France : A propos des émeutes et la responsabilité de l’Etat français suite au meurtre du jeune Nahel de 17 ans

Tout d’abord, nous préciserons d’emblée que les violences des émeutiers à l’égard des biens publics, des commerces de proximité, des policiers non-violents ou des citoyens lambda sont inacceptables et doivent être fortement dénoncés et condamnés. Les parents, les éducateurs, les responsables politiques, les « grands frères » ou les « grandes sœurs » ont tous une part de responsabilité, et doivent agir de sorte à dissuader les jeunes de tout casser ou de manquer de respect aux commerçants ou à leurs voisins. Cependant, ils ne sont pas responsables si malgré leurs efforts sincères, les jeunes refusent de les écouter, contrairement à ce que disent certains internautes ou personnalités politiques eux-mêmes souvent responsables de la situation chaotique. Certains ont voulu minimiser l’assassinat (ou le meurtre) du jeune Nahel, en disant que, bien qu’il était « mineur » (17 ans), il était déjà « connu » des forces de police pour refus d’obtempérer, puis ont menti en disant qu’il avait déjà un casier judiciaire (ce qui est faux) et qu’il avait refusé d’obtempérer (ce qui est encore faux). La voiture n’était pas volée et il n’avait pas mis en danger la vie d’autrui. Les mensonges des 2 policiers ont été infirmés par les faits (preuves vidéos, témoins sur place, etc.) où on les entendait clairement dire « shoote-le » et « je vais te tirer une balle dans la tête » après lui avoir donné plusieurs coups de crosse qui l’ont déstabilisé au point de perdre le contrôle du véhicule. Alors certes, il y a un problème structurel en France où beaucoup de jeunes tombent dans la délinquance – ce que la Religion réprouve clairement -, mais ces jeunes sont le fruit de l’Education nationale et d’une certaine « culture rap » (pas celle du Rap conscient) promue par l’Etat, ils sont donc les « enfants de Marianne », mais parmi les mal-aimés et les laissés pour compte. Dès lors, il est aisé pour eux de vaciller dans la délinquance et les petites entorses à la loi (comme rouler sans permis ; même s’ils savent conduire), et face aux multiples bavures policières, discriminations, menaces et injures qu’ils reçoivent au quotidien de la part des politiques ou de certains agents des forces de l’ordre, le respect disparait, et la méfiance – et même la défiance – s’installe durablement. Puis les amalgames fusent et les mensonges pour justifier leurs interpellations ou tirs s’accumulent, et la victimisation abusive de certaines « racailles » en rajoutent aussi une couche, afin de ne jamais se remettre en question, dans un camp comme dans l’autre.

Quand on parle aussi d’individus « connus des services de police », cela ne veut tout et rien dire ; des gens innocents injustement interpellés ou emmerdés par la police, il y en a plein, surtout dans les banlieues. Il faut voir exactement ce qu’il y a derrière, et même parfois derrière les témoignages mensongers de certains policiers. Jusqu’à preuve du contraire, le jeune Nahel n’avait pas commis de meurtre, de vols, de braquage ou d’agressions physiques envers d’autres citoyens. Que dire aussi des jeunes adultes comme Rayane Lemmouchi, dentiste exemplaire, assassiné sans doute par des racistes ou des islamophobes, et que la plupart des chaines TV n’ont même pas évoqué cette atrocité : « Rayane Lemmouchi, avait 25 ans. Fraîchement diplômé, il exerçait la profession de dentiste depuis novembre dernier. Prendre soin des autres et en faire son métier, c’était certainement l’un des rêves de Rayane mais c’était avant de croiser le chemin d’une bande de 10 individus. Alors qu’il se promenait avec ses cousins aux Lilas après avoir dîné, Rayane a été assassiné par l’un d’eux dans la nuit de samedi à dimanche 21 mai. La nouvelle de sa mort fait rapidement le tour des réseaux sociaux, suscite l’émoi et l’incompréhension de tous. Personne ne sait pourquoi Rayane a été mortellement agressé. Selon son entourage, il aurait été victime d’une ” descente de quartier “. L’enquête est en cours mais vraisemblablement ses agresseurs pensaient que Rayane était originaire des Lilas. Sauf qu’il a grandi à Toulouse. Sa mère témoigne au Média pour sensibiliser les jeunes englués dans le cycle de la violence et obtenir justice pour Rayane » (“Personne n’est à l’abri….” : Le témoignage terrible de la mère de Rayane, 25 ans, tués pour rien”, Le Média, 25 juin 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=hcWw73Uilwg).

On ne peut pas toujours excuser aveuglement les dérapages des forces de l’ordre tout comme les dérives des jeunes de banlieues (car beaucoup de jeunes des banlieues sont exemplaires alors qu’ils sont pauvres et éduqués seulement par un parent) ; les 2 étant à l’image de la société actuelle, c’est-à-dire composée de gens respectables et respectueux d’une part, et d’autre part, des gens inconscients, racistes, irresponsables ou extrémistes. Les policiers et les jeunes « racailles » restent des êtres humains, avec des droits (à la présomption d’innocence comme à la légitime défense), et en cas d’infractions ou de crimes majeures et avérées, doivent répondre de leurs actes. Le problème réel est l’impunité systémique dont jouit une grande partie de la classe politique et des forces de l’ordre d’une part, puis la justice expéditive envers les jeunes de banlieues ou les citoyens qui ne sont pas « blancs » (ou qui sont blancs mais qui s’opposent aux dérives autoritaires de l’Etat ; comme les gilets jaunes, certains journalistes et avocats, des femmes dénonçant le sexisme, les viols fréquents émanant de la sphère politique ou médiatique, ou encore les injections toxiques imposées par Big Pharma et les mesures liberticides lors de la dictature sanitaire ou de l’Etat d’urgence), parfois accusés à tort, là où des coupables clairement identifiés dans les sphères du pouvoir (députés, animateurs télé, ministres, présidents, policiers, juges, etc.) pour des crimes similaires ou bien plus graves, ne font jamais de prison ou dans le meilleur des cas, reçoivent une peine très légère et souvent réduite et aménagée, parfois en liberté surveillée. La plupart d’entre eux, restent par ailleurs en poste – alors qu’ils sont criminels et incompétents – ou sont replacés à la tête d’autres entreprises ou secteurs publics au lieu de croupir en prison. Tout cela rajoute sans cesse de l’huile sur le feu, et l’impuissance du peuple pour reprendre « son destin en main » et punir les coupables au sein des autorités politiques, suivie des bavures policières et des mensonges politiques, ne peut que conduire au chaos.

Dans plusieurs endroits, l’Etat a demandé aux forces de l’ordre de ne pas intervenir face aux émeutiers. Or, pour les gilets jaunes comme pour les manifestations contre la réforme des retraites, des dizaines de milliers de policiers étaient mobilisés pour intervenir violemment de façon directe. Il y a donc clairement une volonté politique pour inciter au chaos et ne pas intervenir efficacement. Plusieurs policiers et journalistes l’ont clairement confirmé.

Aussi, de façon totalement indécente, un manipulateur et haineux du nom de Jean Messiha, déjà dénoncé pour mensonge et détournement d’argent, ainsi que pour son double discours, a lancé une cagnotte pour « la famille » du policier qui avait assassiné le jeune Nahel. C’est le monde à l’envers, car sa famille ne manque de rien, le policier est coupable de meurtre (homicide volontaire), et a le soutien de plusieurs de ses collègues et de plusieurs syndicats de police, et donc ne manquent de rien. Or, cette cagnotte a récolté en quelques jours, plus d’1 million d’euros (plus que la cagnotte pour la famille de Nahel – qui lui a été assassiné -) alors même qu’un jeune pompier a trouvé la mort dans l’exercice de ses fonctions pour éteindre un incendie (liée aux émeutes), ou que des honnêtes commerçants ont été pillés. C’est pour ces personnes qu’il faut organiser des cagnottes là où l’Etat est (trop souvent) défaillant.

Les premières peines sont tombées très tôt sur certaines personnes qui se sont servies dans les magasins, alors que les pédocriminels, personnalités politiques et médiatiques ayant commis des vols et fraudes bien plus graves ainsi que des crimes divers, toujours aucune condamnation en vue…

Tout ce que l’on peut déplorer actuellement en France et ailleurs, sont les conséquences de l’Education nationale et des pseudo-« valeurs » de la République (française), rarement définies, ou transgressées même le plus souvent par ceux qui en font la promotion au sein de la classe politique, et voilà le résultat : violence, folie et hystérie à l’échelle nationale ; des gens violents et incapables de réfléchir sereinement et d’identifier les causes profondes de leur mal-être, que ce soit parmi les émeutiers, la classe politique ou au sein de la population.

La propagande française qui voulait monter la jeunesse de Turquie, d’Iran ou de Russie contre leur pouvoir – à coup de fakes news et d’exagérations, se prend le retour du bâton, car la jeunesse la plus radicalisée et la plus révoltée contre leur gouvernement se trouve en France, et sans que des puissances étrangères y soient pour quoi que ce soit ; les innombrables scandales de la Macronie, le racisme et le fascisme qui gangrènent réellement l’extrême droite en France, le wokisme et la décadence de l’extrême gauche, le fanatisme laïcard, l’incompétence des politiques, etc. suffisent très bien à expliquer la situation catastrophique qui règne en France.

Macron demande aux parents de mieux gérer leurs enfants alors que l’Etat depuis 50 ans a tout fait pour saper l’autorité parentale, religieuse, professorale, policière, etc. en misant sur la génération d’enfants-rois lobotomisés et individualistes (donc déresponsabilisés) pour mieux les abrutir et affaiblir la société.

Parmi ces nombreux jeunes, on y trouve des chrétiens, des agnostiques, des juifs, des musulmans, des athées, des déistes, des bouddhistes, des maghrébins et des arabes, des français de souche et des espagnols, des italiens et des africains, des européens de l’Est et des asiatiques, des gens d’extrême-gauche et d’extrême-droite, des gens a-politiques, etc.

C’est un mouvement populaire, malheureusement pollué par la violence policière comme par des casseurs se comportant en racailles, ainsi que des dealers et des trafiquants armés (agissant avec la complicité ou la lâcheté de nombreux policiers et de l’Etat). A noter que des agents de l’Etat s’infiltrent parmi les émeutiers afin d’empirer la situation, de les pousser à la faute et à les radicaliser davantage.

Par ailleurs, de nombreuses femmes – jeunes comme adultes – se mêlent aux manifestations et aux émeutes, et dénoncent la violence de l’Etat autant que leur incompétence et leur mépris.

Concernant les commerces de particuliers pillés et vandalisés, beaucoup appartenaient aux musulmans ainsi qu’à des non-musulmans, commerces halal et non-halal, des médiathèques, bibliothèques et librairies, ainsi que de grandes enseignes (comme Action, Euro Market, Zara, McDonald et d’autres).

Pour les accusations émanant de l’Extrême-droite ou du pouvoir, le moindre prétexte est bon pour déverser leur haine contre les étrangers, les immigrés et les Musulmans, rappelons que tout au long du 20e siècle, ils utilisaient les mêmes prétextes pour haïr les Juifs, les Italiens, les Portugais, les Espagnols, les Allemands, etc. Or, dans les émeutes depuis fin juin 2023, on y trouve de nombreux hommes blancs, des femmes blanches – européens ou français de souche – et très peu de femmes voilées (on en a vu quelques-unes ; parfois même des hommes portant le niqab !) preuve en est que pour beaucoup en France, le voile est plus affaire de « mode » ou de « culture » que de piété religieuse et de chasteté (qui sont ses fonctions premières en Islam). Alors même que l’on sait que de nombreux musulman(e)s pratiquant(e)s et étrangers sont des citoyens exemplaires, exerçant de nobles métiers (commerçants, boulangers, restaurateurs, éboueurs, historiens, sociologues, psychologues, médecins, artisans, agents de sécurité, assistants sociaux, ingénieurs, physiciens, conférenciers, cuisiniers, vendeurs, etc.), ils prendront toujours les cas les plus minoritaires et extrêmes pour épingler l’ensemble d’une communauté, en occultant (ou minimisant) les criminels (et crimes) et semeurs de troubles qui existent dans leur propre communauté, parfois même en plus grand nombre selon les crimes et délits en question. Si les racistes et fascistes ne comprennent toujours pas cela après 50 ans, et ne savent pas faire la différence, nous ne pouvons rien y faire, car ils sont dans le déni, la haine, la sottise, le fanatisme et l’endoctrinement, et leur manque d’intelligence ne relève pas de notre faute. A chacun de faire son autocritique et de dénoncer les dérives ou excès qui peuvent exister dans sa propre communauté, son gouvernement ou son propre pays.

La France est connue pour leur manque de sérieux et d’objectivité dans la plupart de leurs reportages et documentaires, surtout sur l’éducation, la politique, l’islam, les Religions, les courants idéologiques, la géopolitique et la jeunesse. En outre, il y a un sérieux problème, à l’échelle nationale, d’éducation, aussi bien au sein de la jeunesse que de la population adulte, et ce au sein de l’ensemble des catégories sociales, ethniques, politiques et idéologiques.

L’Etat français monte l’Extrême droite contre la « gauche », les Musulmans, les « racailles » et les immigrés, et vice-versa, mais agit comme une Mafia et fait en sorte que la lutte sociale et politique se cantonne à une fausse lutte « horizontale » (une partie du peuple contre une autre partie) alors que celle-ci devrait être « verticale », du peuple contre l’oligarchie, car c’est cette dernière qui opère comme une mafia et créé les conditions pour favoriser la guerre civile et la violence, en manipulant les uns et les autres, et en empêchant le vivre-ensemble, la souveraineté et le contrôle migratoire. Des auteurs divers comme Xavier Poussard, Juan Branco, Vincent Jouvert, Alexis Poulin, Marie Grimaud, Karl Zéro, Elise Van Beneden, Fabrice Epelboin, Fabrice Arfi, Julie Graziani, Éric Vandorpe, Max-Erwann Gastineau, Marion Sigaut, Fabrice Di Vizio, Florian Phillipot, François Asselineau, Dr Martin Zizi, Pr Luc Montagnier, Pr Christian Perronne, Dr. Alexandra Henrion-Caude, Dr Christine Cotton, Dr. Louis Fauché, Pierre Chaillot, Laurence Kayser, Diane Protat, Mélodie fondatrice du Collectif Où est mon cycle, Amélie Ismaïli, et d’autres ont montré, chacun à leur niveau les faits suivants : la France était dirigée par et comme une Mafia d’Etat, aux ordres de la criminelle Ursula Von der Leyen (non-élue) qui a détourné des milliards d’euros et milite activement contre la santé des citoyens, contre la protection et la dignité des enfants, contre la liberté d’expression et la souveraineté des peuples, et pour la désinformation et le diktat capitaliste dirigé par des oligarques et les GAFAM, elle-même pilotée par le Forum de Davos. Que la France est une oligarchie autoritaire et répressive, et non pas une démocratie où la justice est assurée pour tous les citoyens de façon équitable, où l’islamophobie règne, où les femmes sont encore souvent agressées et méprisées (en politique, dans les médias, au travail, dans le cinéma, etc.) et réduites en tant que marchandise sexuelle et instrument idéologique malsain, où les femmes voilées sont privées de nombreux droits et souvent l’objet de nombreuses agressions et de campagnes de harcèlement – y compris pour les femmes et filles qui sont non-voilées mais qui portent l’habit culturel – la abaya – ou de longues robes même de style occidental -, les réseaux pédocriminels et le terrorisme d’Etat restant largement impunis, l’ingérence américaine dans les affaires européennes et françaises, le faux-combat de l’Extrême droite, les dangers du wokisme, la haine et les persécutions contre les chercheurs indépendants et personnels soignants consciencieux, intègres et prudents à l’égard des produits toxiques et expérimentaux qui présentent des dangers mais aucune preuve de leur efficacité, etc. Aussi, ils ont démontré la propagande omniprésente du courant politique wokiste, autoritaire, intolérant, fanatique, violents et décadent se cachant derrière l’étiquette de « parti progressiste », leurs discriminations, leurs censures et leur lutte contre l’information libre et vérifiée qu’ils taxent de « fakes news » ou de « désinformation » alors que les faits et vérifications en avaient attesté la pertinence contrairement aux propagandes officielles, qui elles contenaient énormément de fakes news, de déformations ou d’omissions importantes. Leurs discriminations visent essentiellement les Musulmans, les femmes traditionnelles, les hommes conservateurs, les personnes hétérosexuelles, les femmes qui sont discriminées ou menacées par des extrémistes LGBT, les personnes religieuses, les journalistes indépendants, les lanceurs d’alerte, les personnes protégeant les droits, la santé et la dignité des enfants contre les perversions sexuelles et la lobotomisation les incitant à renier leur identité biologique et psychologique pour les inciter à changer de sexe quitte à détruire leur esprit et leur corps et les pousser ainsi aux suicides ou à la mort suite aux complications médicales liées au traitement agressif que ces opérations exigent (traitements chirurgicaux, hormonaux, etc.) alors même que l’enfant n’est pas pleinement mature et qu’il peut changer d’avis plus tard sauf que c’est alors trop tard…
Doit-on aussi rappeler que l’Extrême droite comporte en son sein des non-religieux comme des « religieux », et que parmi ces derniers, certains se fichent royalement du Christianisme mais ne défendent la « Chrétienté » (une identité culturelle exempte de valeurs morales, de doctrines religieuses et de discipline spirituelle) que comme outil contre l’Islam et les musulmans, les « gauchistes », les « wokistes » et les gens qui ne pensent pas comme eux, alors que l’Islam et les Musulmans en France incarnent mieux les grandes valeurs morales communes au Christianisme, la pudeur et la chasteté, le sens du Sacré et du Divin, les rites religieux, le combat contre l’injustice et la tyrannie, etc., tout en tenant Jésus et Marie comme 2 figures très importantes et honorées. Les identitaires se taisaient durant des années quand des Musulmans et non-musulmans étaient victimes de l’Etat, punis et sanctionnés arbitrairement et calomniés par l’appareil d’Etat, sans qu’ils s’en indignent, et ne se sont réveillés que lorsqu’eux-mêmes (les identitaires) devinrent des cibles de l’oligarchie. De même, la haine obsessionnelle et fanatique contre le voile, les symboles religieux ou culturels découle d’une mentalité post-coloniale et d’une frustration psychologique profonde, alimentée par une psychose entretenue par les discours politiques et médiatiques pour détourner l’opinion publique des vrais problèmes…

Et pour la lutte contre la radicalisation (contre « l’islamisme » ; jamais défini sérieusement et précisément), l’Etat a tout fait pour promouvoir toutes formes de « radicalisme » divers comme le wahhabisme durant des décennies, l’orientalisme méprisant et idéologique, ou le modernisme avilissant, en mettant en avant des menteurs, des propagandistes, des gens méprisants et incompétents à traiter des sujets de ce type, alors même qu’il a été démontré que les différents acteurs « politisés » dans ce domaine étaient des gens corrompus, malhonnêtes, ayant menti et diffamé de nombreux chercheurs compétents et intègres, en ayant monté de fausses affaires, tout en ayant détourné de l’argent public durant des années, le tout en étant eux-mêmes des personnes extrémistes et véreuses comme Caroline Fourest, Gilles Kepel, Mohammed Sifaoui, etc. L’Etat fait donc la promotion de personnalités radicalistes et extrémistes d’une part, et corrompue, incompétente et méprisante d’autre part. Or, le wahhabisme tend vers le rigorisme et l’extrémisme, le modernisme vers la débauche, l’hystérie et la folie, et l’orientalisme vers la malhonnêteté et une approche superficielle et lacunaire de l’Islam. Pourquoi ne pas avoir promu des auteurs et spécialistes aussi variés que René Guénon, Seyyed Hossein Nasr, Titus Burckhardt, Martin Lings, Tayeb Chouiref, Reza-Shah Kazemi, Muhammad Hamidullah, Muzaffar Iqbal, Daoud Riffi, Sofiane Meziani, Eva de Vitray-Meyerovitch, Inès Safi, Bruno Guiderdoni, Denis Gril, Francesco Chiabotti, Jean-Louis Michon, Abdellah Penot, Corentin Pabiot, Pierre Lory, Mamadou Madani Daffé, Hassen Amdouni, Nouman Ali Khan, Maurice Gloton, Roger Du Pasquier, Hamza Benaïssa, Malek Bennabi, Taha Abderrahman (logicien, théologien, philologue, exégète, épistémologue et philosophe marocain rattaché au Tasawwuf en plus d’être polyglotte, parlant notamment l’arabe, le français et l’anglais), Étienne Dinet, Geneviève Gobillot, etc. qui sont à la fois des auteurs bienveillants et compétents, connaissant très bien le patrimoine islamique dans ses différents aspects (juridique, spirituel, scientifique, civilisationnel, historique, métaphysique, théologique, politique, etc.), ainsi que le contexte occidental, sans « soumission » ou « allégeance » d’ordres politique et idéologique, et dont le Message véhiculé est celui du juste milieu, c’est-à-dire une rigueur intellectuelle, une approche sérieuse et apaisée de l’Islam, une dimension spirituelle, une fidélité à la Tradition (au sens noble du terme), et des relations sociales et intercommunautaires fondées sur l’éthique et un mode de vie ancré dans les plus belles valeurs morales, donc ni acculturation ni intégrisme ? De même avec des chercheurs et spécialistes sérieux se disant non-musulmans comme François Burgat, Nicolas Hénin, Vincent Geisser, Thomas Deltombe, Michel Orcel, Henri Laoust, Louis Gardet ou Raphaël Liogier, qui sont sérieux sans être militants et « idéologisés » et fanatiques, et pourtant ils ne sont pas mis en avant par l’Etat français et les médias, et pire même, sont parfois même menacés de mort ou harcelés par des identitaires « progressistes » ou d’extrême droite…
On peut donc en déduire que l’Etat n’est ni transparent, ni honnête, ni bienveillant ni compétent dans ce domaine, et après 40 ans d’échecs, devrait peut-être revoir leur politique de fond en comble, plutôt que de propulser des pseudo-imâms problématiques ne maitrisant même pas le français ni les sciences islamiques, comme Chalgoumi, et qui est méprisé par pratiquement l’ensemble de la France, et jugé totalement illégitime par les Musulmans du monde entier, et qui n’est que le pion politique du gouvernement français et du CRIF, visant à justifier l’humiliation et les discriminations à l’encontre des Musulmans, et à cautionner les dérives, actes terroristes et opérations criminelles du sionisme et de l’impérialisme américain dans le monde musulman…

Selon certains rapports et sondages, environ 50-60% des policiers seraient fascistes et racistes et enclins à la brutalité et à l’extrémisme, se voyant dans une guerre néocoloniale (poursuivant la politique coloniale à notre époque). Cela indique aussi qu’il existe encore beaucoup de policiers (40 à 50% selon les mêmes sondages et rapports) qui ne seraient pas racistes ni violents, et qui font convenablement leur travail – qui est très difficile et délicat dans certaines zones -, travail rendu difficile souvent par la politique gouvernementale catastrophique qui déresponsabilise les enfants, les parents, les professeurs et toutes les strates de la société, et qui dans sa lutte contre la Religion et la spiritualité, a conduit la jeunesse dans les délires et dérives wokistes, lgbtistes, criminels, sectaires, racistes, sexuels, suprémacistes et ultranationalistes, sans même parler des problèmes de drogue et de suicide. Outre le manque d’éducation religieuse, spirituelle, intellectuelle, sociale et politique qui acculture et radicalise la jeunesse, les mesures gouvernementales ont souvent empiré les choses, parfois volontairement et en toute connaissance de cause.

Certains syndicats de police, proches de l’Extrême droite, menacent souvent des élus et des journalistes s’ils feraient l’objet de poursuites. De même, ils protègent le gouvernement autoritaire et corrompu, qui à son tour instrumentalise ces syndicats de police radicaux pour semer la terreur, diviser la population et se maintenir au pouvoir. Cette émission est à ce titre, très intéressante sur de nombreux points, animée par des spécialistes.

“émeutes : la crise s’aggrave, Macron se soumet aux syndicats de police”, Le Média, 30 juin 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=hkBbt68Kwjg


Sur la version mensongère propagée par la propagande d’Etat et certains policiers, voici les preuves vidéos et témoignages des gens sur place : “Mort de Nahel: “Le policier lui dit bouge pas où je te mets une balle dans la tête”, le passager en fuite donne sa version des faits”, BFM, 30 juin 2023 : https://www.dailymotion.com/video/x8m6eb6 et “Mort de Nahel : le troisième passager de la voiture livre sa version des faits”, Le Point, 1 juillet 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=wF_TjVwAi7E

Tout cela étant dit, résumons la situation du côté de l’État :

L’Etat est le premier responsable des événements tragiques :

– Entre complaisance, lâcheté et complicité avec les trafiquants de drogue et les réseaux criminels

– Absence d’éducation religieuse, spirituelle et intellectuelle de qualité et promotion de la culture de la délinquance et de la violence (aussi bien sexuelle, raciste que sociale).

– Promotion du Wahhabisme en France et soutien du terrorisme (marxiste et même jihadiste parfois) à l’étranger.

– Guerres sales et immorales à l’étranger ayant poussé à une crise migratoire incontrôlée.

– Classe politique déconnectée du quotidien des français (aussi bien des banlieues que des français de souche qui vivent dans des conditions déplorables).

– Incitation à la haine contre les Musulmans, les Arabes, les Turcs, les Africains, les Maghrébins et les Catholiques trop pratiquants, haine propagée dans les médias mainstream comme par le Président détesté Macron, son gouvernement et les faux partis de l’opposition (Eric Zemmour, Nadine Morano et Jordan Bardella) où eux-mêmes ainsi que leurs proches ont été impliqués dans des crimes, délits et complicités répétées dans des actes criminels, des délits financiers, des fraudes et détournements d’argent public – en temps de crise par ailleurs ! -.

– L’Etat ne souhaite pas voir des jeunes bien éduqués et exerçant des fonctions à haute responsabilité en toute indépendance, d’où leur volonté de les cantonner au rang de « racailles », de « sportifs soumis à l’idéologie dominante » (agissant comme influenceurs néfastes pour la jeunesse et la société au service du consumérisme), de « rappeurs » (ne pensant pas à améliorer la vie des jeunes) ou de « députés » soumis à la déchéance politique afin de respecter le « quota » illusoire de la « diversité » et les utiliser comme boucliers et instruments de la corruption et du racisme dans les institutions politiques et publiques.

– Impunité systémique des crimes et délits commis par la classe politique.

– Silence radio pour les dérives et les actes pédocriminels commis par l’Etat et ses réseaux divers (cf. Enquêtes de Karl Zéro entre autres).

– Corruption politique endémique (cf. rapports d’Anticor notamment).

– Haine de la diversité positive (surtout contre les femmes pudiques) et promotion de la décadence et des troubles mentaux et sociaux (wokisme, extrémisme LGBT, satanisme, etc.).

– Promotion de la débauche sexuelle, du consumérisme et de la perversion, depuis la maternelle jusqu’en politique, en passant par l’école, l’université, le travail et les médias.

– Discriminations et violences systématiques envers les jeunes des banlieues.

– Proliférations des fléaux comme l’alcoolisme, la drogue, le tabac, la débauche sur les réseaux sociaux, etc.

– Arrestation des intellectuels, imâms et associations qui étaient sur une voie du juste milieu, promouvant la spiritualité, l’éthique, les valeurs morales et une éducation intellectuelle aux jeunes, les éloignant du terrorisme, du sexisme et de la criminalité, appelant au respect des autres, mais aussi à l’indépendance politique et intellectuelle à l’égard de la décadence sociale et du pouvoir politique corrompu : crimes impardonnables aux yeux de l’Etat.

– Une société profondément malade de la modernité et de ses fléaux, où de nombreux adultes et jeunes se suicident ou sont sous anxiolytiques ou antidépresseurs, avec une hausse significative de gens ayant des tendances violentes et psychopathes et qui sont relâchés des établissements psychiatriques (parfois fermés ou dont les places sont réduites et supprimées de plus en plus d’année en année) et qui sont relâchés dans la société et la nature sans surveillance suffisante, et qui sont parfois récupérées par certains agents de l’Etat ou certains mouvements radicaux pour commettre des atrocités et faire ainsi leur propagande ou manipuler l’opinion publique.

– Fermeture des mosquées, dissolutions d’associations intellectuelles et culturelles, d’écoles de qualité, de centres éducatifs et de maisons d’édition pour la culture, le sport et l’éducation des jeunes.

– Hypocrisie politique, nombreux scandales permanents et successifs au sein du gouvernement.

– Mentalité post-coloniale désireuse d’humilier et de brutaliser les femmes et les hommes des banlieues, ceux qui sont dans la religion ou dont les origines ethniques ne sont pas blanches et françaises.

– Manipulations politico-médiatiques.

– Société hypocrite et schizophrénique : persécutions et violences contre les femmes chastes et pudiques (aussi bien par le gouvernement que par l’Extrême droite) et violences sexuelles contre les femmes dans la pratique, tout en prétendant promouvoir l’égalité homme-femme. La société perdue entre la décadence et l’hypocrisie mondialiste (wokisme, LGBT, position victimaire, …)  d’une part, et le fascisme doublé de racisme du côté de l’Extrême droite d’autre part.

– L’Etat sape l’autorité parentale et professorale sur les jeunes pour promouvoir la notion d’enfant roi, interdit aux parents d’interdire à leurs enfants de changer de sexe ou de se faire injecter un produit toxique non-nécessaire, puis demande de mieux contrôler leurs enfants alors que l’Etat corrompu s’approprie l’âme, la vie, l’esprit et la santé des enfants…

– Propager le fascisme au sein des forces de l’ordre d’une part, et les endoctriner pour défendre coûte que coûte la corruption de la classe politique dirigeante et menacer les opposants politiques (y compris des élus et des députés).

– Mettre inutilement en danger la vie et la santé de nombreux policiers à cause de l’incompétence politique et leurs mesures liberticides envers le peuple français.

– L’individualisme et l’égoïsme prônés par l’Etat ont détruit la notion même de responsabilité collective, avec des parents, enfants, jeunes hommes et jeunes femmes se complaisant dans l’insouciance, le consumérisme, le gaspillage, la débauche, le mensonge, l’indifférence à l’égard de la souffrance d’autrui, de la maltraitance infantile ou animale, des enjeux écologiques, des guerres sales menées par leur gouvernement, des injustices terribles envers de nombreux citoyens, etc.

– Avant la mort du jeune Nahel, d’autres jeunes furent tués par des policiers, peu de temps avant.

Du côté des parents et des citoyens maintenant à l’égard des jeunes :

– Les parents doivent contourner l’incompétence et le totalitarisme de l’Etat en s’appropriant l’éducation de leurs enfants afin de les préserver de la lobotomisation idéologico-politique de l’Etat d’une part, et les réseaux criminels et délinquants d’autre part (qui justifient par ailleurs la présence autoritaire et arbitraire des forces de l’ordre).

– Les inscrire dans des centres éducatifs leur proposant des cours de religion, de spiritualité, de sport, d’activités artistiques et spirituelles, des formations intellectuelles et des activités sociales intéressantes et bénéfiques à leur épanouissement social, spirituel, physique et intellectuel.

– Leur apprendre à aimer leur religion et leurs origines sans orgueil ni mépris de l’autre, tout en accomplissant des bonnes oeuvres et de nobles projets dans leur pays d’accueil, respecter le voisinage, bien se comporter avec les autres communautés, ne pas saccager les biens publics ou les commerces de proximité, et de ne pas gaspiller les ressources naturelles ni polluer inutilement l’environnement.

– Leur enseigner l’importance de respecter les enseignants, les forces de l’ordre, les députés, etc., car cela apaisera les tensions, et en cas d’injustices de leur part, signaler cela aux autorités compétentes ou engager tout simplement des poursuites judiciaires ou porter plainte.

– Eduquer les enfants de sorte à leur donner une conscience politique saine (sans se laisser duper par les mensonges et manipulations des partis politiques, qu’ils soient de gauche, de droite, d’extrême droite ou d’extrême gauche par exemple) et leur faire comprendre ne pas gaspiller les biens de l’Etat, de ne pas polluer l’air ou les eaux inutilement, en brûlant des voitures ou des commerces de proximité, de ne pas mettre en danger la vie des citoyens lambda, et de concentrer leur colère légitime et leur énergie à accomplir des bonnes œuvres, dans la solidarité avec les gens opprimés ou nécessiteux, et de dégager plutôt les criminels et les corrompus qui sont au pouvoir (et les décideurs qui sont au-dessus d’eux, siégeant par ailleurs au Forum de Davos par exemple) et qui sont parties prenantes de cette situation chaotique.

En effet, tout cela fait partie des principes islamiques, et à ce sujet, le Messager d’Allâh (ﷺ) a dit : « Un parent ne peut rien léguer de mieux à son enfant qu’une bonne éducation (fondée sur de bonnes manières, un bon caractère et un noble comportement) ». (Rapporté par At-Tirmidhî dans ses Sunân n°1952, Al-Bukharî dans Al-Târîkh 1/422, Al-Bayhaqî dans Shû’ab al-Imân et As-Sunân al-Kubra 3/84, Al-Hakim dans Al-Mustadrak n°7888, Al-Qudha’î dans Musnad al-Shihab 2/105, Al-Khatib dans Al-Mûfah 2/166, At-Tabârânî dans Al-Mu’jâm Al-Kabîr 2/2/194/3 et Al-Mu’jam al-Awsat 4/77, Ibn Hibbân dans son Sahîh 2/180, Ibn ‘Asâkir dans Târîkh Dimasqh 46/30, Ibn Hajar al ‘Asqalânî dans Tahdhîb al-Tahdhîb 4/49, As-Suyûtî dans Al-Jami’ al-Saghîr n°8099 et d’autres selon plusieurs voies qui se renforcent mutuellement, dont Ibn ‘Umar, Abû Hurayra, Amr Ibn Saîd Ibn Al-Âs, etc.).

Parmi les qualités d’une bonne éducation : la patience, la bonté, l’amour bienveillant envers les autres, l’humilité, la gratitude, la modestie, la piété, la sagesse, la connaissance, la science utile, faire le bien, s’abstenir de faire le mal, lui donner le goût de la saine lecture et la volonté d’étudier les différents aspects de la Création et se rapprocher du Divin, aspirer à la Vérité et la défendre par de nobles manières, lui inculquer le sens de la justice, et le courage face à l’injustice et à l’oppression, le soutien aux opprimés et aux persécutés, la générosité envers les gens dans le besoin, et l’indulgence envers les gens faibles ou mal renseignés.

Et dans le Qur’ân, Allâh a dit : « Au milieu des biens qu’Allâh t’a accordé, recherche la Demeure Dernière. Ne néglige pas ta part de ce bas-monde. Sois bon (avec les autres) comme Allâh est Bon avec toi. Ne cherche (et ne sème) pas la corruption et le désordre sur la Terre. Allâh n’aime pas ceux qui sèment la corruption et le désordre » (Qur’ân 28, 77) et « N’obéissez pas à l’ordre des outranciers, qui sèment le désordre et le chaos sur la terre et n’améliorent rien (sur Terre et dans la société) » (Qur’ân 26, 151-152). Et de façon générale : « En toute vérité, Allâh commande la justice, la vertu et la générosité (libéralité, assistance) envers les proches, et Il interdit la turpitude, les actes répréhensibles, la tyrannie, l’injustice et la rébellion (illégitime et injuste) » (Qur’ân 16, 90).




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