L’égalitarisme moderne, l’Islam et la politique

De nos jours, sous prétexte « d’égalité » ou plutôt « d’égalitarisme », – idéologie qui prétend mettre tout le monde sur le même pied d’égalité -, des forces politiques instrumentalisent cette notion pour justifier des discriminations et diabolisations en tous genres d’une part, et promouvoir des dérives et déviances en tous genres d’autre part.

Or, l’égalitarisme est une impossibilité, puisqu’elle prétend tout autoriser alors que des possibilités contradictoires, liées aux différences de valeurs ou d’idéologies entreront forcément en conflit, les unes « menaçant » alors les autres. Et on le voit bien dans des pays comme la France, où les valeurs positives participant à la dignité humaine sont combattues ou prohibées, tandis que celles qui menacent la dignité humaine, – auxquelles la pudeur et la piété participent éminemment, puisque sortant l’humanité de la « bestialité » (une pulsion sexuelle sans contrôle de soi ni réflexion poussée) et de la sauvagerie et donc la vulgaire condition matérielle/sexuelle – sont promues ou imposées, souvent de façon « totalitaire » (discours politiques musclés et rigides, exclusions et discriminations, propagande médiatique et éducative, sanctions et dispositions juridiques, etc.).

En Islam, les péchés et la décadence peuvent être tolérés uniquement dans la sphère privée, ou alors tolérés par une certaine souplesse et indulgence dans la sphère publique (sauf les exceptions liées aux édifices religieux, aux zones administratives, etc.), certains écarts de pudeur dans une société plongée déjà dans une forme de décadence, mais en tentant d’inculquer malgré tout de bonnes valeurs et de limiter la décadence autant que possible car il ne faut jamais céder au fatalisme et au défaitisme, – cette souplesse est légitimée d’autant plus en période de la fin des temps comme nous l’apprennent plusieurs ahadiths (1)-.

L’islam promouvant le bien et la piété, ne peut pas banaliser ou légaliser les déviances, abus et dérives divers. Une personne pudique ou bienfaisante, ne peut donc pas être mise au même rang qu’une personne impudique ou perverse (au sens islamique du terme : débauchée, injuste, malveillante, …).

Comme on le sait via l’histoire des civilisations, quand une société a abandonné toutes notions de sacré et de pudeur, celle-ci s’est désagrégée jusqu’à sa destruction.

Si une autorité musulmane, en pays islamique, impose par exemple le port du voile à toutes les femmes, cela ne serait pas une injustice, – même si cette imposition pourrait déplaire à certaines personnes – car le voile participe à leur pudeur et donc à leur dignité.

Néanmoins, cette imposition étatique n’est pas un hadd (obligation pénale) sur le plan religieux, et face à la décadence contemporaine, il faudra adopter une certaine souplesse pour ne pas engendrer de l’hypocrisie, de la débauche détournée et subtile et de la haine contre la Loi divine et l’état musulman. La Loi divine, en pareil cas, exige la souplesse et l’équilibre, tout en promouvant les bonnes valeurs à travers les médias, l’éducation, les événements culturels, etc., en espérant changer positivement la situation, aussi bien par le haut que par le bas.

Par contre la réciproque n’est pas vraie, c’est-à-dire que l’imposition de l’interdiction du port du voile dans certains secteurs de la société comme en France et en Belgique, est une injustice, car une privation de liberté positive et une atteinte à la dignité de la femme.

Une possibilité, – dans un Etat islamique -, serait de n’accepter, parmi les fonctionnaires politiques et administratifs de l’Etat, que des hommes et des femmes se conformant à l’éthique islamique, dans leur comportement comme dans leur mode de vie et leur tenue vestimentaire, car représentant l’Etat, ils se doivent de montrer l’exemple : soigner leur langage, ne pas fumer ni se soûler, ne pas se droguer ni se montrer violent ou obscène, etc.

Quant aux autres secteurs (commerce, énergie, enseignement privé ou public mais non directement lié à l’Etat, etc.), une souplesse est de mise, afin de trouver un juste équilibre dans la société, respecter les droits fondamentaux de chacun mais dans un sens allant dans le vivre-ensemble et une certaine ambiance sacrée et sereine dans la société. Les objectifs islamiques ne sont pas d’instaurer une dictature ou un régime répressif, ni même une société décadente, mais une voie du juste milieu, promouvant les valeurs de l’Islam telles que le Tawhîd, la piété, la pudeur, la bienfaisance, la justice, la solidarité, la tolérance, la bonté, la générosité, l’altruisme, la modestie, l’équité, la sécurité, la protection des cultes et de la propriété, et la charité par exemple, tout en prenant en compte les réalités de chaque époque et ses difficultés (notamment le niveau spirituel et le degré de conscience éthique de la collectivité) et d’adapter les aspects judiciaires et exécutifs en conséquence, mais sans jamais trahir les valeurs islamiques.

L’Islam invite donc à l’excellence, et ne saurait accepter de réduire toute une société qu’à une perspective de nivellement par le bas, ou l’égalitarisme utopique ne ferait que détruire la société à petit feu, en tolérant des comportements et pratiques qui finissent par engendrer de grands malheurs et une propension à la criminalité, à la délinquance, à la tyrannie et à la débauche.

Tout ce qui sort du cadre de la normalité (des normes biologiques, religieuses, spirituelles et psychologiques), avec l’approbation ou non des spécialistes (2), ne saurait être promu et légalisé en Islam, mais selon les principes islamiques, tant que les orientations anormales sur les plans sociétaux et sexuelles, ne sont pas imposées de force (comme avec le récit qurânique où une partie du peuple de Lot, imposant l’homosexualité, la discrimination envers les femmes et la pédophilie, tout en se moquant du Prophète et de la Loi divine qui leur avaient été envoyés, ce qui a suscité la Rigueur divine et Sa condamnation) ni rendues licites sur le plan religieux, ils ne doivent pas être inquiétés, ni être l’objet de moqueries, d’insultes, de persécutions, d’humiliations, d’agressions physiques ou de sanctions légales. De façon générale, les actes purement sexuels, qu’ils soient hétérosexuels ou non, ne sont pas autorisés dans la sphère publique, car relevant de l’intime, ils trouvent leurs places dans l’intimité des foyers, et donc dans la sphère privée, mettant, sous ce rapport, tout le monde sur le même pied d’égalité, l’Etat ne pouvant s’introduire impunément dans l’intimité des foyers, à moins qu’une plainte formelle ait été déposée par un membre du foyer en raison d’abus quelconques.

Là où l’Islam comporte en soi une cohérence intrinsèque, – promouvant les choses louables et bénéfiques et interdisant les choses blâmables et nuisibles (3) -, l’idéologie moderne se fonde, quant à elle, sur une série d’impossibilités et de contradictions intrinsèques en raison même de l’impossibilité logique et/ou pratique des axiomes du postulat de départ. En effet, alors que dans de nombreux pays occidentaux, on parle désormais de « Progrès » ou « d’égalité pour tous », les citoyens ne sont toujours pas libres de s’opposer aux mesures discriminatoires et liberticides imposés par le pouvoir politique, – lui-même souvent soumis et asservi aux multinationales et aux différents lobbies -, de nombreuses femmes sont encore victimes d’abus et de discrimination et sa « personnalité » encore trop souvent réduite à son apparence physique et à son attrait sexuel, de nombreux hommes sont victimes de fausses accusations et sont privés de leurs droits conjugaux ou parentaux de façon injuste, les pressions encore trop fréquentes qui pèsent sur les journalistes, médecins ou policiers qui font primer leur intégrité morale plutôt que l’exécution des ordres injustes ou irresponsables mettant la vie et la santé des citoyens en danger, ou qui se refusent à céder à la propagande et à la désinformation, ou les millions de femmes voilées, – ou d’hommes musulmans pratiquants – qui sont diabolisés, méprisés, insultés, discriminés ou marginalisés en Occident par les instances politiques, montrent à quel point cette idéologie relève de la farce et d’un instrument commode aux mains des politiques pour des raisons idéologiques avant tout,  ne se souciant donc très peu, de l’épanouissement et du bien-être de la population, victime de nombreuses restrictions politiques et est exposée à de nombreux dangers sanitaires, approuvées par les instances politiques, s’étant laissées acheter par BigPharma ou les grandes entreprises dans le domaine agroalimentaire par exemple (4). Les citoyens de la classe moyenne sont de plus en plus malheureux et ont moins d’aides sociales, la liberté de la presse et d’expression est menacée en France comme en Belgique, les intellectuels ne s’alignant pas sur la doxa officielle sont diabolisés ou incarcérés comme en France (alors même qu’ils n’incitaient pas au terrorisme ou à la violence physique), le soutien clairement affiché à des organisations terroristes d’inspiration marxiste qui mènent des attentats un peu partout en Syrie, en Irak et en Turquie et qui sont coupables de crimes de guerre tout  en étant impliqués dans le trafic de drogue comme le PKK/FDS/PYD/YPG, des fakes news relayées sur la Turquie, le conflit au Haut-Karabagh en Azerbaïdjan, le Sahel, la situation au Mali ou en Centrafrique (la France répand des fakes news suivant ses intérêts), en Libye, le soutien à Navalny (un raciste d’extrême droite qui a tenu des propos très violents à l’encontre des tchéchènes) uniquement car il s’oppose à Vladimir Poutine, le soutien affiché à de nombreuses dictatures sanglantes en Afrique ou dans le monde arabe (comme avec Sissi en Egypte) et s’opposant aux processus « démocratiques » en Afrique ou au Moyen-Orient, le soutien militaire et logistique à des criminels de guerre notoire comme Haftar en Libye, etc. La liste est trop longue, où l’Occident a bafoué les droits humains et continue de le faire sournoisement, pour des raisons à la fois idéologiques et économiques.

Le 15 juillet 2021 par exemple, la « Cour de Justice de L’Union Européenne » (CJUE), a encore une fois, affichée son hypocrisie (5), en se montrant favorable à l’intolérance, à la discrimination et au manque de respect, et s’attaquant par la même occasion à la dignité de millions de femmes, approuvant les discriminations à l’emploi notamment dont elles sont déjà souvent victimes. L’UE poursuit donc sa lutte contre la dignité humaine, après avoir attaqué la Hongrie pour une loi visant à protéger la dignité et la santé des enfants contre les propagandes et poisons idéologiques pouvant entrainer des complications médicales inutiles et graves ainsi que des déséquilibres psychologiques, familiaux et sociaux. L’UE a donc une fois de plus ratée le coche de la liberté et de la tolérance, et porte atteinte à des millions de femmes par ce moyen.

Toujours au mois de juillet 2021, Amnesty International a dénoncé les autorités européennes pour leurs complicités envers les violations des droits humains concernant les migrants libyens qui fuient le chaos du pays engendré par la politique occidentale : « L’ONG dénonce les politiques européennes de retour forcé de migrants vers la Libye, où ils sont enfermés dans des centres de détention où des violences sont commises en toute impunité. (…) Dans son rapport, Amnesty International affirme qu’à la fin de 2020 la direction libyenne de lutte contre les migrations illégales (DCIM, dépendant du ministère de l’intérieur) a « légitimé » ces violations des droits humains en prenant le contrôle de deux centres de détention gérés par des milices, où des centaines de réfugiés et de migrants ont fait l’objet de disparitions forcées au cours de ces dernières années (…) « Ce rapport effroyable jette une nouvelle lumière sur les souffrances des personnes interceptées en mer et renvoyées en Libye, où elles sont immédiatement détenues arbitrairement et systématiquement soumises à des actes de torture, des violences sexuelles, au travail forcé et à d’autres formes d’exploitation, en toute impunité », a indiqué Diana Eltahawy, directrice régionale adjointe d’Amnesty pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. « Dans le même temps, les autorités libyennes ont récompensé ceux qui étaient (…) soupçonnés d’avoir commis de telles violations avec (…) des promotions », a-t-elle ajouté. L’ONG a appelé les autorités libyennes à fermer « immédiatement » ces centres de détention. Elle a, par ailleurs, dénoncé « la complicité des Etats européens, qui continuent honteusement d’aider les gardes-côtes libyens à capturer des personnes en mer et à les renvoyer de force dans l’enfer de la détention en Libye » (…) » (6).

Soyons donc vigilant, et ne croyons pas aveuglément les « beaux slogans » affichés par les puissances impérialistes (qu’elles soient américaine, israélienne, européenne, russe ou chinoise) qui ne correspondent pas à la réalité, et où leurs oppositions respectives ne les dédouanent pas de leurs propres dérives et exactions commises, chacune dans un certain nombre d’affaires et dossiers, des actes « honteux, tragiques, injustes, cruels, horribles et barbares ». Et le même constat peut se faire pour les puissances régionales, coupables aussi d’un certain nombre de crimes et de dérives, qu’il convient de dénoncer avec équité, intelligence et justesse, dans un but bienveillant visant à améliorer la situation du pays donné, et d’apporter une contribution positive pour trouver des solutions aux problèmes rencontrés, et empêcher autant que possible que les injustices perdurent ou se multiplient.

Notes :

(1) A titre d’exemples, citons quelques récits : Le Compagnon Abû Dharr al-Ghiffarî a relaté que : « Le Prophète me demanda, en croisant les doigts : « Comment te comporterais-tu, Abû Dharr ! si tu te trouvais avec la lie (ce qu’il y a de pire et de plus décadent) de l’humanité ? – Que me suggères-tu, Envoyé d’Allâh ? – La patience, la patience, la patience, répéta-il. Soyez indulgents pour la nature des hommes, mais ne les suivez pas dans leurs (mauvaises) actions ! » ». Rapporté par al-Bayhaqî dans Az-Zuhd al-Kabir n°192 sous l’autorité d’Abû Dharr, ainsi que par Al-Haythâmî dans Majmâ’ al-Zawâ’id 7/283.

« La Fin du Monde n’aura pas lieu tant que les gens ne s’accoupleront pas en public dans la rue comme le font les ânes » (Rapporté par Ibn Hibbân, Al-Bazzâr et d’autres), ce qui concerne notre époque où cela a été banalisé dans un certain nombre de pays non-musulmans. Commentant ce genre de ahadiths, les anciens savants traditionnalistes ont dit qu’à cette époque, où le mal sera abondant, et que l’autorité politique deviendra incapable de le contenir, que les croyants de cette époque devront condamner le mal et les déviances par le cœur a minima, et si possible, par la parole, et si possible, – c’est-à-dire si cela peut se faire sans violence ni entrainer de révolte ou de mal plus grand -, par la main, en leur interdisant clairement de se comporter comme des bêtes et êtres sans raison ni pudeur en public.

Le Compagnon Jarîr rapporte ce hadîth : « Lorsqu’un homme se trouve parmi des gens et fait des mauvaises actions parmi eux, qu’ils ont la capacité de le modifier, et qu’ils ne le font pas, Allâh leur infligera une punition avant qu’ils meurent » (rapporté par Abû Dawûd dans ses Sunân n°4339) et dans une autre version rapporté par Abû Bakr : « Ô vous les gens récitez ce verset « Vous qui croyez, prenez soin de vous; celui qui s’égare ne peut pas vous faire de mal si vous êtes bien guidés », et le mettez à sa mauvaise place », et selon la version de Khalid a dit : « Nous avons entendu le Prophète (ﷺ) dire : « Quand les gens voient un malfaiteur et ne l’empêchent pas (de commettre son mal), Allâh les corrigera tous dans un avenir proche ». La version d’Amr ibn Hushaym : « J’ai entendu le Messager d’Allâh (ﷺ) dire : « Si des actes de désobéissance sont commis parmi des gens et qu’ils (ou : des gens de bien) ne les changent pas (dans le bon sens) alors qu’ils sont capables de le faire, Allâh les corrigera (punira) tous dans un avenir proche ». Adû Dawûd a dit : « Cette tradition a également été transmise par Abu Ussamah et un groupe de transmetteurs similaires à la version relatée par Khalid », toutes ses versions sont rapportées par Abû Dawûd dans ses Sunân n°4338, par Ibn Mâjah dans ses Sunân n°4009 et d’autres, et la chaîne est sahîh. Cela veut dire qu’il ne faut pas rester passif ou indifférent quand un mal se produit devant nous ; si l’on peut intervenir pour empêcher un mal par l’action ou la parole, et que cela n’entraine aucun mal plus grand ni une nuisance préjudiciable (comme la torture sur soi-même ou ses proches, ou entrainant sa mort ou celle de ses proches, par une bande de criminels ou de politiciens qui ont l’autorité), alors le musulman se doit d’agir (il peut aussi, mais ce n’est pas une obligation, sacrifier sa vie en cas de nécessité pour sauver par exemple une personne de la mort ou prendre sa défense en cas d’une agression), et le degré en deçà c’est le fait de prendre la parole pour enseigner le bien et dénoncer le mal, et le degré minimal de la foi, c’est de condamner le mal par le « cœur » et de ne pas l’approuver, ni de l’encourager si aucune contrainte ne pèse sur nous ou sur nos proches. C’est le sens aussi de ce hadîth : « Si quelqu’un voit quelque chose de répréhensible, il doit le changer avec sa main s’il peut le changer avec sa main. Mais s’il ne peut pas le faire, il doit le faire avec sa langue (la parole), et s’il ne peut pas le faire avec sa langue, il devrait le condamner (au moins) dans son cœur, ce qui constitue le degré le plus faible de la foi » (rapporté par Abû Dawûd dans ses Sunân n°4340 selon Abû Sa’îd al-Khudrî, sahîh).

Le Messager d’Allâh (ﷺ) a dit aussi : « Le croyant qui se mêle aux gens et endure leur mal obtient une plus grande récompense que celui qui ne se mêle pas aux gens ni ne supporte leur mal » Rapporté par Ahmad dans son Musnad n°22588 selon Ibn ‘Umar, sahîh). Et cela parce que s’isoler de la société pour fuir les gens ne les aide pas à se réformer, or, le croyant qui reste dans une société corrompue pour la réformer, aider les gens, enseigner la science utile, pratiquer la vertu, conseiller le louable et réprouver le blâmable, a un mérite particulier immense à cet égard.

(2) Il n’y a aucun consensus là-dessus,  mais des psychologues, thérapeutes, biologistes et autres, considèrent par exemple les homosexuels, transsexuels et autres dérives contemporaines liées aux genres, comme des orientations ou pratiques anormales (par rapport aux normes naturelles et sociales) et parfois même comme des maladies ou des déviances, au même titre que la pédophilie (l’attirance poussée et sexuelle envers les enfants prépubères) ou la pédocriminalité (qui comporte des abus sur des enfants), même si toutes les dérives ou maladies ne se valent pas et ne peuvent pas être mises sur le même plan. Quant aux orientations liées à des raisons ou anomalies biomédicales indépendantes des individus, il s’agit d’un autre sujet et ils ne peuvent pas être blâmés pour cela.

(3) Du point de vue de ses principes et de ses finalités, et pas nécessairement selon une interprétation humaine « spécifique », pouvant souffrir de défaillances, de lacunes et de contradictions, non pas en raison de la doctrine islamique, mais d’un raisonnement personnel biaisé ou imparfait.

(4) Voir les nombreux documentaires et reportages diffusés sur Arte depuis ces dernières années ou ceux de Cash Investigation.

(5) “Islam : la justice européenne favorable à l’interdiction du voile au travail”, Le Point, 15 juillet 2021 : https://www.lepoint.fr/societe/islam-la-justice-europeenne-favorable-a-l-interdiction-du-voile-au-travail-15-07-2021-2435596_23.php

(6) “Amnesty international dénonce le traitement « atroce » subi par des migrants en Libye”, Le Monde, 15 juillet 2021 : https://www.lemonde.fr/international/article/2021/07/15/amnesty-international-denonce-le-traitement-atroce-subi-par-des-migrants-en-libye_6088314_3210.html


1 thought on “L’égalitarisme moderne, l’Islam et la politique

  1. :

    Salam aleykoum wa rahmatullah wa barakatuh akhi. Ce texte est vraiment pertinent ! Je partage vraiment ton point de vue

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