celle qui ne peut appartenir qu’à la quantité pure, c’est-à-dire celle des « unités » toutes semblables entre elles qui constituent la multiplicité numérique; mais ceci est assez important pour appeler encore quelques autres réflexions » (24).

Cela se répercute aussi dans le journalisme et la communication de notre époque, se caractérisant essentiellement par les fakes news, la désinformation et la méconnaissance des sujets abordés, aussi bien par de nombreux gouvernements (non seulement orientaux ou africains, mais aussi et surtout occidentaux), que de nombreux médias dits « indépendants » ou « alternatifs », étant parfois gérés par des personnes profondément incompétentes et peu critiques, ou alors financées par des fondations ou des gouvernements ne se souciant que très peu d’éthique.

Il semble y avoir un consensus mondial pour affirmer que la majorité des gens sont idiots, – c’est du moins la croyance populaire en Occident mais où chaque camp se renvoie cette allégation et se pense immuniser contre l’absurde et l’idiotie – indépendamment de leurs convictions religieuses, philosophiques ou politiques. Dès lors, leur appel à la démocratie, – des sociétés gouvernées par des idiots – serait l’apogée de la civilisation et de l’intelligence ?

Avec la technologie on nous promettait pourtant un monde plus libre, efficace et égalitaire, mais l’omniprésence de l’administratif et de la surveillance (virant au totalitarisme) rajoute du stress supplémentaire, de la corruption, de la dépression, de l’angoisse et beaucoup de lenteurs et d’injustices. Ne devrions-donc pas revoir les fondements même du système actuel, dont tous les signes indiquent une série de catastrophes imminentes, s’enchainant les unes après les autres ?

Notes :

(1) “L’Arabie saoudite, troisième pays le plus heureux du monde ?”, Kawa News, 14 octobre 2020 : https://kawa-news.com/larabie-saoudite-troisieme-pays-le-plus-heureux-du-monde/

(2) « « Si la solidarité ne fonctionne pas, il y a un mot pour expliquer la prolongation de l’agonie de ce monde, cette prise d’otage par le virus… c’est la cupidité », a dénoncé le directeur général de l’organisation onusienne, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à l’issue d’un point de presse de l’OMS à Genève. (….) Le directeur de l’OMS et ses adjoints ont longuement critiqué les pays et industriels qui signent ces contrats pour les troisièmes doses. Ainsi le groupe pharmaceutique Pfizer/BioNTech a préconisé vendredi d’injecter une troisième dose de son vaccin pour le rendre plus efficace au moment où le très contagieux variant Delta provoque des flambées épidémiques en Asie et en Afrique et fait remonter le nombre de cas en Europe et aux États-Unis. La cheffe scientifique que l’OMS, Soumya Swaminathan a affirmé lundi qu’« il n’y a pas de preuve scientifique qui suggère qu’on a besoin d’injection de rappel », au-delà des doses initiales préconisées. (…) ». “Le patron de l’OMS dénonce la « cupidité » qui prolonge l’agonie du monde”, La Presse, 12 juillet 2021 : https://www.lapresse.ca/international/2021-07-12/troisieme-dose/le-patron-de-l-oms-denonce-la-cupidite-qui-prolonge-l-agonie-du-monde.php

(3) « We’re seeing some reduction in vaccine efficacy,’ says Prof Cyrille Cohen, Head of Immunotherapy Laboratory at Bar-Ilan University: ‘The data from Israel’s Ministry of Health shows the vaccine is only 16% effective in preventing infection for those vaccinated in January.’ ». i24news, 29 juillet 2021 :  https://twitter.com/i24NEWS_EN/status/1420759420720480263 ; “Vaccine Only 16% Effective After 6 Months” https://www.youtube.com/watch?v=dMnR3d6rfME

(4) Voir par exemple les articles suivants :

1) “Le variant delta en chiffres”, Gérard Maudrux, 26 juillet 2021 : https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/26/le-variant-delta-en-chiffres/

2) “”La guerre a changé” : des documents américains sonnent l’alarme face au variant Delta”, RTBF, 30 juillet 2021 : https://www.rtbf.be/info/societe/detail_la-guerre-a-change-des-documents-americains-sonnent-l-alarme-face-au-variant-delta

3) “Covid-19 : même vaccinée, l’Islande n’échappe pas à une nouvelle vague”, Le Point, 23 juillet 2021 : https://www.lepoint.fr/monde/covid-19-meme-vaccinee-l-islande-n-echappe-pas-a-une-nouvelle-vague-23-07-2021-2436553_24.php

4) “La vaccination à l’épreuve des faits. 1ère partie : les chiffres de l’épidémie”, Laurent Mucchielli, 20 juillet 2021 : https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/200721/la-vaccination-l-epreuve-des-faits-1ere-partie-les-chiffres-de-l-epidemie

(5) “La comparaison entre mortalité par Covid et létalité due aux vaccins est juste catastrophique”, AIMSIB, 25 juillet 2021 : https://www.aimsib.org/2021/07/25/la-comparaison-entre-mortalite-par-covid-et-letalite-due-aux-vaccins-est-juste-catastrophique/

(6) « Entretenue par des déclarations politiques prônant l’autorité, la tension semble monter entre une part de la population peu encline à recevoir l’un des vaccins anti-Covid disponibles en France, et une partie de l’opinion, plus proche de la position officielle, souhaitant accélérer et généraliser la vaccination. « Si ces deux « camps » s’opposent, c’est probablement parce que les informations dont ils disposent ne sont pas les mêmes. A la recherche d’informations peu accessibles dans le débat public, on a consulté la base de pharmacovigilance de l’OMS, qui regroupe les déclarations d’effets secondaires des médicaments au niveau mondial. La base de pharmacovigilance de l’OMS, VigiBase, n’est pas accessible au public. Mais une version simplifiée l’est : VigiAccess. Cette base de données collecte et résume les événements indésirables déclarés par les systèmes de pharmacovigilance officiels de plus de 110 pays dans le monde, pour tous les médicaments existants. La page d’accueil précise bien que pour chaque événement indésirable enregistré, le médicament est « soupçonné », mais que cela ne signifie pas automatiquement qu’il soit la cause de l’événement. Tous les suspects n’étant pas coupables, il y a donc là un facteur de surévaluation du nombre d’événements indésirables réels. Inversement, la plupart des systèmes de pharmacovigilance qui apportent leurs données à VigiBase et à VigiAccess ne recueillent que les événements qui leurs sont déclarés, en général sur la base de déclarations volontaires, faites par le personnel médical ou par les patients eux-mêmes, selon les systèmes mis en place dans chaque pays. Ces déclarations ne peuvent pas être exhaustives, et de façon générale, on estime qu’entre 1 % et 10 % des événements indésirables réels sont rapportés. Il y a donc un facteur de sous-évaluation du nombre d’événements indésirables réels. Entre un facteur de sous-évaluation et un facteur de surévaluation, que l’on ne peut espérer calculer ni l’un ni l’autre, on sait qu’à partir des chiffres tirés de ces bases de pharmacovigilance on ne peut pas déduire le nombre réel d’événements survenus. Mais ce phénomène touchant a priori tous les médicaments — sans doute pas exactement dans les mêmes proportions, mais selon les mêmes mécanismes — on peut partir de l’hypothèse (approximative) que le taux de sous- ou surévaluation est à peu près du même ordre de grandeur pour la plupart des médicaments, et on peut par exemple chercher à comparer entre elles les données rapportées pour deux ou plusieurs médicaments. La base de données de pharmacovigilance VigiAccess a toutefois plusieurs faiblesses : notamment, elle ne fournit ni le nombre de doses administrées ni le nombre de personnes traitées pour chaque médicament. Or, comparer le nombre d’événement indésirables rapportés n’a de sens que si l’on compare le nombre de traitements administrés. Si on veut comparer deux médicaments entre eux, il faut donc chercher ailleurs le nombre de doses administrées pour chacun d’eux. Ici, on a cherché à comparer le nombre d’événements indésirables rapportés en lien avec les vaccins anti-Covid avec le nombre d’événements indésirables rapportés pour d’autres vaccins. Parmi les limitations de VigiAccess, on regrettera qu’il ne soit pas possible d’y lire séparément le nombre d’effets indésirables pour chacun des différents vaccins utilisés contre une même maladie. En effet, tous les vaccins anti-Covid sont réunis dans le même sac : ils s’appellent « Covid-19 vaccines » (Fig.1 à 3). (…) VigiAccess ne permet pas de distinguer les effets indésirables graves, les décès, ou les cas ayant conduit à un handicap, par exemple, qui sont certainement minoritaires parmi les 1,3 millions d’effets indésirables rapportés. Dans son dernier point d’actualité, le 2 juillet 2021, l’ANSM rapporte qu’environ un quart des événements indésirables rapportés en France pour les vaccins anti-Covid sont « graves ». On ne peut pas extrapoler cette proportion aux résultats de VigiAccess, puisque les différents pays ne filtrent pas de la même façon ce qui est rapporté, mais on peut se poser la question. Le rapport de l’ANSM ne compare pas le nombre d’effets indésirables des vaccins anti-Covid à ceux d’autres médicaments, se contentant de dire que les 55.000 événements, dont environ 15.000 graves, enregistrés après une injection, ne constituent pas un « signal ». L’ANSM a-t-elle annoncé à partir de combien d’événements elle voit un signal ?

Quoi qu’il en soit, les contours imprécis que l’on voit se dessiner au travers des chiffres de VigiAccess sont cohérents avec ce que la base de pharmacovigilance états-unienne VAERS montre de son côté (Fig.10) de façon plus détaillée : 9048 décès pour lesquels on soupçonne les vaccins anti-Covid, alors que la pire année jusqu’ici en avait vu 605 déclarés suite à un vaccin. Ou 7463 personnes que les effets indésirables laissent handicapées ». “Covid-19 – Les vaccins vus à travers la pharmacovigilance de l’OMS”, Enzo Lolo, 12 juillet 2021 : https://blogs.mediapart.fr/enzo-lolo/blog/120721/covid-19-les-vaccins-vus-travers-la-pharmacovigilance-de-loms :

« La pharmacovigilance des vaccins anti-covid est déniée car elle menace l’idéologie de la vaccination intégrale portée par les industries pharmaceutiques, les gouvernements et les principaux médias. Cette vaccination de masse conduit pourtant à une mortalité inédite dans l’histoire de la médecine moderne. Il y a urgence à la suspendre pour évaluer la balance bénéfice/risque au cas par cas.

Par Laurent MUCCHIELLI (sociologue, directeur de recherche au CNRS), Hélène BANOUN (pharmacien biologiste, PhD, ancienne chargée de recherches à l’INSERM), Emmanuelle DARLES (maîtresse de conférences en informatique à Aix-Marseille Université), Éric MENAT (docteur en médecine, médecin généraliste), Vincent PAVAN (maître de conférences en mathématique à Aix-Marseille Université) & Amine UMLIL (pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, unité de « pharmacovigilance/CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques)/Coordination des vigilances sanitaires » du Centre hospitalier de Cholet).  (…) » : “La vaccination Covid à l’épreuve des faits. 2ème partie : une mortalité inédite”, Laurent Mucchielli, 30 juillet 2021 : https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/300721/la-vaccination-covid-l-epreuve-des-faits-2eme-partie-une-mortalite-inedite ; sous de multiples pressions, Mediapart a cédé et a dépublié l’article !

(7) “A-t-on le droit de questionner la politique vaccinale ?”, 10 juillet 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=OBziif1cYug

(8) « Grâce à des commandes portant sur 2,1 milliards de doses de vaccins anti- Covid-19, Pfizer prévoit d’en vendre pour 33,5 milliards de dollars cette année, contre 26 milliards de dollars attendu en mai ! Et les ventes pourraient encore croître, car Pfizer/BioNTech préconise une troisième dose de son vaccin pour le rendre plus efficace. Pfizer peut avoir le sourire. Le géant américain de la santé pense vendre cette année pour 33,5 milliards de dollars de vaccins contre le Covid-19 développés en partenariat avec l’allemand BioNTech, grâce à des commandes portant sur 2,1 milliards de doses à travers le monde. C’est bien plus que les 26 milliards de dollars sur lesquels le groupe avait dit tabler en mai, et encore plus que les 15 milliards de dollars estimés en février. “La rapidité et l’efficacité de nos efforts avec BioNTech pour aider à vacciner le monde contre le Covid-19 est sans précédent, avec désormais plus d’un milliard de doses délivrées à l’échelle de la planète”, a réagi le PDG du groupe, Albert Bourla, cité dans le communiqué de résultats du deuxième trimestre. Les ventes pourraient encore croître, car Pfizer/BioNTech préconise une troisième dose de son vaccin pour le rendre plus efficace, au moment où le très contagieux variant Delta provoque des flambées épidémiques en Asie et en Afrique et fait remonter le nombre de cas en Europe et aux Etats-Unis. Ce variant apparu initialement en Inde est le plus contagieux répertorié depuis l’apparition de la pandémie début 2020. L’alliance a évoqué début juillet “des résultats encourageants” d’essais pour une troisième dose et prévu de demander l’autorisation pour une troisième dose de son vaccin, aux Etats-Unis et en Europe. Forte de ses ventes en hausse, l’entreprise a logiquement relevé ses prévisions de chiffre d’affaires et de bénéfices annuels. Il anticipe désormais pour l’ensemble de 2021 un chiffre d’affaires compris dans une fourchette entre 78 milliards et 80 milliards de dollars, contre 70,5 milliards à 72,5 milliards de dollars en mai, porté par ses ventes de vaccins anti-Covid qui ont déjà rapporté 11,3 milliards de dollars sur les six premiers mois de l’année. Le bénéfice par action, qui sert de référence à Wall Street, pourrait de son côté croître de 3,95 dollars à 4,05 dollars, contre 3,55 dollars à 3,65 dollars initialement prévus. Sur le seul deuxième trimestre, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de 18,9 milliards de dollars, presque le double d’un an plus tôt (+92%) et au-dessus des anticipations des analystes qui tablaient sur 18,45 milliards ». “Pfizer : son vaccin anti- Covid-19 va lui rapporter (très) gros”, Capital, 28 juillet 2021 : https://www.capital.fr/entreprises-marches/pfizer-son-vaccin-anti-covid-19-va-lui-rapporter-tres-gros-1410688

(9) France 2 : https://www.youtube.com/watch?v=OB_A9UeFyL4

(10) « Réuni en session extraordinaire fin juin, le Cnom a décidé de porter plainte devant les chambres disciplinaires de première instance à l’encontre de dix médecins connus pour leurs dérapages sur le Covid, révèle l’agence APM.  

Parce qu’ils ont promu des traitements non éprouvés, tenu des propos anti-vaccin, ou remis en cause la politique sanitaire et notamment l’utilité des gestes barrières, dix nouveaux médecins vont faire l’objet de poursuites ordinales, a annoncé l’agence APM vendredi 9 juillet, “de source ordinale”. Réuni en session extraordinaire, le Conseil national a décidé de porter plainte devant les chambres disciplinaires de première instance ou de s’associer à des plaintes déjà existantes, comme il l’a fait en décembre dernier pour les Pr Raoult et Perronne. Parmi les médecins mis en cause, figurent la députée et psychiatre Martine Wonner, poursuivie par l’association Fakemed pour ses récents propos visant les soignants des Ehpad, l’anesthésiste-réanimateur Louis Fouché, fondateur de Réinfo Covid, ou encore le prix Nobel de médecine Pr Luc Montagnier qui s’est récemment illustré en affirmant que les variants naissaient des vaccins. Plusieurs généralistes sont également mis en cause, détaille l’APM : les Drs Peter El Baze, Vincent Reliquet, Denis Agret, François-Xavier Richez et deux praticiens de la Réunion, les Drs Antoine Venault et Hélène Bouscal. Le Dr Laurent Montesino, anesthésiste-réanimateur, complète cette liste.  Contacté par Egora, le Cnom n’a pas donné suite à notre sollicitation ».

“Wonner, Fouché, Montagnier et plusieurs généralistes poursuivis par l’Ordre des médecins”, A.M., 13 juillet 2021 : https://www.egora.fr/actus-pro/deontologie/67438-wonner-fouche-montagnier-et-plusieurs-generalistes-poursuivis-par-l

(11) « Malgré un taux de vaccination parmi les plus élevés au monde, l’Islande est confrontée à une recrudescence des nouveaux cas de Covid-19. Selon le site Our World in Data, l’Islande mène la danse mondiale de la vaccination contre le Covid-19 avec près des trois quarts de sa population entièrement vaccinée au 14 juillet dernier. Pourtant, la petite île volcanique a enregistré ces sept derniers jours 213 nouvelles infections domestiques, avec des pics quotidiens qui n’ont plus été observés depuis neuf mois, et parmi lesquelles 148 personnes étaient totalement vaccinées. « Toutes les infections récentes sont liées au variant Delta, a indiqué le chef épidémiologiste Thórólfur Gudnason à l’occasion d’une conférence de presse ce mercredi (…) ». “Covid-19 : même vaccinée, l’Islande n’échappe pas à une nouvelle vague”, de notre correspondant à Reykjavik, Jérémie Richard, Le Point, 23 juillet 2021 : https://www.lepoint.fr/monde/covid-19-meme-vaccinee-l-islande-n-echappe-pas-a-une-nouvelle-vague-23-07-2021-2436553_24.php En Islande, donc, la majorité des personnes contaminées sont désormais des vaccinés (148 étaient totalement vaccinés, et d’autres étaient partiellement vaccinés, sur un total de 213 contaminés).

(12) Au Royaume-Uni il y a des semaines où les décès et les cas graves concernent surtout les gens vaccinés : « Qu’en est-il ? Les autorités britanniques ont révélé que 117 personnes étaient décédées outre-Manche du variant Delta, naguère appelé « indien ». Or, parmi elles, 50 étaient complètement vaccinées (42,7% du total) et 20 primovaccinées (17,1%) ». “Au Royaume-Uni, 50 vaccinés parmi les 117 morts du variant Delta : est-ce préoccupant?”, Le Figaro, 13 juillet 2021 : https://www.lefigaro.fr/sciences/au-royaume-uni-50-vaccines-parmi-les-117-morts-du-variant-delta-est-ce-preoccupant-20210629

(13) En Israël, dès le mois de juin 2021, 40% des nouvelles personnes contaminées étaient vaccinées : « L’ancien directeur a également noté que près de la moitié des nouvelles personnes contaminées par le coronavirus sont des personnes vaccinées : “40 % des nouveaux cas sont des personnes vaccinées, ce qui signifie que le variant est très contagieux”, a-t-il averti. Il a souligné que la question se pose de savoir s’il y aura une troisième injection du vaccin ou si un vaccin spécifique est en cours de développement pour traiter le nouveau variant ».  “Israël: “40 % des nouvelles personnes contaminées sont vaccinées” (ex-directeur général du ministère de la Santé)”, i24news, 21 juin 2021 https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1624300354-israel-40-des-nouvelles-personnes-contaminees-sont-vaccinees-ex-directeur-general-du-ministere-de-la-sante ; Cela indique donc que le vaccin n’empêche pas de recontracter le virus, mais empêche (parfois) de développer les symptômes graves (mais beaucoup de gens non-vaccinés n’ont pas développé de formes graves non plus ). Mais certaines semaines, Israël comptait plus de vaccinés que de non-vaccinés pour les cas graves, notamment en date du 5 juillet 2021, où sur les 35 cas gaves détectés durant cette semaine, 40% étaient vaccinés totalement vaccinés et une autre partie était partiellement vaccinée. “Israël/Coronavirus: 40% des patients gravement malades sont complètement vaccinés et ont plus de 60 ans (Channel 12)”, i24news, 5 juillet 2021 : https://www.i24news.tv/fr/actu/israel/1625491572-israel-coronavirus-40-des-patients-gravement-malades-sont-completement-vaccines-et-ont-plus-de-60-ans-channel-12

(14) “Le variant delta en chiffres”, Gérard Maudrux, 26 juillet 2021 : https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/07/26/le-variant-delta-en-chiffres/

(15) Par exemple :

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“Un antivax regrette de ne pas s’être fait vacciné et décède du Covid-19”, Soir mag, 28 juillet 2021 : https://soirmag.lesoir.be/386439/article/2021-07-28/un-antivax-regrette-de-ne-pas-setre-fait-vaccine-et-decede-du-covid-19 ; et encore, peut-être que ce médecin a menti ou travesti la réalité. Bizarrement, les médias ne vont pas citer les milliers d’infirmiers et médecins qui rapportent les plaintes des personnes vaccinées…

(16) “TEMOIGNAGE. Narbonne : «Mon fils de 18 ans a failli mourir d’une myocardite après sa première dose de vaccin anti covid»”, France Info, 28 juillet 2021 : https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/aude/temoignage-narbonne-mon-fils-de-18-ans-a-failli-mourir-d-une-myocardite-apres-sa-premiere-dose-de-vaccin-anti-covid-2195158.html

“Ariège : sa femme meurt d’une thrombose cérébrale causée par le vaccin AstraZeneca, il porte plainte”, La Dépeche, 23 juin 2021 : https://www.ladepeche.fr/2021/06/22/sa-femme-decede-dune-thrombose-cerebrale-causee-par-le-vaccin-astrazeneca-il-porte-plainte-9623790.php

Barbara Gould (31 juillet 2021) : « J’ai fait un signalement de mon état de santé sur le site de pharmacovigilance, en expliquant mon état de santé suite à la 1ere dose de moderna, d’où le fait qu’après avoir été malade pendant 4 jours, depuis le 9 juillet je tousse en permanence sans interruption, ils rejettent la faute sur une bronchite ou un rhume, alors je leur ai répondu que personnellement je n’ai jamais vu une personne qui pouvait tousser durant 23 jours avec une bronchite alors que c’est clairement suite à la vaccination. Ce que je veux dire c’est que même quand on le déclare sur le site officiel des effets indésirables ils remettent la faute sur autre chose en faisant tout pour nous remettre en question. Il va falloir trouver une autre solution car même en le déclarant ils font tout pour nous prendre pour des fous ».

Julie Richard (31 juillet 2021) : « Bonjour. J’ai été vacciné le 19/07. Le jour même gorge enflée par intermittence, le lendemain visage gonflé. Je suis atteinte d’adenomyose, mes règles été prévues le jour de l’injection, elles ont eu un petit retard de deux jours mais crise ++++, ventre extrêmement gonflé. Au troisième jour fièvre. Depuis fatigue +++, migraine, nausées, diarrhée depuis 2 jours. Paresthésie faciale +++ (j’en avais déjà mais pas aussi forte). La deuxième injection est prévue le 09/08, mais j’ai pris rdv le 04 chez le médecin car je suis vraiment épuisée ».

Méthode Pascal Noel (31 juillet 2021) :

« 1. Mon frère a fait une injection d’astra il y a un mois; et hyper tension et mal pendant 3 semaines.

 2. Une amie de ma cousine a fait un AVC la nuit de sa vaccination

 3. Un médecin de beaufays est décédé dans les 48 heures après l’injection.

 4. Il y a aussi un client de mon frère décédé dans les 48 heures après une injection.

 5. Un second AVC léger dans l’entourage 24 heures après l’injection.

 6. Un élève m’a rapporté que une connaissance a fait un caillot sanguin à l’estomac le lendemain de l’injection.

Maintenant, il n’y aurait apparemment aucun lien avéré avec la vaccination. Mais bon.

 7. Une collègue de mon épouse a eu une phlébite dans le bras le jour de la vaccination (là, le lien est avéré).

Aussi non des choses assez classiques et annoncées tel que mal de bras, états grippaux et poussées inflammatoires, et aussi des gens pour qui tout se passe bien (il faut être de bon ton, cela reste la majorité). Bon week end ».

Véronique De Mesmaeker (31 juillet 2021) : « Bonjour, pour ajouter un témoignage, un de mes anciens collègues est décédé début juillet, quelques heures après l’injection de la 2ème dose d’Astra, il avait 52 ans et pas d’antécédents particuliers…Il s’est senti fatigué, après l’injection, est allé se reposer et ne s’est jamais réveillé ».

Ces témoignages, sélectionnés parmi des milliers sur un groupe facebook francophone nommé Recensement effets indésirables vaccin Covid Officiel et comportant plus de 182 000 membres (4146376408815377&notif_id=1627290220875742&notif_t=group_highlights&ref=notif), montrent l’ampleur des effets indésirables et graves des vaccins anti-Covid, et même si l’on serait amené à douter du témoignage de 50% d’entre eux (et il faudrait le prouver), le nombre de cas graves et moyens, reste étonnement élevé pour des vaccins !

Une de nos proches (ingénieure et historienne des sciences notamment, 2 août 2021) : « Ma mère et son amie connaissent 5 personnes qui sont décédées dans les semaines après s’être fait vaccinées, dont une personne qui a fait une attaque cardiaque le lendemain, plus une autre personne qui a perdu sa santé dès le lendemain de la vaccination (grande faiblesse et douleurs partout qui ne partent pas).  Je connais aussi des gens, plus jeunes, qui n’ont eu aucun problème suite à la vaccination, et quand on n’a pas de problème en général on ne s’imagine pas ce que vivent les autres. Le grand problème dans l’histoire c’est le forçage politique alors qu’on n’a pas assez de recul sur ces vaccins très récents, sinon la vaccination en soi a été un grand bienfait pour la santé publique ».

Voir aussi la chaîne Odysee avec une centaine de vidéos de personnes souffrantes d’effets indésirables après une injection de vaccin covid : https://odysee.com/@Covid-19_Vaccine_Injuries:2

Revue de parutions scientifiques sur les vaccins et leurs effets secondaires : https://twitter.com/DrJohnB2 et voir ce lien qui recense plusieurs cas graves aussi liés à la vaccination : https://cv19.fr/2021/07/11/au-moins-28737-morts-suite-a-la-vaccination-covid-19/

(17) « (…) Dans son document, le Dr. Campra Madrid examine l’échantillon reçu par courrier en utilisant la microscopie optique et électronique, et compare son apparence à celle d’une feuille de graphène, également passée au microscope.

“Bien que la microscopie ne fournisse pas de preuve concluante”, écrit-il dans son étude (p.22), il conclut tout de même -et dans la même phrase-, que leur ressemblance fournit “des preuves solides de la présence probable de dérivés du graphène” dans le vaccin.

Mais l’échantillon qu’étudie Campra “pourrait être n’importe quoi”, dit Morgane Bomsel, chercheuse du CNRS à l’Institut Cochin, “quand il cherche des choses toxiques, il dit qu’il ne sait pas trop d’où vient l’origine du produit analyser, on sait pas ce que c’est.”

L’AFP a également contacté l’organisme Graphene Flagship, financé par la Commission européenne. Ce projet “regroupe près de 170 partenaires universitaires et industriels de 22 pays” pour travailler sur ce matériau, indique le site internet.

Ester Vázquez, experte en santé et sécurité du graphène de Graphene Flagship explique que la microscopie n’est pas une méthode adéquate pour étudier la présence de graphène ou d’oxyde de graphène : “les tests réalisés (dans le rapport, NDLR) sont insuffisants pour caractériser le graphène, ils montrent seulement quelques images de microscopie qui ressemblent à des images de graphène et d’oxyde de graphène dans la littérature. Cela est loin d’être une preuve scientifique – l’identification du graphène nécessiterait des analyses plus poussées utilisant d’autres techniques.” (…) ».

“Non, il n’y a pas d’oxyde de graphène dans le vaccin Pfizer contre le Covid-19”, AFP, 16 juillet 2021 : https://factuel.afp.com/http%253A%252F%252Fdoc.afp.com%252F9F76DV-1 ; quand l’AFP prétend démentir une chose, il faut garder à l’esprit qu’ils ne vérifient pas eux-mêmes certaines informations à la source, mais accordent une confiance (parfois aveugle, ou en tout cas peu critique) envers les témoignages qui peuvent aller dans leur sens. Mais dans cet article, le démenti n’est pas catégorique pour autant. Par ailleurs, des expériences visant à inoculer des vaccins à des rats comportaient la présence de graphène : Changhong Zhao, Xuebin Song, Ya Liu, Yifeng Fu, Lilei Ye, Nan Wang, Fan Wang, Lu Li, Mohsen Mohammadniaei, Ming Zhang, Qiqing Zhang and Johan Liu, “Synthesis of Graphene quantum dots and their applications in drug delivery”, Journal of Nanobiotechnology, 2020 : https://jnanobiotechnology.biomedcentral.com/track/pdf/10.1186/s12951-020-00698-z.pdf ; Le graphène réagit avec les micros waves, ce qui pourrait avoir un lien avec la 5G, le variant Delta et les matériaux présents dans certains vaccins : Rishika Jakhar, Jeaniffer E.Yap et Rakesh Joshi, “Microwave reduction of Graphene oxide”,  Carbon, Volume 170, December 2020, Pages 277-293 : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0008622320307995

(18) “”La guerre a changé”: des documents américains sonnent l’alarme face au variant Delta”, RTBF, 31 juillet 2021 : https://www.rtbf.be/info/societe/detail_la-guerre-a-change-des-documents-americains-sonnent-l-alarme-face-au-variant-delta?id=10815029

(19) “PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes”, France Soir, 28 juillet 2021 : https://www.francesoir.fr/societe-sante/pfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer

(20) “Douze morts du Covid en Belgique : tous étaient vaccinés”, Info du Jour, 17 juin 2021 : https://infodujour.fr/societe/50183-douze-morts-du-covid-en-belgique-tous-etaient-vaccines

(21)  “Coronavirus: sept résidents d’une maison de repos de Zaventem décédés après une infection au “variant colombien””, RTBF, 6 août 2021 : https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-sept-residents-d-une-maison-de-repos-de-zaventem-decedes-apres-une-infection-au-variant-colombien?id=10819411

(22) “Le Covid-19 ne tue presque plus en Europe”, Les Echos, 9 août 2020 : https://www.lesechos.fr/monde/europe/le-covid-19-ne-tue-presque-plus-en-europe-1229406

(23) “Johnson & Johnson: deux nouveaux effets secondaires identifiés”, Le Vif, 6 août 2021 : https://www.levif.be/actualite/sante/johnson-johnson-deux-nouveaux-effets-secondaires-identifies/article-news-1455049.html

(24) René Guénon, Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps, Chap. 10 : L’illusion des statistiques. 


Mis à jour le 26 septembre 2021.


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