Bien des idéologues et des propagandistes en Occident continuent de vouloir exporter et imposer « l’occidentalisation » en Occident et ailleurs dans le monde en manipulant les masses, malgré les ravages observables de cette idéologie mortifère et de ses différentes tendances idéologiques, sociales ou politiques du moment, souvent antagonistes d’ailleurs, et qui est une stratégie permettant de souffler le chaud et le froid selon les intérêts du moment, en maintenant l’emprise de leur système tout en donnant un semblant d’illusion de choix (entre plusieurs extrêmes) en interdisant la voie du juste milieu et d’une solution réelle aux problèmes actuels.
Or, les conséquences de l’occidentalisation (au sens idéologique du terme et non pas du point de vue racialiste) du monde ont été terribles pour la planète : terrorisme international, génocides, racisme, réseaux mondialistes dans la pédocriminalité, l’esclavage sexuel, le trafic de drogue, le trafic d’armes, etc., déforestation, disparition de milliers d’espèces animales et végétales, misère sexuelle et sociale, totalitarisme, escroquerie à grande échelle, planification systémique de coups d’État, guerres civiles, famines, massacres de masse, violences sexuelles à grande échelle, aboutissement de masse, etc. De même, l’occidentalisation a engendré la destruction partielle ou totale de la bonne gastronomie, de la nature, des aliments sains, les belles et bonnes traditions, les religions, de la dignité humaine, de l’intelligence, du Sacré, de la spiritualité, du bon sens, de la famille, du couple épanoui, etc.
On peut dire que l’occidentalisation du monde est le prélude au Dajjal, c’est-à-dire le règne le plus grossier de toutes les dérives et illusions de l’ego : l’égocentrisme, le matérialisme, le transhumanisme, le capitalisme, l’individualisme, l’esclavage, l’anthropomorphisme, le fanatisme, l’ignorance, l’obscurantisme, la violence, l’hystérie, l’orgueil, l’exploitation des gens, la manipulation, la perversion, la cruauté, etc. poussés à l’extrême, et là où ils étaient auparavant des vices cachés, deviennent visibles et sont érigés au rang de normes et de lois politiques, médiatiques, sociales, économiques, numériques, etc., jusqu’à priver l’Humanité de toute possibilité même de libération, d’élévation spirituelle et intellectuelle, et de toute forme d’espoir, de justice, de compassion et de solidarité, où même éprouver de l’empathie pour les victimes devient un crime selon de nombreuses autorités occidentales soumises au sionisme suprémaciste, qui symbolise le règne de la terreur et du mal à notre époque.
Et cette occidentalisation du monde a malheureusement pollué les mentalités de bien des sociétés à travers le monde (qu’il s’agisse de simples citoyens ou « intellectuels » comme des économistes ou des figures politiques), y compris en Russie, en Asie, en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique latine, d’où la décadence et la violence (souvent à des degrés moindres qu’en Occident certes) que l’on observe aussi dans ces sociétés. Cette singularité concernant « l’Occident » consiste surtout dans le fait d’inverser la réalité et les valeurs, et de répandre le mal dans des proportions jamais atteintes auparavant, et centralisé dans de grandes institutions officielles d’ampleur internationale, là où auparavant, le mal était surtout le fait d’individus ignorants, dépravés ou criminels à l’échelle individuelle ou étatique limitée et qui avaient conscience de la monstruosité ou de la toxicité de leurs actes répréhensibles. Le métaphysicien, logicien, mathématicien, intellectuel et encyclopédiste René Guénon avait détaillé tout cela dans 3 ouvrages majeurs intitulés La Crise du Monde moderne, Orient et Occident et Le règne de la quantité et les signes des temps (que de nombreux scientifiques, chercheurs, historiens, psychologues et politologues éclairés et éveillés ont confirmé ou corroboré également), puis d’autres également comme Seyyed Hossein Nasr, Julius Evola, Martin Lings, Frithjof Schuon, Ananda Kentish Coomaraswamy, Titus Burckhardt et d’autres qui s’inscrivaient globalement dans la même perspective. D’autres auteurs, occidentaux d’origine mais pas nécessairement « d’idéologie » et qui ne s’inscrivent pas forcément dans la même perspective, ont également critiqué de façon pertinente le monde moderne sous différents rapports (sociétaux, économiques, politiques, etc.) comme Serge Latouche, Etienne Chouard, Pierre Hillard, Roger Garaudy, Jean Ziegler et tant d’autres.