Depuis plusieurs années, le nombre d’occidentaux qui fuient l’Occident, ou du moins des pays comme la France et la Belgique, est en hausse. Ce qui fait cependant la Une de l’actualité, concerne le monde du football, alors que ce phénomène est général : chercheurs, familles, intellectuels, opposants politiques, femmes (y compris des « féministes »), immigrés, étudiants, sportifs et autres ; ils sont ainsi des millions à avoir quitté l’Occident qu’ils perçoivent de plus en plus totalitaire, intolérant, rétrograde, décadent, hypocrite et insupportable, en raison des pressions fiscales et financières, des idéologies mortifères et décadentes, de la corruption des mœurs, des dérives politiques, du manque de liberté d’expression et de liberté intellectuelle (y compris dans les universités et dans leur projet de recherche), le racisme décomplexé, les ravages du capitalisme et du consumérisme, le fanatisme « laïc » en France, l’obscurantisme de la République française les poussant à bafouer les droits fondamentaux de millions de citoyens dans leur propre pays, la baisse inquiétante du niveau intellectuel, le mode de vie dégénéré, la précarité de millions d’emplois sans aucune perspective réjouissante quant à leur avenir, l’impossibilité de travailler dans des conditions dignes au sein de leurs associations culturelles, sociales, humanitaires, intellectuelles ou religieuses, la haine des hommes et des femmes, l’instrumentalisation hypocrite et criminelle de la « cause des femmes » par la classe politique – qui maltraite de nombreuses femmes dans les coulisses et qui réduit les femmes à des marchandises sexuelles -, l’hypocrisie ambiante, les nombreuses restrictions de libertés ainsi que celles qui se profilent à l’horizon, dictées par la Commission européenne sous la criminelle Ursula Von der Leyen, etc., la liste est encore longue.
Dans le monde du football, ce phénomène a été médiatisé depuis « l’affaire Cristiano Ronaldo », mais cela existait déjà depuis une décennie environ, avec quelques grands noms européens ayant décidé de rejoindre des clubs turcs ou qataris, comme Raúl González Blanco (l’un des plus grands joueurs de foot de sa génération), Gabriel Batistuta, Anthony Yeboah, Marcel Desailly, Stefan Effenberg, Claudio Caniggia, Sonny Anderson et d’autres qui avaient rejoint des clubs qataris. Des noms fameux aussi avaient rejoint la Turquie les années précédentes comme Mathieu Valbuena, Nabil Dirar, Van Persie, Bafétimbi Gomis, Younès Belhanda, Jérémy Ménez, Samuel Eto’o, Van der Wiel, Aurélien Chedjou, Moussa Sow, Pep (le coéquipier de Cristiano Ronaldo, et ex-défenseur au Real Madrid), et plus récemment, Mauro Icardi, Sacha Boey et Michy Batshuayi.
Parmi les célèbres joueurs ayant quitté l’Occident en faveur de l’Arabie Saoudite pour leur carrière footballistique récemment, citons Cristiano Ronaldo, Karim Benzema, N’Golo Kanté, Ruben Neves, Edouard Mendy, Sergej Milinkovic-Savic, Kalidou Koulibaly, Marcelo Brozovic, Roberto Firmino, Jota, Seko Fofana, Jason Denayer, Sadio Mané, Riyad Mahrez, etc.
De plus en plus de joueurs de football décident ainsi de quitter les clubs occidentaux pour rejoindre les ligues turques, saoudiennes ou qataries, pas seulement pour des questions d’argent (même si cela joue aussi un rôle considérable dans leur motivation) mais également à cause de l’idéologie totalitaire qui s’impose aux joueurs de football, obligés de relayer la propagande politique des états occidentaux faisant la promotion de l’extrémisme LGBT ou de l’impérialisme occidental, et qu’en cas de refus, ils s’exposent à de nombreuses sanctions et pressions difficilement supportables, les privant de liberté et du respect de leur personne et de leur intégrité morale. Les contrats qu’on leur impose, leur interdit beaucoup de choses, et n’osent plus parler librement sur des sujets importants (politiques, sociétaux, idéologiques, etc.) et ont peur de dénoncer les terribles dérives qui existent dans les institutions officielles de la FIFA ou du sport dans leur pays (occidental) respectif, notamment les nombreuses affaires de viols, d’agressions sexuelles ou de pédocriminalité (le journaliste Romain Molina enquête dessus depuis des années, et en parle notamment sur sa chaine YouTube : https://www.youtube.com/@romainmolina4473/videos). Le 16 septembre 2022, il publia notamment une nouvelle enquête intitulée 40 ans de silence dans le média norvégien Josimar, dénonçant la responsabilité de plusieurs cadres de la Fédération française de Football (FFF) dans la non-dénonciation d’agressions sexuelles et d’abus sur mineurs (Romain Molina, “40 years of silence”, Josimar, 16 septembre 2022 : https://josimarfootball.com/2022/09/16/40-years-of-silence/), phénomène qui existait aussi, de grande ampleur, dans les milieux du cinéma, de la télévision, de la politique et de la mode, avec des milliers de femmes ou d’enfants victimes aux Etats-Unis, en France, en Belgique, en Suisse, au Royaume-Uni et ailleurs, impliquant notamment des chaines de télévision françaises comme TF1 (avec le tristement célèbre PPDA) ou CNews (avec le pervers sexuel Jean-Marc Morandini, remis en liberté malgré ses actes malveillants et délits commis contre des enfants et des mineurs) ou suisses comme RTS, autant de scandales dénoncés par le journaliste et enquêteur Karl Zéro (il en parle notamment sur sa chaine officielle sur YouTube https://www.youtube.com/@KarlZeroAbsolu).
Face à ces terribles scandales, qui sont des crimes abjects – restés généralement impunis – contre les enfants, les jeunes adolescents, les filles et les femmes, les gouvernements occidentaux ne font rien depuis des décennies, préférant s’attaquer aux musulmans et surtout aux femmes musulmanes qui désirent faire du sport ou travailler conformément à leurs valeurs éthiques et à leurs convictions religieuses et philosophiques.
Leur choix libre et éclairé de quitter l’Occident (sur le plan sportif) est fortement critiqué par un certain nombre de fanatiques ou d’hypocrites, parlant du manque d’éthique dans les pays en question, alors que pour l’Arabie Saoudite et le Qatar, bien que loin d’être parfaits, offrent plus de libertés et de respect sur certains plans que les pays occidentaux, en plus du fait d’avoir aussi moins de sang sur les mains que la France, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Belgique ou l’Allemagne durant ces 50 dernières années, responsables de la mort de plusieurs dizaines de millions d’âmes innocentes. En outre, l’Occident continue d’abriter, de financer et de protéger de nombreux pédocriminels, terroristes et criminels de guerre, et ont eux-mêmes planifié de nombreux coups d’Etat et opérations terroristes contre des pays libres ou aspirant à l’indépendance, tout en défendant les dictatures les plus sanguinaires, en leur vendant des armes, et en participant directement ou indirectement, à traquer, enfermer et exécuter des opposants politiques ou des chercheurs.
La condition féminine en Occident régresse aussi de plus en plus, que ce soit à cause du diktat de Big Pharma (déjà avant le Covid, mais se renforçant durant le Covid) ayant causé la mort de millions de femmes (pseudo-vaccins, médicaments dangereux et toxiques, …) et les restrictions de liberté, le nombre élevé d’agressions et de harcèlement sexuels dont les femmes font l’objet dans le monde du travail, du cinéma, des médias, de la politique, de la finance, etc., ainsi que la destruction de leur dignité et de leur féminité à cause des idéologies pernicieuses et délétères du capitalisme, du wokisme, du lgbtisme, du pseudo-féminisme, etc., et toutes les manipulations politiques les incitant à la débauche et à une mauvaise hygiène de vie (alcool, tabac, drogue, boite de nuit, fornication, adultère, anti-dépresseurs, …) ce qui cause chaque année des millions de victimes puis de nombreux avortements.
Or, en Arabie Saoudite et au Qatar, la dignité de la femme est mieux respectée et mise en valeur qu’en Occident de façon générale (1), même si l’ingérence occidentale en Arabie Saoudite pousse ce pays à se séculariser, avec son lot de malheurs et de dérives (fornication, violence, adultère, débauche, absence de spiritualité et d’éthique, tromperie, manipulations psychologiques, rivalités malsaines et course aux richesses, …).
Par ailleurs, un certain nombre d’intellectuels, artistes, humoristes, chercheurs et journalistes persécutés ou menacés de mort en Occident, se sont réfugiés et installés dans des pays comme la Turquie, le Qatar, l’Algérie, le Maroc, la Russie, la Chine, les émirats arabes-unis, la Hongrie, et quelques autres pays (notamment en Afrique ou au Japon). Chaque pays a ses lignes rouges et ses « opposants hérétiques », même en milieu « moderne » et séculariste, et si évidemment la liberté n’est pas totale en Chine, au Japon, en Russie ou au Maghreb, sur un certain nombre de sujets, il y a moins de censures et de persécutions.
Notes :
(1) L’Occident compte sur des rapports, classements et sondages biaisés qu’ils manipulent ou financent eux-mêmes, en établissant parfois des critères arbitraires et subjectifs, mais passant sous silence de nombreuses données et énormément de témoignages (négatifs pour l’Occident, et positifs quand il s’agit d’autres pays). Cependant, les choses sont souvent plus complexes et nuancées, d’un côté comme de l’autre, que ce qu’en dit la propagande occidentale.
Par exemple, ils classent toujours les États-Unis, la France, la Belgique, etc. comme des pays démocratiques, ce qu’ils ne sont pas ou plus, depuis longtemps, puisque ce sont les oligarques qui choisissent et imposent leurs candidats et leur politique, et que les droits humains ne sont plus respectés : ni la liberté d’expression ou médicale, ni la liberté de conscience ou de culte, ni la liberté économique ou financière, ni leur liberté de déplacement, ni leur dignité ou leur sécurité (par rapport à l’Etat ou aux forces de l’ordre). Alors que dans d’autres pays comme la Turquie et la Russie, les libertés médicales et religieuses sont mieux respectées et plus grandes, et que sur certains sujets, la liberté d’expression et de conscience est mieux protégée également, bien que dans le cas de la Russie, les sujets géopolitiques contredisant la propagande du Kremlin peuvent être très sensibles et susceptibles d’emprisonnement, ce qui est aussi le cas dans des pays comme la France ou la Belgique, où des sujets historiques, politiques ou idéologiques, peuvent valoir de lourdes sanctions allant jusqu’à l’emprisonnement (ou même l’assassinat si cela touche à des scandales d’Etat comme la pédocriminalité, voir l’affaire Dutroux dans les années 90 et début 2000 en Belgique par exemple, où des dizaines de témoins-clés ; y compris des policiers et enquêteurs, ont été tués, et d’autres qui ont été démis de leur fonction ou empêchés de témoigner).
Jean – :
” le racisme décomplexé”. Non. C’est l’antiracisme décomplexé en occident.