Introduction
De nombreux pays de l’Union européenne traversent une crise énergétique multifactorielle (non seulement liée à la guerre en Ukraine et à la très mauvaise gestion par les gouvernements européens), puisque dans plusieurs autres pays européens et dans de nombreux autres pays du monde, la situation est bien meilleure. Cette volonté est en grande partie humaine, si l’on met de côté les problèmes liés à la société consumériste.
Le rôle du Forum économique mondial (Forum de Davos) dans cette crise en partie planifiée
En effet, les agents du Forum économique mondial (dit aussi Forum de Davos) ont été placés un peu partout en Occident Emmanuel Macron en France (Secrétaire général adjoint du cabinet du président de la République de 2012 à 2014, Ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique de 2014 à 2016, Président de la République française depuis 2017, puis faussement réélu en 2022 grâce à des fraudes électorales et des manipulations politico-médiatiques alors que son bilan est catastrophique, précipitant la France dans la décadence, la misère sociale et la dictature), Angela Merkel en Allemagne, Justin Trudeau au Canada, Alexander de Croo en Belgique (Président de l’Open Vlaamse Liberalen en Democraten, de 2009 à 2012, Vice-Premier ministre de 2012 à 2020, Ministre fédéral des Pensions de 2012 à 2014, Ministre fédéral de l’Agenda numérique, des Télécommunications et de la Poste de 2014 à 2018, Ministre fédéral de la Coopération au développement de 2014 à 2020, Ministre fédéral des Finances de 2018 à 2020, Premier ministre de Belgique depuis 2020 ; le tout avec un très mauvais bilan pour le peuple belge), Joe Biden (président américain élu en 2020-2021 grâce à des fraudes et manipulations électorales et le soutien de Big Pharma et d’autres criminels influents), Ursula von der Leyen (présidente de la Commission européenne depuis 2019, placée au pouvoir juste à temps pour instaurer une dictature sanitaire en Europe, sanctionner des pays comme la Turquie, la Hongrie et la Pologne pour leur volonté de protéger les enfants et les femmes contre les idéologies en lien avec la perversion sexuelle ou la mutilation corporelle et la manipulation mentale des enfants par rapport aux ravages des théories LGBT et changements de sexe agressifs qui touchent des enfants perdus et manipulés par des idéologues sans scrupule ; elle est aussi une va-t’en guerre, et responsable en partie de l’immense crise énergétique qui touche une grande partie de l’Europe, et impliquée également dans de nombreux scandales de corruption impliquant aussi de terribles coûts en vie humaine), etc. et tous ont été des Young Global Leaders, et ont transformé les pays occidentaux en dictature, là où il y avait encore auparavant un semblant (léger) de liberté (nous ne dirons pas de « démocratie », car depuis fort longtemps, les sociétés occidentales étaient soumises aux multinationales et la volonté populaire/démocratique fut très rarement respectée). Ils ont aussi été les champions des fakes news, des mesures liberticides et de la fin de l’indépendance scientifique en Occident, devenant complètement soumise et prisonnière au pouvoir politique (et donc au Forum de Davos). On y trouve aussi des géants numériques comme Jack Ma (fondateur d’Alibaba), Larry Page (fondateur de Google), Mark Zuckerberg (fondateur de Facebook), Ricken Patel (fondateur d’Avaaz), Jimmy Wale (fondateur de Wikipédia), Jacob Wallenberg (président d’Investor), Niklas Zennström (fondateur de Skype) et bien d’autres. Plusieurs d’entre eux sont aussi les pionniers de la censure numérique, induisent en erreur les électeurs, et propagent des fakes news et leur idéologie transhumaniste et décadente.
Klaus Schwab, fondateur et président du Forum économique mondial est donc à la tête du plus grand rassemblement de corrompus et de criminels de la planète, et demeure ainsi responsable de millions de morts par ses prises de décision politique et économique, et responsable de la crise énergétique en Europe.
Le Forum de Davos a lieu une fois par an, et réunit la plupart des grandes entreprises et grandes fortunes, ainsi que des journalistes et politiciens qui partagent leur vision du monde : un monde pour les riches et façonné par les riches, et qui donne ainsi les directives à suivre sur les plans économiques, sanitaires, sociales, idéologiques, etc., avec un bilan catastrophique et terrifiant sur tous les points. Des criminels et menteurs notoires, ennemis de la liberté des peuples et d’expression, comme Bill Gates, Georges Soros, Jacque Attali, Klaus Schwab, Nicolas Sarkozy, Bill Clinton, Henry Kissinger, Dmitry Medvedev (ancien président fantoche de Russie, et actuel Vice-président du Conseil de sécurité de Russie), le président Vladimir Poutine, le président chinois Xi Jinping et d’autres, qui soit par leurs actions personnelles et directes, soit par leurs décisions politiques ou économiques, font d’énormes ravages (famines, guerres, coups d’Etat, misère, de nombreuses personnes qui meurent ou qui tombent malade à cause de leur politique sanitaire, etc.), A noter que de nombreux présidents et hommes d’affaire y sont également invités par « convenance » tout en espérant faire d’eux des membres impliqués dans l’organisation criminelle, mais certains d’entre eux s’y refusent et s’opposent aussi à imposer leur idéologie. Si leurs pions sont placés essentiellement placés en Occident, il en existe aussi d’autres qui sont placés en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie. Dans les sociétés encore un peu conservatrices et traditionnelles (au sens noble du terme), le Forum de Davos finance de nombreux pseudo-mouvements d’opposition ou de contestation – parfois instrumentalisant des causes pouvant paraitre juste (exigeant moins d’oppression et de disparités économiques), mais détournés pour imposer l’idéologie LGBT, la numérisation et donc la porte ouverte à la société totalitaire et à la débauche via le numérique et la corruption des mœurs -.
Samuel Huntington décrivait d’ailleurs les participants à la réunion annuelle comme appartenant à l’espèce de « l’homme de Davos », en référence à une élite mondiale dont les membres se projettent dans une dimension purement globale (1). Bien que leurs membres travaillent sur un plan global, il existe des divergences et oppositions à l’échelle régionale, où chacun souhaite sa part du gâteau, et s’oppose parfois sur des questions culturelles (notamment sur les valeurs sociales et familiales), mais tous suivent le modèle capitaliste et oeuvrent en vue d’instaurer une société totalitaire, d’où leurs investissements colossaux dans l’espionnage, la surveillance, l’intelligence artificielle, la « vaccination » et le « puçage » dans une perspective transhumaniste, les recherches sur la manipulation psychologique et mentale, etc. On pourrait résumer cela en disant que tous y trouvent le même intérêt à l’échelle globale, mais avec des oppositions locales et régionales, un peu comme une « grande famille » qui veut préserver l’influence de leur dynastie, tout en se chamaillant sur leur part du gâteau ou pour prendre le pouvoir au sein de la famille. Observation notable également, est que les principaux semeurs de désordre sur terre – les grandes puissances comme de nombreuses dictatures régionales (mais pas toutes) – comme les Etats-Unis, l’Union européenne, la Chine et la Russie, sont de grands alliés et partenaires du régime israélien, qui est comme une sorte de « symbole » ou de « quartier général » de ce Nouvel Ordre Mondial, ne défendant non pas les intérêts du peuple Juif en tant que tel (qui est encore, avec la crise du Covid notamment, victime d’expérimentations médicales – parfois mortelles – comme les autres peuples, et le peuple Juif qui commence à se réveiller petit à petit, se rend compte d’avoir été l’instrument du Great Reset pour semer la corruption et le désordre dans la région). Un certain nombre d’intellectuels Juifs et de Rabbins, mettaient en garde contre le sionisme et son danger, tourné non seulement vers les Arabes et les autres peuples du monde, mais aussi contre les Juifs eux-mêmes. Est-ce un hasard si ces puissances (Etats-Unis, UE, Chine, Russie et Israël) prennent en otage le monde entier dans leurs guerres d’influence, dans leur course à l’armement, à l’asservissement des peuples, aux plus grandes tragédies humaines et écologiques de notre temps, et à la surveillance numérique nous amenant au totalitarisme ?
Le Forum économique mondial a déposé par ailleurs des plaintes juridiques contre plusieurs articles d’investigation des reporters Katie Gibbons et Billy Kenber qui ont été publiés par le journal britannique The Times en mars 2020, qui critiquaient certains aspects de leur organisation, notamment en raison des nombreux prédateurs qui s’y trouvent (2).
Klaus Schwab, président du Forum de Davos disait ainsi en 2017 : « Ce dont nous [le Forum mondial de Davos] sommes vraiment fiers – quand on prend des gens comme le premier ministre Trudeau, le président de l’Argentine, etc. – c’est qu’on pénètre dans les cabinets [gouvernementaux]. Hier j’étais à une réception du premier ministre Trudeau et la moitié de ce cabinet – voire même plus – sont des Young Global Leaders du World Economic Forum. C’est pareil en Argentine et c’est pareil en France maintenant avec le président [Emmanuel Macron]. (…) Quand je vous parle de gens comme Mme Merkel – et même Vladimir Poutine, etc. – ils ont tous été Young Global Leaders du World Economic Forum ! ». (3).
Ainsi que : « Dès la première année, en 1992, un certain nombre de candidats très influents ont été élus. Parmi les 200 sélectionnés figuraient des personnalités mondiales telles qu’Angela Merkel, Tony Blair, Nicolas Sarkozy, Bill Gates, Bono, Richard Branson (Virgin), Jorma Ollila (Shell Oil), et José Manuel Barroso (Président de la Commission européenne 2004-2014) » (4).
Il s’agit d’une affirmation claire, montrant que le Forum de Davos viole les élections libres des pays occidentaux, et impose leurs pions, qui n’oeuvreront non pas pour les intérêts du pays où ils sont placés, mais pour l’élite mondialiste, ce que toutes les principales décisions politiques et économiques confirment clairement, où les droits fondamentaux sont bafoués, les crises économiques successives conduisent à un abaissement significatif du pouvoir d’achat, de libertés et d’indépendance économiques et énergétique, etc.
Une enquête intéressante du chercheur Jacob Nordangard faisait aussi remarquer que : « (…) Depuis le début, l’objectif est « d’identifier et de faire progresser un programme mondial tourné vers l’avenir, en se concentrant sur les questions à l’intersection des secteurs public et privé ».
Les partenariats public-privé sont l’une des pierres angulaires de la philosophie du Forum économique mondial. C’est-à-dire une fusion entre l’État et les grandes entreprises (également connue sous le nom de corporatisme) dans le but de résoudre les problèmes mondiaux d’une manière plus « efficace ». Le choix des dirigeants reflète clairement cette aspiration.
Le groupe des Jeunes leaders mondiaux a d’abord été chargé d’identifier les grands défis du 21e siècle. Il s’agissait notamment de la paix, de l’environnement, de l’éducation, de la technologie et de la santé – des domaines que ces futurs dirigeants pourraient exploiter sur le plan politique, économique et culturel au cours du nouveau millénaire.
Les partenaires de Jeunes leaders mondiaux en 2000 étaient de grandes entreprises mondiales telles que The Coca Cola Company, Ernst & Young, Volkswagen et BP Amoco. Celles-ci pouvaient contribuer au programme en « jouant un rôle actif dans le développement et la mise en œuvre du concept du projet GLT ». Les partenaires peuvent donc participer activement au développement des programmes GLT ; les représentants des entreprises partenaires ainsi que leurs invités sont conviés aux réunions GLT « Depuis que le programme Jeunes leaders de demain a été transformé en Jeunes leaders mondiaux 2004, des partenaires tels que la Fondation Bill & Melinda Gates, Google et JPMorganChase (avec des anciens du programme) ont également participé en tant que sponsors.
La conséquence ultime des partenariats public-privé et de ces domaines cibles est la création d’un contrat social largement tyrannique dans lequel l’individu est devenu subordonné à ces puissants intérêts. Les nobles objectifs de création d’un monde meilleur ont également été kidnappés. Cela est particulièrement évident dans le contexte du partenariat entre le WEF et l’ONU et de la mise en œuvre des objectifs mondiaux (Agenda 2030) par l’application des technologies de la quatrième révolution industrielle.
Cela signifie que les principes démocratiques et la division du pouvoir du 20e siècle ont été en grande partie complètement sapés et remplacés par une nouvelle classe mondiale qui façonne notre avenir commun en fonction de ses propres intérêts.
Cela a conduit à une privatisation de facto des gouvernements nationaux et des organisations internationales, où les lobbyistes ne sont plus confinés dans le lobby mais ont investi le siège du pouvoir, façonnant des politiques qui affectent directement nos vies. Ce que cela signifie est devenu particulièrement évident depuis que la pandémie a été déclarée en mars 2020. En outre, les grandes sociétés multinationales de gestion des investissements, telles que BlackRock, dirigée par Larry Fink, membre du Forum économique mondial, n’ont cessé de faire évoluer leurs positions.
L’économiste et journaliste allemand Ernst Wolff pense que bon nombre des dirigeants nationaux inclus dans le programme Jeunes leaders mondiaux ont été sélectionnés pour leur volonté de mener à bien le difficile programme de verrouillage de ces dernières années sans poser de questions, et que leur échec imminent (comme en témoigne le mécontentement croissant des masses) servira d’excuse pour créer une nouvelle forme de gouvernement mondial où les anciens États-nations deviennent grandement obsolètes.
Une nouvelle monnaie numérique mondiale avec un revenu de base universel (UBI) pourra alors être progressivement introduite pour remplacer notre système monétaire condamné.(3) Cette conclusion coïncide en partie avec la mienne.
Elle est également confirmée par les scénarios de Paul Raskin de The Great Transition Initiative [Initiative pour la Grande Transition] sur la façon dont un « Nouvel Ordre Planétaire » totalitaire est établi, pour être remplacé à long terme par un gouvernement démocratique mondial (Fédération de la Terre – (Earth Federation) avec une Constitution mondiale (4).
La pandémie de COVID-19 a mis en évidence l’échec catastrophique d’une approche de la santé publique basée sur le chacun pour soi, et les intérêts économiques nationaux, plutôt que les besoins mondiaux, continuent de dominer les discussions sur la politique climatique, ouvrant la voie au chaos climatique.
Sous le Parlement mondial tricaméral se trouvent les quatre principales agences du gouvernement de la Fédération de la Terre : le système de la Cour suprême mondiale, l’exécutif mondial, le système d’application mondial et le médiateur mondial( 5).
Glen T. Martin, La grande transition exige la constitution de la Terre
La vision [perspective] est qu’un monde pacifique et harmonieux en équilibre est créé par l’établissement d’une Fédération Mondiale avec un Parlement Mondial, un Gouvernement Mondial et une Cour Mondiale. Ce sont des idées qui circulent depuis longtemps dans le Club de Rome et dans les cercles New Age étroitement liés.
La question est de savoir comment un tel nouveau système mondial de pouvoir pourrait échapper au destin d’être kidnappé par les mêmes intérêts qui ont créé notre système actuel corrompu et défaillant.
C’est ce que se demandent ceux qui soutiennent des projets tels que la Grande Transition (initiée avec un capital de départ de Steven Rockefeller). Ce qui se passe est plutôt une méthode pour nous amener à leur solution ultime sous la forme d’un système de contrôle technocratique mondial.
Cependant, il est très peu probable que ce plan réussisse. La prise de conscience se répand comme une traînée de poudre et la panique de l’élite augmente à mesure que leur récit s’effrite et que les gens deviennent de plus en plus immunisés contre la propagande. D’où la présence d’inquisiteurs et de « vérificateurs de faits » qui veillent sur le récit et aident à orienter l’opinion publique dans la « bonne » direction. On peut certainement leur faire confiance puisque, par exemple, David Roy Thomson, président de Thomson Reuters Corporation, est un ancien élève de Jeunes Leaders de Demain promotion 1993.
Il est maintenant temps de prendre en main notre propre destin et d’éviter de tomber dans de nouveaux pièges.
(3) Michael Lord, ” Exposed: Klaus Schwab’s School For Covid Dictators, Plan for ‘Great Reset'”, RAIR Foundation, November 10, 2021
(4) Paul Raskin, Journey to Earthland: The Great Transition to Planetary Civilization.pdf, Tellus Institute, Boston, 2016
(5) Glen T. Martin, The Great Transition Requires the Earth Constitution”, Great Transition Initiative, November 2021 » (5).
Klaus Schwab se félicitait de la situation du Covid (que lui et son organisation mafieuse en ont partie orientés et façonnés), où son idéologie (en lien avec le « Great Reset ») pouvait s’imposer quitte à laisser des millions de gens mourir à cause de sa politique sanitaire (laisser les gens malades crever en leur interdisant l’accès aux soins, laisser les gens mourir seul sans leur famille, pseudo-vaccins mauvais, dangereux et souvent même mortel, etc.). Pourtant, dans une autre interview, donnée à Euronews le 19 novembre 2020 il disait : « Je pense qu’il y a trois dimensions, trois priorités. La première, c’est de rendre le monde plus résistant parce que nous devrons certainement faire face à d’autres surprises, à des situations difficilement prévisibles que les commentateurs appellent des “cygnes noirs” et peut-être à différents types de virus. La deuxième priorité, c’est que nous devons rendre le monde plus inclusif, plus juste parce que nous avons vu que nous avons atteint un nombre insoutenable de personnes qui se sont senties exclues. Enfin, il faut que notre monde devienne plus vert. Nous devons mettre toute notre énergie dans la décarbonisation pour éviter qu’à l’avenir, nous ayons une catastrophe majeure dont nous avons les premiers signes aujourd’hui » (6).
Pourtant, c’est bien lui (à travers le Forum de Davos) qui impose des dictatures un peu partout, qui provoque des famines et des guerres ayant fait des millions de morts, qui alimente l’islamophobie, les crises migratoires, la haine contre les hommes et la structure familiale, le mépris contre les réalités biologiques, la haine des hétérosexuels, qui favorise la Cancel Culture, le Wokisme et l’idéologie LGBT qui discriminent, méprisent et s’attaquent à l’intelligence, à la dignité, à la santé et à la stabilité à la fois humaines et sociales, tout en menaçant de morts ceux et celles qui ne seraient pas d’accord avec eux, etc. Ne sont-ce pas encore lui et les membres de son club mafieux, qui polluent le plus la terre par leurs industries (dont beaucoup sont implantées en Chine, car si la Chine est bien le premier pollueur du monde juste devant les Etats-Unis et l’Union européenne, c’est aussi en partie à cause des nombreuses multinationales et entreprises occidentales implantées en Chine), qui voyagent en jet privé, qui consomment plus d’énergie que la plupart des citoyens dans le monde, mais qui imposent aux citoyens de la classe moyenne, de consommer encore beaucoup moins tout en payant beaucoup plus, pendant que les membres influents du Forum de Davos ne diminuent pas leur consommation, payent pas (ou beaucoup moins) de taxes ou de prix sur l’énergie consommée, etc. ?
Dans un excellent papier de Michael Rectenwald, traduit et publié sur Contrepoints le 2 juin 2022, il était expliqué que : « Les planificateurs centraux du Forum économique mondial sont des autoritaires qui souhaitent écraser les plans des individus. Ils croient qu’ils ont indubitablement raison, en dépit de l’horrible bilan de l’interventionnisme.
La réunion annuelle du Forum économique mondial (WEF) à Davos est peut-être la conférence la plus impopulaire au monde, et son fondateur et président, Klaus Schwab, l’une des personnalités les plus méprisées au monde. Souvent comparé au Dr. Denfer, le personnage joué par Mike Meyers dans la série Austin Powers, et régulièrement comparé à un super-méchant de James Bond sur Internet, Schwab est considéré comme un mégalomane messianique dirigeant une infâme cabale de dirigeants mondiaux et de chefs d’entreprise vers un avenir dominé par une élite mondialiste.
Un sondage Twitter réalisé par TruthBoost a posé la question suivante : « Le Forum économique mondial rend-il le monde meilleur ? » Au moment où nous écrivons ces lignes, 98,4 % des personnes interrogées ont répondu par la négative.
Qu’est-ce qui rend le WEF et ses réunions si méprisés dans cette confabrication et chez ses dirigeants ? Après tout, le WEF est « engagé à améliorer l’état du monde », comme le dit son slogan. Il se trouve que la plupart des gens n’apprécient pas qu’un groupe de dictateurs non élus et autoproclamés émettent des décrets top-down et recommandent des politiques qui restreignent leur liberté et enfreignent leurs droits.
La réunion annuelle de cette année a été présentée comme la plus importante de ses cinquante ans d’histoire, compte tenu de la guerre en Ukraine et de la « nouvelle normalité » post-pandémique. C’est ce qu’a laissé entendre M. Schwab dans son allocution de bienvenue, ajoutant :
« Nous devons renforcer notre résistance à un nouveau virus, éventuellement, ou à d’autres risques qui figurent à l’ordre du jour mondial » (8:30, c’est moi qui souligne).
Étant donné que la rhétorique et les plans collectivistes de Schwab ont été si mal accueillis qu’il a dû écrire un livre intitulé The Great Narrative pour justifier et refondre The Great Reset comme étant nécessaire et anodin, on pourrait penser qu’il aurait pu choisir ses mots avec davantage de soin en ne suggérant pas qu’un « nouveau virus » ou « d’autres risques » font partie d’un « programme mondial » que « nous » (ils) mettons en place – comme s’il s’agissait d’événements futurs en cours de planification. Mais Schwab et le WEF sont des spécialistes pour générer des théories du complot et des théoriciens du complot (soit dit en passant, le mot collectif est utilisé 52 fois dans The Great Narrative).
La réunion annuelle a donné lieu à des tables rondes sur un certain nombre de sujets, notamment la réalité augmentée, les monnaies numériques des banques centrales, la transition climatique dans les économies émergentes, l’empreinte carbone des cryptomonnaies, l’économie numérique, la diversité, l’équité et l’inclusion, les sanctions économiques, l’emploi dans la quatrième révolution industrielle, la transition énergétique en Chine, l’indexation environnementale, sociale et de gouvernance (ESG), la géopolitique, une taxe mondiale, les soins de santé pandémiques, la consommation responsable, le retour de la nature dans les villes, la Russie, ainsi qu’un discours spécial du président de l’Ukraine, Volodymyr Zelenskyy.
L’éventail des sujets est stupéfiant mais aussi révélateur de l’éthique de planification centrale hubristique du Forum économique mondial. Des monnaies numériques centralisées à la planification urbaine, les préoccupations du WEF rappellent le Club de Rome, qui les a probablement influencées, et sont empreintes de son néo-malthusianisme. Il semble qu’il n’y ait rien dont le WEF ne se dise pas expert et rien sur lequel il n’émette pas de recommandations. Pourtant, les médias grand public considèrent toujours le Great Reset du WEF comme une théorie du complot, malgré la récente remarque de Joe Biden selon laquelle les prix élevés du gaz doivent être célébrés comme faisant partie d’une « incroyable transition » vers les énergies renouvelables. En d’autres termes, les prix élevés du gaz ont toujours fait partie de la planification du Green New Deal, et le politburo de Joe Biden a, il est vrai, participé à leur augmentation.
L’un des temps forts de la réunion 2022 a été la déclaration de Julie Inman Grant, commissaire australienne chargée de l’eSafety, lors d’un débat intitulé « Ushering in a Safer Digital Future », selon laquelle « la liberté d’expression n’est pas synonyme de liberté pour tous » et « nous allons devoir recalibrer toute une série de droits de l’Homme en ligne, de la liberté d’expression à la protection contre la violence en ligne ».
Ces commentaires inquiétants font suite au glissement de l’Australie vers le totalitarisme pendant la pandémie et à l’approbation récente par l’Union européenne du Digital services Act, qui interdit les « discours haineux » et la « désinformation » et représente une étape majeure vers une gouvernance mondiale unique d’Internet. En particulier, le cadre européen pour les communications numériques réglementera les discours relatifs au « changement climatique », aux problèmes de santé tels que le coronavirus et autres « pandémies », ainsi que les « discours haineux » ou autres « discours illégaux » tels que définis par l’UE. Pour répondre aux exigences réglementaires de l’UE et rationaliser leurs efforts, les sites de recherche et les plateformes de médias sociaux vont très probablement se contenter d’appliquer un seul ensemble de règles, celles de l’UE, à tous les contenus en ligne.
En bref, que le WEF et ses participants soient des planificateurs centraux et des mondialistes inconscients ou, ce qui est plus probable, de puissants influenceurs ayant un impact sur tout, des politiques gouvernementales aux décisions des entreprises, ce groupe a la témérité de suggérer qu’il est ou devrait être en charge du monde. Peu importe de laisser les individus libres de poursuivre leurs intérêts, y compris leur vie économique et familiale. Ces maîtres planificateurs doivent intervenir contre tous les plans individuels, locaux, régionaux et nationaux. Comme l’a noté Ludwig von Mises, ces planificateurs centraux sont toujours des autoritaires qui souhaitent écraser les plans des individus. Ils croient qu’ils ont indubitablement raison, en dépit de l’horrible bilan de l’interventionnisme » (7).
Ainsi, la question énergétique précède de loin la guerre en Ukraine (voulue par la Russie comme par l’Occident), qui n’explique pas tout, et où l’Union européenne s’est volontairement tirée une balle dans le pied, puisque les pays de l’UE n’étant pas des pays producteurs de gaz et de pétrole (contrairement à la Russie), et ayant décidé de fermer plusieurs centrales nucléaires au cours des 15 dernières années (quand les agents de Davos gagnaient en influence dans les décisions politiques et économiques), ne pouvaient que se trouver dans une situation complètement défavorable pour les européens puisque tout leur mode de vie et leur industrie dépend du gaz et du pétrole, n’ayant pas assez investi dans les solutions alternatives et autonomes (ce que les grands industriels ne veulent pas, puisque des citoyens ayant accès à une autonomie énergétique serait la fin de leur emprise sur le peuple et de leur monopole). Cette décision politique conduit à mettre à genou l’industrie européenne qui dépend du gaz et du pétrole. L’augmentation colossale du coût de l’électricité par 10 ou par 40 dans certains pays européens, ne s’expliquent pas non plus en raison de la « pénurie »/production de l’électricité, mais par une réelle volonté politique et par les superprofits générés par ceux qui détiennent les compagnies électriques, pétrolières, etc. Des sanctions sur le gaz russe, sans aucune autre alternative, est « une erreur inexplicable » pour des politiciens et ministres européens, ou alors ils en étaient pleinement conscients et savaient que cela allait nous entrainer dans cette situation catastrophique, sachant qu’eux-mêmes ne font aucun effort pour diminuer leur pollution environnementale, leur train de vie, leurs factures d’énergie (souvent payées par le contribuable), etc. Si les sanctions sont motivées à cause de « l’invasion illégale » (ce qui est vrai) de la Russie en Ukraine, alors ils auraient dû déjà les appliquer contre les Etats-Unis puis contre les pays européens (et leur protégé israélien) ayant participé illégalement et de façon la plus barbare et tragique, à l’invasion et aux bombardements de la Palestine, de l’Afghanistan, l’Irak, le Yémen, la Libye, etc. De même, pourquoi même après l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, ou avant encore par une partie de la Géorgie, des pays européens – dont la France – ont continué à vendre des armes de pointe à la Russie jusqu’en 2020 (officiellement) (8) ? Les sanctions doivent frapper le régime inique et non pas le peuple (ni le peuple russe, ni les peuples ukrainien et européen), et cibler les hautes technologies et l’armement, puisque sans cela la puissance russe s’affaiblira, et non pas sur le gaz russe que la Russie possède encore pour de nombreuses années, avec une vente assurée pour d’autres pays qui en profiteront pour renforcer leur industrie (comme la Chine et l’Inde par exemple) tout en évitant des guerres civiles ou la misère dans leur pays concernant le domaine énergétique.
La crise, entre volonté humaine et nécessité
Si d’un point de vue islamique, la société de surconsommation est à la fois une transgression de la Loi divine et une aberration logique (une croissance ne peut pas être infinie avec des ressources qui elles, sont limitées et finies), la perversion de l’idéologie mondialiste est réellement shaytanesque. Certes, le Qur’ân met en garde contre le gaspillage des ressources : « Et donne au proche parent ce qui lui est dû ainsi qu’au pauvre et au voyageur (en détresse). Et ne gaspille pas indûment, car les gaspilleurs sont les frères (alliés) des diables ; et le Diable est très ingrat envers son Seigneur » (Qur’ân 17, 26-27), tout comme l’interdiction d’abuser de la nourriture et des boissons, plus que de nécessaire : « O enfants d’Adam, dans chaque lieu de Salât portez votre parure (vos habits). Et mangez et buvez; et ne commettez pas d’excès, car Il [Allâh] n’aime pas ceux qui commettent des excès » (Qur’ân 7, 31).
De même, il y a une interdiction formelle d’obéir aux ordres des injustes et des corrupteurs : « N’obéissez pas à l’ordre des outranciers, qui sèment le désordre sur la terre et n’améliorent rien » (Qur’ân 26, 151-152), ce qui peut englober des mouvements ou personnes extrémistes et violentes, tout comme les grands décideurs économiques et politiques, les présidents, ministres, idéologues et députés qui détruisent les pays comme la planète, font des millions de morts, détruisent la biodiversité sur la planète, etc.
Et le juste milieu également, entre avarice et dépenses inconsidérées et peu raisonnables, car la Bénédiction vient quand l’argent et les biens circulent dans toute la société, et n’ont pas pour les dépenser dans l’illicite ou être stockées à l’abri pour n’enrichir qu’une poignée d’individus :
« Qui, lorsqu’ils dépensent, ne sont ni prodigues ni avares mais se tiennent au juste milieu » (Qur’ân 25, 67).
« Ne porte pas ta main enchaînée à ton cou [par avarice], et ne l’étend pas non plus trop largement, sinon tu te trouveras blâmé et chagriné » (Qur’ân 17, 29).
Si comme pour le Covid (malgré la mascarade politico-médiatique autour de ce virus), il serait question de « fermer les commerces non-essentiels » alors pour faire des économies d’énergie, tous les milieux suivants devraient être fermés ou voir leur consommation d’énergie baisser comme les boites de nuit (où ne découlent globalement que des problèmes liés à la drogue, à l’adultère, aux meurtres, à la dépression, aux problèmes psychologiques ou neurologiques, à l’alcool, à la violence, à la fornication, puis aux grossesses ou aux avortements, etc.), l’industrie de l’alcool (des millions de morts chaque année, ainsi que des millions de malades, et des millions de problèmes en lien avec les violences conjugales, familiales, sociales et de voisinage), les villas et complexes de luxe appartenant aux millionnaires ou aux milliardaires, les jeux de lumière concernant les fêtes nationales, les concerts, les émissions télévisées qui abrutissent et désinforment les citoyens, de nombreux déplacements « inutiles » du « personnel politique » en jets privés ou dans des transports luxueux et gourmands en énergie, les soirées arrosées du monde des affaires et de la politique, les laboratoires et usines de Pfizer, Moderna et AstraZeneca qui consomment énormément d’énergie, en plus de gaspiller de nombreux matériaux et de polluer l’environnement, pour une efficacité nulle sur le Covid, mais engendrant d’autres problèmes majeurs pour la santé des personnes à qui leurs produits expérimentaux ont été injectés, l’industrie pornographique, etc. Dans le domaine de l’armement, celui du fichage numérique et de l’espionnage/surveillance, l’usage de drones ou de technologie militaire ne servant qu’à tuer et détruire, notamment aux Etats-Unis, en Israël, en Chine, en France, au Royaume-Uni, en Inde et en Russie, les nombreux tests liés à la technologie militaire qui polluent, détruisent et consomment beaucoup d’énergie comme d’argent, doivent être les premiers concernés par la diminution ou l’arrêt des activités. Avec tout cela, outre le fait d’améliorer les conditions de vie et la paix sociale, cela ferait de nombreuses économies énergétiques et financières.
Le problème de fond est double, à la fois notre mode de vie ultra numérisé et consumériste – et donc le gaspillage de chacun – et l’énorme disparité dans la répartition et les privilèges liés aux ressources, privations qui sont exclues pour les ultra-riches comme on le voit depuis des années, où ils se permettent tout mais en diminuant constamment nos quotas et nos droits (pour les pauvres, les gens de la classe moyenne et même une bonne partie des gens aisés). Ce sont encore eux qui détruisent, pour leurs profits, une grande partie de notre santé comme de l’environnement, mais qui exigent de nous, d’importants sacrifices sur nos droits les plus fondamentaux.
Il est en effet possible, au niveau de la production énergétique de 2019, d’alimenter tous les foyers européens avec un niveau minimum (permettant d’alimenter un ordinateur de bureau, un pc portable, une console de jeux de salon, un frigo, un sèche-linge, un micro-onde, une télévision, fournir de l’eau chaude et un chauffage électrique ou central) pour une utilisation « normale » (excluant ainsi la consommation de « confort » ; plusieurs TV et ordinateurs de bureau au même moment, serveurs ou minage servant pour les cryptomonnaies, etc.), les hôpitaux et cliniques du pays, centres commerciaux, boucheries, morgues, etc. Ainsi, il est plus que faisable de fixer un prix « bas » pour le coût énergétique (gaz/électricité) pour chaque foyer (avec un seul minimal), puis d’exiger de façon progressive une augmentation du coût pour les « grands consommateurs », avec une limite en cas de « perturbations majeures » (sur l’environnement ou en lien avec une pénurie). De même, les Etats devraient pousser les entreprises à développer des appareils électroniques moins énergivores et plus écoresponsables, d’interdire l’obsolescence programmée (mettant automatiquement fin à la « vie » des produits électroniques, pour le simple profit des firmes, s’assurant de pouvoir revendre – sans aucune nécessité majeure – d’autres appareils électroniques tous les « x » temps) car impliquant de nombreux gaspillages – en plus des déchets toxiques pour le triage et le recyclage – et d’importantes quantités d’énergie consommées inutilement, et encourager l’autonomie énergétique des citoyens par des moyens plus durables et plus propres, tout en incitant à une gestion responsable de l’eau et de l’électricité (avec des taxes ou amendes pour les grosses surconsommation).
Le « tout électrique » est aussi une chimère, car la consommation d’électricité va exploser, et que cela demande aussi une surproduction des batteries dont les matériaux sont limités et dont la production pollue énormément.
A force d’avoir mené une politique de délocalisation (pour l’électricité, l’industrie, l’alimentation, etc.), beaucoup d’Etats se retrouvent piéger, endetter et dans une situation de crise, et les multinationales ont alors une bonne marge de manœuvre pour priver les pays de leur souveraineté, de s’implanter dans le paysage politico-médiatique, et d’imposer leur chantage aux nations. L’interdiction faite aux citoyens de certaines zones, dans plusieurs pays occidentaux, de cultiver leur propre potager, est aussi un crime institutionnalisé, surtout à l’heure où on parle de pénurie alimentaire.
Encore une fois, là où la Religion exige de nous intelligence, engagement, responsabilité, pondération et bon sens, les idéologies modernes – souvent tournées contre la Religion -, nous conduisent finalement vers les plus grandes catastrophes et les pires aberrations qui soient.
Enfin, ne pas exécuter les ordres politiques quand ceux-ci sont injustes, rajoutent de l’huile sur le feu ou quand ils visent à interdire les droits fondamentaux des citoyens sans jamais exiger la même chose des ultra-riches. Se montrer solidaires au lieu de rendre inutilement la vie difficile aux gens.
La fin d’un monde fondé sur l’abondance et l’insouciance
Le 24 août 2022, le président le plus détesté des Français Emmanuel Macron annonçait la fin de notre système, pour un système encore pire (BFMTV – 24 août 2022) :
« Aujourd’hui, la guerre a repris depuis six mois en Europe […], la crise climatique est là, perceptible (…) Nous vivons la fin de ce qui peut apparaitre comme une abondance (…) la fin des liquidités (…), la fin de produits, de technologies qui nous semblaient perpétuellement disponibles (…), La rupture des chaînes de valeurs, la rareté de tel ou tel matériau ou technologie réapparait (…), la fin de l’abondance de terre et de matière et celle de l’eau (…), la fin des évidences (…) notre liberté a un coût, et parfois quand il faut la défendre, cela peut supposer des sacrifices (…) ».
Or, la liberté, Macron l’a piétiné et a imposé une dictature encore plus féroce et pernicieuse en France sous son mandat politique et présidentiel – mandat contesté par l’écrasante majorité des Français -, quant à « la fin de l’abondance », lui et ses amis ultra-riches ne sont pas concernés visiblement, tandis que beaucoup de Français, depuis plus de 10 ans, vivaient déjà sous le seuil de pauvreté pendant que Macron appauvrissait davantage le peuple français pour enrichir honteusement une centaine de milliardaires qui ont vu leur fortune doublée voire triplée sous sa présidence.
Quant à la liberté d’expression, de nombreux pays occidentaux ne défendent que les blasphémateurs contre le Divin, l’intelligence, la dignité humaine et le Sacré, mais luttent activement contre les lanceurs d’alerte, les humoristes critiques, les journalistes indépendants, les chercheurs brillants, les droits fondamentaux de chacun par rapport à la religion et à la spiritualité, à leur mode de vie, à leur tenue vestimentaire ou à leur corps et santé médicale. Des pays comme le France, les Etats-Unis et d’autres pays occidentaux, ont été les plus grands ennemis de la liberté d’expression au cours de ces dernières années (des dizaines de millions de personnes et de publications supprimées et censurées dans les médias officiels, Facebook, YouTube, Twitter, Instagram, etc.). Il ne faut donc pas être dupe face à leur propagande, car ils assassinent ou font taire des gens innocents et honorables, et défendent des criminels de guerre ou des blasphémateurs uniquement car cela renforce leur agenda politique et leur domination idéologique.
« Essai audio sur la place de la liberté d’expression dans notre société: souvent mise de côté quand cela arrange le récit dominant, et au contraire brandie quand elle permet de s’acheter une image contestataire. Dans ce nouveau format je vous livre la réflexion que m’a inspiré la récente agression de l’écrivain Salman Rushdie et surtout le traitement médiatique de cet événement tragique ».
“La liberté d’expression…seulement quand ça les arrange | Idriss Aberkane”, 26 août 2022 : https://www.youtube.com/watch?v=kGorFoNJqBg
Les délires transhumanistes, les théories du genre, les attaques répétées contre la Tradition et le Sacré, l’occultisme, les allusions au Diable et au Dajjal qui sont diffusées dans de nombreux films, dans des discours de politiciens ou de décideurs (de haut niveau) en Occident, leurs décisions qui nous semblent irrationnelles, l’instrumentalisation des problèmes climatiques, la promotion d’idéologies, de certains acteurs politiques ou du monde du divertissement, etc., tout converge vers le monde occulte et les prédictions prophétiques qui ont été transmises dans la Tradition et par ses gardiens et héritiers spirituels, bien que dans cette vidéo, le rôle des « shayatins » est un peu exagéré.
Quelques solutions et astuces
Pour l’eau : mettre des seaux ou des récipients dans le lavabo, dans la baignoire ou la douche, ou pour les robinets extérieurs, afin de recueillir l’eau « gaspillée » et de l’utiliser au lieu de tirer la chasse d’eau, ou si l’eau est encore propre, pour arroser le jardin, mouiller les sols extérieurs, ou abreuver les plantes, les arbres, les insectes ou les animaux aux alentours si l’eau n’a pas été mélangée avec des produits toxiques, chimiques ou cosmétiques. Utiliser aussi un débit plus faible quand cela est suffisant pour se laver les mains, se rincer le nez ou la bouche, etc.
Pour le gaz : diminuer la température et opter pour un chauffage plus régulier mais moins intense, mieux isoler les pièces, acheter des couvertures ou des vêtements qui tiennent chaud, fournir de la chaleur dans les pièces principales et se réunir à plusieurs dans la même pièce quand cela est possible afin d’éviter « la consommation individualiste ».
Pour l’électricité : Privilégier des appareils moins gourmands en électricité, s’imposer des heures où on se passera de la TV, des tablettes ou des ordinateurs portables. Utiliser des lampes torches (ou la fonction lampe-torche des smartphones), lanternes ou veilleuses quand cela est possible pour éviter de solliciter les ampoules ou lampes ? Au lieu de regarder chacun pour soi telle ou telle série, essayer de regarder certaines choses en couple, entre amis ou en famille, quand c’est possible évidemment.
Pour l’essence : Eviter les déplacements en voiture sur des courtes distances là où on peut s’y rendre à pied, en vélo, en trottinette, en bus, etc. Pour les longues distances, faire du covoiturage ou aller entre amis aux mêmes endroits tout en se répartissant les coûts.
En vrac : installer des panneaux solaires ou des générateurs d’électricité diverses pour ne plus payer de facture d’électricité ; l’investissement parfois coûteux au début sera très vite rentabilisé en quelques mois ou en 2 à 5 ans).
Se remettre aux activités sportives, aux randonnées, aux jeux de société, à la lecture sur papier ou à regarder des films ou programmes télévisés en famille, pour changer de mode de vie et être moins dépendant des appareils électroniques.
Un mode de vie plus propre et autonome est possible (attention cependant à certaines croyances new-âge qui s’immiscent dans certains « discours alternatifs ») : https://www.youtube.com/watch?v=tIfC6b_jYyk
Notes :
(1) “Davos man’s death wish”, The Guardian, 3 février 2008 : http://www.guardian.co.uk/world/2005/feb/03/globalisation.comment et “In Search of Davos Man”, Time, 23 janvier 2005 : http://www.time.com/time/magazine/article/0,9171,1019774-1,00.html
(2) “The dark side of Davos: a den of prostitution and predators”, The Times, 23 mars 2020 : https://www.thetimes.co.uk/article/dark-side-of-davos-den-of-prostitution-and-predators-c77qwzd0j
(3) “Strengthening Collaboration in a Fractured World-Featuring Special Guest Yo-Yo Ma”, Institute of Politics at Harvard Kennedy School, 20 septembre 2017 : https://www.youtube.com/watch?v=AoBRnrtX9U4
(4) World Economic Forum, GLT Class of 1993.pdf : https://web.archive.org/web/20131203013754/http://www3.weforum.org/docs/WEF_GLT_ClassOf1993.pdf
(5) “Les « Jeunes leaders mondiaux » du Forum économique mondial sont dévoilés”, News Net, 12 février 2022 : http://newsnet.fr/202054
(6) “Klaus Schwab : “Réinitialiser le multilatéralisme pour mieux coopérer””, Euronews, 19 novembre 2020 : https://fr.euronews.com/2020/11/17/klaus-schwab-reinitialiser-le-multilateralisme-pour-mieux-cooperer
(7) “Forum économique mondial 2022 : le retour de l’homme de Davos”, Contrepoints, 2 juin 2022 : https://www.contrepoints.org/2022/06/02/431611-forum-economique-mondial-2022-le-retour-de-lhomme-de-davos
(8) “Ukraine : la France a livré des armes à la Russie jusqu’en 2020”, Disclose, 14 mars 2022 : https://disclose.ngo/fr/article/ukraine-france-a-livre-armes-russie : « Face caméra, le ton est grave, chaque mot pesé. Mercredi 2 mars, dix jours après le début de l’invasion de l’Ukraine par la Russie, Emmanuel Macron s’adresse à la nation. « Poutine a choisi la guerre, déclare-t-il aux 21 millions de téléspectateurs qui suivent son allocution en direct. Les forces russes bombardent Kiev, assiègent les villes les plus importantes du pays. Des centaines de civils ukrainiens ont été tués. » Il ajoute : « Nous nous tenons aux côtés de l’Ukraine. » Ce soir-là, Emmanuel Macron omet de préciser une information de taille : entre 2015 et 2020, malgré l’escalade militaire avec l’Ukraine, la France a discrètement équipé l’armée de Vladimir Poutine avec des technologies militaires dernier cri. Du matériel qui a contribué à moderniser les forces terrestres et aériennes de la Russie, et qui pourraient aujourd’hui être utilisées dans la guerre en Ukraine. Embargo sur les armes : D’après des documents « confidentiel-défense » obtenus par Disclose et des informations en sources ouvertes, la France a délivré au moins 76 licences d’exportation de matériel de guerre à la Russie depuis 2015. (…) ».