Il y a de cela plusieurs mois, nous avions déjà publié un long article documenté intitulé La guerre des chiffres, l’illusion des statistiques et le cas du Covid (en date du 4 août 2021), présentant les enjeux et manipulations statistiques autour du Covid-19, et des nombreux biais (idéologiques, méthodologiques, …) qui fondaient les discours « pro-vax » comme « anti-vax ».
Près de 2 ans après le début de la pandémie, nous pouvons désormais établir certains faits et aboutir à des conclusions certaines sur un certain nombre de points. Nous disposons donc aujourd’hui d’un recul déjà suffisant qui permet de collecter et d’analyser un certain nombre de données liées au Covid-19 et aux vaccins. L’heure est toutefois grave, pas tant à cause du virus (bien réel) mais plutôt de l’agenda politique de nombreux états qui profitent de la « pandémie » (déjà amplement et sciemment exagérée) pour enrichir les multinationales, appauvrir les classes moyennes et imposer un système politique beaucoup plus totalitaire et ce au sein même des pays de l’UE, et où à cela se rajoute un autre danger, tout aussi pervers, puisque désormais, les criminels de la santé incitent ou obligent à injecter ce poison dans le corps des jeunes enfants, – alors que le virus ne les affecte presque pas dans l’immense majorité des cas (même si on prend en compte le nombre de « cas positifs » pour argent-comptant, – tandis que le vaccin représente un plus grand risque pour eux que le Covid-19).
Les rapports les plus fiables et les observations sur le terrain sont formels sur un certain nombre de points, dont ceux-ci :
– Le covid-19 affecte très peu les jeunes.
– La plupart des personnes décédées en lien avec le Covid avaient des facteurs de comorbidités et n’avaient pas été pris en charge assez tôt en raison des mesures politiques délétères.
– L’efficacité théorique des vaccins ne se basait que sur les études biaisées des laboratoires et entreprises qui produisaient les vaccins en question. Aucune étude objective et indépendante de grande ampleur ne confirmait l’efficacité des vaccins (qui était estimé à 95-99% initialement par les autorités). Or, durant l’été 2021, on constatait déjà pour les vaccins Moderna et Pfizer, une chute conséquente de l’efficacité, descendue aux alentours des 10-15% (notamment en Israël).
– Dans de nombreux pays, les vaccinés admis dans les hôpitaux, dont les soins intensifs en lien avec le Covid-19 étaient fort nombreux, parfois même bien plus nombreux que les non-vaccinés (comme par exemple au Royaume-Uni en date du mois d’octobre 2021).
– Les vaccinés sont parfois susceptibles de transmettre bien plus facilement le virus que des non-vaccinés.
– Des milliards de non-vaccinés n’ont jamais développé de formes graves ou même légères même en contractant le virus.
– Vaccinés ou non-vaccinés développent les mêmes symptômes légers ou graves selon les cas en cas d’infection.
– Aux Etats-Unis, des études estiment que le nombre de décès imputables aux vaccins, en date du mois de septembre 2021, sont de l’ordre de 200 000 décès.
– Dans plusieurs pays, les morts imputables aux vaccins surpassent les décès imputables au Covid-19 (comme en Australie, où des rapports indiquent qu’il y a 3 fois plus de morts imputables aux vaccins que du Covid-19 en date du mois de septembre 2021).
– Le Covid-19 en tant que tel, tue très peu, mais peut s’avérer mortel si les patients ne sont pas pris en charge quand les symptômes deviennent inquiétants ou si les patients sont atteints surtout d’autres facteurs à risque (obésité, diabète, hypertension, …). La nécessité de l’obligation ne se pose donc même pas. Et encore moins quand ces vaccins ne sont pas sûrs du tout (plusieurs centaines de milliers de décès au moins, sont imputables aux vaccins, et des millions d’effets secondaires dont environ 25% sont considérés comme étant très graves). Et pire même, ces vaccins sont peu (voire pas du tout) efficaces pour lutter contre la transmission du virus ou contre les formes légères, graves ou mortelles du Covid-19. Tout cela apparait clairement pour les professionnels de santé (cliniques, médecins généralistes, hôpitaux ou différents centres qui reçoivent énormément de personnes vaccinées se plaignant soit des symptômes du Covid, soit ayant développé d’autres maladies ou complications à cause du vaccin).
– Les personnes qui contractent le virus et en guérissent en cas de symptômes, développent une immunité naturelle environ 6 à 10 fois supérieure que l’immunité produite par les vaccins selon plusieurs études et spécialistes.
– La saturation des hôpitaux sur laquelle les médias et politiciens ont tant insisté existait déjà avant la pandémie du Covid-19 (surtout en période hivernale) et s’explique aussi en partie par la suppression de nombreux lits, le licenciement de nombreux personnels de santé refusant de se faire vacciner, et aussi par la diminution des aides et budgets versés aux hôpitaux (en France, environ 1 milliards d’euro en moins pour le secteur de la santé, et une augmentation nette du budget pour les forces de l’ordre et la surveillance).
– La question du Pass sanitaire et la façon dont il a été imposé est une mesure essentiellement politique et n’a aucun sens sur le plan sanitaire au vu des données scientifiques bien établies, – que les autorités font mine d’ignorer sans parler des fakes news qu’ils ont sciemment répandues -. Bien que la question du Pass sanitaire ne soit pas inhérente à la question vaccinale, ici c’est l’agenda politique qui dicte les « manoeuvres sanitaires », à l’encontre de la prudence médicale, des protocoles scientifiques, du bon sens et du droit commun. Cela n’excuse pas non plus les dizaines de milliers de licenciements de médecins, chercheurs et infirmiers qui refusaient ces vaccins pour des raisons médicales et scientifiques essentiellement, alors même que les autorités savaient que les vaccins n’empêchaient pas la transmission du virus (des études aux Etats-Unis le confirmaient déjà au mois de juillet 2021).
– Des millions de doses ont été contaminées (plus de 3 millions rien qu’au Japon), aussi bien concernant des lots Moderna que Pfizer.
– « Le vaccin a sauvé des millions de vie » est une affirmation gratuite et indémontrable, sachant qui plus est que de nombreux non-vaccinés n’ont pas eu besoin du vaccin pour rester en vie ou préserver leur santé, a contrario, des gens vaccinés sont tout de même décédés du vaccin et d’autres sont devenus handicapés et regrettent profondément s’être fait vaccinés. Par ailleurs, très peu de gens décédaient du Covid avant la vaccination et une hausse des décès a été observée après la phase de vaccination massive dans tous les pays (ou presque) ayant entamé la vaccination massive.
– Les menaces de mort et pressions sur de nombreux médecins, infirmiers, juristes, directeurs d’hôpitaux, etc. sont inadmissibles. Les pressions politiques ont rendu la vie encore plus difficile à des millions de citoyens, avec en plus, des menaces et propos injurieux et diffamateurs à leur encontre, pour les culpabiliser davantage, le tout en usant de fakes news et en faisant appel à la peur.
– Les mesures politiques (interdiction de se faire soigner dans les hôpitaux en cas de symptômes au début, confinements, …) ont causé la mort de plus de personnes que le Covid en lui-même. Des experts s’inquiètent aujourd’hui de l’explosion de nombreux effets délétères sur les citoyens (maladies physiques aussi bien que psychologiques ou psychiatriques, et les problèmes rencontrés par les enfants et les parents, …).
– De nombreux commerces indépendants ont fait faillite ou ont été gravement touchés par la crise, pendant que les multinationales se sont bien enrichies.
– Des journalistes (en caméra caché) ont interviewé des personnes travaillant chez Pfizer et Moderna, et ont admis les arnaques et manipulations autour des vaccins (voir les vidéos de Project Veritas).
– La plupart des spécialistes médiatisés et pro-vax, de même que les médias (comme Le Monde) sont financés directement par Big Pharma (dont la Bill Gates Foundation). Alors certes, l’existence d’un conflit d’intérêt n’implique pas forcément le mensonge, – des météorologistes payés par une fondation mais disant que la journée sera ensoleillée et qui sera vérifiée, leurs propos seront acceptés et validés -, mais cela pose tout de même le cas de l’indépendance, surtout dans un domaine qui comporte des enjeux financiers et politiques énormes (la corruption de l’OMS, et le fait que l’OMS change constamment d’avis, – comme l’ONU d’ailleurs, en plus du fait que l’OMS soit financé à plus de 75-80% par Big Pharma), cela doit nous interroger…d’autant plus quand ce sont des compagnies déjà incriminées pour plusieurs scandales, corruptions et procédés mafieux et crapuleux pour tromper les citoyens et mettre en danger leur santé.
– Toutes les (fausses) promesses des autorités politiques et de l’OMS se sont soldées par des échecs ou des manipulations grossières. Toute une série de contradictions et de mensonges fut observée tout au long de la « crise », jetant ainsi clairement le discrédit à leur encontre, et montrant que les discours officiels ne se fondaient pas sur la réalité, – il s’agit donc d’un « complot » en ce sens que le peuple a été volontairement manipulé, maltraité et induit en erreur par un groupe d’individus (disposant des moyens nécessaires) et sans que l’objectif visé derrière cette manipulation soit celle d’une quelconque préservation de la santé, d’une meilleure justice, ou d’une meilleure gestion des richesses et ressources économiques ou autre objectif « positf » du genre.
– On nous parle désormais de 3, 4 ou 5 doses, ce qui montre la grande inefficacité de ces vaccins, là où de nombreux non-vaccinés se portent très bien sans le vaccin. Hausse significative et alarmante des admissions hospitalières à causes des effets secondaires des vaccins (avc, thromboses, myocardites, cécité, paralysie, …) durant l’été, malgré que le virus reste largement sous contrôle d’un point de vue strictement sanitaire. Beaucoup de vaccinés entre 50 ans et plus sont tout de même décédés du Covid, et ce aussi bien dans les pays occidentaux qu’en Asie ou au Maghreb. Le taux de contamination est remonté de façon significative dans tous les pays ayant entamé la vaccination massive.
– Du côté des « anti-vax » (les « sceptiques » dans ce cas-ci), beaucoup de « théories du complot » se sont avérées exactes et fondées, mais d’autres ont été réfutées, tandis que d’autres encore ne restent à ce jour, qu’au stade de « l’hypothèse » (rationnelle, mais sans preuve empirique forte).
– Dans l’émission spéciale sur le Covid-19 sur Radio Courtoisie, le 22 octobre 2021, faisant intervenir des spécialistes en médecine, ainsi que des témoignages de personnes vaccinées (ou dont les proches étaient vaccinés), les données bien établies montraient les dangers réels des vaccins à ARNm, l’inefficacité des vaccins face au Covid-19 (que ce soit pour les décès, les formes graves, les formes légères, la transmission, …), que les politiciens mentaient énormément, que les agences médicales manquaient d’indépendance et de transparence et qu’elles inversaient la charge de la preuve, minimisaient les remontées, niaient (de façon malhonnête et grossière) les corrélations entre les vaccins et les décès/complications, les jeunes vaccinés devenaient de plus en plus malades (avec de nombreux cas graves) pour nombre d’entre eux. Il y a 2 fois plus de chances d’être infectés par le virus en étant vacciné que non-vaccinés pour les 40-49 ans, environ 6 fois plus de chances de contracter une myocardite pour les jeunes que d’être hospitalisé en raison du Covid, etc. Il y a aussi une surmortalité liée à la vaccination ainsi qu’une sous-natalité.
– La vaccination massive n’a pas empêché l’augmentation de décès liés au Covid-19, ni les cas de formes graves dans de nombreux pays. En Israël par exemple, la courbe cumulative est en hausse pour les décès, les contaminations (alors que de nombreux vaccinés ne se font pas tester) et les cas graves depuis la phase vaccinale comme le rapporte le daily reports of the Ministry of Health (https://www.science.co.il/medical/covid-19/Statistics.php). Et cela ne prend pas en compte les gens décédés hors-Covid mais en raison du vaccin…
– En nous renseignant auprès des professionnels de santé qui travaillent dans des cliniques et des hôpitaux en Belgique et en France, ils nous apprennent que la plupart des personnes hospitalisées en lien avec le Covid ou la vaccination sont des personnes vaccinées (au moins 2 doses) ou primo-vaccinées (1 dose). Dès lors, comment expliquer les chiffres totalement inverses diffusés par des médias mainstream ? Soit il s’agit d’une invention pure et simple, et donc d’une fake news, soit ils considèrent que les vaccinés de moins de 14 jours sont toujours considérés comme étant des « non-vaccinés », – suivant en cela notamment les rapports et indications du CDC qui classent les vaccinés de moins de 14 jours comme étant des non-vaccinés, ce qui est absurde, mensonger et très malhonnête. Parfois, ils comptabilisent aussi les personnes réellement non-vaccinées qui ont eu un test positif (mais sans symptômes) et qui sont hospitalisés mais pour une autre cause que le Covid. Le 8 novembre, à l’hôpital de Gent (en région flamande) par exemple, la totalité des patients Covid hospitalisés étaient tous doublement vaccinés depuis plus de 14 jours : « Nicole Elisei (8 novembre 2021) : « #Belgium “…the patients in the ICU of our hospitals in GZA,I checked it yesterday,are ALL VACCINATED … » déclarait le Dr. Kristiaan Deckers qui travaille à l’hôpital (https://mobile.twitter.com/eliseinicole/status/1457648158192934920).
– Le 30 août 2021, une étude américaine confirmait que les jeunes qui prenaient le vaccin avaient plus de risques de contracter des problèmes cardiaques (comme la myocardite) que de les contracter à cause du Covid. “SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis”, medRxiv, 30 août 2021, Tracy Beth Hoeg ; Allison Krug ; Josh Stevenson & John Mandrola : https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.08.30.21262866v1
– Fin octobre 2021, de nombreuses études montraient qu’il n’y avait aucune corrélation entre le taux de vaccination et la diminution des cas Covid-19. “Increases in COVID-19 are unrelated to levels of vaccination across 68 countries and 2947 counties in the United States”, European Journal of Epidemiology, 2021 : https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7 ; même l’AFP ne l’a pas démenti tout en manipulant l’étude afin de faire croire que la vaccination reste malgré tout utile alors que le discours politique se servait de cette affirmation, – démentie par les données scientifiques et l’observation -, pour justifier la dictature sanitaire. Ce qui demeure hypothétique au mieux, – ou faux selon beaucoup de données -, c’est justement l’utilité ou les bénéfices de cette vaccination, qui n’est pas du tout observable ou démontrable même selon les chiffres officiels qui sont biaisés et orientés.
– D’après une étude publiée dans la revue scientifique Nature, nos anticorps nous protègent contre une réinfection au Covid-19 durant une période allant d’un 1 an et demi à 2 ans : « Après une infection au Covid-19, nos anticorps nous protègent contre une réinfection durant une période allant d’un an et demi à deux ans. De plus, ces anticorps aident à se prémunir des formes graves de la maladie durant plusieurs années. Ce sont les conclusions d’une étude britannique publiée le 29 octobre dernier dans la revue scientifique Nature. (…) Pour obtenir ces résultats, les chercheurs de l’université d’Oxford se sont basés sur les données médicales de 7256 Britanniques ayant obtenu un test PCR positif au Covid-19 entre le 26 avril 2020 et le 14 juin 2021. Ils ont utilisé l’enquête sur les infections COVID-19 (CIS) de l’Office for National Statistics (ONS), représentative de la population générale du Royaume-Uni. Ils montrent que dans les mois qui suivent l’infection, les anticorps anti-spike (une protéine qui permet au Covid-19 de pénétrer les cellules humaines) sont associés à une forte protection (…) ». “Covid-19 : Les anticorps post-infection confèrent une immunité de 18 à 24 mois”, BFMTV, 12 novembre 2021 : https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-les-anticorps-post-infection-conferent-une-immunite-de-18-a-24-mois_AN-202111120212.html
– Les médias mainstreams et les autorités politiques ont sciemment propagé des fakes news au sujet du Covid-19, puisqu’en 2020, et notamment en France, seulement 2% des hospitalisations étaient liées au Covid-19, 5% en réanimation : « Covid-19 : les quatre champs d’activité sanitaires impactés en 2020
En 2020, la crise sanitaire induite par la pandémie de Covid-19 a fortement impacté l’activité des établissements de santé. Les prises en charge hospitalières pour Covid-19 ont concerné les quatre champs sanitaires.
1 patient sur 4 hospitalisé pour Covid-19 en MCO a été pris en charge en unité de soins critiques
Près de 218 000 patients ont été hospitalisés en 2020 pour prise en charge de la Covid-19. Parmi eux, 85% ont été hospitalisés en MCO, 21% en SSR et 7% à domicile. Tous champs hospitaliers confondus, les prises en charge de la Covid-19 ont représenté plus de 4 millions de journées d’hospitalisation en 2020. En moyenne, ces patients ont été hospitalisés 18,7 journées au cours de l’année 2020. Près de 46 000 patients ont été pris en charge dans un service de soins critiques pour Covid-19, qu’il s’agisse d’un service de réanimation, de soins continus ou de soins intensifs ». “Analyse de l’activité hospitalière 2020 – Covid-19”, 28 octobre 2021 : https://www.atih.sante.fr/actualites/analyse-de-l-activite-hospitaliere-2020-covid-19
– Taïwan met fin à la vaccination de Pfizer (notamment la seconde dose) concernant les jeunes de 12 à 17 ans en raison des fortes préoccupations liées à la myocardite (et à d’autres problèmes), la balance bénéfice/risque n’étant pas en faveur du vaccin : « TAIPEI (Taiwan News) — Central Epidemic Command Center (CECC) head Chen Shih-chung (陳時中) said on Wednesday (Nov. 10) that a panel of experts has decided to suspend administering second doses of the Pfizer-BioNTech (BNT) COVID vaccine to children 12-17 years old amid concerns it may increase the risk of myocarditis.
Cases of myocarditis (inflammation of the heart muscle) and pericarditis (inflammation of the outer lining of the heart) have been reported after BNT vaccination of children between 12 and 17 years of age. According to U.S. statistics, the risk of youths experiencing myocarditis after receiving the second BNT dose is 10 times higher than after the first dose, CNA reported.
Some countries have adjusted their policies regarding administering COVID-19 vaccines to adolescents. For instance, Hong Kong has changed from two doses of BNT to only a single dose for those aged 12-17. The U.K. has done something similar, recommending only one shot for children between 12 and 18 years of age, per CNA.
Chen said that the Ministry of Health and Welfare’s Advisory Committee for Immunization Practices (ACIP) has decided to halt administration of second BNT doses to this age group for two weeks, during which time experts and Centers for Disease Control (CDC) physicians will look at the 16 cases of myocarditis among adolescents after BNT vaccination before making a final decision on whether to go ahead with the second shot.
International data will also be consulted before the final decision is made, the CECC head said, adding that currently, children between the ages of 12-17 are being vaccinated with two doses worldwide except in Hong Kong and the U.K.
As for whether COVID-19 vaccines will be approved for children aged 5-11, Chen said the matter will not be considered until the second dose issue with 12 to 17-year-olds is settled » (“Taiwan halts 2nd-dose BioNTech vaccinations for ages 12-17 amid concerns of myocarditis”, Taïwan News, 10 novembre 2021 : https://www.taiwannews.com.tw/en/news/4340862).
– Face à l’augmentation significative des cas graves et des effets secondaires, les médias mainstream et discours politiciens imputent cela au climat (qui servira à justifier l’incompétence des gouvernements et les dérives totalitaires, à camoufler les incidents liés à la vaccination, – alors qu’il y a clairement une corrélation entre la vaccination et l’augmentation des cas graves -, etc.). Ce n’est pas la faute des vaccins à ARNm…mais du climat maintenant ! Il ne faut pas tout mélanger, la pollution et les déséquilibres existent et engendrent des effets délétères, mais la vaccination (à base de vaccins à ARNm) en est aussi responsable.
– En novembre 2015, alerte de docteurs et de chercheurs sur la prochaine pandémie planifiée par l’OMS (déjà évoquée par l’OMS en 2020, avant qu’elle n’ait lieu) ! Le Dr. Morrissey, la Pr. Antonietta Gatti, le Pr. Stefano Montanari et le Dr. Roberto Petrella mettent en garde contre le virus de Marburg qui est la prochaine pandémie planifiée après le Covid-19 (manipulé en laboratoire), et servant de couverture pour ne pas admettre les nombreux morts et effets secondaires liés aux vaccins à ARNm selon plusieurs chercheurs et lanceurs d’alerte.
– Le cas de la Suède montre que le Covid-19 relève plus de la politique, de l’idéologie et de l’économie que de la santé (“Amélie Debey : “En Suède, c’est comme si le Covid n’avait jamais existé”, Sud Radio, 17 novembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=PY-ju_-btNA). Néanmoins, le 18 novembre 2021, le Premier Ministre Stefan Löfven, l’un des derniers résistants européens, a été poussé à la démission, car il refusait d’imposer des mesures politiques liberticides n’étant aucunement justifiées par la situation sanitaire et les données scientifiques. Désormais, c’est Magdalena Andersson qui le remplace, et très peu de temps après, elle a fini par annoncer qu’ils allaient mettre en place un passeport vaccinal alors que la Suède n’est pas confrontée à la crise.
– Les firmes pharmaceutiques n’hésitent pas à tuer des gens ou à les laisser mourir si cela n’est pas assez rentable pour eux sur le plan financier… : « Les chiffres sont alarmants et ne cessent d’augmenter. Nous sommes frappés par des pénuries de médicaments. Au palmarès de ceux-ci : des antibiotiques, des antihypertenseurs, des traitements contre le cancer ou la maladie de Parkinson. Tous sont des médicaments courants et essentiels aux patients. Une interruption de traitement peut nuire gravement à leur santé, voire les tuer. (…) Pourquoi ces ruptures d’approvisionnement à répétition de plus en plus aiguë ? Les causes sont plurielles : de notre dépendance aux substances actives produites à l’autre bout du monde, à la course à la rentabilité exacerbée, en passant par la défaillance des pouvoirs publics. Mais le plus interpellant encore, c’est lorsque certains grands laboratoires orchestrent sciemment la pénurie… Pour eux, la vie a un prix et la santé se monnaie au chantage (…) ». (“#Investigation : quand les firmes pharmaceutiques organisent la pénurie de leurs propres médicaments”, RTBF, 16 novembre 2021 : https://www.rtbf.be/info/dossier/investigation/detail_investigation-quand-les-firmes-pharmaceutiques-organisent-la-penurie-de-leurs-propres-medicaments?id=10876035).
– Le scandale est immense autour de Pfizer…Levée du double aveugle, mauvais suivi des effets secondaires, insuffisance des tests sur les patients symptomatiques, licenciements de scientifiques trop consciencieux et objectifs, falsifications de données, pratiques mafieuses et frauduleuses, … Comme par le passé, Pfizer est une nouvelle fois coupable de nombreux délits et crimes… : « 1/n Infos complémentaires sur les irrégularités dans les essais cliniques des vaccins, 2ème lien vidéo témoignage de Brianne Dresde, médecin et participante à l’essai clinique AZ aux US.
Prof. Peter C Gøtzsche (@PGtzsche1 – 3 novembre 2021) : « Pfizer’s COVID-19 vaccine trial: problems with blinding; harms seriously underreported; data falsified or left out https://bit.ly/2Y98QDE and https://bit.ly/3k0kM2v (a must see 9 min video). Report in New England Journal of Medicine was highly misleading https://bit.ly/3bBTV8f ». (https://twitter.com/PGtzsche1/status/1455787118693863428).
2/n Elle explique que les formulaires de recueil des EI étaient limitatifs, elle ne pouvait pas y noter la plupart de ses symptômes. Elle a été exclue de l’essai après la 1ere dose et son cas n’est pas rapporté dans l’essai.
3/n La FDA le CDC et le NIH leur ont fait des promesses non tenues et leur ont demander de faire les recherches sur le sujet.
4/4 Le NIH aurait évoqué une possible toxicité du spike comme explication aux EI des vaccins à ARNm ». (https://twitter.com/MartinFierro769/status/1455800926741143552).
Voir aussi Vaccines – Truth, Lies, and Controversy du Pr. Peter C. Gøtzsche, Skyhorse Publishing, juillet 2021 : « This book will help you navigate the bewildering and often contradictory flood of information about vaccines. There is substantial misinformation about vaccines on the Internet, particularly from those who reject all vaccines, but also from official sources, which are expected to be neutral and objective. Vaccines: Truth, Lies, and Controversy is based on the best available evidence, and Professor Peter S. Gøtzsche explains when and why we should not have confidence in the science and official recommendations. Some vaccines are so beneficial—and have saved millions of lives—that we should all get them; some are so poor that many healthcare professionals do not use them for themselves or their families; and some are in-between. We must evaluate carefully each vaccine, one by one, assessing the balance between its benefits and harms, just as we do for other drugs, and then form an opinion about whether we think the vaccine is worth getting or recommending to other people. Vaccines focuses on measles, influenza, COVID-19, and HPV, but discusses also childhood vaccination programs and whether mandatory vaccination can be justified. Raising critical questions to vaccines is essential because there are still many unresolved issues. For example, we know virtually nothing about what happens when we use many vaccines and what the long-term effects are on the immune system. Vaccines demystifies the controversial topic and helps the reader formulate their own opinion ». (https://www.skyhorsepublishing.com/9781510762190/vaccines/).
Voir aussi l’étude Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial, BMJ 2021; 375 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n2635 (Published 02 November 2021) Cite this as: BMJ 2021;375:n2635 (https://www.bmj.com/content/375/bmj.n2635) :
« Revelations of poor practices at a contract research company helping to carry out Pfizer’s pivotal covid-19 vaccine trial raise questions about data integrity and regulatory oversight. Paul D Thacker reports
In autumn 2020 Pfizer’s chairman and chief executive, Albert Bourla, released an open letter to the billions of people around the world who were investing their hopes in a safe and effective covid-19 vaccine to end the pandemic. “As I’ve said before, we are operating at the speed of science,” Bourla wrote, explaining to the public when they could expect a Pfizer vaccine to be authorised in the United States.1
But, for researchers who were testing Pfizer’s vaccine at several sites in Texas during that autumn, speed may have come at the cost of data integrity and patient safety. A regional director who was employed at the research organisation Ventavia Research Group has told The BMJ that the company falsified data, unblinded patients, employed inadequately trained vaccinators, and was slow to follow up on adverse events reported in Pfizer’s pivotal phase III trial. Staff who conducted quality control checks were overwhelmed by the volume of problems they were finding. After repeatedly notifying Ventavia of these problems, the regional director, Brook Jackson, emailed a complaint to the US Food and Drug Administration (FDA). Ventavia fired her later the same day. Jackson has provided The BMJ with dozens of internal company documents, photos, audio recordings, and emails.
Poor laboratory management
On its website Ventavia calls itself the largest privately owned clinical research company in Texas and lists many awards it has won for its contract work.2 But Jackson has told The BMJ that, during the two weeks she was employed at Ventavia in September 2020, she repeatedly informed her superiors of poor laboratory management, patient safety concerns, and data integrity issues. Jackson was a trained clinical trial auditor who previously held a director of operations position and came to Ventavia with more than 15 years’ experience in clinical research coordination and management. Exasperated that Ventavia was not dealing with the problems, Jackson documented several matters late one night, taking photos on her mobile phone. One photo, provided to The BMJ, showed needles discarded in a plastic biohazard bag instead of a sharps container box. Another showed vaccine packaging materials with trial participants’ identification numbers written on them left out in the open, potentially unblinding participants. Ventavia executives later questioned Jackson for taking the photos.
Early and inadvertent unblinding may have occurred on a far wider scale. According to the trial’s design, unblinded staff were responsible for preparing and administering the study drug (Pfizer’s vaccine or a placebo). This was to be done to preserve the blinding of trial participants and all other site staff, including the principal investigator. However, at Ventavia, Jackson told The BMJ that drug assignment confirmation printouts were being left in participants’ charts, accessible to blinded personnel. As a corrective action taken in September, two months into trial recruitment and with around 1000 participants already enrolled, quality assurance checklists were updated with instructions for staff to remove drug assignments from charts.
In a recording of a meeting in late September2020 between Jackson and two directors a Ventavia executive can be heard explaining that the company wasn’t able to quantify the types and number of errors they were finding when examining the trial paperwork for quality control. “In my mind, it’s something new every day,” a Ventavia executive says. “We know that it’s significant.”
Ventavia was not keeping up with data entry queries, shows an email sent by ICON, the contract research organisation with which Pfizer partnered on the trial. ICON reminded Ventavia in a September 2020 email: “The expectation for this study is that all queries are addressed within 24hrs.” ICON then highlighted over 100 outstanding queries older than three days in yellow. Examples included two individuals for which “Subject has reported with Severe symptoms/reactions … Per protocol, subjects experiencing Grade 3 local reactions should be contacted. Please confirm if an UNPLANNED CONTACT was made and update the corresponding form as appropriate.” According to the trial protocol a telephone contact should have occurred “to ascertain further details and determine whether a site visit is clinically indicated.”
Worries over FDA inspection
Documents show that problems had been going on for weeks. In a list of “action items” circulated among Ventavia leaders in early August 2020, shortly after the trial began and before Jackson’s hiring, a Ventavia executive identified three site staff members with whom to “Go over e-diary issue/falsifying data, etc.” One of them was “verbally counseled for changing data and not noting late entry,” a note indicates.
At several points during the late September meeting Jackson and the Ventavia executives discussed the possibility of the FDA showing up for an inspection (box 1). “We’re going to get some kind of letter of information at least, when the FDA gets here . . . know it,” an executive stated.
Box 1
A history of lax oversight
When it comes to the FDA and clinical trials, Elizabeth Woeckner, president of Citizens for Responsible Care and Research Incorporated (CIRCARE),3 says the agency’s oversight capacity is severely under-resourced. If the FDA receives a complaint about a clinical trial, she says the agency rarely has the staff available to show up and inspect. And sometimes oversight occurs too late.
In one example CIRCARE and the US consumer advocacy organisation Public Citizen, along with dozens of public health experts, filed a detailed complaint in July 2018 with the FDA about a clinical trial that failed to comply with regulations for the protection of human participants.4 Nine months later, in April 2019, an FDA investigator inspected the clinical site. In May this year the FDA sent the triallist a warning letter that substantiated many of the claims in the complaints. It said, “[I]t appears that you did not adhere to the applicable statutory requirements and FDA regulations governing the conduct of clinical investigations and the protection of human subjects.”5
“There’s just a complete lack of oversight of contract research organisations and independent clinical research facilities,” says Jill Fisher, professor of social medicine at the University of North Carolina School of Medicine and author of Medical Research for Hire: The Political Economy of Pharmaceutical Clinical Trials.
Ventavia and the FDA
A former Ventavia employee told The BMJ that the company was nervous and expecting a federal audit of its Pfizer vaccine trial.
“People working in clinical research are terrified of FDA audits,” Jill Fisher told The BMJ, but added that the agency rarely does anything other than inspect paperwork, usually months after a trial has ended. “I don’t know why they’re so afraid of them,” she said. But she said she was surprised that the agency failed to inspect Ventavia after an employee had filed a complaint. “You would think if there’s a specific and credible complaint that they would have to investigate that,” Fisher said.
In 2007 the Department of Health and Human Services’ Office of the Inspector General released a report on FDA’s oversight of clinical trials conducted between 2000 and 2005. The report found that the FDA inspected only 1% of clinical trial sites.6 Inspections carried out by the FDA’s vaccines and biologics branch have been decreasing in recent years, with just 50 conducted in the 2020 fiscal year.7
The next morning, 25 September 2020, Jackson called the FDA to warn about unsound practices in Pfizer’s clinical trial at Ventavia. She then reported her concerns in an email to the agency. In the afternoon Ventavia fired Jackson—deemed “not a good fit,” according to her separation letter.
Jackson told The BMJ it was the first time she had been fired in her 20 year career in research.
Concerns raised
In her 25 September email to the FDA Jackson wrote that Ventavia had enrolled more than 1000 participants at three sites. The full trial (registered under NCT04368728) enrolled around 44 000 participants across 153 sites that included numerous commercial companies and academic centres. She then listed a dozen concerns she had witnessed, including:
- Participants placed in a hallway after injection and not being monitored by clinical staff
- Lack of timely follow-up of patients who experienced adverse events
- Protocol deviations not being reported
- Vaccines not being stored at proper temperatures
- Mislabelled laboratory specimens, and
- Targeting of Ventavia staff for reporting these types of problems.
Within hours Jackson received an email from the FDA thanking her for her concerns and notifying her that the FDA could not comment on any investigation that might result. A few days later Jackson received a call from an FDA inspector to discuss her report but was told that no further information could be provided. She heard nothing further in relation to her report.
In Pfizer’s briefing document submitted to an FDA advisory committee meeting held on 10 December 2020 to discuss Pfizer’s application for emergency use authorisation of its covid-19 vaccine, the company made no mention of problems at the Ventavia site. The next day the FDA issued the authorisation of the vaccine.8
In August this year, after the full approval of Pfizer’s vaccine, the FDA published a summary of its inspections of the company’s pivotal trial. Nine of the trial’s 153 sites were inspected. Ventavia’s sites were not listed among the nine, and no inspections of sites where adults were recruited took place in the eight months after the December 2020 emergency authorisation. The FDA’s inspection officer noted: “The data integrity and verification portion of the BIMO [bioresearch monitoring] inspections were limited because the study was ongoing, and the data required for verification and comparison were not yet available to the IND [investigational new drug].”
Other employees’ accounts
In recent months Jackson has reconnected with several former Ventavia employees who all left or were fired from the company. One of them was one of the officials who had taken part in the late September meeting. In a text message sent in June the former official apologised, saying that “everything that you complained about was spot on.”
Two former Ventavia employees spoke to The BMJ anonymously for fear of reprisal and loss of job prospects in the tightly knit research community. Both confirmed broad aspects of Jackson’s complaint. One said that she had worked on over four dozen clinical trials in her career, including many large trials, but had never experienced such a “helter skelter” work environment as with Ventavia on Pfizer’s trial.
“I’ve never had to do what they were asking me to do, ever,” she told The BMJ. “It just seemed like something a little different from normal—the things that were allowed and expected.”
She added that during her time at Ventavia the company expected a federal audit but that this never came.
After Jackson left the company problems persisted at Ventavia, this employee said. In several cases Ventavia lacked enough employees to swab all trial participants who reported covid-like symptoms, to test for infection. Laboratory confirmed symptomatic covid-19 was the trial’s primary endpoint, the employee noted. (An FDA review memorandum released in August this year states that across the full trial swabs were not taken from 477 people with suspected cases of symptomatic covid-19.)
“I don’t think it was good clean data,” the employee said of the data Ventavia generated for the Pfizer trial. “It’s a crazy mess.”
A second employee also described an environment at Ventavia unlike any she had experienced in her 20 years doing research. She told The BMJ that, shortly after Ventavia fired Jackson, Pfizer was notified of problems at Ventavia with the vaccine trial and that an audit took place.
Since Jackson reported problems with Ventavia to the FDA in September 2020, Pfizer has hired Ventavia as a research subcontractor on four other vaccine clinical trials (covid-19 vaccine in children and young adults, pregnant women, and a booster dose, as well an RSV vaccine trial; NCT04816643, NCT04754594, NCT04955626, NCT05035212). The advisory committee for the Centers for Disease Control and Prevention is set to discuss the covid-19 paediatric vaccine trial on 2 November.
Footnotes
- Provenance and peer review: commissioned; externally peer reviewed.
- Competing interests: PDT has been doubly vaccinated with Pfizer’s vaccine.
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References
- ↵ Bourla A. An open letter from Pfizer chairman and CEO Albert Bourla. Pfizer. https://www.pfizer.com/news/hot-topics/an_open_letter_from_pfizer_chairman_and_ceo_albert_bourla.
- ↵ Ventavia. A leading force in clinical research trials. https://www.ventaviaresearch.com/company.
- ↵ Citizens for Responsible Care and Research Incorporated (CIRCARE). http://www.circare.org/corp.htm.
- ↵ Public Citizen. Letter to Scott Gottlieb and Jerry Menikoff. Jul 2018. https://www.citizen.org/wp-content/uploads/2442.pdf.
- ↵Food and Drug Administration. Letter to John B Cole MD. MARCS-CMS 611902. May 2021. https://www.fda.gov/inspections-compliance-enforcement-and-criminal-investigations/warning-letters/jon-b-cole-md-611902-05052021.
- ↵ Department of Health and Human Services Office of Inspector General. The Food and Drug Administration’s oversight of clinical trials. Sep 2007. https://www.oig.hhs.gov/oei/reports/oei-01-06-00160.pdf.
- ↵ Food and Drug Administration. Bioresearch monitoring. https://www.fda.gov/media/145858/download.
- ↵ FDA takes key action in fight against covid-19 by issuing emergency use authorization for first covid-19 vaccine. Dec 2020. https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-takes-key-action-fight-against-covid-19-issuing-emergency-use-authorization-first-covid-19 ».
Il se pourrait que, comme d’autres études et rapports critiques, – ces études soient censurées et supprimées sous la pression de Big Pharma.
Le média français indépendant, France Soir, a publié un article à sujet : « Une fraude de grande ampleur, impliquant la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Aministration (FDA), a été révélée hier par le British Medical Journal.
L’affaire commence à l’automne 2020
Pfizer opère “à la vitesse de la science” disait Albert Bourla en 2020, président directeur général de l’entreprise. Peut-être la science est-elle allée un peu vite, alors. Un directeur régional qui travaillait pour l’organisme de recherche Ventavia Research Group, a déclaré au British Medical Journal que la société Ventavia qui assurait les essais cliniques, avait falsifié des données, enlevé l’anonymat des profils, employé des vaccinateurs insuffisamment formés, et tardé à assurer le suivi des effets indésirables signalés dans l’essai pivot de phase III.
L’affaire dénoncée par le journaliste d’investigation Paul D Thacker pour le British Medical Journal, commence à l’automne 2020 alors que Pfizer emploie plusieurs sous-traitants pour effectuer des essais cliniques, qui s’effectuent sur 44 000 personnes et sur 153 sites dans le monde. Elle concerne trois sites de l’entreprise Ventavia au Texas. Pour certains chercheurs qui testent le vaccin de Pfizer sur ces sites, la rapidité a peut-être été obtenue au détriment de l’intégrité des données et de la sécurité des participants. Le personnel chargé des contrôles de qualité était submergé par le nombre de problèmes qu’il découvrait. Après avoir les avoir signalés à plusieurs reprises à Ventavia, la directrice régionale, Brook Jackson, a envoyé une plainte par courriel à la Food and Drug Administration (FDA).
Dans cette lettre, Mme Jackson a énuméré plusieurs problèmes dont elle avait été témoin :
En premier lieu, elle pointe l’absence de sérieux dans la manipulation des vaccins, qui ne sont pas conservés à la bonne température et mal étiquetés. Puis c’est l’absence de suivi des patients qui est dénoncée. Rappelant que toute personne signalant un effet secondaire doit être contactée dans les 24 heures, elle fait mention de plusieurs personnes qui ont effectué des signalements, mais qui n’ont jamais été recontactées par téléphone afin de déterminer si une visite sur le site était nécessaire.
Cette lettre mentionne également des employés, ciblés par Ventavia pour avoir signalé des problèmes.
Quelques heures après avoir envoyé sa lettre, Mme Jackson reçoit un courriel de la FDA, la remerciant de ses préoccupations et l’informant qu’elle ne pouvait pas faire de commentaires sur une éventuelle enquête. Le même jour, elle est licenciée par Ventavia.
Mais, l’affaire ne s’arrête pas là, puisque avant de partir, Mme Jackson a eu le temps d’emporter avec elle des dizaines de documents internes de l’entreprise, des photos prises avec son téléphone portable, des enregistrements audios et des courriels qu’elle a donnés au British Medical Journal.
Un manque de rigueur déconcertant
Des photos pour révéler les principales anomalies, comme des aiguilles jetées dans un sac en plastique au lieu d’une boîte réservée aux objets tranchants, ou des matériaux d’emballage de vaccins sur lesquels sont inscrits les numéros d’identification, soulevant le problème de l’anonymat des patients.
Dans un enregistrement d’une réunion tenue fin septembre 2020, entre Mme Jackson et deux directeurs, on peut entendre un cadre de Ventavia expliquer que la société n’est pas en mesure de quantifier les types et le nombre d’erreurs qu’elle constate lors de l’examen des documents de l’essai pour le contrôle de la qualité. “Dans mon esprit, il y a quelque chose de nouveau chaque jour”, dit le cadre de Ventavia. “Nous savons que c’est significatif”.
C’est également le problème de l’anonymat des participants qui n’est pas respecté, notamment parce que les imprimés de confirmation de l’attribution des médicaments étaient laissés dans les dossiers des participants par le personnel « non aveugle » chargé de l’administration du vaccin. Ainsi, les membres du personnel censé « être en aveugle » ont pu avoir accès aux dossiers. L’erreur a été corrigée deux mois plus tard, tandis que le retrait des affectations de médicaments des dossiers a été effectué alors que 1 000 participants étaient déjà inscrits.
Des problèmes qui ont été occultés pour la demande d’autorisation de mise sur le marché
Quelques semaines plus tard, Pfizer a soumis sa demande d’autorisation d’urgence à la FDA. La réunion qui s’est tenue le 10 décembre n’a fait aucune mention des problèmes rencontrés sur le site de Ventavia, et la FDA a délivré son feu vert dès le lendemain.
En août 2021, après l’autorisation complète du vaccin de Pfizer, la FDA a publié un résumé de ses inspections de l’essai pivot (phase III) de la société. Neuf des 153 sites de l’essai ont été inspectés. Les sites de Ventavia ne figuraient pas parmi les neuf, et aucune inspection des sites où des adultes ont été recrutés n’a eu lieu dans les huit mois qui ont suivi l’autorisation d’urgence de décembre 2020. Un agent d’inspection de la FDA a noté : « La partie relative à l’intégrité et à la vérification des données des inspections BIMO [surveillance de la recherche biologique] était limitée parce que l’étude était en cours et que les données requises pour la vérification et la comparaison n’étaient pas encore disponibles pour l’IND [investigational new drug]. »
Les témoignages se multiplient
Deux anciens employés de Ventavia ont également apporté un témoignage au “BMJ”, sous couvert d’anonymat, par crainte de représailles et de pertes de perspectives d’emploi dans le domaine de la recherche. Tous deux ont confirmés les allégations de Brooke Jackson.
L’une d’elles a déclaré qu’elle avait travaillé sur plus de 40 essais cliniques au cours de sa carrière, dont de nombreux essais de grande envergure, mais qu’elle n’avait jamais connu un environnement de travail aussi “désordonné” que celui de Ventavia pour l’essai de Pfizer. Selon cette employée, après le départ de Brook Jackson, les problèmes ont persisté à Ventavia. Parmi les principaux problèmes, il y avait aussi le nombre insuffisant d’employés pour effectuer des prélèvements. Or, la confirmation en laboratoire de la présence de symptômes de covid-19 était le principal critère d’évaluation de l’essai, a souligné l’employé.
Une deuxième employée a également décrit un environnement chez Ventavia “différent de tout ce qu’elle avait connu en 20 ans de recherche”. Elle a déclaré au BMJ que, peu après le licenciement de Mme Jackson, Pfizer a été informée des problèmes rencontrés par Ventavia dans le cadre de l’essai du vaccin, mais qu’aucun audit n’a été réalisé.
Ces révélations font l’effet d’une bombe et battent en brèche le récit d’essais menés avec une vitesse spectaculaire et inédite, sans rien concéder aux exigences de rigueur, de sécurité et d’intégrité scientifique. Elles éclairent aussi d’un jour nouveau la manière dont l’efficacité et la sûreté annoncées triomphalement par Pfizer et ses relais zélés n’ont pas été au rendez-vous “en vie réelle”. Les réactions (…ou l’absence de réaction) des autorités régulatrices, instances sanitaires, et de leurs relais médicaux et médiatiques, seront suivies avec attention et promettent d’être… éloquentes » (“”PfizerGate” ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer – Ventavia – FDA”, France Soir, 3 novembre 2021 : https://www.francesoir.fr/societe-sante/pfizer-gate-ventavia).
Un autre média, peu connu mais n’étant pas du tout perçu comme étant « critique » envers la politique gouvernementale, en a également parlé :
« Une enquête publiée le 2 novembre dans la revue médicale BMJ dénonce la falsification de données et des problèmes de sécurité lors de l’essai clinique du vaccin contre le Covid élaboré par Pfizer. Qui est la lanceuse d’alerte et quelles sont ses révélations ? Les détails du scandale du PfizerGate.
Une enquête publiée dans la revue médicale britannique British Medical Journal (BMJ) le 2 novembre 2021 met en lumière de potentielles falsifications de données et des problèmes de sécurité sur un des sites choisis par le laboratoire Pfizer pour mener ses essais cliniques du vaccin anti Covid Comirnaty®. Le scandale, relayé par les médias et largement partagé sur les réseaux sociaux comme Twitter, a été surnommé le PfizerGate. Quel est le point de départ de l’affaire ? Qui est la lanceuse d’alerte ? Que reproche-t-elle aux essais cliniques ? Quelles sont les preuves fournies ? Voici l’origine du scandale.
Quelle est l’origine du PfizerGate ?
Pour s’assurer de l’efficacité et de l’innocuité d’un vaccin, des essais cliniques sont obligatoirement menés sur des dizaines de milliers de personnes volontaires, généralement réparties en deux groupes (le premier groupe reçoit le vaccin, le deuxième groupe reçoit un placebo c’est-à-dire un produit sans effet). Aucun vaccin ne peut être commercialisé, et donc administré, sans la réalisation et les résultats positifs d’essais cliniques. Divisés en plusieurs phases, les essais cliniques sont réglementés et soumis à l’autorisation des autorités sanitaires (Agence européenne du médicament (EMA) pour l’Europe et Agence nationale du médicament (ANSM) pour la France) et à l’avis favorable d’un Comité de Protection de Personnes (CPP). L’essai clinique de phase 3 du vaccin Comirnaty® de Pfizer a débuté le 27 juillet 2020 et les résultats ont été publiés en décembre dans le New England Journal of Medicine. Pfizer était responsable de la conception et de la conduite de l’essai, de la collecte des données, de l’analyse des données, de l’interprétation des données et de la rédaction du manuscrit final. BioNTech était le sponsor de l’essai. L’essai a été mené sur 152 sites répartis dans le monde dont 130 aux Etats-Unis. Parmi ces sites dédiés à la recherche médicale, l’entreprise américaine née en 2013, Ventavia Research Group, Le témoignage d’une personne travaillant sur ce site soulèverait “de sérieuses questions sur l’intégrité des données et la surveillance réglementaire”, révèle le BMJ.
► Point de départ de l’affaire : en septembre 2020, la directrice régionale Brook Jackson de Ventavia Research Group a déclaré au BMJ que la société aurait falsifié des données, enlevé l’anonymat des patients, employé des “vaccinateurs insuffisamment formés” et “mis du temps” à suivre les événements indésirables signalés dans l’essai pivot de phase III de Pfizer (le dernier avant la commercialisation). Le personnel qui effectuait les contrôles de qualité aurait, selon ses dires, été submergé par le nombre de problèmes qu’ils trouvaient.
► Le 25 septembre 2020, après avoir informé à plusieurs reprises Ventavia de ces problèmes, la directrice régionale aurait envoyé une plainte par mail à la Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis, responsable de la protection de la santé publique en assurant l’innocuité, l’efficacité et la sécurité des médicaments, avant de se faire licencier le jour-même par Ventavia.
► Quelques heures plus tard, Brook Jackson a reçu une réponse de la FDA “la remerciant pour ses inquiétudes et l’informant que la FDA ne pouvait commenter aucune enquête qui pourrait en résulter”.
► Le 10 décembre 2020, dans le document d’information de Pfizer soumis à une réunion du comité consultatif de la FDA pour discuter de la demande d’autorisation de mise sur le marché du vaccin de Pfizer, le laboratoire n’a fait aucune mention de problèmes sur le site de Ventavia.
► Le 11 décembre 2020, la FDA a délivré l’autorisation du vaccin de Pfizer aux Etats-Unis.
Qui est la lanceuse d’alerte ?
La lanceuse d’alerte du scandale du PfizerGate est Brook Jackson, ex-directrice régionale de Ventavia, l’un des sous-traitants de Pfizer en charge des essais cliniques du vaccin contre le Covid-19. Pendant les deux semaines où elle était employée chez Ventavia en septembre 2020, la directrice a informé à plusieurs reprises ses supérieurs de la mauvaise gestion du laboratoire, des problèmes de sécurité des patients et des problèmes d’intégrité des données. Elle a été licenciée le 25 septembre 2020 par Ventavia “pour la première fois en 20 ans de carrière dans la recherche”, précise-t-elle au BMJ.
Vaccin Pfizer : effet secondaire, efficacité, que contient-il ?
Le vaccin Comirnaty de Pfizer-BioNTech est le plus administré en France contre le Covid. Selon l’Agence du médicament, le pourcentage d’effets indésirables serait de 0.07% en France. Composition, ARN, efficacité, delta, risque de myocardite reconnu, préparation, origine… Tout savoir.
Que reproche la lanceuse d’alerte ?
Dans son mail du 25 septembre à la FDA, Brook Jackson a énuméré une douzaine de pratiques douteuses dont elle aurait été témoin quand elle travaillait chez Ventavia, notamment :
Des participants placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique
Un manque de suivi en temps opportun des patients ayant subi des événements indésirables
Des écarts de protocole non signalés
Des vaccins n’étant pas conservés à des températures appropriées
Des échantillons de laboratoire mal étiquetés
Un manque d’employés pour écouvillonner tous les participants à l’essai qui ont signalé des symptômes.
Par ailleurs, deux anciens employés de Ventavia, témoignant de manière anonyme, auraient confirmé les déclarations de Brook Jackson. L’un d’entre eux aurait rapporté un environnement de travail “désordonné”. Après le licenciement de Brook Jackson, des problèmes auraient persisté chez Ventavia, selon ce même employé.
Quelles sont les preuves fournies par la lanceuse d’alerte ?
Ventavia n’ayant pas réagi à ces révélations, Brook Jackson a voulu récolter des preuves. Au total, Brook Jackson aurait fourni au BMJ des dizaines de documents internes à l’entreprise, des photos, des enregistrements audio et des e-mails. Parmi les documents collectés :
► Une photo montrant des aiguilles jetées dans un sac en plastique “à risque biologique” au lieu d’être placées dans une boîte spécialement dédiée aux objets tranchants.
► Un autre cliché montrant des matériaux d’emballage de vaccins avec les numéros d’identification des participants à l’essai écrits dessus et laissés à l’air libre, ce qui a potentiellement levé l’anonymat des participants.
► Un enregistrement d’une réunion qui a eu lieu fin septembre 2020 entre Brook Jackson et deux administrateurs, dans lequel on entendrait un cadre de Ventavia expliquer que l’entreprise n’était pas en mesure de quantifier les types et le nombre d’erreurs qu’ils trouvaient lors de l’examen des documents d’essai pour le contrôle qualité.
► Un email envoyé par ICON, l’organisation de recherche sous contrat avec laquelle Pfizer s’est associé à l’essai, montrant que Ventavia n’aurait pas suivi les requêtes de saisie de données. Plus de 100 requêtes concernant notamment deux réactions graves post-vaccinales auraient été laissées plusieurs jours en suspens.
Pour le moment, les autorités sanitaires, Ventavia et Pfizer n’ont pas encore réagi à ces révélations.
Source : Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial, BMJ, 2 novembre 2021 » (“C’est quoi le PfizerGate ?”, Le Journal des femmes, 3 novembre 2021 : https://sante.journaldesfemmes.fr/traitements-et-medicaments/2755863-pfizergate-scandale-bmj-twitter-brook-jackson-ventavia-vaccin-covid-pfizer/).
Les démissions à la tête de la FDA de Marion Gruber et Philip Krause sont probablement liées en vérité à ce genre de scandales, dont la PfizerGate : « (…) Décisions à venir sur la vaccination des enfants. Le Dr Marks, qui a notamment été l’architecte de la campagne de vaccination conduite par Donald Trump, va devoir à présent rétablir la confiance dans cette institution tourmentée, alors qu’une ancienne pointure de l’agence, le scientifique de renom Jesse Goodman, a qualifié son arrivée précipitée à la tête du bureau de «particulièrement inhabituelle et préoccupante» , sommant la FDA de s’expliquer de ce mouvement susceptible «d’éroder la confiance» dans l’administration, comme le rapporte le New York Times. « Le Dr Gruber et le Dr Krause sont les deux personnes les plus compétentes en matière de vaccins au sein de la FDA, et l’agence devrait faire tout son possible pour les impliquer dans toutes les décisions importantes concernant ces sujets » a ajouté l’ancien directeur scientifique de l’agence. D’autres anciens, à l’instar du Dr Borio (en poste sous Obama), ont regretté que la direction du bureau des vaccins ne soit pas confiée à un membre de l’équipe. (…) En quelques mois, ce ne sont pas moins de 7 scientifiques renommés qui ont démissionné de la FDA (…) ». (“En quelques mois, ce ne sont pas moins de sept scientifiques renommés qui ont démissionné de la FDA”, Le Figaro, 29 septembre 2021 : https://www.lefigaro.fr/sciences/vaccins-fronde-interne-et-transition-precipitee-chez-le-regulateur-americain-20210929). Ces démissions sont liées à la corruption généralisée de la FDA, où la politique et les intérêts financiers de Big Pharma l’emportent souvent sur la santé des citoyens et la science, et la question de ces vaccins est également concernée par cette « corruption ».
– Selon un rapport du Lancet (du 20 novembre 2021) les vaccinés continuent de jouer un rôle considérable dans la transmission du Covid-19, impliquant de ce fait l’absence de fondement pour stigmatiser et critiquer les non-vaccinés : « In the USA and Germany, high-level officials have used the term pandemic of the unvaccinated, suggesting that people who have been vaccinated are not relevant in the epidemiology of COVID-19. Officials’ use of this phrase might have encouraged one scientist to claim that “the unvaccinated threaten the vaccinated for COVID-19”.1 But this view is far too simple. There is increasing evidence that vaccinated individuals continue to have a relevant role in transmission. In Massachusetts, USA, a total of 469 new COVID-19 cases were detected during various events in July, 2021, and 346 (74%) of these cases were in people who were fully or partly vaccinated, 274 (79%) of whom were symptomatic. Cycle threshold values were similarly low between people who were fully vaccinated (median 22·8) and people who were unvaccinated, not fully vaccinated, or whose vaccination status was unknown (median 21·5), indicating a high viral load even among people who were fully vaccinated.2 In the USA, a total of 10 262 COVID-19 cases were reported in vaccinated people by April 30, 2021, of whom 2725 (26·6%) were asymptomatic, 995 (9·7%) were hospitalised, and 160 (1·6%) died.3 In Germany, 55·4% of symptomatic COVID-19 cases in patients aged 60 years or older were in fully vaccinated individuals,4 and this proportion is increasing each week. In Münster, Germany, new cases of COVID-19 occurred in at least 85 (22%) of 380 people who were fully vaccinated or who had recovered from COVID-19 and who attended a nightclub.5 People who are vaccinated have a lower risk of severe disease but are still a relevant part of the pandemic. It is therefore wrong and dangerous to speak of a pandemic of the unvaccinated. Historically, both the USA and Germany have engendered negative experiences by stigmatising parts of the population for their skin colour or religion. I call on high-level officials and scientists to stop the inappropriate stigmatisation of unvaccinated people, who include our patients, colleagues, and other fellow citizens, and to put extra effort into bringing society together. (…) » (https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)02243-1/fulltext?rss=yes), néanmoins les chiffres pris dans leur ensemble et en éliminant les différents biais ne permettent pas du tout de conclure que les vaccins anti-Covid réduisent vraiment les formes graves, puisque beaucoup de vaccinés sont décédés du Covid ou ont été hospitalisés, parfois dans des proportions supérieures aux non-vaccinés. Dans les hospitalisations Covid, ils excluent parfois les doublements vaccinés en les imputant à des embolies pulmonaires (partant du postulat frauduleux que ça ne peut pas être le Covid s’ils sont vaccinés) mais pas pour les non-vaccinés. Quant aux vaccinés de moins de 14 jours, ils les classent parmi les non-vaccinés comme nous l’avions déjà démontré (voir le rapport du mois d’août émanant du CDC dans leur façon de classer les vaccinés et les non-vaccinés).
–
La protéine spike (et donc ici les vaccins à ARNm anti-Covid) serait impliquée dans un processus favorisant le développement des cancers… :
« Novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) is the biggest threat to human being globally. The first case was identified in a patient with flu symptoms along with severe acute respiratory syndrome in Wuhan, China in December 2019 and now it has spread in more than 200 countries. COVID-19 is more lethal in the elderly and people with an underlying condition such as asthma, cancer, diabetes. Here we performed bioinformatic analysis to investigate the interaction of S2 subunit protein of SARS-nCoV-2 of novel coronavirus with tumor suppressor proteins p53 and BRCA-1/2. In this short communication we report the interaction between S2 subunit proteins with tumor suppressor proteins for the first time. This preliminary result will open up a new direction to investigate the effect of a novel coronavirus in cancer patients » (Nishant Singh and Anuradha Bharara Singh, “S2 Subunit of SARS-nCoV-2 Interacts with Tumor Suppressor Protein p53 and BRCA: an In Silico Study” PMC, octobre 2020 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7324311/
« Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS–CoV–2) has led to the coronavirus disease 2019 (COVID–19) pandemic, severely affecting public health and the global economy. Adaptive immunity plays a crucial role in fighting against SARS–CoV–2 infection and directly influences the clinical outcomes of patients. Clinical studies have indicated that patients with severe COVID–19 exhibit delayed and weak adaptive immune responses; however, the mechanism by which SARS–CoV–2 impedes adaptive immunity remains unclear. Here, by using an in vitro cell line, we report that the SARS–CoV–2 spike protein significantly inhibits DNA damage repair, which is required for effective V(D)J recombination in adaptive immunity. Mechanistically, we found that the spike protein localizes in the nucleus and inhibits DNA damage repair by impeding key DNA repair protein BRCA1 and 53BP1 recruitment to the damage site. Our findings reveal a potential molecular mechanism by which the spike protein might impede adaptive immunity and underscore the potential side effects of full-length spike-based vaccines » (Hui Jiang and Ya-Fang Mei, “SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro”, PubMed, 13 octobre 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34696485/ et https://www.mdpi.com/1999-4915/13/10/2056/htm).
– Le Dr. Peter Doshi (professeur et éditeur associé du prestigieux British Medical Journal – BMJ -), au début du mois de novembre 2021, démontrait que les vaccins à ARNm n’avaient pas réduit le nombre de morts liés au Covid-19, et que les études qui affirmaient cela étaient biaisées et très peu rigoureuses.
Et dans une étude intitulée Will covid-19 vaccines save lives? Current trials aren’t designed to tell us du 21 octobre 2020 et publié par le British Medical Journal , les irrégularités et l’inanité des affirmations relayées par Big Pharma étaient déjà soulevées, – et depuis, les faits confirment l’inefficacité des vaccins à ARNm sur le virus et par contre, les dangers et risques pour les gens vaccinés -.
« The world has bet the farm on vaccines as the solution to the pandemic, but the trials are not focused on answering the questions many might assume they are. Peter Doshi reports
As phase III trials of covid-19 vaccines reach their target enrolments, officials have been trying to project calm. The US coronavirus czar Anthony Fauci and the Food and Drug Administration leadership have offered public assurances that established procedures will be followed.1234 Only a “safe and effective” vaccine will be approved, they say, and nine vaccine manufacturers issued a rare joint statement pledging not to prematurely seek regulatory review.5
But what will it mean exactly when a vaccine is declared “effective”? To the public this seems fairly obvious. “The primary goal of a covid-19 vaccine is to keep people from getting very sick and dying,” a National Public Radio broadcast said bluntly.6
Peter Hotez, dean of the National School of Tropical Medicine at Baylor College of Medicine in Houston, said, “Ideally, you want an antiviral vaccine to do two things . . . first, reduce the likelihood you will get severely ill and go to the hospital, and two, prevent infection and therefore interrupt disease transmission.”7
Yet the current phase III trials are not actually set up to prove either (table 1). None of the trials currently under way are designed to detect a reduction in any serious outcome such as hospital admissions, use of intensive care, or deaths. Nor are the vaccines being studied to determine whether they can interrupt transmission of the virus.
Evaluating mild, not severe, disease
In a September interview Medscape editor in chief Eric Topol pondered what counts as a recorded “event” in the vaccine trials. “We’re not talking about just a PCR [polymerase chain reaction test]-positive mild infection. It has to be moderate to severe illness to qualify as an event, correct?” he asked.8
“That’s right,” concurred his guest, Paul Offit, a vaccinologist who sits on the FDA advisory committee that may ultimately recommend the vaccines for licence or emergency use authorisation.
But that’s not right. In all the ongoing phase III trials for which details have been released, laboratory confirmed infections even with only mild symptoms qualify as meeting the primary endpoint definition.9101112 In Pfizer and Moderna’s trials, for example, people with only a cough and positive laboratory test would bring those trials one event closer to their completion. (If AstraZeneca’s ongoing UK trial is designed similarly to its “paused” US trial for which the company has released details, a cough and fever with positive PCR test would suffice.)
Part of the reason may be numbers. Severe illness requiring hospital admission, which happens in only a small fraction of symptomatic covid-19 cases, would be unlikely to occur in significant numbers in trials. Data published by the US Centers for Disease Control and Prevention in late April reported a symptomatic case hospitalisation ratio of 3.4% overall, varying from 1.7% in 0-49 year olds and 4.5% in 50-64 year olds to 7.4% in those 65 and over.13 Because most people with symptomatic covid-19 experience only mild symptoms,14 even trials involving 30 000 or more patients would turn up relatively few cases of severe disease.
In the trials, final efficacy analyses are planned after just 150 to 160 “events,”—that is, a positive indication of symptomatic covid-19, regardless of severity of the illness.
Yet until vaccine manufacturers began to release their study protocols in mid-September, trial registries and other publicly released information did little to dispel the notion that it was severe covid-19 that the trials were assessing. Moderna, for example, called hospital admissions a “key secondary endpoint” in statements to the media.15 And a press release from the US National Institutes of Health reinforced this impression, stating that Moderna’s trial “aims to study whether the vaccine can prevent severe covid-19” and “seeks to answer if the vaccine can prevent death caused by covid-19.”16
But Tal Zaks, chief medical officer at Moderna, told The BMJ that the company’s trial lacks adequate statistical power to assess those outcomes. “The trial is precluded from judging [hospital admissions], based on what is a reasonable size and duration to serve the public good here,” he said.
Hospital admissions and deaths from covid-19 are simply too uncommon in the population being studied for an effective vaccine to demonstrate statistically significant differences in a trial of 30 000 people. The same is true of its ability to save lives or prevent transmission: the trials are not designed to find out.
Zaks said, “Would I like to know that this prevents mortality? Sure, because I believe it does. I just don’t think it’s feasible within the timeframe [of the trial]—too many would die waiting for the results before we ever knew that.”
Stopping transmission
What about Hotez’s second criterion, interrupting virus transmission, which some experts have argued17 should be the most important test in phase III studies?
“Our trial will not demonstrate prevention of transmission,” Zaks said, “because in order to do that you have to swab people twice a week for very long periods, and that becomes operationally untenable.”
He repeatedly emphasised these “operational realities” of running a vaccine trial. “Every trial design, especially phase III, is always a balancing act between different needs,” he said. “If you wanted to have an answer on an endpoint that happens at a frequency of one 10th or one fifth the frequency of the primary endpoint, you would need a trial that is either 5 or 10 times larger or you’d need a trial that is 5 or 10 times longer to collect those events. Neither of these, I think, are acceptable in the current public need for knowing expeditiously that a vaccine works.”
Zaks added, “A 30 000 [participant] trial is already a fairly large trial. If you’re asking for a 300 000 trial then you need to talk to the people who are paying for it, because now you’re talking about not a $500m to $1bn trial, you’re talking about something 10 times the size. And I think the public purse and operational capabilities and capacities we have are rightly spent not betting the farm on one vaccine but, as Operation Warp Speed [the US government’s covid-19 vaccine plan] is trying to do, making sure that we’re funding several vaccines in parallel.”
Debating endpoints
Still, it’s fair to say that most of the general public assumes that the whole point of the current trials, besides testing safety (box 1), is to see whether the vaccine can prevent bad outcomes. “How do you reconcile that?” The BMJ asked Zaks.
Box 1
Safety and side effects
History shows many examples of serious adverse events from vaccines brought to market in periods of enormous pressure and expectation. There were contaminated polio vaccines in 1955, cases of Guillain-Barré syndrome in recipients of flu vaccines in 1976, and narcolepsy linked to one brand of influenza vaccine in 2009.1819
“Finding severe rare adverse events will require the study of tens of thousands of patients, but this requirement will not be met by early adoption of a product that has not completed its full trial evaluation,” Harvard drug policy researchers Jerry Avorn and Aaron Kesselheim recently wrote in JAMA.20
Covid-19 vaccine trials are currently designed to tabulate final efficacy results once 150 to 160 trial participants develop symptomatic covid-19—and most trials have specified at least one interim analysis allowing for the trials to end with even fewer data accrued.
Medscape’s Eric Topol has been a vocal critic of the trials’ many interim analyses. “These numbers seem totally out of line with what would be considered stopping rules,” he says. “I mean, you’re talking about giving a vaccine with any of these programmes to tens of millions of people. And you’re going to base that on 100 events?”8
Great uncertainty remains over how long a randomised trial of a vaccine will be allowed to proceed. If efficacy is declared, one possibility is that the thousands of volunteers who received a saline placebo would be offered the active vaccine, in effect ending the period of randomised follow-up. Such a move would have far reaching implications for our understanding of vaccines’ benefits and harms, rendering uncertain our knowledge of whether the vaccines can reduce the risk of serious covid-19 disease and precluding any further ability to compare adverse events in the experimental versus the placebo arm.
“It’ll be a decision we’ll have to take at that time. We have not committed one way or another,” Moderna’s Tal Zaks told The BMJ. “It will be a decision where FDA and NIH will also weigh in. And it will be probably a very difficult decision, because you will be weighing the benefit to the public in continuing to understand the longer term safety by keeping people on placebo and the expectation of the people who have received placebo to be crossed over now that it has been proved effective.”
“Very simply,” he replied. “Number one, we have a bad outcome as our endpoint. It’s covid-19 disease.” Moderna, like Pfizer and Janssen, has designed its study to detect a relative risk reduction of at least 30% in participants developing laboratory confirmed covid-19, consistent with FDA and international guidance.2122
Number two, Zaks pointed to influenza vaccines, saying they protect against severe disease better than mild disease. To Moderna, it’s the same for covid-19: if its vaccine is shown to reduce symptomatic covid-19, it will be confident it also protects against serious outcomes.
But the truth is that the science remains far from clear cut, even for influenza vaccines that have been used for decades. Although randomised trials have shown an effect in reducing the risk of symptomatic influenza, such trials have never been conducted in elderly people living in the community to see whether they save lives.
Only two placebo controlled trials in this population have ever been conducted, and neither was designed to detect any difference in hospital admissions or deaths.23 Moreover, dramatic increases in use of influenza vaccines has not been associated with a decline in mortality (box 2).26
Box 2
Not enrolling enough elderly people or minorities
A vaccine that has been proved to reduce the risk of symptomatic disease by a certain proportion should, you might think, reduce serious outcomes such as hospital admissions and deaths in equal proportion.
Peter Marks, an FDA official with responsibility over vaccine approvals, recently stated as much about influenza vaccination, which “only prevents flu in about half the people who get it. And yet that’s very important because that means that it leads to half as many deaths related to influenza each year.”24
But when vaccines are not equally effective in all populations the theory breaks down.
If frail elderly people, who are understood to die in disproportionate numbers from both influenza25 and covid-19, are not enrolled into vaccine trials in sufficient numbers to determine whether case numbers are reduced in this group, there can be little basis for assuming any benefit in terms of hospital admissions or mortality. Whatever reduction in cases is seen in the overall study population (most of which may be among healthy adults), this benefit may not apply to the frail elderly subpopulation, and few lives may be saved.
This is hard to evaluate in the current trials because there are large gaps in the types of people being enrolled in the phase III trials (table 1). Despite recruiting tens of thousands, only two trials are enrolling children less than 18 years old. All exclude immunocompromised people and pregnant or breastfeeding women, and though the trials are enrolling elderly people, few or perhaps none of the studies would seem to be designed to conclusively answer whether there is a benefit in this population, despite their obvious vulnerability to covid-19.
“Adults over 65 will be an important subgroup that we will be looking at,” Moderna’s Zaks told The BMJ. “That said . . . any given study is powered for its primary endpoint—in our case covid-19 disease irrespective of age.”
Al Sommer, dean emeritus of the Johns Hopkins School of Public Health, told The BMJ, “If they have not powered for evidence of benefit in the elderly, I would find that a significant, unfortunate shortcoming.” He emphasised the need for “innovative follow-up studies that will enable us to better determine the direct level of protection immunisation has on the young and, separately, the elderly, in addition to those at the highest risk of severe disease and hospitalisation.”
One view is that trial data should be there for all target populations. “If we don’t have adequate data in the greater than 65 year old group, then the greater than 65 year old person shouldn’t get this vaccine, which would be a shame because they’re the ones who are most likely to die from this infection,” said vaccinologist Paul Offit.8 “We have to generate those data,” he said. “I can’t see how anybody—the Data and Safety Monitoring Board or the FDA Vaccine Advisory Committee, or FDA decision-makers—would ever allow a vaccine to be recommended for that group without having adequate data.”
“I feel the same way about minorities,” Offit added. “You can’t convince minority populations to get this vaccine unless they are represented in these trials. Otherwise, they’re going to feel like they’re guinea pigs, and understandably so.”
Acknowledgments
Sarah Tanveer helped research the design of studies and identify quotations, and Ulrich Keil provided comments on an early draft of this article.
Footnotes
- Competing interests: I co-wrote an op-ed on this topic with Eric Topol, who is quoted in this article, I have been pursuing the public release of vaccine trial protocols, and I co-signed an open letter to the FDA calling for independence and transparency in covid-19 vaccine related decision making.
- Provenance and peer review: Commissioned; externally peer reviewed.
This article is made freely available for use in accordance with BMJ’s website terms and conditions for the duration of the covid-19 pandemic or until otherwise determined by BMJ. You may use, download and print the article for any lawful, non-commercial purpose (including text and data mining) provided that all copyright notices and trade marks are retained.
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(Will covid-19 vaccines save lives? Current trials aren’t designed to tell us, BMJ 2020; 371 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.m4037 ; Published 21 October 2020 : https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4037
En effet, malgré une meilleure connaissance du Covid-19 et de meilleurs soins, en août 2021, la vaccination massive n’avait pas empêché les israéliens vaccinés de mourir du Covid, et a dépassé même le nombre de morts liés à la première vague de 2020 (Source : Our World in Data, août 2021, Daly New confirmed COVID-19 deaths, Israël).
Pour justifier l’efficacité vaccinale, la propagande « pro-vax » se fonde sur des calculs à la fois grotesques et truqués. Ils prennent une situation particulière et restreinte pour extrapoler, en évinçant tous les autres facteurs, en plus de répandre des fakes news, comme dans l’article du 5 novembre 2021 publié par la RTBF : « (…) Au total, dans la tranche des personnes âgées de 18 à 64 ans, on a jusqu’à neuf fois moins d’hospitalisations chez les personnes vaccinées. Parmi les patients hospitalisés de moins de 55 ans, note Pedro Facon, on compte davantage de personnes non vaccinées. Pour celles et ceux âgés entre 65 et 84 ans, c’est trois fois moins d’hospitalisations si on a reçu ses deux piqûres (…) ». Or les chiffres réels sont tout autre, puisque 70% des hospitalisés Covid sont doublement vaccinés en moyenne en Belgique, et notamment en Flandre : « Jusqu’à 70% des patients qui se trouvent dans les hôpitaux flamands à cause d’une infection au Covid-19 ont été totalement vaccinés. Le chiffre a été relayé par le ministre de la Santé publique, Frank Vandenbroucke (Vooruit), lors de la commission de la Santé. (…) » (“70 % des Flamands hospitalisés pour cause de Covid sont vaccinés, mais les vaccins fonctionnent bel et bien”, VRT, 30 octobre 2021 : https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/10/30/70-des-flamands-hospitalises-pour-cause-de-covid-sont-vaccines/), et dans les 30%, certains sont primo-vaccinés. Or, en suivant le même raisonnement, il faudrait alors en conclure que le vaccin empire la situation et qu’il y a plus de chances de contracter une forme grave du virus si l’on se fait « vacciner », mais les choses sont évidemment plus complexes. Le reste de l’article est soumis aux pressions de l’UE et de l’OMS pour justifier coûte que coûte la « nécessité vaccinale » alors que les chiffres ne vont pas du tout dans ce sens, et que les explications/excuses fournies sont soit erronées, soit biaisées ou fortement hypothétiques. L’échantillon est trop ridicule que pour pouvoir affirmer l’efficacité du vaccin, sachant que si leurs prédictions et affirmations étaient « vraies », à savoir que le vaccin est « 9 fois plus efficace » que de ne pas être vacciné, on aurait compté bien plus de morts ou de personnes non-vaccinées hospitalisés pour causes du Covid, ce qui n’est pas du tout le cas, et ce, peu importe si 1% ou 99, 99% de la population était totalement (doublement au moins) vaccinée. Il faut aussi par ailleurs, prendre en compte de nombreux paramètres : présence ou non de facteurs de comorbidités, état général du patient ou de la personne hospitalisée, qualité de la prise en charge médicale et du traitement donné aux patients, la période (rapide ou non) de la prise en charge, etc. En effet, par exemple, là où en Flandre on compte bien plus de vaccinés qu’en région bruxelloise, la plupart des patients Covid sont dans les 2 cas des personnes doublement vaccinées ou primo-vaccinées, alors que l’on a quand même des proportions différentes de personnes vaccinées… Cependant, ce que nous montre bien la vaccination, c’est qu’à elle seule, elle demeure incapable de réduire la contamination et la transmission et qu’elle ne protège pas efficacement du virus (ni la contamination et la transmission, ni les formes légères ni les formes graves, ni même de mourir du Covid), ce qui réfute totalement la propagande politique autour de la « vaccination » pour culpabiliser les non-vaccinés. Beaucoup de vaccinés se montrent d’ailleurs bien plus fragiles face au virus et à ses variants que des non-vaccinés, ce qui devrait nous interroger… La plupart des non-vaccinés n’étant pas hospitalisés ou décédés du Covid, on ne peut donc pas attribuer au vaccin une efficacité quelconque sachant que les non-vaccinés sont aussi préservés des formes graves ou des décès pour la plupart d’entre eux. Avec le même tableau comparatif, entre la 1ère vague et novembre 2020 (juste avant la vaccination massive) on voit que le nombre de décès, d’hospitalisations et de contaminations avait considérablement chuté avant la vaccination, or la « non-vaccination » est corrélée avec des résultats différents selon les périodes, tout comme pour le cas de la vaccination. Or, après la vaccination massive, on a enregistré une augmentation significative de décès, de contaminations et d’hospitalisations, où de nombreux vaccinés et primo-vaccinés ont payé le prix lourd. On sait aussi désormais que le vaccin n’empêche nullement la transmission et la contamination (selon les scientifiques les plus sérieux, cela va de 0 à 30% maximum d’efficacité seulement) et on sait aussi que de nombreux non-vaccinés (surtout ceux qui bénéficient d’une bonne immunité naturelle) contaminent et transmettent moins le virus que les vaccinés. Faut-il aussi rappeler qu’à l’heure où aucun pays n’était vacciné, on observait déjà de fortes disparités parmi les hospitalisations, contaminations et décès liés au Covid ? Donc sortir des chiffres en les décontextualisant comme le font beaucoup de « pro-vax », tout en écartant les pays fortement vaccinés qui connaissent une hausse des cas et des décès, et en excluant aussi les pays pas ou peu vaccinés qui connaissent moins de décès et d’hospitalisations est plus que malhonnête comme procédé, sachant qu’il faut voir les concentrations de densité humaine, les mesures d’hygiène, les cas de comorbidités, le régime alimentaire, l’état de santé général, la qualité des soins, l’activité sportive, etc. qui ont une incidence sur le résultat final. L’expert Christian Perrone, sur CNEWS le 21 novembre 2021 l’avait également bien démontré : https://www.youtube.com/watch?v=bj6PcWBgVN4
Dans l’émission Interdit d’interdire – 5ème vague : la faute aux non-vaccinés ? diffusée sur Russia Today le 22 novembre 2021 https://www.youtube.com/watch?v=vtrh26axLA0 ; faisant intervenir le spécialiste en virologie et en génomique Jean-Michel Claverie et l’épidémiologiste Antoine Flahaut, il faut dire que les affirmations de Jean-Michel Claverie étaient soutenues par des études très sérieuses, tandis que plusieurs assertions de A. Flahaut étaient quant à elles, complètement infirmées ou mises à mal (selon les cas) par les observations et données scientifiques. Il avait néanmoins raison lorsqu’il parle de l’erreur de discriminer les gens sur cette crise, mais se trompe sur beaucoup d’autres points (aux Etats-Unis, sur les 700 enfants décédés, aucune analyse poussée n’a identifié le Covid-19 comme étant la cause certaine ou fortement probable et principale des décès, dont beaucoup présentaient des comorbidités importantes). Par ailleurs, de nombreux enfants et jeunes de moins de 15 ans (aux Etats-Unis et en Europe) ont été vaccinés, et on dénombre bien des décès, des cas de myocardites, des convulsions, des cas de cécité ou de problèmes graves affectant la vue, l’audition, les capacités cognitives, etc. donc non, ces vaccins ne sont pas sûrs, et encore moins lorsque ce virus n’affecte que très peu les enfants en bonne santé et que même sur les personnes ayant des comorbidités, ces vaccins ne présentent pas une très bonne efficacité…Il soulève toutefois, et à juste titre, l’importance d’une bonne aération et ventilation dans les endroits clos, qui peut diminuer jusqu’à 95% les contaminations (selon plusieurs études sérieuses), mais où les gouvernements européens sont à la traine de ce point de vue-là. Quant aux enfants, les données scientifiques soutiennent la position de Jean-Michel Claverie, puisque selon les données recensées sous-évaluées (qui peuvent ne représenter qu’1% de la totalité des cas), les enfants présentent déjà plus de risques (sur le court et long termes) en se faisant vacciner qu’en contractant le virus avec des formes graves.
Exemple de supercherie d’un « médecin » (Bruno Mégarbane) dont on sait être payé par Big Pharma. Ce médecin est-il fou ?
Il dit que le confinement permet d’éviter les contaminations et les morts, mais quand on lui dit qu’en Afrique le Covid fait très peu de dégâts, il dit que c’est parce qu’ils vivent en plein air, qu’ils sont jeunes, et sans trop de comorbidités… Il dit que l’on peut guérir du Covid en 3 jours avec de l’eau sucrée (en réponse à l’économiste à Philippe Herlin qui disait avoir été guéri du Covid en prenant de l’ivermectine, dont les études convergent toutes pour établir son efficacité), donc à quoi bon prendre le vaccin, sachant que de nombreux vaccinés sont décédés tout de même du Covid, d’autres (très nombreux aussi) sont décédés du vaccin, et d’autres encore qui font tout de même des formes graves ou des formes légères ? Et si l’on sait que le vaccin ne préserve pas du tout des formes légères, comment établir son efficacité sur les formes graves alors qu’il ne présente aucune efficacité réelle contre les formes légères (d’ailleurs dans les études de Pfizer, comme rapportées par Vidal en décembre 2020, le vaccin présentait théoriquement qu’une efficacité contre les formes légères, – ce que l’on sait faux avec du recul – et aucune efficacité significative sur les formes graves) …
Il dit que la plupart des personnes décédées en France du Covid sur les 120 000 français n’avaient pas de comorbidités, alors que toutes les études sérieuses ainsi que les experts disent l’inverse.
Quand on lui demande si le chiffre de 5 millions décès covid est sous-estimé, il répond par l’affirmative en s’empressant de rajouter : “on peut même mettre plusieurs 0 après” ce qui veut dire entre 50 millions et 5 milliards (alors que l’on sait que ce n’est pas du tout le cas).
Et il ment car à Paris dans les hôpitaux, beaucoup sont des vaccinés dans les hospitalisations Covid. Tout comme on sait que de nombreux patients décédés Covid ne l’ont pas été du Covid mais bien d’autres facteurs, c’est juste qu’ils avaient été testés Covid (parfois même sans les tester !) même s’ils étaient asymptomatiques.
Sur l’immunité naturelle (sans aucune dose vaccinale) des études ont fait état d’une efficacité plus efficace (6 à 10 fois plus efficace selon les études et les experts) que la vaccination…
Ensuite pour les formes graves et les formes légères du Covid parmi les vaccinés, cela reste assez important ce souligne l’inefficacité du vaccin puisque de nombreux non-vaccinés sont asymptomatiques ou font aussi les mêmes formes légères que les vaccinés, et on le voit bien avant la vaccination, même les variants les plus virulents ne causaient pas la mort ou de complications très graves pour la grande majorité des gens (donc aucun n’était vacciné à l’époque)…On constate d’ailleurs parfois plus d’hospitalisations Covid depuis la vaccination que durant les périodes précédent la vaccination (comme aux Etats-Unis, en Israël, en Australie, au Royaume-Uni, etc.).
Enfin, les experts soulignent tous qu’ils n’avaient jamais enregistré autant de décès et d’effets secondaires imputables aux “vaccins” que pour ces vaccins à ARNm, dépassant de très loin tous les chiffres liés aux vaccins de ces 30 dernières années…
Bref, un (mauvais) joueur de flûte…
Covid-19 : la vaccination quoi qu’il en coûte ?, Russia Today, 18 novembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=u3WJdna4k40
En Belgique aussi, il y a certains escrocs et criminels qui prennent souvent la parole pour raconter n’importe quoi, imposer une solution criminelle qui ne présente même pas d’efficacité contre le virus et qui veulent interdire des solutions plus efficaces et plus éthiques. Emmanuel André par exemple, qui est une grosse blague, et où d’ailleurs de nombreux spécialistes le réfutent presque à chaque fois sous ses propres publications. Le 23 novembre 2021 sur son compte twitter (https://twitter.com/Emmanuel_microb/status/1463085789525467136), il disait : « Les personnes adultes non-vaccinées représentent 13% de la population adulte en Belgique. Elles doivent savoir que la “liberté” dont elles jouissent aujourd’hui est le fruit de la responsabilité des autres. Car si elles représentaient 50%, le pays serait paralysé ». Or, les doublement vaccinés seront considérés comme « nuls » et « non-vaccinés » s’ils ne feront pas la 3ème dose, – les autorités et Emmanuel André les ont donc pris pour des imbéciles et les ont utilisé comme un sacrifice -. De plus, la liberté ne dépend pas ici du Covid-19 mais de la « volonté politique », sachant que le confinement et le port du masque obligatoire dans un certain nombre de lieux n’ont même pas été appliqués dans de nombreux pays (vaccinés ou non). Il s’est trompé sur plein de choses du point de vue sanitaire, et n’hésite pas à propager des fakes news ou des absurdités diverses pour diviser la société, culpabiliser des innocents et protéger des criminels. Il accuse les non-vaccinés d’être égoïstes, – mais pourquoi ne pas incriminer dans ce cas les fumeurs, buveurs d’alcool et vaccinés qui transmettent toujours autant le virus et s’imposent un pseudo-vaccin causant énormément d’effets secondaires impliquant souvent une hospitalisation ou des traitements et donc à saturer les hôpitaux, cliniques ou consultations médicales – … N’est-ce pas aussi le discours officiel qui a « trahi » et « trompé » les vaccinés en leur promettant la levée de toutes les mesures liberticides et contraignantes si au moins 70% de la population se faisait vacciner car on en « terminerait une bonne fois pour toute avec le virus » ce qui n’a pas du tout été le cas. Mensonges sur mensonges, prévisions fausses pour toutes leurs affirmations, ils n’ont démontré que leur incompétence et leur malhonnêteté.
Le même jour, il relayait une fake news partagée par la Commission européenne avec un graphique fallacieux pour faire croire que la vaccination fonctionne réellement, alors que cela comporte de nombreux biais.
Commission européenne : « @UEFrance – Nov 23 2021 : « Les données sont claires : plus le taux de vaccination est élevé, plus la mortalité est faible » » (https://twitter.com/UEFrance/status/1463127915378483201).
Mais ce graphique est trompeur et ne rend pas du tout compte de la réalité sur la durée :
1) Le virus finit toujours par s’épuiser naturellement, même sans vaccination (preuve en est que les virus existent depuis très longtemps au contact de l’Humanité, et que celle-ci a toujours survécu même avant la vaccination moderne). En effet, l’immunité naturelle, l’hygiène de vie, la ventilation, l’alimentation saine, l’activité physique, etc. sont très efficaces, et sont sans conteste bien plus efficaces que la vaccination anti-Covid qui présente une inefficacité manifeste d’où les recours à de nouvelles doses, aux confinements, au port du masque, à la distanciation, etc. si l’on accepte le scénario imposé par les états occidentaux qui l’imposent, – mais de nombreux pays non-vaccinés on constate moins de contaminés, de décès et d’hospitalisations Covid alors qu’ils n’ont connu ni confinement ni port du masque obligatoire dans la plupart des lieux publics -.
2) Dans le graphique, ils n’ont pas mis les pays qui s’en sortent le mieux et qui n’ont pourtant pas un taux de vaccination élevé.
3) Ils omettent de nombreuses données sur l’état de santé, les personnes touchées, le système de santé et les infrastructures, etc. qui jouent beaucoup sur les décès et hospitalisations.
4) La période/saison est également un indicateur important à prendre en compte, car par exemple dans les pays européens, en hiver, on assiste à de nouvelles vagues de grippe chaque année, – et là aussi les vaccins n’y ont jamais mis un terme et des millions de non-vaccinés (de la grippe) n’en meurent pas depuis des années -.
5) 3 continents où la vaccination est moins importante que l’Europe, présentent moins de décès du Covid que l’Europe…
6) Voir la tranche d’âge et le profil des patients décédés (âge, fragilité, comorbidités, réellement décédés du Covid ou non, etc.).
Sous la publication, de nombreux internautes et spécialistes s’étonnaient de l’ignorance et/ou de la manipulation grotesque de la Commission européenne…
Depuis la vaccination en Australie, on observe une hausse spectaculaire de contaminations Covid-19, ainsi qu’une augmentation de décès et d’hospitalisations pour causes de Covid (cela ne prend pas en compte les personnes décédées en lien avec le vaccin ou les hospitalisations liées aux effets secondaires du vaccin). Cependant, la plupart des décès concerne les personnes âgées de plus de 80 ans (269 femmes), et les personnes de moins de 50 ans qui décèdent du Covid restent beaucoup plus faibles et sont assez rares, et souvent présentent des comorbidités. (“Cumulative number of new COVID-19 cases in Australia January 26, 2020 to December 7, 2021”, Statista, Décembre 2021 : https://www.statista.com/statistics/1245992/australia-cumulative-covid-19-cases/ et “Coronavirus : Australia”, Worldometer, décembre 2021 : https://www.worldometers.info/coronavirus/country/australia/).
Même constat dans les autres pays ayant imposé la vaccination massive comme l’Autriche, le Chili, la Nouvelle-Zélande, l’Italie, la France, Israël, les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la Belgique et la Suisse par exemple. On constate aussi la même chose dans les pays qui ont entamé sérieusement une phase de vaccination sans qu’elle ne soit pour autant aussi importante que dans les pays bien plus vaccinés. Ainsi la Roumanie, l’Estonie, le Japon et la Bulgarie par exemple, ont vu le nombre de contaminations et de décès augmenter depuis la vaccination (voir Coronavirus by country, Worldometer, décembre 2021 : https://www.worldometers.info/coronavirus/#countries). Il en ressort que, la vaccination, loin de freiner ou même de maintenir les courbes au même niveau, a favorisé de nouveaux pics de contaminations, d’hospitalisations et de décès (bien sûr, cela s’explique aussi par d’autres facteurs, mais aussi présents durant la période pré-vaccinale, ce qui incrimine tout de même les vaccins à ARNm non seulement dans l’échec de la lutte face au virus, mais dans l’intensification de sa propagation ou de sa virulence visiblement, ou dans l’apparition de certains variants). Pire même, dans certains pays comme l’Australie, la Belgique, la France, Israël, la Nouvelle-Zélande et d’autres pays, les décès imputables aux vaccins dépassent les décès liés au Covid depuis mai-juin 2021, si l’on se fie aux nombreux témoignages et scandales (la plupart des hôpitaux refusant d’identifier officiellement le vaccin comme étant la cause, mais disant aux familles sceptiques que cela est « fort possible que le vaccin en soit la cause puisque rien d’autre ne semble pouvoir l’expliquer » ; des dizaines de milliers rien qu’en France, déjà durant l’été 2021). Aux Etats-Unis, on dénombre aussi plus de morts du Covid depuis la phase de vaccination (en 1 an environ ; 482 789 morts environ) que durant la période pré-vaccinale (environ 335 000 morts sur 1 an environ) sur un total de près de 818 000 morts, alors que le virus devenait de moins en moins virulent par « voie naturelle », tandis qu’au mois de septembre 2021, les morts imputables aux vaccins étaient estimés déjà à 200 000 morts selon certains chercheurs et statisticiens !
L’année 2021 était pourtant plus favorable (par rapport à 2020) à l’éradication du Covid-19 (meilleure connaissance du virus, gestes barrières, les gens les plus fragiles décédées déjà en 2020, meilleure aération – que les gouvernements occidentaux n’ont pas pris au sérieux -, gel hydroalcoolique, port du masque, etc., lutter contre l’obésité et le diabète mais les états occidentaux n’ont rien fait par rapport à cela -, meilleure immunité naturelle au sein des populations touchées par le Covid, etc.) et malgré cela les Etats-Unis ont connu une surmortalité de plus de 140 000 morts liés au Covid (en date de la mi-décembre 2021) depuis la campagne vaccinale.
Dans un documentaire diffusé par Arte en décembre 2021, intitulé Antivax – Les marchands de doute (https://www.arte.tv/fr/videos/103025-000-A/antivax-les-marchands-de-doute), il y a des éléments très intéressants à analyser, puisque, ce qu’ils reprochent à certains discours ou personnalités anti-vax s’appliquent exactement aux méthodes et discours de Pfizer et de Moderna, et prennent par ailleurs exemple sur le cas de Wakefield, – qui n’était pas un anti-vax mais un scientifique mettant en doute des vaccins alternatifs à celui qu’il voulait vendre – qui donne donc raison à l’approche sceptique et critique contre les vaccins qui sont soutenus par des fondations et personnalités très riches qui y voient une source de profits même si sa nécessité, son innocuité ou son efficacité ne sont nullement bien établies. Cette approche ne doit pas céder non plus à la charlatanerie de certains « anti-vax » qui sont des opportunistes désirant mieux vendre d’autres idées ou des pseudo-remèdes.
Concernant ce documentaire, voici quelques points critiques à retenir :
– Beaucoup d’anti-vax ne connaissent même pas ces réseaux d’anti-vax radicaux, et ne le sont que pour les pseudo-vaccins anti-Covid pour des raisons purement rationnelles et scientifiques : l’échec vaccinal contre le Covid, ne pas faire confiance à des mafias pharmaceutiques déjà condamnés à plusieurs reprises pour fraudes, mises en danger de la santé d’autrui, médicaments dangereux mis sur le marché, etc. ; décès et complications très graves sur la santé concernant de nombreux proches vaccinés, terrorisme politique et intellectuel de la part des gouvernements occidentaux, dérives autoritaires et mensonges médiatiques, fakes news et falsification des statistiques, absence de transparence des données et censures systématiques de toutes les études et voix scientifiques critiques des vaccins, présence de conflits d’intérêts entre les acteurs politiques et Big Pharma (Arte l’avait bien montré dans d’anciens reportages), matraquage médiatique en gonflant des chiffres et occultant des causes de mortalité plus graves ou sous-jacentes qui sont plus mortelles que le Covid en soi, etc.
– Ce documentaire inverse et déforme quelque peu la réalité : c’est Big Pharma qui impose le rapport de force, impose, licencie, censure, menace, terrifie de nombreuses personnes, et falsifie à sa guise de nombreuses données essentielles, et qui bloque toutes les autres solutions possibles (et plus sûres) pour lutter contre le Covid. Face à cette tyrannie et à leur extrémisme, beaucoup de gens du peuple perdent patience et cèdent parfois à la violence eux aussi. Beaucoup de pro-vax ont menacé de morts des anti-vax (célèbres ou non), les pouvoirs politiques ont encouragé la discrimination, la haine et les pressions (conduisant parfois au suicide ou à la folie) des non-vax et ont semé la division au sein de la population. Le documentaire joue sur les émotions et les anecdotes personnelles tandis que les anti-vax (dans le cas du Covid) avancent énormément de chiffres fiables (souvent même officiels) et des données scientifiques ainsi que des témoignages de premier plan pour démontrer l’absurdité des propos ou mesures des pro-vax… Le documentaire montre indirectement comment Big Pharma manipule et exploite l’image de cet adolescent rebelle (et très peu rationnel) qui s’en prend à ses parents concernant la vaccination alors qu’il ne connait visiblement rien des enjeux réels qui se trament (tout comme un peu avec sa mère mais dans l’autre camp) …
– Ce documentaire propage toute une série de fakes news issues de la mouvance pseudo-scientifique pro-vax (dans le cadre covidiste) puisque de nombreuses données scientifiques démentent catégoriquement de nombreuses assertions fallacieuses qui sont assénées comme des dogmes. Pour autant, le fait que certains anti-vax tiennent des propos virulents ou des thèses fausses ou difficilement vérifiables, ne rend pas faux toutes les vérités et craintes légitimes avancées par la plupart des anti-vax sceptiques. Ils imputent aussi sans preuve Wakefield d’être responsable de la réapparition de certains foyers de rougeoles alors qu’il faudrait des preuves scientifiques pour étayer une telle affirmation (or beaucoup d’assertions semblent être gratuites dans ce reportage). En tout cas, le problème du Covid est différent puisque de nombreux foyers du Covid émanaient des endroits fréquentés que par des gens vaccinés et que ces « vaccins » ne protègent pas contre la transmission ou l’hospitalisation du Covid. Vers la fin du reportage, ils citent des propos et affirmations des « anti-vax » qui se sont finalement révélés exacts et qui ont même été reconnus par les plus virulents des pro-vax (comme la durée limitée des vaccins, le fait que beaucoup de doses contiennent des impuretés, etc.). Le documentaire oublie de préciser par ailleurs des informations importantes, à savoir que Facebook et YouTube ont supprimé des millions de vidéos et de publications sérieuses émanant des anti-vax, et d’autres publications beaucoup moins sérieuses mais en invoquant le même prétexte et en cédant au chantage de Big Pharma, qui grâce aux vaccins, a non seulement engrangé des dizaines de milliards de $ (donc bien plus que l’ensemble des anti-vax de la planète) mais aussi leur emprise sur la politique, la recherche, etc. en menaçant quiconque s’opposerait à eux de leur couper leurs subsides ou de les licencier…
– Sur l’affaire Andrew Wakefield, les fraudes et conflits d’intérêts évoqués dans le reportage, – qui concerne par ailleurs aussi un vendeur de vaccins incriminé, s’appliquent très bien dans le cas du Covid avec Pfizer et Moderna (voir le scandale du Pfizer Gate notamment) qui ont falsifié, occulté et déformé de nombreuses données et qui avaient de nombreux conflits d’intérêt pour mieux vendre leurs pseudo-vaccins (qui n’immunisent pas et qui n’empêchent ni la transmission, ni les formes légères ou graves du Covid ni le décès contre le Covid comme le montrent de façon certaine toutes les données officielles, en plus du danger que représente en soi, ces pseudo-vaccins : décès, paralysie, AVC, cécité, maladies cardiaques, troubles neurologiques, etc.).
– Dans un monde où l’éthique et l’objectivité devraient guider la science et les mesures sanitaires, ces pseudo-vaccins seraient interdit et ces vendeurs/fabricants (comme Pfizer et Moderna) seraient déjà arrêtés ou exécutés pour mise en danger inutile de la vie humaine, troubles à l’ordre public, ingérence dans la vie politique, perte de souveraineté, mensonges délibérés, etc.
– Les « thèses complotistes » décriées dans le reportage avancent pourtant des thèses scientifiquement recevables et rationnellement possibles quant aux origines du Covid-19 : « Le professeur émérite en maladies infectieuses à l’ULB et au CHU Saint-Pierre, Nathan Clumeck, était invité ce midi sur le plateau de “C’est pas tous les jours dimanche” sur RTL. Dans le cadre de la sortie de son livre “La menace virale”, il est notamment revenu sur l’origine de la pandémie de Covid-19. Selon lui, bien que les causes ne soient pas encore strictement connues, l’intentionnalité doit en tout cas être exclue. En revanche, un accident de laboratoire ne doit pas être écarté. “Il y a un laboratoire spécialisé dans les coronas qui avait prélevé des échantillons de crottes de chauve-souris dans une grotte située à 1300km de Wuhan. Ils ont analysé les coronas. Le virus était présent mais pas dans la forme actuelle, il lui manquait l’élément qui rentrait dans les cellules humaines. Et tout d’un coup apparaît un virus qui peut entrer dans les cellules humaines”, constate le spécialiste. Celui-ci retient donc deux hypothèses: ou bien ce virus s’est multiplié dans un milieu naturel avec un autre intermédiaire que l’on ne connait pas, comme ce fut le cas pour le Sras, ou bien il y a eu des manipulations en laboratoire. “Pas à intention de guerre biologique, mais il y a des études qui ont été faites pour étudier l’augmentation de capacité des virus pour voir comment les contrer”, précise-t-il. “Ce sont des études limites, certains comités d’éthique ont demandé à les arrêter. Est-ce que les Chinois ont continué ? On risquait de créer un monstre qui allait s’échapper. C’est peut-être ce qu’il s’est passé. Les Chinois refusant l’accès à leur laboratoire, il est impossible d’exclure cela !”. Et pour l’avenir ? Le professeur estime qu’il faudra peut-être vivre avec le Covid pendant encore quelques années, notamment en hiver, mais se montre confiant dans les différentes recherches en cours sur les traitements antiviraux » (“”On risquait de créer un monstre qui allait s’échapper”: Nathan Clumeck revient sur les origines de la pandémie et émet deux hypothèses”, DH, 12 décembre 2021 : https://www.dhnet.be/actu/monde/on-risquait-de-creer-un-monstre-qui-allait-s-echapper-nathan-clumeck-revient-sur-les-origines-de-la-pandemie-et-emet-deux-hypotheses-61b60e25d8ad586d30978239). Or contrairement à ce qu’il dit, la piste de « l’intentionnalité » ne doit pas être exclue, puisque l’implication des agences américaines, françaises et chinoises concernant les origines du Covid-19 est bien attestée, et que la piste d’une manipulation volontaire ne peut pas être écartée car l’absence de transparence renforce justement cette possibilité tout comme le fait que l’OMS ne fournit aucun effort pour faire avancer l’enquête, et qu’il s’agit là d’une possibilité tout à fait rationnelle et techniquement possible, surtout quand des nombreux grands influenceurs de la politique en parlaient déjà depuis les années 70 et 80 (notamment Jacques Attali), et que le virus soit un accident de laboratoire, intentionnel ou même totalement naturel, n’y change pas grand-chose car de toute manière cela a servi de prétexte pour instaurer clairement une société détraquée et totalitaire comme on peut clairement le constater aujourd’hui dans de nombreux pays dans le monde, et essentiellement en Occident d’ailleurs.
Dans de nombreux articles officiels, les fakes news et sophismes sont très fréquents. Exemples ici avec l’article intitulé Antivax. Faire sens commun avec les insensés ? : « (…) La couverture vaccinale a très fortement progressé depuis, au point que la Belgique est un des pays les plus vaccinés au monde. Il est cependant encore un peu tôt pour se réjouir car, de manière parfaitement attendue, la campagne de vaccination ne sera un réel succès que si nous parvenons à atteindre une couverture très élevée de la population totale, avoisinant les 90% [1]… Bref, les vaccins ont drastiquement fait chuter la mortalité due au virus et le nombre d’hospitalisations, mais ils n’apporteront leur bénéfice maximal que s’ils peuvent enrayer la contagion et nous faire passer sous le seuil épidémique » (“Antivax. Faire sens commun avec les insensés ?”, Christophe Mincke, Numéro 7 – 2021 : https://www.revuenouvelle.be/Antivax-Faire-sens-commun-avec-les-insenses).
L’article commence mal, par une sorte de fake news car tout début de la pandémie ils disaient « 70 à 80% pour l’immunité vaccinale », mais cela n’a pas fonctionné, donc essayons d’atteindre les « 90% », alors même que dans des pays où cela dépasse les 90%, l’épidémie perdure (comme l’Islande, Gibraltar, etc.), donc ce n’est pas la solution. En regardant les courbes et les données, beaucoup de pays vaccinés se portent plus mal qu’avant la phase vaccinale. Comment l’expliquent-ils ? Silence radio. Ensuite ils disent dans l’article : « Outre que leur action accroit le danger sanitaire qui pèse sur la population dans son ensemble, leur rhétorique mérite notre attention, en ce qu’elle mine le débat démocratique et se fonde sur des procédés qui se croisent dans d’autres domaines. La contestation de la campagne vaccinale ne se fonde en effet pas uniquement sur des données tronquées ou falsifiées ». La suite de l’article accumule encore les fakes news, les affirmations gratuites et les sophismes. Catastrophique, puisqu’ils occultent les données officielles qui ne vont pas dans leur sens, les conclusions de milliers de scientifiques qui les contredisent, tout comme ils étaient aussi les premiers à falsifier et tronquer les statistiques… Des études parues dans The Lancet, The British Medical Journal (BMJ) et d’autres revues qualifiées de sérieuses ont réfuté les principales assertions colportées dans cet article … La surmortalité du Covid depuis la phase vaccinale est attestée dans de nombreux pays dont les Etats-Unis (surmortalité de plus de 150 000 décès à la mi-décembre 2021), Japon (3000 décès de plus qu’en 2020), Israël (2200 décès de plus qu’en 2020), Royaume-Uni (12 000 décès de plus par rapport à la période pré-vaccinale), France (au moins une surmortalité de 1000 décès, même en prenant les chiffres gonflés donnés pour les décès de la première vague, où beaucoup de gens qui n’étaient pas morts à cause du Covid ont été classés malgré tout décès covid et où beaucoup de gens sont décédés car l’Etat français leur avait dit de ne pas se rendre dans les hôpitaux et car beaucoup de médecins ne pouvaient plus aller visiter leurs patients à leur domicile), etc. (Voir les données sur Worldometers.info qui ne prend en compte que les données officielles).
Même chose pour cet article de France 24 datant du 6 juillet 2021 Vrai ou faux : les arguments des anti-vaccins Covid-19 passés au crible (https://amp.france24.com/fr/france/20210706-vrai-ou-faux-les-arguments-des-anti-vaccins-covid-19-pass%C3%A9s-au-crible) : « (…) Vrai ou faux : “Avec une bonne hygiène de vie, le système immunitaire peut se défendre tout seul et n’a pas besoin d’un vaccin”. Les Indiens, majoritairement végétariens, ont une excellente hygiène de vie, et ils ont eu des vagues de Covid-19 absolument dévastatrices. Donc, la bonne hygiène de vie qui vous permettrait de lutter contre des virus aussi agressifs, si on la connaissait, on l’aurait expérimentée ou on l’aurait observée. Or, moi je ne l’observe pas ». Or, beaucoup d’indiens souffrent de malnutrition et de nombreuses demeures sont mal ventilées, et de toute façon sur plus d’1, 4 milliards d’individus, seulement une toute petite minorité a été sévèrement affectée. De plus les régions non-vaccinées qui se sont traitées avec l’ivermectine ont mieux combattu le virus que les régions où le “vaccin” a été administré.
« Vrai ou faux : “Les effets indésirables du vaccin sont plus dangereux que la maladie” À titre individuel, si vous avez comme effet indésirable une thrombose sévère du sinus caverneux, qui est un événement indésirable très grave, ou une myocardie pour laquelle vous êtes souvent hospitalisé, si vous êtes jeune, alors oui, peut-être que dans ce cas, vous pouvez avoir un effet indésirable qui est plus grave que ce que le Covid-19 aurait risqué de vous faire à vous, jeune sans facteur de risque. Cependant, cela est extrêmement rare, et tellement rare que les agences de sécurité sanitaire estiment que le bénéfice l’emporte très largement sur ce risque ». Vrai, puisque les effets secondaires (même graves) sont plus fréquents que les formes graves du Covid, et que des milliers de personnes doublement ou triplement vaccinés continuent de mourir (sources officielles) du Covid ou de faire des formes graves. Donc ces « vaccins » représentent un risque supplémentaire inutile considérable.
« Vrai ou faux : “Les vaccins contre le Covid-19 ont été développés trop rapidement, on ne peut pas leur faire confiance ». Sur le recul, pourquoi occulter le fait qu’il y a eu des décès et des complications graves sur les tests menés sur les animaux puis sur des humains lors des essais menés par Pfizer ? La phase 3 (expérimentale) est d’ailleurs toujours en cours et ils n’ont pas obtenu l’autorisation « légale » de façon « normale » et en suivant scrupuleusement tous les protocoles scientifiques et sanitaires. Leur « autorisation » découle d’une mesure « exceptionnelle » justifiée par l’angoisse et la peur injustifiées du point de vue scientifique, que les politiciens au pouvoir et les médias pro-gouvernementaux ont accepté sous la pression (et les pots de vin) de Big Pharma.
« Vrai ou faux : “On peut transmettre le virus même en étant vacciné”. Le vaccin diminue le risque de transmission, probablement entre 60 et 80 %, ce n’est pas du 100 % ». Environ 1 mois après cet article, l’efficacité du « vaccin » Pfizer avait été revenu considérablement à la baisse (moins de 16%, notamment en Israël) et selon une étude suédoise post-été 2021, certains vaccins comme l’AstraZeneca avaient même un résultat négatif (-19% par exemple après 7 mois). Des études américaines, durant l’été 2021, avaient montré que vaccinés ou non-vaccinés pouvaient contracter le virus et le transmettre de façon similaire et égale, raison pour laquelle le seul argument officiel encore utilisé concerne simplement « empêche les formes graves » ce qui est là aussi faux, puisqu’aux Etats-Unis, en France, en Belgique, au Royaume-Uni et ailleurs, des milliers de personnes doublement ou triplement vaccinées, sont hospitalisées ou décèdent du Covid, tandis que les millions de non-vaccinés dans ce pays se portent encore très bien.
« Vrai ou faux : “Les vaccins à ARN messager, comme Pfizer, peuvent provoquer des cancers”. Cet argument est difficile à opposer parce que les cancers, qui peuvent être provoqués par des produits cancérigènes, ne surviennent pas dans les semaines ou les mois qui suivent, mais des années plus tard. Ce sont donc des cancers qui arriveraient plus tard et l’on aurait alors une épidémie de cancers dans plusieurs années ». C’est justement pour cela qu’il faut du recul sur la DUREE et non pas seulement sur la METHODE. Mais des études scientifiques affirment que la protéine Spike (présente dans le Covid-19 comme dans les vaccins à ARNm notamment) pourrait favoriser l’émergence et le développement de cancers (Nishant Singh and Anuradha Bharara Singh, “S2 Subunit of SARS-nCoV-2 Interacts with Tumor Suppressor Protein p53 and BRCA: an In Silico Study” PMC, octobre 2020 : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7324311/ et Hui Jiang and Ya-Fang Mei, “SARS–CoV–2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro”, PubMed, 13 octobre 2021 : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34696485/ et https://www.mdpi.com/1999-4915/13/10/2056/htm).
Beaucoup de mensonges donc et/ou d’ignorance dans cet article de France24. Il faudrait qu’ils apprennent à mieux vérifier les informations « officielles ». Les études spécialistes infirment tout ce qui est contesté dans cet article (sur les cancers, l’absence de recul, etc.) et de nombreuses agences sanitaires ont déjà suspendu les vaccins AstraZeneca, Moderna et d’autres pour plusieurs raisons et ce dans plusieurs pays.
« Muriel Moser, immunologue et spécialiste des vaccins pour l’ULB, était l’invitée de Maxime Binet ce jeudi sur DH Radio. Faut-il vacciner les enfants entre 5 et 11 ans ? Les autorités fédérales devraient aller dans ce sens dans les prochains jours. Une CIM Santé est prévue lundi prochain pour trancher. Pour l’immunologue Muriel Moser, cette nouvelle étape est nécessaire. “Je pense que si l’on a un vaccin sûr et efficace, il faut en faire bénéficier les enfants”, explique-t-elle au micro de DH Radio. “Ceci afin d’éviter les hospitalisations, bien qu’elles soient rares, et leur permettre de retrouver une vie normale” (…) ». (“”La vaccination obligatoire serait scientifiquement logique””, La Libre, 16 décembre 2021 : https://www.lalibre.be/belgique/societe/2021/12/16/les-vaccins-sont-ils-surs-pour-les-enfants-les-nouvelles-sont-tres-bonnes-UGDOAED27RGCFBHBK6DY47XEF4/). Elle ment, – ou ignore tout de la réalité dans les hôpitaux – en disant que la vaccination protège contre l’hospitalisation ou les formes graves alors que la plupart des personnes hospitalisées, – en valeur absolue – sont doublement vaccinées et que même en proportion, si l’on constate que parmi les « non-vaccinés » sont comptabilisés les personnes nouvellement vaccinées, là aussi, on voit qu’en terme de proportion, le vaccin ne protège pas du tout efficacement, pas même contre les formes graves ou légères.
Elle avait été invitée dans un débat avec les spécialistes Nour de San (médecin en biologie clinique et développement de vaccins) et Caroline Vandermeeren (Dr. en biochimie et biotechnologies et bio ingénieure en microbiologie industrielle pour les vaccins) qui l’avaient réfuté sur plusieurs points importants, lors d’une émission diffusée sur BAM en juin 2021 (https://www.youtube.com/watch?v=wUT6jzaRqXU) concernant la vaccination, et soit elle avait clairement menti (répandant sciemment des fakes news) soit elle était complètement dépassée sur le plan scientifique, ignorant l’existence de nombreuses études réfutant ses affirmations. Ici encore, elle contredit les données scientifiques et refait miroiter de fausses promesses qui n’ont pas été tenues concernant les adultes doublement vaccinés. Elle ment également concernant l’inexistence des effets secondaires, – qui existent pourtant bel et bien et pas de façon rare – alors que le vaccin n’est pas une nécessité pour les enfants (c’est un risque majeur supplémentaire pour leur santé sachant que ce pseudo-vaccin ne protège pas efficacement contre le Covid et que les enfants ont moins de chances de faire des formes graves en chopant le Covid qu’en se faisant injecter ce pseudo-vaccin expérimental en plus des autres risques majeurs encourus, dont le décès, la cécité et la paralysie). L’immunité naturelle, selon les données scientifiques bien établies, reste largement préférable, supérieure (en termes de protection) et durable que l’immunité vaccinale – dans ce-cas ci très défaillante et imparfaite – en plus de ne pas durer longtemps. Par ailleurs, la nécessité même d’une 3ème dose pour les adultes n’est pas établie et divise le camp « pro-vax », elle s’avance donc ici une fois de plus sans avoir l’expertise médicale et le recul nécessaire. De nombreux spécialistes estiment qu’il vaut mieux que les enfants et les jeunes adultes (de moins de 50-60 ans) développent une immunité naturelle que de s’injecter un pseudo-vaccin peu fiable (et même un vaccin classique qui serait fiable) – sauf pour des personnes réellement à risque – face à un virus qui ne tue pas (ou ne tue presque pas) les personnes en bonne santé, et où même les formes graves restent très rares chez les personnes en bonne santé, – bien plus rares en tout cas que les complications graves liées à cette « vaccination ».
L’immunologue et virologue, et l’un des inventeurs de la technologie « vaccinale » ARNm, Robert Malone a signalé, en décembre 2021, l’absence de tout fondement scientifique concernant la vaccination des enfants et « Afin d’enrayer le processus de vaccination en masse des enfants en bonne santé, 15 000 médecins et scientifiques dans le monde ont conjointement signé une déclaration visant à marquer leur opposition à une mesure qui ne repose selon eux sur aucune donnée scientifique. C’est pourquoi, lors d’un meeting en ligne organisé ce 12 décembre par le Global Covid Summit et the Unity Project, le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm, s’est exprimé en leur nom collectif dans l’optique de mettre en garde les parents au sujet de l’irréversibilité à vie des dommages que pourrait engendrer leur vaccination. (…). Je m’appelle Robert Malone. Je suis un médecin et scientifique, mais plus important encore, je suis père et grand-père. Je n’ai pas l’habitude de lire un discours préparé, mais ce sujet est si important que je voulais m’assurer que chaque mot et chaque fait scientifique soient exacts. Je m’en tiens à cette déclaration, car j’ai consacré ma carrière à la recherche et au développement de vaccins. Je suis vacciné contre le Covid et je suis généralement pro-vaccination. J’ai consacré toute ma carrière au développement de moyens sûrs et efficaces pour prévenir et traiter les maladies infectieuses. Voilà mon message : Avant de faire injecter votre enfant – une décision qui est irréversible – je voulais vous faire connaître les faits scientifiques concernant ce vaccin génétique, qui est basé sur la technologie du vaccin ARNm que j’ai créée. Il y a trois points essentiels que les parents doivent comprendre avant de prendre cette décision irrévocable.
Le premier est qu’un gène viral sera injecté dans les cellules de votre enfant. Ce gène oblige l’organisme de votre enfant à fabriquer des protéines de pointe toxiques. Ces protéines provoquent souvent des dommages permanents dans les organes critiques des enfants. Ces organes comprennent leur cerveau et leur système nerveux, leur cœur et leurs vaisseaux sanguins, y compris des caillots sanguins, le système reproducteur. Et le plus important : ce vaccin peut déclencher des changements fondamentaux dans leur système immunitaire. Le point le plus alarmant à ce sujet est qu’une fois que ces dommages ont eu lieu, ils sont irréparables. Ils ne peuvent pas être inversés. Vous ne pouvez pas réparer les lésions à l’intérieur de leur cerveau. Vous ne pouvez pas réparer les cicatrices du tissu cardiaque. Vous ne pouvez pas réparer un système immunitaire génétiquement réinitialisé, et ce vaccin peut causer des dommages du système reproducteur qui pourraient affecter les générations futures de votre famille. La deuxième chose que vous devez savoir est le fait que cette nouvelle technologie n’a pas été testée de manière adéquate. Nous avons besoin d’au moins 5 ans de tests et de recherches avant que nous puissions réellement comprendre les risques associés à cette nouvelle technologie. Les effets néfastes et les risques des nouveaux médicaments sont souvent révélés des années plus tard seulement. Posez-vous s’il vous plaît, en tant que parent, cette question : voulez-vous que votre propre enfant fasse partie de l’expérience la plus radicale de l’histoire de l’humanité ? Un dernier point : la raison qu’ils vous donnent pour vacciner votre enfant est un mensonge. Vos enfants ne représentent aucun danger pour leurs parents ou leurs grands-parents. C’est en fait le contraire. Leur immunité, après avoir reçu le Covid, est essentielle pour sauver votre famille, voire le monde, de cette maladie. Enfin, en résumé, il n’y a aucun avantage pour vos enfants ou votre famille à les vacciner contre le faible risque du virus, compte tenu des risques sanitaires connus du vaccin avec lesquels, en tant que parent, vous et vos enfants devrez peut-être vivre pour le reste de la vie. L’analyse bénéfice-risque n’est absolument pas favorable à ces vaccins s’agissant des enfants. En tant que parent et grand-parent, je vous recommande vivement de résister et de vous battre pour protéger vos enfants. Nous l’avions déjà reçu au cours d’un précédent debriefing cet été durant lequel il a évoqué sa carrière de scientifique, l’histoire de l’invention de cette technologie ARNm, l’échec de la vaccination de masse, le risque associé à la vaccination, et les traitements alternatifs contre le Covid-19 ». (“Robert Malone : son plaidoyer contre la vaccination des enfants”, France Soir, 16 décembre 2021 : https://www.francesoir.fr/politique-monde/robert-malone-plaidoyer-vaccination-enfants).
En résumé, pourquoi ne pas faire vacciner les enfants dans le cas du Covid-19 ?
1) Car ce virus ne représente pas un danger pour 99% des enfants.
2) Les médecins disent qu’il vaut mieux qu’ils contractent le virus pour développer leur système immunitaire (6 à 20 fois plus efficace, et beaucoup plus durable) que ces pseudo-vaccins (qui ne protègent pas du tout contre le Covid ni ses formes graves). Ils transmettront donc moins le virus et il circulera moins.
3) Ce vaccin apporte une immunité défaillante et spécifique, – et non pas générale comme l’immunité naturelle -, et donc les vaccinés se montrent plus fragiles et démunis face aux variants. Or ceux qui ont contracté le virus sans être vacciné, développent généralement une meilleure immunité générale contre le virus et ses variants.
4) Les personnes à risque (obèses, diabétiques, etc.), même vaccinées, font des formes graves du Covid (des centaines de milliers en sont même décédées, que ce soit aux Etats-Unis, en France, en Israël, au Royaume-Uni, etc.). Depuis la phase vaccinale il y a même une surmortalité dans de nombreux pays (Etats-Unis, Royaume-Uni, France, Israël, Japon, Russie, etc.).
5) Ces vaccins représentent donc un risque majeur à court terme totalement inutile pour ses enfants ; décès, cécité, paralysie, problèmes cardiaques, etc. comme cela a déjà été établi et recensé, et sans les immuniser face au Covid.
6) Sur le long terme, les effets du “vaccin” ne sont pas encore connus, et utiliser les enfants comme des cobayes est un crime contre l’Humanité, à titre de simple rappel.
Le Professeur Michaël Peyromaure, chef du service d’urologie de l’hôpital Cochin à Paris, dénonçait aussi l’hypocrisie et l’incompétence du gouvernement français (depuis au moins 15 ans) qui a détruit le système hospitalier français ; coupes budgétaires, mafia pharmaceutique, suppression de milliers de lits, manque de personnel de santé (infirmiers, médecins, etc.) que l’Etat a licencié aussi en masse durant la pandémie (dont ceux qui refusaient ce pseudo-vaccin à la fois peu efficace et dangereux pour beaucoup de personnes). Il considère aussi la vaccination, dans ce cas-ci, des enfants, comme étant une hérésie médicale, et un danger inutile sur les enfants, alors que l’immunité naturelle est bien meilleure pour lutter contre les formes graves et la transmission du virus… (“La vaccination des enfants est une “hérésie” selon le Professeur Michaël Peyromaure, Europe 1 – 21 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=CoDVIG2kYzY).
Le virologue et vaccinologue belge Geert Vanden Bossche expliquait aussi ses réticences sur la vaccination massive pendant la pandémie et pourquoi « la fameuse « immunité de groupe » ne pourra jamais être atteinte, bien au contraire ! Il met en garde contre la vaccination des enfants et explique le rôle bénéfique des non-vaccinés dans le contrôle de la circulation du coronavirus. Une interview-choc qui offre une perspective à contre-courant sur l’actuelle politique sanitaire de nos gouvernements ». (“Interview Geert Vanden Bossche”, BAM! Belgian Alternative Media, 23 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=nr-1W18i4gM).
Dans divers médias officiels, on lit parfois des témoignages suspects – ou du moins des récupérations – de personnes non-vaccinées ayant fait une forme grave du Covid qui regretteraient de ne pas s’être fait vacciner. Or, il existe aussi de faux témoignages, – cela s’est vérifié en France avec des personnalités médiatiques et politiques jouant le rôle de patients et faisant la promotion de la vaccination en se faisant passer pour des non-vaccinés alors qu’ils n’étaient même pas malades (voir les preuves en vidéo, postée le 17 décembre 2021 : https://twitter.com/i/status/1471951624440537092) – , et on connait déjà la pratique de nombreux médias occidentaux (ainsi que des médias russes, syriens, etc.) pour interroger de faux témoins afin de renforcer leur propagande. Par ailleurs il y a beaucoup plus de gens vaccinés qui regrettent le vaccin (soit car ils ont tout de même contracté des formes graves du Covid malgré la vaccination, soit pour avoir subi de très graves effets secondaires), et nous en connaissons. Il y a (d’après ce que l’on peut observer et lire) au moins 20 fois plus de gens qui se plaignent du vaccin que du Covid, d’autant plus qu’être vacciné n’empêche pas de faire des formes graves du virus… raison pour laquelle les groupes facebook (de plusieurs centaines de milliers de membres) et vidéos YouTube qui en parlent ont été systématiquement censurées et supprimées. De nombreux vaccinés regrettaient amèrement s’être fait injectés ce qu’ils qualifiaient de poison, d’échec ou de plus grande erreur de leur vie, soit parce que cela ne les avait pas protégés du virus, soit parce que ce pseudo-vaccin les ont laissés handicaper d’une manière ou d’une autre.
Nous avons aussi lu les articles faussement appelés de « fact checking » des médias mainstream qui ont eux-mêmes falsifiés et décontextualisés de nombreuses données et sources tout en omettant des données capitales (comme Le Monde, France Info, la RTBF, etc.) concernant le Dr. Robert Malone, Martin Blachier (qui était fortement apprécié par ces mêmes médias quand il défendait aveuglément leur vision pseudo-scientifique), Idriss Aberkane (qui est très pertinent dans ce domaine, – ses affirmations sont vérifiables et bien documentées -, contrairement à ses interventions souvent confuses et lacunaires quand il parle de géopolitique ou de religion), etc., articles mainstream eux-mêmes réfutés par l’ensemble des chiffres et de leur contextualisation et par d’éminents spécialistes.
La mascarade va auss très loin puisque sont récompensés des « scientifiques » luttant contre des « fakes news » (ce qui n’est pas toujours vrai) par des adeptes de fakes news et qui encouragent la corruption dans la communauté scientifique tout en détournant la science à des fins idéologiques et marketing comme par exemple ici : « (…). A la faveur de la pandémie, la discussion sur la fraude scientifique a gagné une visibilité inédite. Elisabeth Bik a identifié près de 5000 articles scientifiques problématiques, ce qui a mené à des rétractations et à des correctifs. Mais aussi à des vagues de harcèlement, avec des menaces et tentatives d’intimidation — particulièrement lorsqu’elle a critiqué la qualité des travaux sur l’hydroxychloroquine menés par le microbiologiste français Didier Raoul. Le jury du prix a noté qu’Elisabeth Bik est « virtuellement seule à agir aux yeux du public », et que ses «efforts inlassables encouragent le public et les autres scientifiques à apprendre à repérer les données manipulées » (“Elisabeth Bik reçoit le prix Maddox pour son combat contre la fraude scientifique”, Heidi, 8 décembre 2021 : https://www.heidi.news/sciences-climat/elisabeth-bik-recoit-le-prix-maddox-pour-son-combat-contre-la-fraude-scientifique).
Ce que l’on peut reprocher légitimement aux défenseurs acharnés de l’hydroxychloroquine (qui n’est pas du tout un remède miracle mais qui bénéficie toutefois d’une efficacité mieux établie que les vaccins à ARNm anti-Covid) est valable aussi concernant toutes les fraudes et contre-vérités scientifiques autour de ces vaccins (qui sont un échec total, sauf pour empocher de l’argent).
La mascarade politique n’est pas en reste, en France comme en Belgique ou ailleurs, c’est l’hypocrisie qui prédomine. Ils n’ont fait que mentir, se contredire et s’opposer aux données et aux mesures médicales et sanitaires, les dés sont pipés et font mine d’évoluer dans leurs positions, comme le Premier ministre belge Alexander De Croo, – violemment critiqué par la population belge comme par de nombreux experts – : « Alors qu’il a toujours affirmé être contre la vaccination obligatoire car il préférait tenter de convaincre les sceptiques, le Premier ministre Alexander De Croo semble désormais plus ouvert que jamais à cette option. C’est en tout cas ce qu’il a déclaré lors d’un échange avec des lecteurs du journal De Zondag. « Je crois plus à la conviction qu’à l’obligation, mais si vous voyez qu’aux soins intensifs, on retrouve cinq fois plus de non-vaccinés, on ne peut plus mettre la question de la vaccination obligatoire de côté », a-t-il déclaré. « L’objectif est clair : vacciner tout le monde. Et si la piste de l’obligation nous aide à arriver jusque-là, alors on peut y réfléchir. Mais attention, le gouvernement ne peut pas décider ça tout seul. Le débat doit être fait au parlement », a-t-il ajouté, précise Sudinfo. Et c’est bien la situation aux soins intensifs qui a poussé Alexander De Croo à changer d’avis : « Un groupe relativement petit a un gros impact sur nos soins de santé. C’est quelque chose qu’on ne peut pas tolérer. L’économiste britannique Keynes a dit un jour ‘Quand les fais évoluent, mon esprit aussi’. Les bons arguments peuvent me convaincre. C’est une leçon importante de cette crise : il faut rester ouvert d’esprit et il faut oser revoir ses points de vue » ». (“De Croo désormais favorable à la vaccination obligatoire en Belgique: «il faut oser revoir ses points de vue»”, MSN, 27 décembre 2021 : https://www.msn.com/fr-be/actualite/national/de-croo-d%C3%A9sormais-favorable-%C3%A0-la-vaccination-obligatoire-en-belgique-il-faut-oser-revoir-ses-points-de-vue/ar-AASbdjf?ocid=msedgntp).
Ainsi, l’objectif n’est pas de soigner les gens ou de sortir de la « crise », mais de vacciner tout le monde même si ça ne marche pas du tout (contre « l’épidémie »). Et ils ont raison quand ils disent : « « Quand les fais évoluent, mon esprit aussi ». Les bons arguments peuvent me convaincre. C’est une leçon importante de cette crise : il faut rester ouvert d’esprit et il faut oser revoir ses points de vue » », sauf que leurs conclusions sont fausses, puisque la majorité des décès et hospitalisations Covid concernent des vaccinés…, et que la crise est moins pire qu’auparavant, et que la vaccination ne fonctionne pas comme annoncé ; toutes les données et les observations bien établies l’indiquent. La déduction et conclusion d’ordre logique qui s’imposent, est donc de ne pas imposer « l’obligation vaccinale » et de miser sur d’autres stratégies, à la fois moins coûteuses et plus pertinentes, comme une meilleure alimentation et des traitements préventifs, – ce qui serait plus efficace contre de nombreuses maladies et de nombreux virus… En outre, qu’attendre d’un gouvernement et d’un parlement dont les « acteurs » sont corrompus et possèdent tous des conflits d’intérêts avec Big Pharma ? Ou alors, comme en France, où le président Macron a imposé des mesures liberticides et sans fondement scientifique sans avoir eu l’accord du parlement ou en passant outre l’opposition du parlement ? De Croo et ses semblables avaient déjà cette volonté en tête depuis longtemps, d’où le fait d’aborder dans les médias ces questions jusqu’à les imposer malgré l’absurdité logico-scientifique qu’elles comportent, et ce, même en dépit du cuisant échec de la stratégie vaccinale qui a même empiré la situation sur les plans sanitaires, politiques, sociaux, économiques et éthiques.
C’est ce qui faisait dire au spécialiste et virologue Jean-Michel Claverie le 26 décembre 2021 sur BFMTV que « la vaccination ne marchait pas du tout ». (“Coronavirus : Malaise en direct sur BFM TV, quand un célèbre professeur explique “que le vaccin ne marche pas du tout” et que “la 3e dose n’est efficace que pendant 3 mois” – Vidéo”, 26 décembre 2021 : https://www.jeanmarcmorandini.com/article-484675-coronavirus-malaise-en-direct-sur-bfm-tv-quand-un-celebre-professeur-explique-que-le-vaccin-ne-marche-pas-du-tout-et-que-la-3e-dose-n-est-efficace-que-pendant-3-mois-video.html).
Et les données lui donnent amplement raison, car si l’on s’en tient aux observations sur le terrain et si l’on écarte les nombreux biais dans les chiffres propagés dans les médias, on constate que les vaccinés sont plus nombreux parmi les décès et les hospitalisations à cause du Covid, et bien d’autres aussi à cause du vaccin, et ce en valeur absolue. Les vaccinés ont aussi propagé le virus un peu partout alors que l’on sait que ces pseudo-vaccins n’empêchent ni la transmission, ni la contamination, ni les formes graves. Il y a même une terrible surmortalité du Covid depuis la vaccination alors même que les chiffres de 2020 ont été artificiellement gonflés (beaucoup d’hospitalisations et décès estampillés Covid alors que ce n’était pas la raison principale, voire pas du tout) et que l’immunité naturelle n’était pas encore bien répandue. De nombreux pays majoritairement non-vaccinés en Afrique comme en Asie ou au Moyen-Orient s’en sortent bien mieux que des pays fortement vaccinés comme les États-Unis, la Belgique, la France, Israël, le Royaume-Uni, etc., où l’immunité naturelle, les bons aliments et l’activité sportive sont bien plus efficaces et plus durables tout en étant moins dangereux que ces pseudo-vaccins. Pourtant, la folie covidiste de nombreux gouvernements occidentaux perdure et déforme la réalité pour mieux imposer leur dictature.
Que dire aussi des rapports et études scientifiques qui ne sont jamais publiés dans des revues officielles pour des raisons idéologiques ou économiques, ou qui déplaisent fortement à Big Pharma, et des études officielles qui sont jugées trop critiques et qui se voient rétractées ou supprimées sans fondement scientifique (et où les quelques imprécisions ou erreurs n’entachent pas la conclusion générale et la qualité globale du travail comme dans l’étude du Pr. Walach). En amont, la façon d’enregistrer les chiffres est déjà biaisée ce qui fausse toutes les conclusions, où par exemple selon les définitions choisies par la CDC, la Drees, Sciensano, etc. sont malhonnêtes, considérant les nouvellement vaccinés (7 à 14 jours après l’injection) comme étant encore non-vaccinés dans les statistiques, et les non-vaccinés qui se font hospitaliser pour d’autres raisons que le Covid sont placés parfois dans la zone covid ou le sont de force s’ils sont testés positif (alors que les tests pcr ne sont pas vraiment fiables et que la majorité des gens sont asymptomatiques) et seront donc comptés comme décès ou hospitalisation Covid alors que le virus n’y est pour rien (ou pas pour grand chose a minima). Et même en falsifiant les chiffres, il y a toujours plus de vaccinés hospitalisés ou décédés du Covid (réellement cette fois-ci) que de non-vaccinés en valeur absolue (en France, en Belgique, au Royaume-Uni, en Israël, aux États-Unis, etc.). D’autres pays comme l’Australie et l’Islande, comptent plus de décès et d’hospitalisations liés aux vaccins anti covid qu’au Covid lui-même.
Au Danemark, le variant Omicron touche plus les vaccinés que les non-vaccinés, alors que les non-vaccinés circulent aussi là où le virus peut se propager. Par ailleurs, beaucoup de contaminations sont le fait de personnes totalement vaccinées.
« La politique vaccinale bat son plein dans de nombreux pays avec des thérapies géniques en phase 3 d’essai clinique qui se terminent au plus tôt en 2022. Depuis les documents enregistrés avec les régulateurs (FDA Federal Drug Agency, EMA European Medecine Agency) qui étaient faites par les fabricants des vaccins, quelques études d’efficacité ont été réalisées dont celle de Dagan et al en Israël, un des pays ayant le plus vacciné. Avec une autorisation temporaire d’utilisation, de nombreuses études sur la génotoxicité, immunotoxicité et biodistribution n’étaient pas disponibles alors qu’elles sont des informations clés pour l’obtention d’une autorisation complète. Les attentions se sont donc tournées vers les bases de données de pharmacovigilance pour mesurer les effets secondaires avec une donnée importante et connue, la sous-déclaration des effets secondaires. Il est en effet complexe de déclarer les effets secondaires et des études ont estimé cette sous-déclaration. Un groupe de chercheurs autour du Pr Walach a tenté d’amener un éclairage sur les choix et les conséquences des politiques vaccinales sur les données disponibles à l’heure actuelle. Son étude, après avoir été revue par les pairs et publiée dans la revue Vaccines a été retractée sous la menace de démission d’un certains nombres de membres du comité éditorial – dont certains ont des liens d’intérêt bien réels avec l’industrie pharmaceutique. Cette vidéo revoit l’étude de Walach, mettant en avant de manière indépendante les avantages et les inconvénients du travail effectué, pour conclure qu’en l’état actuel des choses, l’étude aurait pu faire l’objet d’une modification de texte. Cependant ses conclusions tiennent et doivent faire l’objet d’une analyse approfondie. Le point principal qui a poussé le directeur de la publication à rétracter l’étude est lié à l’imputabilité des effets secondaires graves au vaccin, ce qui fait l’objet d’une discussion. L’article essaie aussi d’estimer les intervalles de confiance associés aux diverses variables de l’étude Walach ». (“A-t-on le droit de questionner la politique vaccinale ?”, Décoder l’éco, 10 juillet 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=OBziif1cYug).
L’étude de Walach a été retirée sans raison convaincante, et leurs auteurs sont en désaccord et ont pu justifier scientifiquement et logiquement leurs données et positions, sur base d’estimations et de chiffres fiables et plausibles, – qui peuvent, comme toute autre étude statistique, comporter des « lacunes » ou des « écarts » (qu’il faudra corriger et actualiser) avec ce qu’il adviendra dans la réalité – tout en y mettant les réserves et nuances qui s’imposent en pareil cas, mais ils ont été censurés pour des raisons idéologiques et politiques plus que scientifiques. Il y a une « erreur » dans l’article, qui était de laisser sous-entendre que tous les décès et complications graves survenant après la vaccination étaient causés par le vaccin, – ce qui est loin d’être toujours le cas bien que cela soit tout de même fréquent (et non pas « rare ») dans le contexte des vaccins à ARNm contre le Covid -, mais d’un autre côté, cette « erreur » dont les chiffres doivent être revus à la baisse -, est compensée par un phénomène bien connu et attesté qui est celui d’une forte sous-évaluation des cas qui ne remontent pas dans les basées de données dédiées à la pharmacovigilance, et dont des études ont montré qu’entre 60 et 95% des cas n’étaient pas enregistrés dans ces bases de données (« Chapitre 5 – La pharmacovigilance », LEEM (Les entreprises du médicament) p.4, : https://www.leem.org/sites/default/files/pharmacovigilance.PDF) pour plusieurs raisons (en plus du fait que dans le contexte du Covid, beaucoup d’efforts sont fournis pour éviter que les cas graves remontent par des « voies officielles » afin de ne pas ternir le « prestige » des vaccins et donc des firmes pharmaceutiques, – beaucoup de données sont ainsi « privées » et rendues inaccessibles (ou difficilement) aux chercheurs pour vérifier l’imputabilité des décès et effets secondaires aux vaccins (ce qui aurait tendance à prouver les conclusions de l’étude de Walach sur la dangerosité de ces vaccins). En conclusion, l’étude de Walach est globalement pertinente mais le résultat final peut être logiquement revu à la hausse (leur donnant encore « plus raison ») sur la balance bénéfice/risque, mais ; c’est l’interprétation de Walach qui doit être légèrement corrigée tout au plus (son interprétation peut être juste, comme étant sous-évaluée ou surévaluée car il y a d’une part des « événements » survenus indépendamment du vaccin, et d’autre part, beaucoup d’effets/décès liés aux vaccins qui n’ont pas été comptabilisés), ce qui, dans tous les cas, manifeste un « signal fort » qu’il y a là un problème majeur sur les vaccins (taux anormalement élevé de décès/effets secondaires d’au moins 30 fois supérieures avec les autres vaccins), et d’autre part, beaucoup d’incertitudes sur les complications et effets à long terme ! Dès lors, la balance bénéfice/risque ne penche pas du côté de ces vaccins. Dans leur étude, il manque toutefois d’autres données intéressantes à analyser, comme l’estimation concernant les formes graves du Covid-19 évitées par la vaccination (à ARNm), les âges des décès évités par le vaccin et ceux qui sont dus au vaccin. Plusieurs mois après l’étude du Pr. Walach, les faits lui donnent raison ; non seulement il n’y a aucune nécessité impérieuse de vacciner les jeunes et adultes en bonne santé contre un virus qui n’engendre que très peu de formes graves ou de décès chez eux, mais dont ces pseudo-vaccins présentent une efficacité soit nulle soit même négative dans de nombreux cas (“vaccine efficacy omicron variant denmark”, 14 décembre 2021, Dr. Robert Malone, 25 décembre 2021 : https://twitter.com/RWMaloneMD/status/1474808861429280776 et https://boriquagato.substack.com/p/addendumcorrection-to-danish-ve-data) d’où aussi la surmortalité enregistrée dans les pays occidentaux fortement vaccinés, ainsi que des risques majeurs sur le court terme déjà bien connu et établi, – sans même parler des risques inconnus sur le long terme -, avec des pays où les décès imputables à ces pseudo-vaccins à ARNm surpassent les décès imputables au Covid-19…,
Il est donc nécessaire de remettre de l’ordre dans tout cela, et de voir la cohérence globale entre les études scientifiques sérieuses (ne comportant pas ou très peu de biais) et celles qui ne le sont pas (souvent financées par Big Pharma directement ou indirectement), les discours politiques, les discours médiatiques et enfin la réalité sur le terrain (hôpitaux, laboratoires, écoles, restaurants, nos proches et nos connaissances, etc.) pour voir si la description et les explications données par les politiciens, les médias et les spécialistes sont pertinentes, justes et cohérentes, et là on s’apercevra de l’immense supercherie liée au Covid et à la pseudo-vaccination et à ses résultats catastrophiques où aucune promesse n’a été tenue dans la lutte contre le virus, mais où l’on dénombre des centaines de milliers de décès imputés à ces vaccins, des millions de complications graves, des milliards d’euro que la population occidentale devra rembourser, une totale impunité pour des criminels notoires ayant vendu ces pseudo-vaccins au prix fort pour une inefficacité effarante face à un virus moins mortel (ou similaire) que la grippe, mais dont les pseudo-vaccins ayant conduit à la mort ou à l’hospitalisation grave et longue ne leur seront aucunement reproché et qu’ils ne devront absolument pas rembourser, grâce aux criminels et lâches qui occupent les fonctions politiques dans de nombreux gouvernements occidentaux.
La très sérieuse revue médicale britannique – BmJ – censurée par facebook en raison d’études scientifiques ne plaisant pas à Big Pharma et à Facebook. (“The BMJ to Facebook—Stop Censoring Us and Shut Down Your Incompetent Fact-Checkers”, Trial Site News, 17 décembre 2021 : https://trialsitenews.com/the-bmj-to-facebook-stop-censoring-us-and-shut-down-your-incompetent-fact-checkers/ ; voir aussi la critique de BmJ contre l’incompétence et le fanatisme des pseudo-facts checkers de Facebook, “Covid-19: Who fact checks health and science on Facebook?”, BMJ, 25 mai 2021 : https://www.bmj.com/content/bmj/373/bmj.n1170.full.pdf).
Contrairement à une fake news très répandue par les médias mainstream, beaucoup d’anti-vax (concernant les vaccins anti-Covid) sont des gens qui ont été vaccinés contre le Covid, soit sous la contrainte et le chantage, soit parce qu’ils ont tout de même contracté des formes légères ou graves du Covid ou parce qu’ils ont contracté des complications graves ou handicapantes à cause de ces vaccins, ou encore car certains de leurs proches sont décédés à cause (essentiellement ou en partie) de ces vaccins, surtout qu’ils ne faisaient pas partie des personnes à risque concernant le Covid. Des pages facebook et des comptes youtube, – beaucoup ayant été supprimés -, dans le monde francophone comme anglophones, qui se comptaient en millions d’utilisateurs, faisaient état des décès ou des complications graves en lien avec ces pseudo-vaccins… Tout cela est politique et financier plus que sanitaire. De nombreux vaccinés (qui ont été dupés ou contraints de le faire) s’opposent aux mesures gouvernementales et aux mensonges médiatiques visant à cliver la société et à utiliser les non-vaccinés comme des boucs émissaires, alors même que dans des régions où la population est vaccinée entre 95 et 100%, les contaminations et formes graves existent encore. La fourberie et le cynisme du côté des médias pro-vax ne semblent n’avoir aucune limite, avec ce genre d’articles odieux où le malheur des gens est exploité de façon malhonnête et criminelle : « Tristan, atteint d’une tumeur, il a vu son opération repoussée à deux reprises : “Il y a un sentiment de colère car il est assez anormal de ne pas pouvoir se faire soigner car des gens n’arrivent pas à accepter de se faire vacciner (…) ». (“Coronavirus : la “colère” de Tristan, atteint d’une tumeur, après son opération déprogrammée”, RTL France, 28 décembre 2021 : https://www.rtl.fr/actu/debats-societe/coronavirus-la-colere-de-tristan-atteint-d-une-tumeur-apres-son-operation-deprogrammee-7900109422). Or, c’était déjà le cas bien avant le Covid (avec la grippe hivernale notamment), puis des milliers de vaccinés meurent du Covid ou sont hospitalisés, et saturent les hôpitaux (plus que les non-vaccinés par rapport au Covid), ou saturent les hôpitaux à cause des complications graves liées aux « vaccins » à ARNm… De plus, ce sont les gouvernements comme la France qui suppriment des milliers de lits et virent du personnel par milliers, puis ils s’en étonnent…
Le journaliste et spécialiste en relations internationales Alexis Poulin dénonçait aussi la volonté politique d’écarter toutes les solutions prometteuses pour lutter contre le Covid afin de contenter Pfizer, l’échec de la stratégie vaccinale (en plus de son coût exorbitant pour un résultat catastrophique) et les dérives autoritaires du gouvernement français. (“Alexis Poulin : «La stratégie vaccinale a jusqu’à présent montré ses limites»”, Russia Today, 21 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=hVR_8H-7H9k), affirmant que : « on est en train de rentrer dans un monde du contrôle total (…) avec des lois totalement scélérates (…) et la volonté de rendre la vie impossible aux non-vaccinés (…) et à ceux qui n’ont pas un schéma complet de vaccination (…), une mesure dangereuse pour la démocratie » (“Restrictions sanitaires : «Des lois totalement scélérates»”, Russia Today, 27 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=SN5ZZiyQNts) et « (…) c’est de l’extorsion vaccinale (…) et on (les autorités) est en train de jouer avec la santé des français, parce qu’on ne sait pas quoi faire d’autre que vacciner [alors que ça ne fonctionne pas] puisqu’on a empêché à la fois la recherche sur d’autres solutions et puis la prescription libre pour de nombreux médecins qui commencent à en avoir là aussi assez de cette politique qui va droit dans le mur. (…) le corps médical qui doit dénoncer la politique « médicale/sanitaire » [catastrophique] d’Emmanuel Macron. Puis la France est quand même le seul pays à avoir fermé plus de 5000 lits (d’hôpitaux) pendant cette crise sanitaire (…). L’extorsion vaccinale est désormais la seule ligne directrice de cette politique sanitaire, sachant que l’on ne sait pas si le vaccin protège au-delà de 3 semaines (…) et que l’on sait maintenant qu’il n’empêche pas de contaminer autour de soi même si on est vacciné et même si les vaccinés peuvent aussi attraper ce virus. (…) Cette stratégie de l’ingénierie sociale (…) c’est-à-dire faire accepter petit à petit l’inacceptable, la fin des libertés, l’enterrement du choix libre et éclairé, de disposer de son propre corps (…). Vous (les autorités) êtes responsables de cette politique du bouc émissaire (envers les non-vaccinés ou vaccinés « incomplets ») depuis des semaines qui est insupportable, car (selon les autorités) « ce sont eux qui engorgent les urgences (ce qui est faux), ce sont les pires de la société », le non-vacciné est devenu le bouc-émissaire de la politique sanitaire de Véran et de Macron, c’est proprement indigne (…), C’est un aveu d’échec sur les fermetures des lits, le burn out général de la profession de soignant (déjà avant le Covid-19), et qui au final n’ont pas plus de moyens et qu’ils sont en train de se rendre compte qu’ils ne pourront pas faire de miracles et qu’il y aura des morts parce que c’est une politique criminelle qui a été mise en place depuis le début ». (“Conférence de Castex et Véran : Alexis Poulin s’attend à «des mesures assez illisibles»”, Russia Today, 27 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=iZ1xhSTgDk0). C’est d’ailleurs la même politique criminelle et la stratégie employées pour « criminaliser » et diaboliser l’Islam et les musulmans, et les priver de nombreux droits fondamentaux en France et pousser la société à les détester de façon totalement irrationnelle, comme pour les non-vaccinés ou les vaccinés « incomplets ».
Or il existe déjà des solutions qui ont montré leur efficacité face au Covid – que des autorités occidentales ignorent volontairement -, comme une meilleure ventilation des endroits clos (pouvant réduire 95% des contaminations selon plusieurs études, notamment taïwanaises), une meilleure alimentation comprenant du zinc, de la vitamine C et de la vitamine D notamment, lutter contre l’obésité et le diabète, des traitements préventifs comme l’ivermectine en cas de symptômes, une meilleure hygiène de vie, maintenir quelques gestes barrières, etc., ce qui reste moins coûteux que la vaccination tout en étant bien plus efficace et bien moins dangereux pour la santé ! La « crise du Covid » sur le plan sanitaire est similaire à celle de la grippe ordinaire comme l’ont dit de nombreux experts[1], et les sociétés ne s’effondraient pas même en l’absence de mesures politiques et sanitaires, or ce qui a empiré les choses avec le Covid, c’est la politique catastrophique des autorités de nombreux pays, notamment en « exagérant » et en portant le « focus » de façon à faire croire à une catastrophe qui n’en est pas une, car les chiffres parlent d’eux-mêmes par rapport aux années précédentes qui étaient similaires (décès/hospitalisations pour la grippe, saturation des hôpitaux en période hivernale, burn out des professionnels de santé, etc.) alors que les gouvernements successifs n’ont rien fait pour améliorer tout ça !
[1] Jean-Michel Claverie, Laurent Toubiana, Martin Blachier après son changement de position, Robert Malone, Christian Perronne, Louis Fouché, …
La France a fait appel d’ailleurs à une entreprise américaine pour la gestion de la vaccination en France. Problème, cette société était impliquée dans la mort de centaines de milliers d’américains aux Etats-Unis dans la crise des opiacés… : « Le cabinet de conseil américain McKinsey, qui collabore avec le ministère de la Santé sur la stratégie et la logistique de la campagne de vaccination, est au coeur d’un scandale de santé publique aux USA. Une association qui fait scandale. (…), le ministère de la Santé s’est attaché les services de plusieurs entreprises privées, dont le prestigieux cabinet américain McKinsey, pour piloter la campagne de vaccination… Avec un résultat pour l’instant peu probant, malgré une prestation facturée 2 millions d’euros par mois, par le géant US du conseil ! (…). Outre le choix de recourir à un cabinet privé américain plutôt qu’aux agents de l’administration pour organiser l’un des plus grands défis sanitaires de ces dernières années, le pedigree même de McKinsey a de quoi interroger. Et pour cause : le cabinet, qui conseille 147 des 200 plus grandes entreprises mondiales, comme le rappelle France Culture, a récemment terni sa réputation par son implication dans un scandale sanitaire de grande ampleur, aux Etats-Unis. Il s’agit de la crise dite des opiacés, ces médicaments dérivés de l’opium au puissant pouvoir addictif. Depuis le début des années 2000, la généralisation de la prescription et la consommation de plus en plus massive, de ces antalgiques auparavant réservés aux malades du cancer en phase terminale, auraient causé entre 300.000 et 500.000 décès par overdose dans le pays. L’une des principales entreprises pharmaceutiques jugée responsable de la crise est Purdue Pharma. Ce laboratoire commercialise l’OxyContin, souvent décrit comme un “opiacé tueur” par la presse américaine. Accusé d’avoir volontairement alimenté la surconsommation de ce produit en multipliant les campagnes de marketing et de lobbying — mais aussi en versant des pots-de-vin aux médecins — Purdue Pharma a été visé par plus de 2.000 plaintes aux Etats-Unis. Une avalanche de procédures judiciaires qui a conduit ses dirigeants à plaider coupable et à déclencher une mise en faillite, fin 2019, afin de pouvoir verser plus de 8 milliards de dollars d’amende, qui serviront dans la lutte contre la crise des opiacés.
Or, depuis 2008 et jusqu’à récemment, Purdue Pharma était un client important de McKinsey. Malgré les alertes sanitaires, les consultants du cabinet de conseil auraient aidé le labo à maximiser ses ventes d’opiacés, quitte à contourner les mesures de santé publique visant à en réduire la consommation. Les investigations de la justice américaine, relayées par le New York Times, ont notamment mis en lumière l’incroyable stratégie marketing proposée par McKinsey à Purdue Pharma en 2017, alors que la dangerosité de l’OxyContin était déjà clairement établie. Pour faire face aux éventuels tourments éthiques des distributeurs, principalement les pharmaciens, le cabinet suggérait carrément à Purdue Pharma d’offrir une remise à chaque overdose attribuée à l’OxyContin. (…). Dans un communiqué publié début décembre 2020 sur son site internet (relayé par Consultor), l’entreprise a reconnu “ne pas avoir suffisamment pris en compte l’impact dramatique des abus et de l’addiction aux opiacés pour des millions de familles américaines”, dans le cadre de sa collaboration avec Purdue Pharma. Cette faute a largement écorné la réputation de McKinsey aux Etats-Unis, malgré sa récente décision de mettre un terme à toute implication dans le “business des opiacés”, à travers le monde. Néanmoins, cela n’a pas suffi à effrayer le gouvernement français, qui lui a fait confiance pour sa campagne de vaccination. Contactés, le ministère de la Santé et le cabinet de conseil McKinsey n’avaient pas répondu à nos demandes au moment de la publication de cet article ». (“Vaccin : le cabinet de conseil du gouvernement empêtré dans un scandale sanitaire aux Etats-Unis”, Capital, 7 janvier 2021 et mis à jour le 9 décembre 2021 : https://www.capital.fr/economie-politique/vaccin-le-cabinet-de-conseil-du-gouvernement-empetre-dans-un-scandale-sanitaire-aux-etats-unis-1390302). A tous les niveaux de la « chaine », nous y trouvons des criminels et des conflits d’intérêts où les bénéfices se chiffrent en milliards d’euro, ce qui devrait alerter n’importe quel individu capable de réfléchir…
Entre les affirmations de Pfizer, les études de scientifiques non-affiliées directement à Big Pharma, puis la réalité sur le terrain, on passe d’une efficacité théorique de 95% (selon Pfizer) à 15-25% d’efficacité (selon plusieurs études dans différents pays), puis à 0% (voire même un chiffre négatif ; certains vaccinés voient une baisse de leur immunité naturelle par rapport aux non-vaccinés) dans la réalité (quand on peaufine les statistiques et que l’on élimine les différents biais) : « « Même les triples vaccinés sont susceptibles de transmettre le Covid-19 » (…). Une équipe allemande a fait récemment état d’une baisse très rapide de l’efficacité, même après trois doses. Après trois mois, celle-ci retombait à 25 % ». (“Ugur Sahin, PDG de BioNTech : « Même les triples vaccinés sont susceptibles de transmettre le Covid-19 »”, Le Monde, 20 décembre 2021 : https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/20/ugur-sahin-pdg-de-biontech-meme-les-triple-vaccines-sont-susceptibles-de-transmettre-omicron_6106748_3244.html).
En effet, le virus et ses variants touchent très peu les non-vaccinés qui ont globalement une bonne santé et qui n’ont pas de comorbidités sévères. Or, les vaccinés qui avaient une bonne santé ont tendance à voir leur santé devenir plus fragile face aux variants, et ceux qui ont des comorbidités sont aussi touchés par les formes graves du Covid même s’ils sont doublement ou triplement vaccinés (même après seulement 3 à 4 semaines après avoir reçu le vaccin, – peu importe le nombre de doses -.
L’inefficacité vaccinale (anti-Covid) se vérifie aussi par l’inefficacité des 2 doses, que ce soit sur le court terme (beaucoup de transmissions et de contaminations, – avec la manifestation de symptômes ou non – chez les vaccinés) ou sur le « long terme » (6 mois d’efficacité maximale théorique selon Pfizer et les autorités politiques), et ce, sans parler des nombreux effets secondaires indésirables et de la surmortalité constatée chez de nombreux vaccinés n’ayant pas reçu la « dose placebo ». Or, la 3ème dose, – l’OMS disait pourtant qu’il n’y avait aucune preuve réelle de sa nécessité ou de son efficacité en 2021 – ne résoudra rien, et pire même, pourra tuer davantage de citoyens sachant que chaque nouvelle dose (non-placebo) peut causer potentiellement de terribles dégâts (beaucoup de gens ont succombé après leur 2ème dose), et pourtant cela n’empêche pas les autorités politiques d’imposer un poison à la population et de ne pas prendre au sérieux les données médicales et les risques potentiels pour la population : « Comme la semaine dernière, des soignants vont à nouveau se mobiliser ce lundi matin devant le cabinet du ministre fédéral de la Santé, Frank Vandenbroucke. La raison ? Exprimer leur mécontentement face à l’obligation vaccinale qui les guète. Pendant ce temps, l’administration de la dose booster se poursuit dans les hôpitaux. Ce mardi, ce seront les cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles qui débuteront la nouvelle procédure. Pourquoi cette 3e dose est si importante ? Éléments d’explications avec Sébastien Gourdin, responsable projet optimisation aux cliniques Saint-Luc: “Quand on constate le nombre de personnes absentes aujourd’hui, quand on constate les difficultés majeures qu’on a dans les unités de soins pour avoir le personnel nécessaire pour pouvoir s’occuper des patients qui sont nombreux pour l’instant à l’hôpital, c’est important d’avoir tout le monde sur le pont et d’éviter ces contaminations”, urge Sébastien Gourdin. Pour lui, cette 3e dose est nécessaire parmi le personnel soignant: “Clairement, c’est l’objectif de cette 3e dose: freiner cette transmission parmi le personnel vacciné et de pouvoir avoir un maximum de personnes sur le pont”, avance-t-il. Mais cette dose booster permettrait aussi de désengorger notre système de soins de santé, et donc, par la même occasion, stabiliser la situation épidémiologique en Belgique pour Noël et le nouvel an, explique Sébastien Gourdin: “Et accessoirement aussi, de passer des fêtes de fin d’année sereines”, conclut-il. La campagne de rappel de la vaccination anti covid est désormais ouverte à l’ensemble de la population. Objectif: faire en sorte que 3 millions de Belges y aient accès avant les fêtes. A Bruxelles, la plateforme Bruvax est déjà en fonction pour les prises de rendez-vous. Il n’y a pas de critère d’âge, il faut uniquement s’assurer d’être dans les délais. Les Wallons recevront quant à eux leur convocation personnelle, par mail, sms ou courrier postal ». (“3e dose: pourquoi est-elle si importante? La réponse de Sébastien Gourdin, responsable aux cliniques Saint-Luc”, RTL, 29 novembre 2021 : https://www.rtl.be/info/magazine/sante/3e-dose-pourquoi-est-elle-si-importante-la-reponse-de-sebastien-gourdin-responsable-aux-cliniques-saint-luc-1340722.aspx). On retient donc que « la 3ème dose nécessaire pour éviter que le personnel de santé doublement vacciné ne contamine les autres », montrant ainsi l’inefficacité vaccinale dans la transmission du virus…
Quant au nouveau variant Omicron, ils savaient déjà, – sans preuve aucune – qu’il existerait des variants (et s’ils le savaient, pourquoi ont-ils menti ainsi aux citoyens ?), le Premier ministre belge Alexander De Croo affirmait ainsi : « On savait qu’il y allait avoir de nouveaux variants, la question était de savoir quand. Mais il va encore y en avoir des nouveaux”. Le libéral flamand a rappelé que la Belgique avait agi rapidement face à cette menace: “On a pris des mesures tout de suite. Vendredi, on a décidé que les personnes qui arrivent d’un pays à risque doivent être en quarantaine et que les non-Belges ne peuvent pas entrer dans le pays”, a-t-il rappelé. “Maintenant, il faut analyser et comprendre l’envergure de ce nouveau variant. Il faut tout faire pour qu’au sein de l’Union européenne, on ne revienne pas aux contrôles aux frontières » (“Alexander De Croo évoque les fêtes de fin d’année: “Il y a quand même une grosse différence par rapport à l’année passée””, La Libre, 29 novembre 2021 : https://www.lalibre.be/belgique/politique-belge/2021/11/29/alexander-de-croo-les-fetes-de-fin-dannee-vont-dependre-de-notre-comportement-26XXMDTFM5GLPOX5D2N6VUDPPA/).
Face au nouveau variant, Moderna et Pfizer ont déjà annoncé leur volonté de « travailler » sur une nouvelle dose plus adaptée au variant Omicron, or le temps qu’ils travailleront efficacement sur « Omicron » ce dernier laissera probablement déjà la place à un autre variant. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen manifestait encore une fois son irresponsabilité et sa soumission à Big Pharma à ce sujet : « (…) “Scientifiques et fabricants ont besoin de deux à trois semaines pour avoir une vision complète des caractéristiques des mutations de ce variant Omicron”, a-t-elle ajouté. “Nous devons gagner du temps”, a-t-elle poursuivi, appelant les populations à se faire vacciner, à porter le masque et à respecter la distanciation nécessaire. Elle a indiqué qu’un contrat signé cet été par la Commission européenne avec la coentreprise BioNTech-Pfizer pour 1,8 milliard de doses de vaccin comprenait une clause prévoyant le cas d’un variant échappant au vaccin existant. Par cette clause, le laboratoire s’engage alors à être en mesure d’adapter son vaccin dans les 100 jours, a-t-elle affirmé ». (“”Une course contre la montre est engagée pour jauger le variant Omicron””, L’Avenir, 28 novembre 2021 : https://www.lavenir.net/cnt/dmf20211128_01640416/une-course-contre-la-montre-est-engagee-pour-jauger-le-variant-omicron).
Qu’ils commencent déjà par faire un vrai vaccin efficace contre le Covid-19 d’origine et ses variants, et surtout, qui soit inoffensif et sûr car il est dangereux (et même mortel dans des centaines de milliers de cas déjà recensé) pour une efficacité nulle (d’où les nombreuses doses, toutes aussi inefficaces les unes que les autres) et qui ne dure pas du tout dans le temps (grand max 6 mois même selon Pfizer…).
« D’après le patron du laboratoire BioNTech et cocréateur de l’un des vaccins contre le covid, « Je crois fondamentalement que nous aurons besoin d’un nouveau vaccin contre ce nouveau variant ». C’est ce qu’a affirmé Ugur Sahin au quotidien allemand Handelsblatt. D’après lui, le risque est que le variant omicron continue d’infecter des personnes vaccinées ou guéries. Et ce, même si « les vaccins continuent de protéger contre les formes graves du covid, quel que soit le variant », a-t-il insisté. Actuellement, les experts ignorent si le vaccin protège contre le nouveau variant. « Ce virus hautement mutant est arrivé plus tôt que je ne l’avais prévu. Je m’attendais plutôt à le voir apparaître l’année prochaine », a-t-il confié, avant d’ajouter : « BioNTech peut modifier rapidement son vaccin si nécessaire ». Pour le patron du laboratoire allemand, il faut pouvoir s’adapter rapidement ». (“Variant omicron: un nouveau vaccin sera nécessaire, selon le patron de BioNTech”, Le Soir, 6 décembre 2021 : https://www.lesoir.be/410769/article/2021-12-06/variant-omicron-un-nouveau-vaccin-sera-necessaire-selon-le-patron-de-biontech). C’est pourtant faux, les vaccins ne présentent aucune efficacité significative contre les formes graves, pas plus que les personnes non-vaccinées de la même catégorie.
Cependant, Pfizer ment encore une fois ici puisque plusieurs études indiquent que le « vaccin » Pfizer se révèle très inefficace par rapport au variant Omicron. En effet, selon une étude publiée sur MdRxiv, le variant Omicron échappe au sérum des personnes vaccinées par Pfizer et AstraZeneca : « Alpha, Bêta, Delta, tous les variants du coronavirus qui ont émergé après l’élaboration des vaccins anti-Covid échappent plus ou moins aux anticorps neutralisants générés par l’injection. Les études préliminaires indiquent qu’Omicron n’échappe pas à la règle ! Dans une étude prépubliée sur medRxiv, des scientifiques de l’université d’Oxford ont mis le sérum de personnes vaccinées avec Pfizer ou Astra Zeneca face aux variants du SARS-CoV-2, dont le dernier en date Omicron. Comme cela était redouté, le variant Omicron échappe aux anticorps neutralisants présents dans le sérum des vaccinés, bien plus que les autres variants. (…). La protéine S hyper-mutée du variant Omicron l’éloigne des autres variants phylogénétiquement et de la souche utilisée pour concevoir les vaccins. Si le variant Omicron devient majoritaire, les auteurs de l’étude pensent qu’il faudra adapter les vaccins. Ils écrivent : « Si cela devait se produire, il pourrait être nécessaire de produire des vaccins adaptés à Omicron. Cependant, en raison de la distance antigénique d’Omicron, il est peu probable qu’ils offrent une protection contre les souches précédentes » (“Le variant Omicron échappe au sérum des personnes vaccinées par Pfizer et AstraZeneca”, Futura Sciences, 14 décembre 2021 : https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/variant-coronavirus-variant-omicron-echappe-serum-personnes-vaccinees-pfizer-astrazeneca-95543/#xtor%3DAL-80-1%5BACTU%5D-95543%5BLe-variant-Omicron-echappe-au-serum-des-personnes-vaccinees-par-Pfizer-et-AstraZeneca%5D). Et selon une étude danoise du 12 décembre 2021 intitulée Covid-19 Rapport om omikronvarianten – Status of the SARS-CoV-2 variant Omicron in Denmark (https://files.ssi.dk/covid19/omikron/statusrapport/rapport-omikronvarianten-12122021-k29d)., les personnes non-vaccinées sont moins touchées ou affectées par ce variant.
L’UE a déjà acheté plus de 4,4 milliards de doses (l’équivalent de 10 doses pour la population européenne) avec l’argent des citoyens européens.
Le Japon impose maintenant à préciser sur les doses des vaccins Moderna et Pfizer qu’ils comportent potentiellement des effets indésirables très graves. (“”5e vague” : ce que Castex n’a pas dit”, Union Populaire Républicaine, François Asselineau, 7 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=CZkqrh517VM).
Début décembre 2021, sur la chaine TV japonaise ANN TV, les autorités de santé parlaient de la vigilance de la myocardite post-vaccinale qui a été élevée à une « réaction vaccinale grave ». En d’autres termes, le vaccin a été officiellement certifié comme hautement toxique au Japon.
Le média NHK au Japon relatait ceci : « Japan’s health ministry has listed inflammation of the heart muscle and of the outer lining of the heart in younger males as possible serious side effects of the Moderna and Pfizer COVID vaccines. It says that as of November 14, out of every one million males who had the Moderna vaccine, such side effects were reported in 81.79 males aged 10 to 19 and 48.76 males in their 20s. The figures were 15.66 and 13.32 respectively for those who had the Pfizer vaccine. The ministry held a panel of expert on Saturday and proposed warning of the risk by printing “serious side effects” on the documents attached to the vaccines. It will also require hospitals to report in detail incidents involving people who developed the symptoms within 28 days after being vaccinated, according to the law. The plan was approved by the panel, and the ministry will notify municipalities ». (“Health ministry warns of vaccine’s side effects”, NHK, 4 décembre 2021 : https://www3.nhk.or.jp/nhkworld/en/news/20211204_12/).
Ou encore : « Le ministère japonais de la Santé lance une mise en garde sur les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 Pfizer et Moderna chez les adolescents et les jeunes individus de sexe masculin. Certains d’entre eux ont en effet développé de sérieux troubles cardiaques. Cette mise en garde par le gouvernement de la troisième puissance économique du monde est très importante car elle prouve qu’il y a, dans le monde industrialisé, des Etats qui se préoccupent de protéger leur population et ne sont pas corruptibles par une entreprise, aussi puissante soit-elle. Des cas d’inflammation du muscle cardiaque. Face aux risques d’inflammations cardiaques, la Haute Autorité de Santé française et les pays nordiques déconseillent Moderna chez les moins de 30 ans. (…) Selon le Ministère de la Santé japonais, ces troubles sont des effets secondaires des vaccins à ARNm Pfizer et Moderna puisque les symptômes sont apparus quelques jours après l’injection. Le bilan a été établi le 14 novembre après le suivi d’un million de jeunes Japonais vaccinés. Il faut souligner que bon nombre des victimes ont reçu le vaccin anti-Covid Moderna. (…) ». (“Japon: Le ministère de la Santé alerte sur les effets secondaires graves des vaccins Pfizer et Moderna sur les jeunes”, Le Courrier des stratèges, 6 décembre 2021 : https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/12/06/japon-le-ministere-de-la-sante-alerte-sur-les-effets-secondaires-graves-du-vaccin-sur-les-jeunes/).
Dès le mois d’octobre 2021 au Japon, de plus en plus de Japonais désertaient les centres de vaccination, en cause, des fragments de plastique, de caoutchouc, d’acier et d’autres corps étrangers n’ayant rien à faire dans un vaccin avaient été retrouvés dans de nombreuses doses du « vaccin » Moderna, ainsi, après le décès de nombreux japonais (plus de 1000 décès en date du début du mois d’octobre 2021) à la suite de la vaccination (aucune autre explication ne permettant d’expliquer leur décès), des millions de doses étaient concernés par ces impuretés et n’ont pas été administrées, sauvant ainsi potentiellement la vie à des milliers de japonais : « La campagne de vaccination connaît un brutal coup d’arrêt en ce moment dans l’archipel. Un Japonais sur trois n’a toujours pas été inoculé mais les vaccinodromes ferment les uns après les autres car de moins en moins de gens s’y rendent. En cause, un scandale retentissant a sapé la confiance de l’opinion envers les vaccins. C’est l’affaire des « vaccins impurs », comme on l’appelle au Japon. Le scandale des « fioles souillées », comme les médias japonais disent aussi. À Tokyo, un reportage de Bruno Duval » (“Japon: un scandale met un coup d’arrêt aux vaccinations”, RFI, 23 octobre 2021 : https://www.rfi.fr/fr/podcasts/reportage-international/20211022-japon-un-scandale-met-un-coup-d-arr%C3%AAt-aux-vaccinations). Par ailleurs, le nombre de décès Covid a considérablement augmenté depuis la campagne vaccinale, environ 5000 décès avant, et plus de 13 000 décès depuis la campagne vaccinale, soit une surmortalité de 3000 décès au moins depuis la vaccination, qui a donc empiré la situation par rapport à 2020 (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/japan/).
Le cas de l’Inde est intéressant, puisque durant la période vaccinale on dénombre une surmortalité d’environ 176 000 morts (environ 150 000 décès durant la période pré-vaccinale, et plus de 326 000 décès durant la période vaccinale, pour un total de 476 478 décès depuis le début de la pandémie), et durant l’été 2021, la phase de vaccination a stagné et d’autres solutions furent mises en œuvre (prévention médicale, usage de l’ivermectine, …) ce qui a considérablement freiné l’épidémie et le nombre de morts (https://www.worldometers.info/coronavirus/country/india/ ; voir aussi “Inde: la lenteur de la vaccination et l’émergence du variant “Delta plus” ouvrent le risque d’une 3e vague”, La libre, 4 juillet 2021 : https://www.lalibre.be/international/asie/2021/07/04/la-lenteur-de-la-vaccination-ouvre-le-risque-dune-3e-vague-RNUV64OP6ZHRZPK426UEV2CMGY/).
En France, un record a été franchi en décembre 2021, celui du pic atteint en termes de contaminations, alors qu’il y a officiellement un taux de vaccination à plus de 85%, ce qui signifie que la vaccination ne réduit pas du tout les risques de contaminations ou de transmissions à l’échelle « macro » de toute une nation, comme cela était indiqué sur Cnews dans l’émission animée par Pascal Praud.
En Belgique selon un chiffre hypothétique très contestable (chiffre gonflé à la hausse), avancé par le Premier ministre belge Alexander De Croo, la vaccination aurait évité la mort de tout au plus 7800 personnes en Belgique, soit moins de 0, 1% de la population (sur une population totale de plus de 11, 5 millions d’habitants début 2021), alors que la majeure partie de la population est désormais officiellement vaccinée. Il a dit en effet : « Il faut oser dire que nous n’avons pas correctement apprécié la situation. Nous pensions que la vaccination allait nous apporter la liberté mais, en réalité, même si elle est efficace, il faut des mesures supplémentaires. La vaccination dans notre pays a tout de même permis d’éviter 7 800 décès » (“Fermeture des écoles, Horeca, bulle, événements…: voici les mesures décidées par le Codeco au terme de “l’une de ses réunions les plus difficiles””, La Libre, 3 décembre 2021 : https://www.lalibre.be/belgique/politique-belge/2021/12/03/il-faut-cibler-les-secteurs-a-probleme-plusieurs-mesures-que-nous-comptons-additionner-suivez-en-direct-les-dernieres-informations-sur-le-comite-de-concertation-VTM5IVFOOJFZPPSG2DQKNQXM2Y/).
Dans notre entourage, plusieurs personnes sont décédées du vaccin (très peu de jours après l’injection de la seconde dose et aucun autre incident ne pouvait expliquer le décès) ou des complications très graves (paralysie, énorme fatigue, etc.) mais les médecins n’ont pas enregistré cela dans les bases de données ni n’ont parlé du vaccin comme étant la cause principale des problèmes et décès survenus…
Même quand les chiffres contredisent l’efficacité vaccinale, certains utilisent un tour de passe-passe ; conclure coûte que coûte que le vaccin fonctionne même si toutes les promesses ont été battues en brèche, car si on répète inlassablement que le vaccin fonctionne, des personnes ignorantes vont forcément le croire. La vaccination (dans cette situation) est devenue un dogme incontestable et non plus une affaire de science et de bon sens : « Au cours de la période du 15 au 28 novembre 2021, 4115 personnes ont été hospitalisées pour le Covid-19 en Belgique », lit-on. Parmi elles, 1084 n’étaient pas vaccinées, 51 l’étaient partiellement, 2447 l’étaient entièrement et le statut vaccinal n’a pas été rapporté pour 533 d’entre elles. Il y a donc eu plus d’hospitalisations de personnes vaccinées mais, compte tenu de la balance qui penche largement du côté des vaccinés en Belgique (76 %-24 %), ce n’est pas du tout anormal. Cela ne prouve pas que la vaccination est inefficace ». (“Les derniers chiffres de Sciensano le confirment encore un peu plus: les vaccins diminuent fortement les risques de se retrouver à l’hôpital”, Sud Info, 4 décembre 2021 : https://www.sudinfo.be/id431513/article/2021-12-04/les-derniers-chiffres-de-sciensano-le-confirment-encore-un-peu-plus-les-vaccins).
Au contraire, vu qu’il y a environ 25-30% de non-vaccinés (en comptant les faux vaccinés) en Belgique et que le pseudo-vaccin était censé augmenter la protection d’environ 9 fois (selon les autorités officielles) par rapport aux non-vaccinés, le ratio observé n’est donc pas en faveur du vaccin. Par ailleurs comme pour la DREES en France, parmi les non-vaccinés sont comptés aussi des primo-vaccinés (de moins de 7 jours) et des vaccinés (2 doses ; de moins de 14 jours), et il y a fort à parier que parmi les 533 autres patients au statut vaccinal inconnu, que la majorité soit des vaccinés, ce qui alourdirait le bilan en défaveur du vaccin.
La Drees définit ainsi (faussement) les choses, – ce qui favorisera le bilan (malgré tout désastreux) en faveur de la vaccination – :
« Les décès dénombrés de patient positifs Covid-19 sont ceux survenus à l’hôpital (y compris dans d’autres services que ceux d’hospitalisation conventionnelle et de soins critiques, et que le Covid soit le motif d’hospitalisation ou non), enregistrés dans SI-VIC et concernant les seuls patients admis à l’hôpital après le 15 mai – dans le but de centrer l’analyse sur les événements associés à la quatrième vague épidémique. En pratique, les décès sur la période sous revue (qui débute en juillet) de personnes admises à hôpital avant le 15 mai sont très faibles. Par ailleurs, les dénombrements ici présentés (colonne « décès / ensemble » du tableau 1) sont en date de survenue et issus des appariements ; ils ne coïncident donc pas avec les données non appariées et en date d’enregistrement que publie Santé publique France.
En concordance avec les choix effectués par Santé publique France, le statut vaccinal des patients a été défini suivant quatre modalités dont les contours varient suivant le vaccin utilisé et l’antécédent de Covid-19 des patients :
pour les vaccinations sans antécédent de Covid-19 avec vaccins non monodose (hors Janssen) :
- Non vacciné (0) : personne n’ayant jamais reçu d’injection de vaccin contre le Sars-Cov-2
- Primo dose récente (1-) : personne ayant reçu une première dose depuis 14 jours ou moins
- Primo dose efficace (1+) : personne ayant reçu une première dose depuis plus de 14 jours ou ayant reçu une deuxième dose depuis 7 jours ou moins
- Vaccination complète (C) : personne ayant reçu une deuxième dose[1] depuis plus de 7 jours
pour les vaccinations sans antécédent de Covid-19 avec vaccin mono dose (Janssen) :
- Non vacciné (0) : personne n’ayant jamais reçu d’injection de vaccin contre le Sars-Cov-2
- Primo dose récente (1-) : personne ayant reçu une dose de Janssen depuis 14 jours ou moins
- Vaccination complète (C) : personne ayant reçu dose de Janssen depuis plus de 14 jours
pour les vaccinations avec antécédent de Covid-19 :
- Non vacciné (0) : personne avec antécédent n’ayant jamais reçu d’injection de vaccin contre le Sars-Cov-2
- Primo dose récente (1-) : personne avec antécédent ayant reçu une dose depuis 7 jours ou moins
- Vaccination complète (C) : personne avec antécédent ayant reçu une dose depuis plus de 7 jours ». (“Neuf fois plus d’entrées en soins critiques parmi les personnes non vaccinées que parmi celles qui sont complètement vaccinées de 20 ans et plus”, Drees, 15 novembre 2021 : https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/communique-de-presse/neuf-fois-plus-dentrees-en-soins-critiques-parmi-les-personnes-non-vaccinees). C’est tout simplement honteux car parmi les non-vaccinés, sont comptabilisés aussi les personnes récemment vaccinées. Or, une personne est vaccinée dès qu’on lui injecte ledit vaccin, c’est aussi simple que cela. On parlera alors de personnes « immunisées » (ou censées l’être) après une période déterminée (ici, selon la dose, entre 7 et 14 jours).
Il y a donc là la preuve de l’inefficacité vaccinale, d’autant plus que selon les prévisions de pro-vax, on aurait dû constater au moins 9 fois plus de non-vaccinés parmi les décès et hospitalisations, ce qui est très loin d’être le cas… Les faits que l’on peut déduire de ces chiffres ne confortent pas du tout la vaccination, mais prouvent formellement que ces pseudo-vaccins n’empêchent pas les formes légères ou les formes graves, ni la transmission ni la contagion…
Arnaud Bruyneel, infirmier et doctorant en santé publique à l’ULB, n’a ainsi pas hésité à mentir et à propager des fakes news, puisque dans les hôpitaux en Belgique, on a bien recensé beaucoup plus de vaccinés que de non-vaccinés dans les hospitalisations pour cause de Covid. Il cite même Sciensano, qui pourtant, infirme complètement ses affirmations : « Lorsqu’on évoque certains médecins qui sont contre la vaccination, Arnaud Bruyneel voit rouge. « Ce sont des criminels ! La semaine dernière, tous les patients qui ont été admis dans mon unité de soins intensifs, ce sont des non-vaccinés. Ces médecins ne sont pas sur le terrain et ne regardent pas les chiffres publiés par Sciensano. Permettre à ces personnes de s’exprimer dans les médias serait dangereux car cela renforcerait le mouvement antivax » » (“”Les médecins contre la vaccination, sont des criminels”, clame Arnaud Bruyneel, infirmier et doctorant en santé publique”, RTBF, 6 décembre 2021 : https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_les-medecins-contre-la-vaccination-sont-des-criminels-clame-arnaud-bruyneel-infirmier-et-doctorant-en-sante-publique?id=10892807).
Or, connaissant des médecins et infirmiers travaillant dans plusieurs hôpitaux belges, tous affirment que la plupart des patients hospitalisés sont vaccinés (et souvent même doublement vaccinés), et les chiffres de Sciensano disent exactement le contraire de ce qu’il affirme. Par ailleurs, il fait dans l’inversion accusatoire quand il considère les nombreux médecins non-favorables à la vaccination anti-Covid par des pseudo-vaccins inefficaces contre le Covid, mais pouvant être très dangereux voire mortels pour de nombreux individus.
Dans la même veine, Emmanuel André, – l’un des plus fervents propagateurs de fakes news au sujet de la vaccination en Belgique -, alerte tout de même du fait que la vaccination continuera à manquer ses promesses, plus encore avec l’apparition des variants (pouvant être causée par la vaccination massive comme on le sait déjà sur le plan scientifique) : « (…) Pour Emmanuel André, « l’efficacité vaccinale peut être mise en question par les variants qui se succèdent, et on ne peut masquer que l’efficacité est à chaque fois remise en question (au minimum) ou mise à l’épreuve (à des degrés divers) par ces variants », a-t-il tweeté. Les variants imposent donc que l’on adapte les schémas de vaccination, poursuit-il dans un thread Twitter. « Ils impliquent que l’on ajoute certaines mesures complémentaires, mais ils ne remettent pas en cause l’efficacité de la vaccination. Qui fonctionne », souligne-t-il toutefois ». (“Emmanuel André: «L’efficacité vaccinale peut être remise en question par les variants»”, Le Soir, 6 décembre 2021 : https://www.lesoir.be/410787/article/2021-12-06/emmanuel-andre-lefficacite-vaccinale-peut-etre-remise-en-question-par-les).
Non Emmanuel, la vaccination ne fonctionne pas, et même l’effet placebo donne dans bien des cas, de meilleurs résultats que ces pseudo-vaccins.
En faisant une estimation, la population non-vaccinée en Belgique compte pour moins de 0,04% des hospitalisations (1084 personnes en comptant aussi ceux qui ont été vaccinés depuis moins de 14 jours) et pour la population vaccinée nous sommes à environ 0,04-0,05% (environ 3000-3600 personnes, mais le manque de fiabilité et de transparence rend difficile une grande précision), soit un ratio en défaveur à la vaccination. Du 15 au 28 novembre 2021, il y a eu 4115 hospitalisations Covid-19 au total (vaccinées et non-vaccinées) sur une population totale de plus de 11,7 millions, soit 0.04% de la population totale belge, nous ne sommes donc pas devant une épidémie à proprement parler. Pour les définitions en lien avec le statut vaccinal en Belgique, voir Sciensano-même dans son rapport Covid-19 Bulletin épidémiologique hebdomadaire du 3 décembre 2021 (dans la section 3.5.2. Infections de percée, p.27 : https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_Weekly_report_FR.pdf) : « Les personnes complètement vaccinées depuis au moins 14 jours sont considérées comme entièrement immunisées ».
Nous avons aussi eu des témoignages fiables de personnes non-vaccinées, qui en Suisse, étaient venues à l’hôpital pour se faire opérer (sans aucun lien avec le Covid) mais qui avaient été testés positif lors du test Covid (mais ils étaient asymptomatiques, faux positif ou non peu importe) mais les hôpitaux (notamment dans les HUG de Genève) les ont comptés parmi les hospitalisations Covid (puisqu’ils les mettront dans les zones Covid aux côtés des autres patients atteints du Covid), ce qui fausse beaucoup les chiffres, et cela a été reconnu par les autorités suisses.
Mauro Poggia, conseiller d’Etat en charge de la santé dans le canton de Genève disait le 8 décembre 2021 (en commentaire sur sa publication facebook : https://www.facebook.com/mauro.poggia.9/posts/1064262274334458?comment_id=1064276544333031&reply_comment_id=1064304397663579&__cft__[0]=AZVCtIjTpTVmoyHr-3o8mUF4D3fWQP16ApIQ-clg5mzEcR4KpRDo7H0mw4-VwQqc2syJhcpXVnmgYJxg67LuNaF65mNBAa09rDyW5oK__PZHer-judI54ug7jF94AeizQIQ&__tn__=R]-R) que : « 1. Toutes les personnes hospitalisées sont testées COVID. 2. Toutes les personnes qui sont testées positives COVID sont COMPTABILISÉES COMME PATIENT “COVID” », et ce même s’ils n’ont aucun symptôme du Covid et qu’ils se font opérer pour autre chose que du Covid.
La vaccination ne présente donc aucun avantage pour les enfants, les jeunes et les adultes en bonne santé, puisque ces vaccins ne protègent pas du virus mais par contre ils peuvent engendrer la mort, des AVC, des paralysies, des cancers et diverses autres maladies ou complications nécessitant des hospitalisations, des traitements coûteux ou de longs suivis…Il n’y a donc aucun avantage à se faire soigner, et comme l’ont montré de nombreuses études en Israël, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et ailleurs, les jeunes ont beaucoup plus de chances de contracter des problèmes graves (notamment cardiaques) suite à la vaccination qu’en chopant le Covid…
La vaccination n’a donc, officiellement encore, que très peu d’impacts sur les décès et formes graves, pour un virus certes contagieux (comme d’autres virus) mais devenant de moins en moins virulent déjà avant la phase de vaccination (fin décembre 2020) alors que l’OMS avait prédit, sur base de calculs et modèles peu fiables, beaucoup plus de morts pour apeurer la population mondiale et européenne. D’un autre côté, il est difficile d’estimer le nombre exact de personnes vaccinées décédées soit du Covid-19 d’une part, soit du vaccin d’autre part, sachant qu’il y a un manque total de transparence (beaucoup de vaccinés hospitalisés ou décédés pour cause du Covid sont classés dans une autre catégorie que le Covid, et quand des vaccinés meurent du vaccin, on ne le spécifie pas). Ce qui est sûr toutefois, selon les nombreux témoignages recensés par des collectifs ou des pages Facebook (souvent supprimées et censurées par Facebook, sur ordre de Big Pharma), est que l’on dénombre au moins plusieurs milliers de morts liés aux vaccins à ARNm en l’espace d’1 an. Les principes démocratiques, la liberté, l’équité, l’égalité et la science ont donc été bafoués et mis à mal, pour seulement ce triste résultat ?
Ils criminalisent les non-vaccinés alors que beaucoup de vaccinés sont responsables de la propagation du virus même quand ils restent entre eux, ils veulent les enfermer et les piquer de force, ils montent la population vaccinée contre eux et les privent de leurs droits les plus fondamentaux, et leur impose une mort sociale, médiatique, politique, sanitaire et économique. Vacciner les enfants n’a aucun sens puisque le vaccin n’empêchera pas la contamination et la transmission, et que cela pourrait leur causer bien plus de dégâts que le Covid (très globalement inoffensif sur les enfants) et qu’il vaut mieux les laisser développer leur immunité naturellement, qui est au moins 6 fois supérieure à celle de ces pseudo-vaccins, et bien plus durable (au moins 3 à 6 fois plus durable),et ici, sans risque d’affaiblir leur système immunitaire ni de décéder ou de développer des maladies très graves (qui sont des risques bien plus nombreux et importants avec la vaccination anti covid).
En Espagne, même les triplements vaccinés ne semblent pas être immunisés contre le Covid, du moins selon la définition des autorités actuelles (se fondant sur les tests PCR et sur les « cas », qu’ils soient asymptomatiques ou non), et dont le nombre de doses ne règlera pas le problème : « Un gros foyer de contamination au coronavirus touche le personnel de santé de l’hôpital universitaire régional de Málaga, en Espagne. Déjà 68 cas positifs ont été détectés. La grande majorité de ces personnes touchées est composée d’infirmiers et de médecins qui travaillent dans l’unité de soins intensifs de l’établissement…
Une enquête est menée pour dénicher l’origine de ces contaminations mais elle fait peu de doute, rapporte «El País»: un repas de Noël organisé pour l’unité, qui a eu lieu le 1er décembre. 173 personnes y ont participé.
Les soignants contaminés avaient pourtant été précautionneux. Tous sont triplement vaccinés et avaient passé un test avant le repas d’entreprise ». (“Coronavirus: 68 médecins et infirmiers d’un hôpital contaminés”, Le Matin, 7 décembre 2021 : https://www.lematin.ch/story/coronavirus-68-medecins-et-infirmiers-dun-hopital-contamines-616779120315).
Nous sommes habitués depuis des années aux erreurs et manipulations sur les chiffres et les promesses de l’OMS, et sur base de pures hypothèses invérifiables, l’OMS avait affirmé faussement que la vaccination avait permis de sauver 500 000 vies en Europe, alors que cela est plutôt en raison du fait que le virus du Covid devenait déjà beaucoup moins virulent (même au début, il n’était pas vraiment mortel mais portait l’estocade pour des personnes fragiles très âgées en phase terminale, comme l’affirment de nombreux experts comme Christian Vélot, Martin Zizi et Christian Perronne), que l’immunité naturelle a fait son boulot, que les gens ont tendance à améliorer leur hygiène de vie et à observer quelques gestes barrière dans des lieux très fréquentés. Preuves de l’inefficacité vaccinale, est que celle-ci n’empêche pas les formes graves ou légères, les décès, la contamination ou la transmission du virus et que les autorités imposent encore le port du masque et des restrictions dans les pays fortement vaccinés… Cela n’empêche pourtant pas l’OMS de continuer à mentir, notamment par leur porte-parole pour l’Europe, Hans Kluge, directeur de l’OMS Europe : « Selon un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publié ce jeudi, les vaccins ont déjà permis de sauver au moins 500.000 vies en Europe. Elle appelle néanmoins à la mise en place urgente d’autres mesures sanitaires pour éviter l’hécatombe cet hiver ». (“Covid-19 : les vaccins ont sauvé au moins 500.000 vies en Europe, assure l’OMS”, 25 novembre 2021 : https://www.lci.fr/sante/covid-19-les-vaccins-anti-coronavirus-ont-sauve-au-moins-un-demi-million-de-vies-soit-500000-personnes-en-europe-assure-l-oms-2202962.html). Sachant que de nombreux non-vaccinés, entre 18 et 85 ans ne sont pas morts, ni n’ont été hospitalisés pour cause de Covid, ce sont des calculs forcément biaisés, puisque dans les pays non-vaccinés, il n’y a eu aucune surmortalité en raison du Covid. Tout au plus, il faut veiller à améliorer les conditions d’hygiène, d’alimentation et le système de santé, car ils ont plus d’impact certain que cette vaccination globalement inefficace et qui n’a absolument pas tenu ses promesses, – pas même une seule -. Les seules « promesses » tenues, ont été de priver les citoyens d’une meilleure santé et de leur liberté.
Faut-il encore rappeler qu’à l’heure où aucun pays n’était vacciné, on observait déjà de fortes disparités parmi les hospitalisations, contaminations et décès liés au Covid ? Donc sortir des chiffres en les décontextualisant comme le font beaucoup de pro-vax, tout en écartant les pays fortement vaccinés qui connaissent une hausse des cas et des décès, et en excluant aussi les pays pas ou peu vaccinés qui connaissent moins de décès et d’hospitalisations est plus que malhonnête comme procédé, sachant qu’il faut voir les concentrations de densité humaine, les mesures d’hygiène, les cas de comorbidités, le régime alimentaire, l’état de santé général, la qualité des soins, l’activité sportive, etc. qui ont une incidence sur le résultat final.
Christian Velot généticien moléculaire sur la vaccination et le variant Omicron, Cnews P.Praud, Cnews, 2 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=90ThzsmJLDY
Dans une étude belge du mois d’octobre 2021, il avait été démontrée que l’alimentation jouait un rôle fondamental en lien avec les formes graves du Covid-19 : « L’alimentation détermine-t-elle la gravité du Covid-19? La découverte notable de chercheurs belges. Pourquoi chez certaines personnes, le Covid-19 fait-il l’effet d’un gros rhume, tandis que d’autres finissent aux soins intensifs? Si les scientifiques cherchent la réponse à cette question depuis un an et demi, des chercheurs belges de l’UGent viennent de découvrir que notre alimentation pourrait jouer un rôle. “Il s’agit d’un facteur de risque qui n’est pratiquement jamais mentionné”, affirment-ils. Ils expliquent comment ils ont fait cette découverte, et ce que vous pouvez faire pour maintenir ce fameux facteur de risque aussi bas que possible. Des scientifiques de l’université de Gand ont publié une étude indiquant que les personnes qui tombent très gravement malades à cause du coronavirus présentent une similitude remarquable. Pour arriver à de tels résultats, ils ont étudié le sang de 138 malades du virus ayant été admis l’année dernière à l’UZ Gent et à l’AZ Jan Palfijn. “Nous voulions vérifier le niveau de certains nutriments dans le sang des patients”, explique le professeur Gijs Du Laing. Bio-ingénieur, ce dernier s’intéresse particulièrement aux “micronutriments”, c’est-à-dire aux nutriments microscopiques tels que les vitamines et les minéraux. “Nous savions, grâce à des études antérieures, que les personnes présentant des carences en certains nutriments sont beaucoup plus gravement atteintes par certaines infections virales. Nous voulions savoir s’il en était de même pour le Covid-19.” “Presque tous les patients qui finissaient par tomber gravement malades ou même mourir à l’hôpital présentaient une grave carence en sélénium et en zinc dans leur sang à l’admission”. Parmi les patients atteints de Covid qui n’ont pas survécu, sept sur dix présentaient une grave carence en sélénium et en zinc. Les patients qui ne présentaient pas cette carence, ou chez qui elle était moins prononcée, ont quant à eux plus souvent survécu au Covid-19 et se sont rétablis plus rapidement. “Ils sont tombés nettement moins gravement malades”, ajoute le professeur. Une carence en sélénium ou en zinc dans le sang au moment de l’admission à l’hôpital s’est même avérée être un facteur de risque plus important que le diabète, du cancer, de l’obésité ou des maladies cardiovasculaires. “Ce qui est tout à fait remarquable”, souligne Gijs Du Laing. “Toutes ces conditions sont constamment discutées comme facteurs de risque de forme grave de Covid, mais pas les faibles niveaux de sélénium ou de zinc dans le sang. Nos recherches indiquent que ce facteur de risque peut jouer un rôle.”
Allemagne et Chine
Le professeur Du Laing et ses collègues ne sont pas les seuls à partager cette théorie. Une étude similaire a été publiée en Allemagne. Là aussi, on a constaté que les taux de sélénium et de zinc dans le sang des patients atteints de Covid présentaient une corrélation frappante avec leurs chances de survie. “Et en Chine, on a déjà découvert que les régions où les gens ont suffisamment de sélénium dans le sang comptent beaucoup moins de décès dus au Covid”, indiquent les chercheurs belges. Cela signifie-t-il que nous devrions tous prendre des compléments alimentaires contenant du sélénium et du zinc? “Je ne pousserais pas les choses aussi loin”, lance le professeur Du Laing. “Ces deux éléments peuvent déjà être trouvés dans la viande et le poisson. Ainsi, pour les personnes en bonne santé dont le système immunitaire est normal, une alimentation équilibrée est souvent suffisante. Pour les personnes appartenant à des groupes vulnérables, la situation est différente. Comme ils présentent souvent des carences plus importantes, il peut être utile de prendre un supplément de sélénium et de zinc. Je pense aux patients atteints de diabète ou de cancer, par exemple, et aux personnes âgées dans les centres de soins résidentiels”. Pour le chercheur, il est urgent de travailler sur l’alimentation dans ces centres de soins résidentiels. “Si vous savez qu’il y a beaucoup de personnes vulnérables, il faut accorder une attention particulière au sélénium et au zinc dans l’alimentation. Un grand nombre de personnes âgées ne mangent pratiquement plus de viande, parce qu’ils ont des problèmes de mastications et qu’ils la laissent donc de côté, par exemple. Actuellement, les personnes âgées vivant dans des centres de soins résidentiels reçoivent principalement des suppléments de fer ou de vitamine D en plus de leur régime alimentaire, alors que beaucoup ont également besoin de sélénium et de zinc pour le bon fonctionnement de leur système immunitaire. Les médecins généralistes et spécialistes pourraient également vérifier les taux dans le sang des patients à haut risque qu’ils suivent”.
Un effet sur les chiffres?
Reste maintenant à savoir si nous verrions une baisse du nombre de décès dus au Covid et du nombre de patients Covid en soins intensifs en Belgique si nous donnions du zinc et du sélénium en masse aux patients à haut risque dans les semaines à venir. “Sur la base de notre étude, nous ne pouvons pas l’affirmer avec certitude”, déclare Gijs Du Laing. “Cependant, nous savons depuis longtemps que ces éléments nutritionnels sont essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire, et nous avons maintenant des preuves que les carences peuvent jouer un rôle dans l’évolution de la maladie. Mais d’autres recherches sont nécessaires pour le confirmer”. De plus, une personne qui commence demain une cure de sélénium ou de zinc ne verra pas ses taux augmenter immédiatement. “Il faut généralement quelques semaines avant que le taux dans le sang soit à un niveau optimal”.
Gijs Du Laing pense qu’il est opportun d’examiner comment nous pouvons augmenter les niveaux de zinc et de sélénium dans l’ensemble de la population. Pas seulement durant une crise sanitaire comme c’est le cas aujourd’hui, mais de façon permanente. “Parce qu’il peut aussi armer les gens contre d’autres maladies infectieuses. Historiquement, de nombreuses personnes en Belgique – et par extension dans toute l’Europe occidentale – ont souffert d’une carence, surtout dans les groupes vulnérables. À l’avenir, cet effet pourrait même s’accentuer, car nous mangeons de moins en moins de viande et de poisson. Il pourrait donc être utile d’étudier cette question en profondeur. En Suisse, on a récemment décidé de lancer une telle étude: on veut avoir une meilleure idée de l’ampleur des carences au sein de la population et surtout des endroits où elles sont les plus importantes. Sur la base de ces résultats, vous pourrez alors mettre en place une politique de prévention autour de l’alimentation et des compléments alimentaires”.
Le professeur fait ainsi référence à la Finlande, où le gouvernement a déjà décidé, il y a plusieurs décennies, d’ajouter du sélénium aux engrais utilisés dans l’agriculture. “De cette manière, la teneur en sélénium des légumes et des céréales a été augmentée artificiellement. Le gouvernement pourrait envisager de faire de même ici. Ce qui est déjà frappant, c’est que la Finlande est l’un des pays où la mortalité due au Covid est remarquablement faible. Cela dépend bien sûr de plusieurs facteurs, mais je me demande si c’est une coïncidence que cette population ait été “armée” préventivement de sélénium supplémentaire pendant des décennies”, conclut-il ». (“L’alimentation détermine-t-elle la gravité du Covid-19? La découverte notable de chercheurs belges”, 7 sur 7, 11 octobre 2021 : https://www.7sur7.be/sante/l-alimentation-determine-t-elle-la-gravite-du-covid-19-la-decouverte-notable-de-chercheurs-belges-br~a50212d8). C’était pourtant là le discours d’éminents médecins et scientifiques qui ont pourtant été qualifiés de « complotistes » ou de « charlatans » par des médias officiels financés par Big Pharma…
Sur LCI le 4 décembre 2021 était relayée une étude française portant sur 27 000 personnes qui souffrir du Covid long, mais seulement 1091 d’entres elles ont été testées positif à un test sérologique. En d’autres mots, 96% de ces 27 000 personnes n’avaient pas le Covid, chiffres pourtant tronqués et largement instrumentalisés par les médias et les autorités politiques pour le compte de Big Pharma : « Le Covid long serait d’ordre psychologique. C’est ce qui ressort d’une étude publiée en début de semaine dans le Journal of the American Medical Association (Jama), l’une des principales revues médicales mondiales. De quoi faire bondir les patients concernés, et susciter de nombreuses critiques scientifiques. L’étude, coordonnée par Cédric Lemogne, chef du service psychiatrie de l’Hôtel-Dieu à Paris, s’est intéressée à environ 25.000 personnes suivies pendant des mois par les autorités françaises de santé publique pour évaluer de multiples effets du Covid. (…) ». (“Une étude selon laquelle le Covid long serait surtout d’ordre psychologique fait polémique”, LCI, 12 novembre 2021 : https://www.lci.fr/sante/coronavirus-une-etude-selon-laquelle-le-covid-long-serait-surtout-d-ordre-psychologique-fait-polemique-les-malades-crient-a-la-stigmatisation-2201706.html).
Il y a cependant une critique pertinente des pro-vax, affirmant que s’il y a plus de déclarations d’effets indésirables liés aux vaccins anti covid c’est parce que c’est bien plus médiatisé qu’avant, ce qui n’est pas faux (“Non, les effets indésirables des vaccins COVID19 ne sont pas dix fois supérieurs aux autres vaccins”, Fact and Furious, 13 juillet 2021 : https://factandfurious.com/fact-checking/non-les-effets-indesirables-des-vaccins-covid19-ne-sont-pas-dix-fois-superieurs-aux-autres-vaccins). Cependant, encore beaucoup de personnes ignorent l’existence des bases de données de pharmacovigilance, et beaucoup ne prennent pas la peine d’y introduire leurs plaintes ou déclarations- que ce soit les médecins ou les patients car cela prend trop de temps ou car certains médecins préfèrent suivre les pressions de Big Pharma pour garder le silence-. Par ailleurs, l’alerte des médecins est sans précédent et le taux d’effets secondaires reste tout de même bien plus élevé que pour les autres vaccins à quantité égale.
D’ailleurs, quand il s’agit de critiquer les spécialistes qui sont critiques des données et affirmations officielles, montrant que ces vaccins ne protègent pas efficacement des formes graves ou des décès, des médias conventionnels aiment à recontextualiser (à raison) certaines données brutes (comme Le Monde par exemple : “Vaccination contre le Covid-19 : les assertions trompeuses du professeur Perronne”, Le Monde, 30 novembre 2021 : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/11/30/vaccination-contre-le-covid-19-les-assertions-trompeuses-du-professeur-perronne_6104176_4355770.html) mais ils ne le font jamais quand il s’agit de vanter le pseudo-succès vaccinal alors que leurs données ou études comportent de nombreux biais ainsi que des erreurs logiques, ni même pour les chiffres ultra-gonflés des « morts du Covid » qui pour beaucoup étaient des patients très âgées en phase terminale ou déjà très malades (avec des facteurs de comorbidités donc) ou avec des chiffres biaisés pour justifier la vaccination des jeunes et des adultes en bonne santé avec des chiffres sur les contaminations (mais ne précisant pas là qu’il s’agit pour la grande majorité de cas asymptomatiques, ou dans les rares cas de symptomatiques, que la majorité ne font que des formes légères comme une grippe ordinaire), tout comme ils oublient de parler de la suppression des lits d’hôpitaux, de la mauvaise hygiène de vie générale (sucre industriel, fast food, obésité, etc.) dans les facteurs favorisant les hospitalisations, et de la baisse naturelle de la virulence du virus sans que cela ne soit dû à la vaccination (qui par contre, peut favoriser l’apparition de nombreux variants). Ils ne parlent pas non plus de leurs conflits d’intérêt sachant qu’ils sont financés soit par des multinationales qui dictent la politique (aux Etats-Unis ou en France par exemple) soit directement en lien avec Big Pharma, à l’instar du journal Le Monde, comme le relevait le média Médiapart (qui se plie pourtant à la dictature de Big Pharma) : « Comme toute la presse, Le Monde est gorgé de subventions publiques et d’aides apportées par Facebook. Mais pour son supplément Afrique, le quotidien perçoit aussi des subsides de la Fondation Gates: 2,1 millions de dollars en 2019 » (“La Fondation Gates donne 1,9 million d’euros au «Monde»”, Médiapart, 8 octobre 2019 : https://www.mediapart.fr/journal/international/081019/la-fondation-gates-donne-19-million-d-euros-au-monde). De même, pour contredire les spécialistes « sceptiques » (contre la propagande vaccinale), ils ne vont pas hésiter à citer des études biaisées et « propagandistes » qui sont approuvées par Big Pharma, et à ne prendre en compte que les données officiellement admises (ne représentant, selon les experts et les études, qu’1 à 20% maximum des données réelles) en pharmacovigilance, en oubliant que des dizaines de milliers de décès (rien qu’en France et en Belgique ; pays où nous avons pu en être témoins) liés aux vaccins n’ont pas été recensés alors que c’était là la seule explication plausible, ainsi que de nombreux effets secondaires graves (là aussi, nous avons été témoins dans notre entourage) et légers qui n’ont pas été enregistrés dans les bases de données officielles. Ainsi, nous avons donc un vaccin inefficace contre un virus peu mortel, des mesures draconiennes et liberticides pour une situation sanitaire qui ne relève pas de l’hécatombe, des millions de commentaires et d’articles ou de vidéos supprimées en Occident sur Facebook et YouTube, – dont de nombreux éléments sérieux, fiables et attestés -, des centaines de milliers de médecins et infirmiers licenciés et censurés, des vaccins dangereux et donc des risques inutiles qui n’en valent pas la chandelle, des dérives autoritaires et une culpabilisation des non-vaccinés qui pour beaucoup ne transmettent pas autant le virus que les vaccinés et qui ne sont pas non plus hospitalisés pour cause de Covid pour l’immense majorité.
Il y a plusieurs mois, les médias disaient que les problèmes menstruels rencontrés par les femmes vaccinées n’existaient pas ou qu’ils n’étaient pas imputables aux vaccins, mais aujourd’hui ils ont été forcés de le reconnaitre qu’il y avait bien une hausse significative liée à la vaccination :
« – La flambée épidémique a poussé le gouvernement à élargir à l’ensemble de la population adulte la campagne de rappel de vaccin anti-Covid.
– Mais pour nombre de femmes ayant expérimenté des troubles menstruels après la vaccination, la troisième dose est source de questionnements.
– Durée des troubles, effets sur la fertilité, état de la recherche 20 Minutes fait le point sur ce que l’on sait à ce jour sur cette problématique.
Des cycles chaotiques. Des règles qui reviennent bien trop vite ou beaucoup plus tard que prévu. Ou qui sont plus douloureuses, plus longues ou abondantes. Depuis l’ouverture de la vaccination anti-Covid au grand public il y a quelques mois, les témoignages de femmes ayant déclaré des troubles du cycle menstruel après avoir reçu le vaccin se sont multipliés. (…) Carole, elle, a eu des perturbations différentes après chacune de ses deux doses. « Après la première, j’ai eu un retard de 50 jours ! Et à la deuxième, j’ai été réglée deux fois le même mois. Depuis, mes règles sont irrégulières et douloureuses ». Quant à Valentine, « la première injection a déclenché des règles sans fin, tous les jours pendant trois mois, et beaucoup plus douloureuses », assure la jeune femme, qui a « peur que cela se reproduise lors de la troisième dose ». (…) Un phénomène examiné dès cet été par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qui a considéré que ces cas étaient des « signaux potentiels » liés aux vaccins. Elle a toutefois rappelé qu’à ce jour, aucun lien de causalité n’a clairement été établi. « Ces témoignages ont un intérêt certain, mais il est très difficile de déterminer pour chaque femme la cause de ces perturbations, souligne le Dr Odile Bagot, gynécologue, auteure du blog Mam Gynéco et de Vagin & Cie, on vous dit tout ! (éd. Mango). D’autant que les cycles spontanés (hors pilule) peuvent être influencés par beaucoup de facteurs environnementaux tels que le vaccin anti-Covid, mais aussi le stress – que peut causer le vaccin, ou encore la fatigue », expose-t-elle. Selon les premières hypothèses, « le vaccin induit une réaction immunitaire et inflammatoire qui pourrait perturber le cycle menstruel, explique le Pr Olivier Picone, gynécologue obstétricien à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes, et membre du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF). Or, l’arrivée des règles est un mécanisme inflammatoire pour évacuer l’endomètre, donc la possibilité que le vaccin influe sur le cycle est probable. On l’avait déjà observé avec le vaccin HPV contre le papillomavirus ». Selon des chercheurs américains, « la réponse immunitaire après la vaccination pourrait amener des cellules immunitaires dans l’endomètre (au niveau de l’utérus) », de nature à entraîner ces irrégularités. (…) ».
“Vaccination : « J’hésite », « je la ferai »… Comment les femmes envisagent la 3e dose face aux risques de troubles menstruels”, 20 minutes, 2 décembre 2021 : https://www.20minutes.fr/sante/3188031-20211202-vaccination-hesite-ferai-comment-femmes-envisagent-3e-dose-face-risques-troubles-menstruels).
Mais le même article manque de prudence quand il est question de la « fertilité » : « « Pas d’effets sur la fertilité ». Pour celles qui ont des envies de maternité, sauter le pas est aussi compliqué. « Je suis en projet bébé depuis huit mois », confie Chloé, qui a eu un retard de règles après sa deuxième dose. « Alors je songe à retarder la troisième au maximum ». Ces doutes, Esther les partage. La jeune femme, qui tente de concevoir un enfant, a depuis son vaccin « des règles irrégulières, ce qui rend l’ovulation difficile à cibler. Le vaccin, je préfère encore attendre d’être enceinte pour le refaire ». Mais « mieux vaut ne pas attendre, conseille le Pr Picone. L’ensemble de la littérature scientifique atteste que la vaccination n’a pas d’effets délétères sur la fertilité. Nous avons des dizaines de patientes qui ont démarré une grossesse après avoir été vaccinées, rassure-t-il. En revanche, on a vu trop de patientes enceintes en réanimation, d’où l’importance de recevoir sa dose de rappel pour se protéger soi et son enfant à naître, surtout dans ce contexte de forte reprise épidémique ». Ce qu’il y a, c’est que « tout ça ajoute de l’angoisse au parcours de PMA, déplore Laureen. On a besoin de réponses, et on a l’impression que puisque cette problématique ne touche pas les hommes, rien n’est étudié ! » Alors, « même si je compte me faire revacciner, j’aimerais que la recherche s’y intéresse pour être sereine », renchérit Delphine ». Or, non seulement de nombreux spécialistes disent qu’il vaut mieux attendre justement, – la prudence médicale est un fondement en médecine ! – mais d’autres affirment que cela pourrait même être dangereux, à la fois pour la femme et pour le bébé qu’elle porte -, sachant que de nombreux témoignages fiables (même si l’on écarte les témoignages non-fiables, même à hauteur de 90%) font état des problèmes de fertilité chez les femmes comme chez les hommes. Et comme on le sait depuis le début de la pandémie avec les médias conventionnels, ils ont toujours un train de retard (si l’on part du principe qu’ils ne mentent jamais), et chacune de leurs assertions se sont vues réfutées par la science, l’actualité ou les décisions politiques rendant la vie difficile aux gens (même aux doublement vaccinés !), à chaque fois qu’ils criaient au « complotisme » ou à « l’absence d’une corrélation avec les vaccins et les complications graves ou les décès », il s’est avéré qu’ils avaient tort dans la plupart des cas. Au passage, dans leurs articles, ils évitent soigneusement de citer les témoignages les plus graves et les plus critiques…
Sur la chaine GBN (Royaume-Uni) dans son intervention du 25 novembre 2021, le cardiologue et Dr. Aseem Malhotra tirait la sonnette d’alarme et disait que selon les chiffres officiels, il y a une surmortalité d’au moins 10 000 décès liés à des complications cardiaques et des AVC (sans rapport direct avec le Covid-19) qui sont imputables directement aux vaccins à ARNm anti-Covid depuis le mois de juillet 2021. Il se fonde notamment sur l’étude de Steven Gundy, ainsi que de nombreuses preuves anecdotiques rapportées par de nombreux cardiologues, qui se plaignent toutefois de voir que leurs publications et études sont interdites car les firmes pharmaceutiques qui les financent les menacent de ne plus les financer, – ce qui signerait la mort économique des chercheurs. Dans tous les pays qui ont massivement vacciné la population (avec Pfizer, Moderna, AstraZeneca ou Johnson& Johnson.), il a été observé un taux anormalement très élevé d’AVC et de décès chez des jeunes ou des personnes en bonne santé, ce qui représente un signal fort ainsi qu’une corrélation évidente entre ces pseudo-vaccins et ces phénomènes inquiétants et alarmants (https://twitter.com/GBNEWS/status/1463926037889396736).
https://twitter.com/i/status/1464003843486797836
Le vaccin est donc bien plus dangereux que le virus, et encore plus pour les jeunes ! Il y a une augmentation massive, après vaccination, du risque de syndrome coronarien aigu dans les 5 ans (chez des personnes à risque) on passe d’1 sur 10 à 1 sur 4, soit plus que le double !
« Our group has been using the PLUS Cardiac Test (GD Biosciences, Inc, Irvine, CA) a clinically validated measurement of multiple protein biomarkers which générâtes a score predicting the 5 yr risk (percentage chance) of a new Acute Coronary Syndrome (ACS). The score is based on changes from the norm of multiple protein biomarkers including IL-16, a proinflammatory cytokine, soluble Fas, an inducer of apoptosis, and Hepatocyte Growth Factor (HGF)which serves as a marker for chemotaxis of T-cells into epithelium and cardiac tissue, among other markers. Elevation above the norm increases the PULS score, while decreases below the norm lowers the PULS score.The score has been measured every 3-6 months in our patient population for 8 years. Recently, with the advent of the mRNA COVID 19 vaccines (vac) by Moderna and Pfizer, dramatic changes in the PULS score became apparent in most patients.This report summarizes those results. A total of 566 pts, aged 28 to 97, M:F ratio 1:1 seen in a preventive cardiology practice had a new PULS test drawn from 2 to 10 weeks Following the 2nd COVID shot and was compared to the previous PULS score drawn 3 to 5 months previously pre- shot. Baseline IL-16 increased from 35=/-20 above the norm to 82 =/- 75 above the norm post-vac; sFas increased from 22+/- 15 above the norm to 46=/-24 above the norm post-vac; HGF increased from 42+/-12 above the norm to 86+/-31 above the norm post-vac. These changes resulted in an increase of the PULS score from 11% 5 yr ACS risk to 25% 5 yr ACS risk. At the time of this report, these changes persist for at least 2.5 months post second dose of vac.We conclude that the mRNA vacs dramatically increase inflammation on the endothelium and T cell infiltration of cardiac muscle and may account for the observations of increased thrombosis, cardiomyopathy, and other vascular events Following vaccination » (Abstract 10712: Mrna COVID Vaccines Dramatically Increase Endothelial Inflammatory Markers and ACS Risk as Measured by the PULS Cardiac Test: a Warning, Steven R Gundry, Originally published 8 Nov 2021, Circulation, 2021;144:A10712 : https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/circ.144.suppl_1.10712).
Dès qu’une personne vaccinée décède de façon suspecte, Big Pharma et les médias qu’ils financent tentent de jeter le doute et d’innocenter/dédouaner le vaccin coûte que coûte, mais à l’inverse, dès qu’une personne décède ils s’empressent, – sans aucune analyse ou enquête approfondies – d’imputer cela au Covid-19 ou au climat. Ce n’est donc pas de la science ou de la logique, mais une arnaque et de la pseudo-science, et un crime contre l’Humanité. Quand une personne développe, juste après le vaccin, des complications graves ou en décède, alors qu’aucune maladie existante/connue ou incident significatif autre que le vaccin ne permet de l’expliquer (afin d’établir une corrélation ou une causalité) alors cela est imputable aux vaccins, mais ils font tout pour éviter une transparence à ce sujet… Beaucoup de décès suspects liés à la vaccination sont ainsi niés en bloc sans aucune preuve… Dans les médias, parfois certains cas sont manipulés pour imputer le décès à une autre cause que le vaccin alors qu’aucune preuve ne l’a clairement établi. Par exemple le cas de Michelle Barlow au Royaume-Uni, où des médecins avaient imputé son décès àune gastroentérite, mais le coroner après un examen approfondi, l’avait imputé au vaccin AstraZeneca : « An inquest heard Michelle Barlow developed blood clots and died 16 days after having the AstraZeneca jab. Senior coroner Timothy Brennand said the 51-year-old, from Orrell, Wigan, may have received “sub-optimal care”.
Wrightington, Wigan and Leigh Teaching Hospitals Trust said her treatment was “in line with appropriate guidance”.
The inquest heard mother-of-two Mrs Barlow first went to Royal Albert Edward Infirmary in Wigan with flu-like “side effects” on 19 March, 12 days after getting a vaccine at a mass vaccination centre at Robin Park, Wigan.
Her husband Ian told Bolton Coroner’s Court she felt “fobbed off” and was discharged, but returned the next day and was admitted, doctors suspecting gastroenteritis.
Three days later, Mr Barlow got a phone call from a nurse telling him to get to the hospital as soon as possible.
“I was told by Michelle they could not do anything for her. Then two doctors came in and explained,” he said. “I said, ‘you have got to save her’.”
‘Confirmation bias’
Hospital consultant Dr Mian Ahmed told the hearing if the same situation now arose, he would prescribe haemoglobin, blood thinners and CT scans sooner to the patient. Surgeon Dr Marius Paraoan added that once he looked at Mrs Barlow’s CT scan, he concluded the blood clots were not treatable with surgery and “not compatible with survival”.
Covid vaccines and rare clots – what you need to know
AstraZeneca vaccine: How do you weigh up the risks and benefits? Blood clot victim’s family praised for vaccine support. Her multiple organ failure caused by the blood clots was as a result of vaccine-induced immune thrombotic thrombocytopenia, a condition not recognised at the time of her death, the inquest heard. Pathologist Dr Naveen Sharma told the inquest that guidance about a link between the AstraZeneca jab and the “very rare” side effect had only been recently published and, of the 24.8 million people who had had at least a single dose, only 425 cases of major blood clots had been identified. Giving his conclusion, Mr Brennand said he could not say whether Mrs Barlow would have lived if doctors had recognised sooner that she was having a bad reaction to the vaccine. “The deceased died as a consequence of the unrecognised, rare complications of a recently administered elective and necessary Covid-19 vaccination,” the coroner added. However, he said there may have been some “sub-optimal care” and “confirmation bias” among medics in persisting with their initial wrong diagnosis.
‘Check it out’
Outside court Ian Barlow called for a judicial review into the vaccine rollout and said he felt “relief” that the vaccine’s role in his wife’s death had been recognised. He said the family felt stonewalled by public health officials when he raised his concerns. He said he was “happy and sad” because though she was not here, his wife “got the answers to what we wanted”. “The Covid vaccine victims are forgotten heroes alongside the Covid victims, because lessons have been learned,” he said. “I’ve had a close friend die of Covid and my wife has died from the vaccine. “I’m not saying don’t get the vax. I’m saying check it out first, if it’s right for you.” A spokeswoman for the hospital trust said the coroner’s conclusion “confirmed the findings of our internal investigation”. She said: “We would like to give assurance that the treatment Mrs Barlow received whilst in our care was in line with appropriate guidance.” She added that the trust “would again like to offer our sincere condolences” to Mrs Barlow’s family » (“Covid vaccine: Woman who died was ‘wrongly diagnosed'”, BBC, 26 novembre 2021 : https://www.bbc.com/news/uk-england-manchester-59434281).
S’il existe des raisons de se montrer sceptiques concernant l’ivermectine, – où il existe des études indépendantes – il y en a alors bien plus pour les vaccins anti-Covid dont on connait déjà la dangerosité pour un bénéfice faible (au mieux) et nulle au pire : « Dans un avis du 31 mars 2021, l’OMS déconseille d’utiliser l’ivermectine pour traiter la Covid-19 en dehors des essais cliniques, en attendant que davantage de données soient disponibles. A ce sujet, Guilherme Dias de Melo explique : « Notre étude apporte des données précliniques qui démontrent scientifiquement une action protectrice de l’ivermectine pendant l’infection par le SARS-CoV-2 dans un modèle animal. Ces données sont essentielles pour appuyer les essais cliniques chez l’homme ». L’ivermectine pourrait alors être considérée comme un agent thérapeutique encourageant contre la Covid-19, sans impact sur la réplication du SARS-CoV-2 mais soulageant l’inflammation et les symptômes qui en découlent. « Nos résultats fournissent une avancée significative et démontrent que l’ivermectine appartient à une nouvelle catégorie d’agent anti-Covid-19 dans un modèle animal. Ces travaux ouvrent la voie à des axes de développement pour de meilleurs traitements contre la Covid-19 chez l’Homme » conclut Hervé Bourhy, responsable de l’unité Lyssavirus, épidémiologie et neuropathologie et dernier auteur de l’étude ». (“L’ivermectine atténue les symptômes de la Covid-19 dans un modèle animal”, Institut Pasteur, 12 juillet 2021 : https://www.pasteur.fr/fr/espace-presse/documents-presse/ivermectine-attenue-symptomes-covid-19-modele-animal).
Dans un article datant du mois de juin 2021, nous savions déjà que l’OMS faisait sciemment fausse route concernant l’ivermectine : « Me Dipali Ojha est membre de l’association Indian Bar qui a récemment initié une procédure contre le Dr. Soumya Swaminathan Directrice scientifique de l’OMS. Dans son debriefing, Dipali Ojha nous explique les détails de la procédure et la suite à envisager ainsi que la situation en Inde. En Inde, le ministère de la Santé a inclus l’ivermectine dans le cadre du traitement de la Covid19 dès avril 2021 et l’a confirmé à plusieurs reprises y compris dans sa dernière recommandation. Le ministre de la Santé n’a donc pas suivi l’avis de l’OMS de ne pas utiliser l’ivermectine. L’Inde, après revue scientifique des preuves en existence, a emboité le pas au Sénégal qui n’avait pas suivi l’avis de l’OMS sur l’hydroxychloroquine avec un usage sans discontinuité en association avec une autre molécule depuis mars 2020. « On ne suit pas aveuglément l’OMS » avait déclaré le Pr Moussa Seydi, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Fann à Dakar. Alors que plusieurs États indiens continuent de prescrire de l’ivermectine avec succès, la scientifique en chef de l’OMS, Soumya Swaminathan, a tweeté le 10 mai que l’agence des Nations Unies déconseille l’utilisation du médicament pour traiter les patients atteints de COVID-19, sauf dans le cadre d’essais cliniques. Le tweet comprenait un communiqué de presse publié par la société qui fabrique le médicament, Merck, affirmant qu’elle n’avait trouvé aucune preuve à l’appui de l’utilisation de l’ivermectine dans le traitement de la COVID-19. (…) La réplique de l’Indian Bar a été directe – une mise en demeure avant action demandant des comptes à la directrice scientifique de 51 pages qui reprend les divers arguments en faveur de l’ivermectine et surtout questionne pourquoi la directrice scientifique met dans son tweet un ancien communiqué de presse de Merck alors que ce 31 mars 2021 elle a, elle-même, émis un avis de l’OMS au sujet de l’ivermectine. Cela pose vraiment question. Il y a quelques semaines un groupe d’avocats indiens, dont les commanditaires ne sont pas identifiés à l’heure qu’il est, avaient attaqué la décision de l’état de Goa d’inclure l’ivermectine dans le cadre du traitement contre la Covid19 suivant ainsi les directives nationales. Les raisons invoquées dans la procédure étaient que l’OMS n’avait pas approuvé l’utilisation de l’ivermectine. Le gouvernement de Goa a donc produit un mémoire en réponse confirmant ainsi que le rationnel de l’avis de l’OMS pour ne pas utiliser l’ivermectine est vicié. Ce mémoire se fonde sur de nombreuses preuves y compris l’analyse contradictoire de l’avis de l’OMS faite par le FLCCC du Dr Pierre Kory. C’est donc une première qu’un gouvernement prenne position légalement en faveur d’un traitement précoce
Le vice-secrétaire (Santé) Vikas Gaunekar a déclaré dans un affidavit que
- Diverses études menées dans différents pays ont montré que le médicament a un effet positif sur la prévention et le traitement/guérison des patients.
- Les comprimés se sont avérés efficaces dans des études menées dans de nombreux pays », a-t-il affirmé.
- Les études et les rapports approuvant l’ivermectine sont disponibles sur le site Web ivmmeta.com.
- Certains rapports indiquent que l’analyse de l’Organisation mondiale de la santé était erronée et que le taux de mortalité était très faible chez les patients qui ont reçu les comprimés pour un traitement précoce ou une prophylaxie (traitement préventif)
La décision est tombée et la Haute Cour de Bombay confirme l’usage de l’ivermectine après revue par un groupe d’experts médicaux du secteur public et privé le 13 mai 2021.
Outre le fait que le vice-secrétaire de la Santé reconnaisse l’efficacité de l’ivermectine comme traitement contre la Covid, les experts médicaux du public et du privé l’ont aussi confirmé et la Haute Cour a rendu un jugement en faveur de ce traitement. C’est bien la reconnaissance de ce traitement dans un pays qui a déjà généralisé son utilisation (…) ». (“L’ivermectine, utilisée en Inde avec succès, confirmée comme traitement Covid par la Haute Cour de Bombay”, France Soir, 5 juin 2021 : https://www.francesoir.fr/politique-monde/livermectine-utilisee-en-inde-avec-succes-confirmee-comme-traitement-contre-la-covid).
De nombreux citoyens malades du Covid qui ont utilisé l’ivermectine se sont rapidement rétablies et aucun cas (ou très peu) d’effets secondaires n’ont été recensés, soit, de meilleurs résultats que pour les vaccins, et avec de nombreux risques en moins. Comme tout traitement, il faut faire attention aux dosages et réglementer justement les traitements et substances pour éviter les abus.
Fin 2020, au début de la vaccination, le nombre important d’effets indésirables et de décès imputables aux vaccins était déjà connu des médecins et des autorités, mais cela ne les a pourtant pas empêchés de jouer avec la santé et la vie des citoyens, pour une maladie peu mortelle en soi et qui n’a représenté, en France, que 2% des hospitalisations totales en France selon les chiffres officiels. Ainsi, lors des premières remontées négatives relatives aux vaccins, le Professeur respecté Eric Caumes (chef du service infectiologie à Pitié-Salpêtrière) a dit : « Je n’ai jamais vu une fréquence aussi élevée d’effets indésirables pour un vaccin. En dehors des réactions minimes (…), d’autres effets indésirables sont recensés à des taux relativement élevés surtout chez les jeunes et après la deuxième dose ». (Le Parisien, 9 décembre 2020, voir aussi “Le professeur Caumes émet des doutes sur les vaccins contre le Covid-19”, L’info du vrai, 11 décembre 2020 : https://www.youtube.com/watch?v=RI_7R78Fik0). Environ 1 an plus tard, on peut dire que Caumes avait raison puisque de nombreux experts de santé et citoyens font état non seulement des dangers liés à ces vaccins à ARNm mais aussi de leur inefficacité contre le covid-19 et ses variants. Sur une même période (depuis la vaccination massive et où le nombre de non-vaccinés était d’environ 50/50) on constate que les vaccinés représentent le nombre le plus élevés de décès et d’hospitalisations, soit du Covid-19, soit du vaccin. D’une part il ne faut pas se fier aux chiffres reprenant l’ensemble des données depuis le début de la pandémie (puisque tout le monde était non-vacciné et qu’il n’existait pas encore de vaccin, et que les personnes les plus exposées qui sont mortes étaient déjà fragiles et en phase terminale, donc la première vague fut la plus mortelle, mais pas tant en raison du Covid-19, mais surtout de la fragilité, de l’âge très avancé et des comorbidités qui représentaient plus des 97% des personnes décédées du Covid-19). Et d’autre part, dans les régions où les vaccinés représentent 90 à 100% des gens, il est donc normal que la totalité ou quasi-totalité des hospitalisés ou décès Covid concernent les vaccinés, – ce qui nous informe juste du fait que le vaccin ne présente pas d’efficacité significative contre le Covid puisque l’on devrait voir beaucoup moins de cas contaminés, hospitalisés ou décédés si son efficacité initiale était de « 95% » alors que l’on constate que l’immense majorité des non-vaccinés n’ont encore jamais été hospitalisés ou décédés du Covid-19, et que la majorité d’entre eux sont mêmes asymptomatiques.
Laurent Toubiana, chercheur à l’INSERM, directeur de l’Institut de Recherche pour la Valorisation des données de Santé (IRSAN) disait : « Les estimations de l’incidence à destination du grand public ne se réfèrent plus aux nouveaux malades ou morts engendrés par le virus mais à des porteurs de virus qui, à plus de 80 %, ne sont pas malades et ne le seront jamais. (…) sur les 90 semaines depuis le commencement de la crise du Covid-19, la plus forte incidence a été observée entre le 23 et le 29 mars 2020, au tout début de la crise. Lors de cette semaine paroxysmique, 140 nouveaux malades pour 100 000 habitants ont été estimés par le Réseau Sentinelles (premier réseau de surveillance de maladies transmissibles en France). Depuis mars 2020, aucune autre semaine n’a montré une incidence du Covid-19 supérieure. L’amplitude des pics saisonniers de l’incidence du Covid-19, fin octobre 2020, fin mars 2021 correspondant à ce qui a été improprement appelé « vagues » n’a cessé de décroître. Pour la dernière, dite 4ème vague, début août 2021, l’incidence du Covid-19 a atteint le chiffre dérisoire de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100.000 habitants ». « Il en va de même pour les #hospitalisations et les décès. 31 nouvelles personnes avaient été hospitalisées et 9 sont décédées pour 100 000 habitants au cours de la semaine la plus impactée en 1 an et demi de crise ». « Ces chiffres sont à peine crédibles tellement ils sont faibles. Toutefois ils sont cohérents avec ceux qui ont été publiés par l’ATIH et qui indiquent que seulement 2 % de l’activité des hôpitaux ont été consacrés au Covid-19 en 2020 ». (…) De nombreux articles scientifiques ont montré que, sans pouvoir limiter l’épidémie, les mesures prises ont eu de nombreux effets délétères directs et indirects sur les individus et les populations (…) comme la dégradation de l’état psychique, notamment chez les jeunes, la baisse du niveau scolaire ainsi que les conséquences sur la santé de la dégradation économique du pays (…) ». « Quant au taux de couverture vaccinale aberrant avoisinant les 90 % de la population des plus de 12 ans, les autorités l’ont imposé aux populations en usant de méthodes d’intimidation ou de culpabilisation au motif de les protéger collectivement. Nous venons de montrer que l’impact réel en termes de morbidité et mortalité est extrêmement faible mais cela ne suffit toujours pas, ces populations ayant déjà beaucoup souffert des mesures censées les protéger, doivent encore endurer un nouvel épisode de ce feuilleton insupportable ». (“La « cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui n’a que trop duré”, QG Média, 26 novembre 2021 : https://qg.media/2021/11/26/la-cinquieme-vague-nouvel-episode-dun-feuilleton-qui-na-que-trop-dure/).
Laurent Toubiana, célèbre épidémiologiste français, chercheur et expert dans les systèmes d’information en santé, il travaille au Laboratoire d’informatique médicale et d’ingénierie des connaissances en e-Santé (LIMICS) une unité mixte de recherche accréditée par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Il est le fondateur et directeur de l’Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN), une association qui propose ses analyses des données médicales relatives à certaines épidémies. Il démontre, par les données scientifiques, les mensonges médiatiques et l’ambiance anxiogène voulue par les politiques à rebours des données scientifiques. Avant même la campagne de vaccination, les vagues épidémiques devenaient beaucoup plus faibles, moins mortelles et avec beaucoup moins d’incidents (hospitalisations, malades et décès), une épidémie ne se définissant pas par le nombre de « contaminations » (car beaucoup de personnes bien portantes sont contaminées par « x » sans être malades) mais de malades et de décès. Les mesures autoritaires sur le plan politique sont donc gratuites et pas du tout exigées par la situation sanitaire, car le Covid et ses variants ont parfois moins d’incidences que pour la grippe hivernale. (Laurent Toubiana : “Plus on avance, plus les vagues sont faibles”, Sud Radio, 26 novembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=7a27tkDuNdA).
Israël, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, l’Islande, etc., sont des pays qui ont connu une hausse significative de cas, d’hospitalisations et de décès juste après la vaccination massive.
Le vaccin n’aurait ainsi aucune incidence sur la mortalité liée au virus selon l’IHU Méditerranée-Infection concernant leurs patients sur la période allant du 15 juillet 2021 au 31 octobre 2021 (voir “Bilan de l’année 2021”, IHU Méditerranée-Infection, 1 décembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=wCBZ0NYqewU), quant à la contamination, le vaccin présenterait une efficacité de 43,36% seulement (mais chiffre à revoir à la baisse puisque la majorité des vaccinés ne se font plus tester, ce qui pourrait réduire les chiffres à 0%, voire même à -19% comme dans l’étude suédoise datant du mois de novembre 2021, où de nombreux vaccinés présentent une immunité défaillante et inférieure à celle de nombreux non-vaccinés face au Covid-19).
Avant que l’Union européenne ne décide en décembre 2021 d’approuver pour les enfants de moins de 12 ans, l’injection de cette substance expérimentale appelée faussement vaccin, des effets secondaires graves sur des enfants de moins de 16 ans avaient déjà été constatés en très grand nombre. La députée européenne Virginie Joron, le 1er octobre 2021 tirait déjà la sonnette d’alarme.
Vaccins (Pfizer) : 400 cas d’effets indésirables chez des bébés de 2 ans, Virginie Joron (1 octobre 2021). https://www.youtube.com/watch?v=F3xMtK7eSRw
Selon la chaîne allemande KLA TV, au Royaume-Uni plus de 920 femmes ont officiellement déclaré la perte de leur enfant in utero après avoir reçu le vaccin. La chaîne rapporte aussi que selon le CDC (aux Etats-Unis) plus de 6113 décès après des injections du vaccin à ARNm dont 576 décès d’enfants in utero.
L’Union européenne joue donc, elle aussi, avec la vie et la santé de nos enfants, sachant que ces derniers ont bien plus de risques d’être gravement malades ou d’être tués par ces « vaccins » que par le Covid, d’autant plus que ces « vaccins » n’empêchent nullement la transmission. Il s’agit là d’un crime contre l’Humanité, n’étant justifié par aucune nécessité ni donnée médicale bien établie, qui plus est pour un produit expérimental dont les risques pour la santé sont déjà en grande partie connus et attestés.
Ce qui est incompréhensible, c’est que beaucoup de gens qui étaient critiques envers la démocratie et les manipulations politiques (donc ils étaient « complotistes » à ce moment-là) sont devenus tout à coup très naïfs envers Big Pharma alors que ce sont les mêmes personnes et que les enjeux sont bien plus importants d’un point de vue financier et politique, mais là ils ferment complètement les yeux, comme s’ils avaient abandonné toute religiosité, rationalité et objectivité dans ce qui relève de la plus grande farce planétaire de notre temps (les preuves scientifiques sont là, les dérives totalitaires sont manifestes, etc.). Peut-être souhaitent-ils se « racheter » aux yeux des « puissants » car peu importe le passé et les anciennes critiques, aujourd’hui, seuls les non-vaccinés et les vaccinés anti-Pass sont considérés, – par le système totalitaire – comme des cibles de premier choix et comme des « citoyens de seconde zone à abattre ». Se rendent-ils comptent au moins qu’ils se font ainsi les portes paroles et soutiens des plus grands spéculateurs et criminels des temps modernes ? Aujourd’hui ils ont les moyens de leurs ambitions : ils sont intouchables puisque le système les protège, tout comme le système protège les pédocriminels, violeurs et criminels de guerre notoires, malgré les preuves et les informations (même publiques) qui circulent dans les médias, sur les réseaux sociaux, etc. La protestation des médecins, journalistes, militants des droits de l’Homme et avocats ne peuvent rien y changer, – preuves aussi de la corruption du système et de la protection qu’il accorde aux pires crapules qui soient -.
Et il y a toujours eu « complotisme » (fondé sur la connaissance et la complexité du réel) et « complotisme sectaire et binaire » fondé sur l’ignorance ou les raccourcis simplistes. Là où il y a de l’humain, de l’idéologie et de l’argent en jeu, il y a toujours eu « complots », puisque les conflits d’intérêt, l’avidité et l’ego sont toujours présents dans ce genre d’enjeux sociétaux, qu’ils soient national ou mondial. Les médias et gouvernements occidentaux quant à eux, projettent bien, – à tort ou à raison selon les cas – des « pseudo »-complots « islamistes », « russes », « chinois », « biélorusses », « turcs », etc. sans rien démontrer du tout de façon générale et ça passe pourtant très bien aux yeux des gens peu avertis qui critiquent pourtant les « anti-vax » qui eux, apportent une démonstration limpide et sourcée… Le « complotisme » des anti-complotistes : « tous les citoyens complotent contre les autorités politiques ».
Nous sommes donc tous le « complotiste » de quelqu’un, donc autant choisir le bon camp – celui d’Allâh et de la justice en tant que musulmans -.
Parce que l’on refuse qu’ils nous prennent pour des imbéciles (les mêmes mensonges avaient été répandus en 2009 mais leur plan avait échoué, en 2019, soit 10 ans plus tard -, ils ont mis de plus grands moyens pour avancer leur agenda) ils nous traitent ainsi de tous les noms…
Le Qur’ân dit également ceci au sujet des « comploteurs » : « « N’étions-nous pas avec vous ? » leur crieront-ils. « Oui, répondront [les autres] mais vous vous êtes laissés tenter, vous avez comploté (contre les croyants) et vous avez douté et de vains espoirs vous ont trompés, jusqu’à ce que vînt l’ordre d’Allâh. Et le séducteur [Shaytân] vous a trompés au sujet d’Allâh » (Qur’ân 57, 14).
Pourquoi donc l’OMS encourage des substances expérimentales (les pseudo-vaccins) dont les dangers ont été même reconnus, pour des résultats très nettement insuffisants (par rapport aux attentes exigées) mais bloque ou met en garde des traitements prometteurs ? Pourquoi l’OMS ferme les yeux sur les dangers de nombreuses substances ou technologiques, si ce n’est en raison des conflits d’intérêt, comme pour les ondes électromagnétiques : 3 millions de français seraient affectés par l’électrosensibilité (liée aux champs et/ou aux ondes électromagnétiques) qui donnent de violents maux de tête et une grosse fatigue, et pourraient causer des cancers, des troubles neurologiques et psychiatriques, ce qui fonde légitimement les doutes autour de la 5G (en plus des problèmes de piratage et d’espionnage). Pourtant, l’OMS fait la sourde oreille (pour des raisons de conflits d’intérêt) aux nombreuses études qui pointent ces dangers : (“Faut-il se méfier de la 5G ?”, Investigations et Enquêtes”, 25 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=By5nFUiZmak).
Quant à la vaccination pour les jeunes, pour le virologue et biophysicien Jean-Michel Claverie, elle s’avère dangereuse
dangereuse et ne présente aucun bénéfice réel en contre-partie. Par rapport aux risques de contracter des myocardites : « « Rien sur le plan scientifique ne justifie la vaccination des adolescents », écrivait le virologue Jean-Michel Claverie dans les Echos du 18 juin 2021.
Il défend l’immunité naturelle et le retour à la normale pour la jeune population qui ne décède pas du covid-19. Force est de constater que le Centers for Disease Control and Prevention (CDC) donne raison au professeur.
Ce grand virologue français Jean–Michel Claverie, reconnu internationalement, se demande bien dans quel monde nous vivons. Sur son compte Linkedin, il publie les chiffres du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies (cdc) — qui est l’agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique — des cas de myocardites chez les jeunes. Des chiffres qui font froid dans le dos. Pour les 12-15 ans (mâles), plus de 2240 % (23 fois plus) de myocardites, les 16-17 ans (mâles) : + 3933 % (40 fois plus), les 18-24 ans (mâles) : + 1836 % et les 25-29 ans (mâles) : + 522 %.
Après la vaccination — les mots ne sont pas assez forts — c’est l’hécatombe. Pour le Pr Claverie, le constat est sans appel : « Il faut vraiment arrêter ce délire ! ». Lien vers le PDF du CDC :
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-08-30/03-COVID-Su-508.pdf
Ce matin sur CNews, le Pr Claverie est revenu sur l’immunité naturelle des enfants :
« L’immunité qui est naturellement acquise par les enfants est de meilleure qualité, elle est plus durable, elle est plus générale, car elle ne repose pas uniquement sur un composant du vaccin, mais sur plein de protéines du virus. Et on l’acquiert au niveau des muqueuses, ce qui est très important pour des maladies respiratoires ». ».
“Pour le virologue Jean-Michel Claverie, reconnu internationalement, les myocardites ont explosé chez les enfants : il faut vraiment arrêter ce délire !”, Le Média en 442, 6 septembre 2021 : https://lemediaen442.fr/pour-le-virologue-jean-michel-claverie-reconnu-internationalement-les-myocardites-ont-explose-chez-les-enfants-il-faut-vraiment-arreter-ce-delire/ et “Covid : l’immunité collective, pour quoi faire ?”, Les échos, 18 juin 2021 : https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/covid-limmunite-collective-pour-quoi-faire-1324837
L’argument le plus intéressant et celui qui semble le plus pertinent du côté « pro-vax », concernant la crise du Covid, ne vient pas de la science, mais de la politique.
Voici l’argumentation d’un frère tout ce qu’il y a de plus sérieux, mais qui oublie de nombreux facteurs importants, ce qui fausse sa perception de la situation : « Les chaînes d’état russe (notamment RT et Sputnik) rapportent que Poutine déclare publiquement avoir pris la 3ème dose du vaccin russe Sputnik V et qu’il s’est même porté candidat à de futures études cliniques.
Il y aurait tellement de choses à dire à ce propos. En bref et en pas exhaustif, relevons :
1° La dissonance cognitive qui écartèle les neurones des admirateurs du président russe (entre ceux qui refusent d’y croire, ceux qui pensent que Poutine s’est en fait injecté du sérum physiologique ou de la vitamine C, ceux qui pensent que, ça y est, Big Pharma a réussi à l’acheter…)
2° Le cynisme des médias russes internationaux qui :
–> de la main droite, se font l’écho des actes et propos de Poutine. Or, ce dernier, voyant bien que le travail de sensibilisation en Russie porte peu ses fruits, avec une population très peu vaccinée et donc une épidémie galopante incontrôlable, cherche à inverser la tendance, notamment grâce aux médias russes.
–> de la main gauche, agitent les opinions publiques européennes, se faisant le relai de Raoult, Fouché et Cie, diffusant les thèses conspirationnistes, les pseudo-appels à la liberté, pour augmenter le chaos et la défiance envers les gouvernements et les politiques sanitaires.
On vous voit, hein !
3° Le manque de sérieux qui consiste à inscrire le crise du COVID dans des logiques locales et localisées, alors qu’il s’agit d’une pandémie qui touche le monde entier. Les arguments du type “Macron ceci” ou “Véran cela” ou “De Croo patati” et “Di Rupa patata” ne tiennent pas la route une seconde, puisque des gouvernements aussi différents que ceux de Russie, de Chine, d’Iran, d’Australie, du Canada, d’Afrique du Sud, etc., c’est-à-dire des états qui sont diamétralement opposés sur à peu près tout, se sont accordés sur le sérieux de cette crise sanitaire, sur l’importante des gestes barrières, des tests et de la vaccination. Les ultra-sceptiques du Covid sont, finalement, soit très locaux-centrés et le nez sur le guidon, ce qui manque de cohérence face à une crise mondiale, soit défenseurs d’une vision du type “ils sont tous dans le même sac, de Pékin à Washington en passant par Téhéran”, ce qui relève du délire”
Dans Le Parisien :
“S’exprimant lors de sa grand-messe annuelle télévisée de questions-réponses avec la population russe, Vladimir Poutine a reconnu qu’il « y a toujours eu des gens qui, d’une manière générale, considèrent qu’il ne faut pas faire de vaccins ». « Ces gens sont nombreux (…) pas que dans notre pays, mais aussi à l’étranger », a-t-il relevé.
« Il ne faut pas écouter les gens qui n’y comprennent rien à ces choses, s’appuient sur des rumeurs, mais les experts », a-t-il poursuivi, encourageant les Russes à se faire vacciner en racontant sa propre expérience et celle de sa fille. « La propagation de la pandémie ne peut être évitée que par la vaccination », a-t-il martelé Il a toutefois dit être opposé à toute vaccination obligatoire de la population, tout en soulignant que pour éviter un confinement strict, « certaines régions introduisent l’obligation vaccinale pour certaines catégories de citoyens » comme à Moscou ou à Saint-Pétersbourg pour les employés du secteur des services ».
Il oublie cependant que, plusieurs pays qui n’en font pas des tonnes se portent très bien, même sans vaccination massive (comme Taïwan et d’autres pays en Asie, les pays d’Asie centrale de façon générale, la plupart des pays africains, beaucoup de pays d’Europe de l’Est et des Balkans, …).
Ensuite que les instances internationales sont gangrénées par la corruption et qu’elles ont des connexions avec de nombreux pays (Iran, Russie, Chine, etc. inclus).
Que les chiffres ne sont pas affolants, et que beaucoup de pays imitent aveuglément les autres sans trop y comprendre grand chose (pensant que les explosions de cas, – asymptomatiques pour la plupart – seraient synonyme d’hospitalisations ou de morts potentielles, ce que l’on sait ne pas être le cas).
Aussi, que ce soit pour les pays occidentaux ou non, la crise du Covid permet d’imposer des lockdown, des mesures liberticides et d’éviter des mouvements massifs de contestation, – les USA, la France, la Russie, l’Iran, la Belgique, etc. souffrent d’une impopularité croissante depuis des années – et enfin, que de riches industriels et hommes d’affaires gagnent énormément d’argent avec cette crise (il y a eu une augmentation record de nouveaux milliardaires depuis la crise du Covid), et qu’ils ont justement une influence importante dans ces différents pays. Par ailleurs, la fragilité économique des différents pays fait qu’ils n’ont pas trop le choix que d’accepter les pressions et chantages économiques du FMI, de l’ONU, de l’OMS, de l’UE, etc., comme l’ont rappelé et démontré plusieurs experts politiques et spécialistes de la santé.
Et pour les vaccins, celui qui a été développé par la Russie ne se base pas sur la technologie à ARNm (celle qui est la plus contestée, car la moins connue et celle qui pose le plus de risques, sachant que plusieurs pays occidentaux et orientaux ont interdit ou déconseillé par exemple le vaccin Moderna).
En outre, le fait que de nombreux pays occidentaux n’acceptent pas les vaccins russes, chinois ou autres que ceux développés par les 4 vaccins imposés dans la plupart des pays occidentaux, en dit long sur les soubassements politiques et économiques liés à cette crise.
Mais ce que l’on sait, est que, peu importe les vaccins, ceux-ci présentent tous des risques majeurs pour des bénéfices nuls ou en tout cas, négligeables, puisque les contaminations explosent (dans des pays fortement vaccinés, même en Occident) tout comme les hospitalisations ou les décès (même si c’est loin d’être une hécatombe, ce qui n’a jamais été le cas dans la majorité des pays du monde) qui concernent de nombreux vaccinés.
Selon les données de l’OMS de décembre 2019 à décembre 2020 (juste avant la vaccination) il y aurait eu 1, 57 millions de morts du Covid-19. Et depuis le début de la vaccination massive, en janvier 2021 jusqu’en novembre 2021, l’OMS comptabilisait 3,23 millions de morts en tout (et selon l’OMS, ce serait peut-être même bien plus). Même si la vaccination n’a pas été totale, elle a été appliquée massivement dans de nombreux pays, ce qui n’a ni diminué le nombre de décès de façon significative, ni le nombre de contaminations. Quant aux pays largement non-vaccinés, la plupart s’en portent plutôt bien. Il y a eu donc plus de décès depuis la vaccination (peut-être que les décès imputés au Covid chez les vaccinés sont en partie imputables aux vaccins ?).
En Belgique, au mois de novembre 2021, la région bruxelloise – la moins vaccinée – se porte mieux que les 2 autres régions (la Wallonie et la Flandre) pourtant bien plus vaccinées : « Alors que la situation épidémiologique autour du Covid-19 s’aggrave de plus en plus en Belgique, la situation en Région bruxelloise est moins pire, tant concernant le nombre de nouvelles contaminations au Covid-19 que le nombre d’hospitalisations et d’admissions aux soins intensifs (…) » (“Les chiffres Covid-19 en hausse à Bruxelles mais “relativement meilleurs que dans le reste du pays””, BX1, 23 novembre 2021 : https://bx1.be/dossiers/coronavirus/les-chiffres-covid-19-en-hausse-a-bruxelles-mais-relativement-meilleurs-que-dans-le-reste-du-pays/).
Or, même avec le contexte défavorable de Bruxelles (plus grande population et plus de personnes qui se mélangent dans des endroits clos ou les moyens de transport), la situation est moins alarmante qu’en Flandre et en Wallonie. Cela ne penche donc pas en faveur de la vaccination, malgré l’aberration logique de l’article (les données ne penchent pas pour la vaccination, mais l’article, – dépendant des autorités politiques – se voit obligé de conclure le contraire).
Avant la vaccination on constatait déjà une baisse énorme des décès, hospitalisations et contaminations, qui ont repris avec la vaccination massive justement. Cette baisse générale s’explique avant tout, – comme l’expliquent de nombreux spécialistes – par l’acquisition de l’immunité naturelle, l’épuisement du virus qui à force de muter devient de moins en moins virulent, la meilleure gestion des soins, les gestes barrières et les règles d’hygiène. A contrario, la vaccination a pu favoriser l’apparition de nouveaux variants et un regain de contaminations et de complications (d’où la nécessité selon les politiques soumis aux firmes pharmaceutiques d’imposer de nouvelles doses puisqu’ils disent que le vaccin ne dure que 6 mois alors que beaucoup de vaccinés ont été hospitalisés déjà durant les premières semaines pour cause du Covid-19 ! -) donc soit le vaccin ne protège pas du tout et ils mentent tout en imposant de nouvelles doses (au mieux inutiles, au pire mortelles !) pour faire plaisir à Big Pharma, soit ils ne savent pas du tout ce qu’ils font et leurs mesures totalitaires n’ont de toute façon aucune utilité sanitaire. Attention aussi, évidemment, aux idées infondées répandues par certains « anti-vax », qui parlent de certains « traitements miracles » sans aucune précaution ni nuance (un peu comme les « pro-vax » et leurs promesses foireuses autour des pseudo-vaccins actuels).
Des laboratoires au Japon, en Espagne, en Pologne ou dans d’autres pays sont tombés sur des doses de « vaccins » Pfizer ou Moderna ne contenant pas du tout les mêmes substances (certaines étant nocives et toxiques !) et d’autres ne contenant que… de l’eau saline (c’est-à-dire un genre de « vaccin placebo » qui n’est pas un vaccin mais qui est inoffensif, mais n’ayant aucun effet particulier anti-Covid). Des scientifiques aux idées parfois un peu étranges dans certains domaines, semblent le confirmer aussi d’après leurs analyses (comme le chercheur polonais Franc Zalewski, géologue et minéralogiste, bien que certains collègues sous pression des autorités remettent en cause ses analyses en évoquant plusieurs erreurs hypothétiques pour jeter la suspicion sans nier en bloc cependant ses conclusions). Le Dr. Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, a été retrouvé mort quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxide de graphène présents dans certaines doses des vaccins à ARNm anti-Covid. Les médias officiels ont confirmé son décès mais ont nié, – comme on pouvait s’y attendre – la piste de son assassinat (des versions parlent d’empoisonnement ou d’agressions physiques). La version des médias officiels n’est pas convaincante, même si la coïncidence n’est pas à exclure, ni les autres pistes évoquées d’ailleurs. (Voir “Dr Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, a été assassiné quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxide de graphène”, Eau du robinet, 1 décembre 2021 (et MàJ le 6 décembre 2021) : https://www.eau-du-robinet.fr/dr-andreas-noack-chimiste-autrichien-renomme-a-ete-assassine-quelques-heures-apres-avoir-denonce-les-risques-de-lhydroxide-de-graphene).
Quant à la version des médias officiels (évidemment ne démontrant rien du tout mais relayant uniquement la version des autorités qui doit officiellement être admise) : « L’Allemand Andreas Noack, né en 1964, diplômé de l’université technique de Darmstadt, s’est d’abord fait connaître grâce à ses conférences sur l’alimentation diffusée sur YouTube et la vente de séminaires dédiés à la nutrition. Sur son site, il se présentait comme un «chimiste, ingénieur, inventeur, penseur, non-conformiste», qui prétendait être «le nutritionniste le plus populaire sur Internet ; avec plus de 10 millions de minutes sur YouTube (sic), il obtient un taux d’approbation de plus de 95%, ce qu’aucun autre “gourou de la nutrition” germanophone n’atteint». Avec la crise du Covid, il a connu un regain de popularité dans les milieux complotistes et antivax, grâce à des vidéos dans lesquelles il avance que les fabricants ajoutent secrètement de l’hydroxyde de graphène à leurs vaccins, composé ayant l’effet d’«un rasoir moléculaire» qui nuirait à l’organisme (…) Andreas Noack avait fait les titres de presse en novembre 2020, lorsque des policiers avaient pris d’assaut son domicile alors qu’il était en plein live. La police avait ensuite expliqué que cette intervention n’était pas dirigée contre le chimiste. La mort d’Andreas Noack a été signalée à plusieurs reprises dans le canal Telegram Arche Noack, qu’il avait l’habitude d’alimenter. La première fois, dans une vidéo de quatre minutes publiée le 27 novembre, une personne se présentant comme sa femme, enceinte de son enfant annonce la mort de l’Allemand. Elle raconte que le 23 novembre, après que son époux a publié une vidéo sur le graphène «qui a eu l’effet d’une bombe», il a répondu à une interview de deux heures Il aurait, ensuite, discuté avec elle. La femme déclare : «Peu après, Andreas a été violemment attaqué. L’attaque était extrêmement brutale et inattendue. Et j’ai le terrible devoir de vous annoncer qu’Andreas n’a malheureusement pas survécu. Cette nouvelle est extrêmement choquante pour nous tous.» Ces propos ont aussitôt été interprétés dans les sphères antivax comme le fait que le chimiste avait été agressé physiquement. Certains sites écrivent même qu’Andreas Noack «a été assassiné quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxyde de graphène» et que sa femme affirmait qu’il «est tombé dans une embuscade inattendue et n’a pas survécu à cette agression». Agression physique démentie. L’expression utilisée en allemand par la femme est assez équivoque. Face à la confusion, elle a «précisé» son propos dans une nouvelle vidéo de onze minutes, publiée le 29 novembre sur le canal Telegram, démentant toute agression physique. Dans cette longue vidéo, elle reprend en pleurs la chronologie des derniers jours du chimiste. (…) Une fois les secours arrivés, il a été transporté à l’hôpital de Wolfsberg, en Autriche, où il est finalement décédé «d’un arrêt cardiaque», selon le constat des médecins. La mort du chimiste a été confirmée par un avis de décès sur le site des pompes funèbres de Wolfsberg ». (“Que sait-on de la mort du chimiste antivax Andreas Noack ?”, Libération, 6 décembre 2021 : https://www.liberation.fr/checknews/que-sait-on-de-la-mort-du-chimiste-antivax-andreas-noack-20211206_33ZTX7KY3RHTLMAYOXDZ5B4X3Y/).
Pour Jean Marteau, qui a mené une enquête sur le sujet, disait le 4 décembre 2021 en commentaire d’un article publié par Sud Info le 4 décembre 2021 (sous un titre fallacieux) : « Dans un essai comme celui mené par Pfizer avec son médicament à ARNm, il y a des catégories recevant différentes solutions plus ou moins concentrées de vaxxin, les personnes du groupe placebo ne reçoivent rien. Il y a donc de nombreuses raisons pour lesquelles, malgré la nocivité du vaxxin, vous ne ressentiez rien : placebo, vaxxin sous-dosé, vaxxin dégradé (mauvaise conservation), … Dans les essais pratiqués par Pfizer, le fabricant a montré une surmortalité toutes causes de 24% supérieure chez les vaxxinés par rapport au groupe placebo. Les données actuelles en Angleterre montrent une surmortalité en 2021 et l’analyse des rapports des données de Public Helath England montrent un effet négatif du vaxxin sur les personnes de plus de 40 ans (donc une efficacité négative) ; en conclusion, le vaxxin ARNm fusille littéralement le système immunitaire des vaxxinés. Toutes mes condoléances ». (“Les derniers chiffres de Sciensano le confirment encore un peu plus: les vaccins diminuent fortement les risques de se retrouver à l’hôpital”, Sud Info, 4 décembre 2021 : https://www.sudinfo.be/id431513/article/2021-12-04/les-derniers-chiffres-de-sciensano-le-confirment-encore-un-peu-plus-les-vaccins).
Quant aux liens entre le Covid-19 (et donc la protéine Spike et certains vaccins) et la 5G, cela semble bien fonder selon des études sérieuses comme celle-ci : « Coronavirus disease (COVID-19) public health policy has focused on the severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS-CoV-2) virus and its effects on human health while environmental factors have been largely ignored. In considering the epidemiological triad (agent-host-environment) applicable to all disease, we investigated a possible environmental factor in the COVID-19 pandemic: ambient radiofrequency radiation from wireless communication systems including microwaves and millimeter waves. SARS-CoV-2, the virus that caused the COVID-19 pandemic, surfaced in Wuhan, China shortly after the implementation of city-wide (fifth generation [5G] of wireless communications radiation [WCR]), and rapidly spread globally, initially demonstrating a statistical correlation to international communities with recently established 5G networks. In this study, we examined the peer-reviewed scientific literature on the detrimental bioeffects of WCR and identified several mechanisms by which WCR may have contributed to the COVID-19 pandemic as a toxic environmental cofactor. By crossing boundaries between the disciplines of biophysics and pathophysiology, we present evidence that WCR may: (1) cause morphologic changes in erythrocytes including echinocyte and rouleaux formation that can contribute to hypercoagulation; (2) impair microcirculation and reduce erythrocyte and hemoglobin levels exacerbating hypoxia; (3) amplify immune system dysfunction, including immunosuppression, autoimmunity, and hyperinflammation; (4) increase cellular oxidative stress and the production of free radicals resulting in vascular injury and organ damage; (5) increase intracellular Ca2+ essential for viral entry, replication, and release, in addition to promoting pro-inflammatory pathways; and (6) worsen heart arrhythmias and cardiac disorders.
Relevance for Patients:
In short, WCR has become a ubiquitous environmental stressor that we propose may have contributed to adverse health outcomes of patients infected with SARS-CoV-2 and increased the severity of the COVID-19 pandemic. Therefore, we recommend that all people, particularly those suffering from SARS-CoV-2 infection, reduce their exposure to WCR as much as reasonably achievable until further research better clarifies the systemic health effects associated with chronic WCR exposure (…) ». (“Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G”, Beverly Rubik and Robert R. Brown, J Clin Transl Res. 2021 Oct 26, NCBI : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/).
Les masques contenant du graphène sont très mauvais pour la santé : « En mai dernier, près de 17 millions de masques FFP2 contenant du graphène, une particule potentiellement dangereuse pour la santé, avaient été rappelés, en attendant l’avis de l’Anses. Ce 14 décembre, l’Agence a recommandé de privilégier la mise sur le marché de masques sans graphène. Les masques de protection font partie de notre quotidien depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Certains sont cependant à éviter : c’est le cas des masques FFP2 contenant du graphène, une substance potentiellement dangereuse pour la santé. Ce 14 décembre, l’Anses a recommandé, de ne pas les utiliser par mesure de précaution, “du fait du manque de données sur la toxicité” du graphène. (…). Le graphène est une petite substance résistante et imperméable aux propriétés virucides, qui est potentiellement toxique. En avril dernier, le gouvernement canadien avait rappelé les masques qui en contenaient. “L’organisme canadien de réglementation de la santé, Health Canada, a rendu un avis urgent le 2 avril 2021, avertissant que les masques contenant des nanoparticules sont potentiellement toxiques et peuvent présenter un risque pour la santé, en particulier pour la santé pulmonaire, puisque les porteurs peuvent inhaler les particules”, pouvait-on lire dans une lettre envoyée par des ONG spécialisées dans la santé environnementale aux dirigeants de la Commission européenne et du Parlement pour lancer l’alerte. Deux mois plus tard, c’est la France qui avait décidé de rappeler à son tour les masques FFP2 contenant du graphène. Dans une note publiée le 25 mai sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), Santé publique France demandait de ne plus utiliser certains masques FFP2 “dans l’attente de l’évaluation de l’éventuel risque lié à la présence de graphène”. Au total, l’autorité sanitaire avait rappelé 16,9 millions de masques FFP2. Ces derniers avaient été distribués à des hôpitaux français et l’Agence régionale de Santé (ARS) d’Ile-de-France avait précisé qu’il n’était “pas exclu que des professionnels de santé du secteur ambulatoire aient pu percevoir ces équipements”. L’Anses recommande de privilégier la mise sur le marché de masques sans graphène. La distribution de masques FFP2 contenant du graphène avaient ensuite été suspendue dans l’Hexagone, le temps que l’Anses évalue les risques sanitaires liés à leur port. C’est désormais chose faite. Dans son communiqué du 14 décembre, l’Agence rappelle que l’utilisation du graphène en tant que substance biocide est interdite en Europe. “Lorsque des boîtes de masques mentionnent la présence de graphène pour une activité biocide, celles-ci sont donc retirées du marché par la DGCCRF pour non-respect de la réglementation”, précise-t-elle. L’Anses indique également que si “les données disponibles ne mettent pas en évidence de situations d’exposition préoccupantes (…), il est impossible d’évaluer le risque pour la santé liée à l’exposition au graphène, en raison du manque d’information sur le graphène utilisé par les fabricants et sur la toxicité de cette substance, en particulier à long terme”. Résultat : l’Agence recommande aux autorités publiques de privilégier la mise sur le marché ou la mise à disposition de masques sans graphène. Elle rappelle également aux fabricants et à ceux qui mettent les masques sur le marché qu’il est de leur responsabilité “de garantir la sécurité d’emploi de leurs produits pour les consommateurs ». “Masques FFP2 au graphène : l’Anses recommande de ne pas les utiliser”, Femme actuelle, 14 décembre 2021 : https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/rappel-de-produits-des-millions-de-masques-ffp2-potentiellement-dangereux-retires-2114048
Le Dr. Martin Blachier, qui se trompait pratiquement sur tous les points durant plus d’1 an et demi lorsqu’il défendait la propagande gouvernementale (pro-vax), fait désormais volte-face sur de nombreux points. Le 14 décembre 2021 sur son compte twitter il dit : « Données danoises Omicron: 8% chez les triples vaccinés 5,5% chez les doubles vaccinés 1,2% chez les non-vaccinés Omicron sélectionne les vaccinés car l’échappement vaccinal lui confère un avantage chez ces personnes ». Sur la chaine LCP il dénonçait aussi l’hystérie, l’ignorance et les affirmations mensongères et/ou purement hypothétiques de certains « experts officiels ».
Pour les autorités politiques, toujours moins de science et d’apaisement, mais toujours plus de menaces (juridiques, financières, « morales », sociales et politiques) et plus de risques et d’atteintes à la santé physique et mentale des citoyens.
Ainsi, par rapport aux vaccins, sur le court et moyen termes :
1) Le vaccin présente une très faible efficacité au mieux et une efficacité nulle au pire (similaire à l’effet placebo).
2) Le virus ne tue essentiellement que les personnes très âgées et qui sont à risque avec des problèmes d’obésité, de diabète, d’hypertension…Or les multinationales de l’agroalimentaire ne sont pas inquiétées alors qu’ils favorisent considérablement la faiblesse du système immunitaire ainsi que l’apparition de nombreuses maladies ou défaillances sur le plan sanitaire.
3) Le vaccin ne présente pas non plus une forte efficacité pour les personnes dites à risque, qui continuent de mourir ou d’être hospitalisées pour cause du Covid, même en étant doublement ou triplement vaccinés.
4) Dans plusieurs pays, on constate que les jeunes et adultes en bonne santé ont plus de chances de mourir du vaccin ou de développer des effets secondaires graves que de mourir ou d’être sévèrement affectés par le Covid. La balance bénéfice/risque est clairement en défaveur du vaccin.
5) La vaccination a engendré de nombreux décès imputables aux vaccins ainsi que des millions d’effets secondaires à l’ampleur variable (légers et temporaires, légers et permanents, graves et temporaires, graves et permanents, et très graves et permanents), ayant conduit à l’hospitalisation d’un grand nombre de personnes dans tous les pays où la couverture vaccinale est importante. Paradoxalement, de nombreux pays ont diminué le nombre de lits d’hôpitaux et les budgets liés à la santé, tout en licenciant des dizaines de milliers de médecins et d’infirmiers refusant pour des raisons médicales, de se faire injecter cette substance comportant de nombreux risques inutiles.
6) Ces vaccins expérimentaux et comportant des risques majeurs, admis par les agences sanitaires, auraient pu se justifier si et seulement si : le Covid-19, en soi, tuait une partie conséquente de la population, or le Covid-19 ne fait pas partie des causes de mortalité les plus graves, et ne devient dangereux qu’en présence de facteurs aggravants (cancer, tumeur, obésité, diabète, etc., absence de prises en charge à temps, absence de traitements préventifs, etc.). Ce qui a été fatal dans cette crise a été causé essentiellement par l’interdiction de promouvoir des traitements efficaces et éprouvés pour lutter contre le Covid avant de ne favoriser qu’une solution purement hypothétique et expérimentale (les vaccins à ARNm) et dont on sait à présent qu’elle ne résoudra pas le problème. L’alcool, le tabac, la drogue, le sucre industriel, le stress ambiant, etc. font plus de victimes que le Covid chaque année, et les gouvernements ne font pas grand chose pour lutter contre ces fléaux, pire, beaucoup empirent la situation et rajoutent du stress inutile. De même, le fait d’avoir poussé les gens malades à rester chez eux au lieu de se faire soigner, a causé la mort de centaines de milliers de personnes en Europe sur 1 an, – soit bien plus que toutes les victimes du terrorisme en Europe de ces 30 dernières années ! -.
7) L’immunité naturelle est plus efficace et dure plus long (entre 1 an et demi et 2 ans selon les études) que les vaccins à ARNm (entre 2 semaines et 6 mois maximum selon les études).
8) Les responsables de la pandémie ne sont pas les non-vaccinés dont la majorité ne présentent pas de risques majeurs, mais de nombreux politiciens et hommes d’affaire, les manipulations de l’OMS sur ordre de Big Pharma, ceux qui ont bloqué tous les traitements efficaces, peu coûteux et alternatifs (comme l’ivermectine), qui ne luttent pas contre les causes de l’obésité, du stress, du diabète, de l’alcoolisme, du tabagisme, etc., et ceux qui ont privé les hôpitaux de nombreux services et budgets importants, ceux qui bloquent les enquêtes autour de l’origine du Covid-19, etc.
Jean-Michel Claverie – “Il n’y a toujours pas de véritable enquête sur l’origine du covid-19 !”, Sud Radio, 29 juin 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=Zikqr1IgcpY
Sur le long terme :
1) De nombreux chercheurs mettent en garde sur les maladies auto-immunes, les complications graves, etc. ainsi que d’autres aspects qui sont encore mal connus mais qui peuvent survenir 2 à 10 ans après l’inoculation du vaccin, et surtout le fait qu’à chaque nouvelle dose, de nouveaux risques se rajoutent.
Le vaccin est donc une roulette russe car :
1) Il peut ne rien causer du tout, mais tout en demeurant inutile face au Covid-19 car n’empêchant pas la contamination et la transmission du virus ni même les formes légères ou les formes graves.
2) Il peut entrainer des effets similaires au Covid inutilement alors que la personne bénéficiait d’un bon système immunitaire face au Covid-19.
3) Il peut provoquer la mort.
4) Il peut favoriser l’affaiblissement du système immunitaire et le rendre plus fragile face aux virus.
5) Il peut provoquer la paralysie, la cécité, des problèmes de surdité, de goût ou d’odorat, provoquer des thromboses, des AVC, des problèmes cardiaques ou des troubles neurologiques, tout comme des problèmes de stérilité pour les hommes ou de fausses couches.
Tout cela est très bien documenté même si l’ampleur est souvent sous-évaluée car tous les cas ne sont pas remontés dans les bases de données de la pharmacovigilance (les victimes ignorent leur existence bien souvent ou sont découragés car c’est long, beaucoup de médecins n’enregistrent pas tout car c’est long et qu’ils n’ont pas forcément le temps de tout faire, etc.).
Comment expliquer autant de scepticisme (qui est diabolisé par les autorités politiques) vis-à-vis de la vaccination, est-ce qu’il est fondé ou alors n’a-t-il aucun fondement comme le prétendent les « pro-vax » extrémistes ?
On peut résumer cela en plusieurs points :
1) l’aspect politique et les menaces qui s’en suivent.
2) l’inefficacité des vaccins qui se pose selon les données disponibles
3) les risques réels de ces vaccins (même selon les agences officielles).
4) Les complications graves (qui sont bien plus importantes que les autres traitements ou vaccins) liées à ces vaccins.
5) Les mensonges et les grosses sources de profit au détriment de la santé, émanant des firmes pharmaceutiques déjà condamnées à plusieurs reprises pour de nombreuses fraudes et mises sur le marché de médicaments dangereux ou inefficaces, y sont pour beaucoup aussi.
Pour résumer, sur le court terme, tous les discours critiques envers la vaccination ont été confirmés par les faits scientifiques, les données médicales et les manipulations et dérives autoritaires des autorités politiques un peu partout dans le monde. La nécessité de la 3ème dose, l’imposition du Pass sanitaire, les dangers des vaccins, l’inefficacité du vaccin par rapport au Covid-19, etc., tout cela avait été prédit et annoncé par ceux qui étaient taxés de complotistes (concept fourre-tout aujourd’hui), où les discours pro-vax ont tous été réfutés par la science, l’actualité et les continuelles contradictions de l’OMS comme des gouvernements politiques pro-vax. Reste à vérifier les prédictions sur le long terme, – de nombreux scientifiques tirant la sonnette d’alarme sur les dangers des vaccins à ARNm sur les problèmes liés aux maladies auto-immunes et complications sur les années à venir. Ce que l’on sait déjà, c’est que, rien qu’en Occident, des centaines de milliers de morts sont imputables aux vaccins (directement ou indirectement en cas d’aggravation et de complications mortelles), ainsi qu’au moins des centaines de milliers d’hospitalisations déclarées peu de temps après la vaccination (paralysie, cécité, maladies cardiaques, AVC, thromboses, etc.) et que des dizaines de milliers de personnes vaccinées (parfois plus que les non-vaccinés !) sont tout de même morts du Covid-19, alors que le taux de mortalité du Covid seul reste assez bas. Pour les personnes en bonne santé ou les jeunes sans comorbidités, il y a donc bien plus de risques de mourir du vaccin ou d’avoir des complications graves suite à l’injection du « vaccin », que du Covid, et ce selon toutes les observations et données médicales complètes dont on dispose, même si l’on prend les chiffres les plus bas issus de la pharmacovigilance (sachant que les chiffres officiellement enregistrés ne représentent parfois qu’1 à 20% des cas totaux, où il faudrait donc multiplier les chiffres officiels entre 5 à 100 fois concernant les effets secondaires, décès ou maladies graves après la vaccination). Même pour les personnes de plus de 65 ans et avec des comorbidités, le vaccin n’est pas très sûr, sachant que de nombreuses personnes vaccinées sont mortes peu de temps après la vaccination, et que d’autres sont décédées du Covid-19 même en étant primo ou doublement vaccinées…
Une précision importante toutefois à noter, est qu’il faut parler d’imputabilité concernant les morts du Covid-19 aussi bien que de la vaccination, sachant que les décès sont souvent d’ordre multifactoriel. Ainsi, tous les décès attribués officiellement au Covid-19 et les données remontées (qui constituent entre 1 à 20% seulement des cas recensés selon des études) par la pharmacovigilance concernant les effets secondaires et les décès liés à la vaccination ou au Covid, doivent être revus à la baisse. Les décès et effets secondaires existaient avant ces vaccins, mais on constate cependant une hausse significative des complications graves, effets secondaires légers et décès anormaux, parfois de l’ordre de 30 fois ou 100 fois plus nombreux que pour les anciens vaccins sur ces 30 dernières années. Les firmes pharmaceutiques et les gens qu’ils paient et soudoient parmi les agences sanitaires et autorités politiques ont réussi un joli tour de force, celui d’inverser la charge de la preuve. Il faut en effet démontrer l’innocuité d’un vaccin ou d’un médicament avant de le vendre sur le marché. Seule exception : si une maladie ou un virus décime une grande partie de la population et qu’il n’existe aucun traitement efficace pour lutter contre le virus ou la maladie, – ce qui n’était pas du tout le cas concernant le Covid-19 et dont les chiffres ont été sciemment gonflés par de nombreux pays occidentaux sous l’injonction de Big Pharma -.
Étant donné qu’il est difficile de prouver catégoriquement l’implication directe d’un médicament ou d’un vaccin (1), – sauf s’il y a une forte corrélation et une hausse significative de décès ou d’effets secondaires sur des milliers et milliers de patients ayant pris ledit médicament ou ledit vaccin, en ayant éliminé les différents biais possibles, chacun pourra toujours nier certains faits, aussi nombreux et (fortement) probables soient-ils, ce que font les firmes pharmaceutiques à longueur de temps. Dans le cas du Covid-19, il y a en effet, d’un point de vue statistique, un signal fort sur la dangerosité de ces vaccins, – les doses n’étant pas non plus toutes identiques du point de vue des composés, le vaccin opère donc comme une roulette russe, au moins sur le court terme (décès, complications graves et/ou effets secondaires légers permanents ou temporaires, ou alors ne provoquant rien de bien gênant ou visible).
C’est pour cela aussi que les firmes pharmaceutiques jouent sur les doutes et le temps, et où l’on découvre souvent 5 à 10 ans plus tard, l’ampleur des dégâts et des mensonges que ces firmes avaient couvert ou opéré.
Par ailleurs, sur le plan financier, ils s’assurent de la vente des milliards de doses de vaccins (plus de 4, 4 milliards de doses juste pour l’Europe, l’équivalent déjà de 10 doses par habitant), plus des traitements et médicaments (contre le Covid, – puisque ces vaccins ne sont pas efficaces – et contre les effets secondaires des vaccins). La crise du Covid-19 a vu le nombre (et le capital) de riches (patrons des multinationales) augmenter, mais le nombre de pauvres augmenter considérablement : « Le constat est sans appel : les très riches ont vu leur fortune croître grâce à des patrimoines essentiellement financiers ces dernières années, constate le World Inequality Report 2022, un rapport annuel dressant un état des lieux détaillé des inégalités mondiales. En cinquante ans, l’objet de fascination est passé de l’homme fictionnel qui valait trois milliards à l’homme bien réel qui en vaut près de cent fois plus: Elon Musk, première fortune mondiale, est le symbole du creusement toujours plus profond des inégalités détaillées dans un rapport. Coordonné par l’économiste Lucas Chancel, avec la contribution de Thomas Piketty, Emmanuel Saez et Gabriel Zucman, le rapportWorld Inequality Report 2022, long de 228 pages, milite pour la mise en place d’une imposition progressive du patrimoine à l’échelle mondiale, ainsi que d’un registre financier international afin d’agir contre l’évasion fiscale.
“Un monde encore plus polarisé”
Pour une petite caste, ce patrimoine est stratosphérique : le classement du magazine américain Forbes qui évalue ce que possèdent les plus riches en temps réel, montre que les dix premiers possèdent plus de 100 milliards de dollars chacun. En tête, le patron de Tesla avec 266 milliards de dollars. Tous américains à l’exception du patron français du groupe de luxe LVMH Bernard Arnault, ils ont amassé leur fortune à 12 chiffres essentiellement dans la tech grâce à une envolée des cours boursiers. Jeff Bezos, à la deuxième place, détient 9,9 % d’Amazon, et Mark Zuckerberg 12,3 % de Facebook. “Après plus de 18 mois de Covid-19, le monde est encore plus polarisé” en matière d’inégalités de richesse, souligne auprès de l’AFP Lucas Chancel, codirecteur du World Inequality Lab à l’Ecole d’économie de Paris. Pendant que le patrimoine des milliardaires a pris plus de 3 600 milliards d’euros, ce sont 100 millions de personnes supplémentaires qui ont rejoint les rangs de l’extrême pauvreté”, détaille-t-il, alors que depuis 25 ans l’extrême pauvreté avait baissé. Selon le rapport, les 52 personnes les plus fortunées ont vu la valeur de leur patrimoine croître de 9,2 % par an depuis 25 ans, largement plus que les catégories moins dotées. Le club du 1 % le plus riche, soit les personnes détenant plus de 1,3 million de dollars en patrimoine, a lui capté plus du tiers de la fortune accumulée sur la planète depuis 1995. “Etant donné la concentration très forte des richesses, une taxation modeste et progressive peut engendrer des revenus significatifs pour les gouvernements” dont l’endettement s’est envolé face à la crise de 2007-2008 et la pandémie, propose le rapport. (…) ». (“Pendant que le patrimoine des milliardaires prenait 3 600 milliards d’euros, 100 millions de personnes sont tombées dans l’extrême pauvreté”, La Libre, 7 décembre 2021 : https://www.lalibre.be/economie/conjoncture/2021/12/07/pendant-que-le-patrimoine-des-milliardaires-prenait-3-600-milliards-deuros-100-millions-de-personnes-sont-tombees-dans-lextreme-pauvrete-UXCDXPH5VNHFNI2XGDVALV3MOM/
Quant à Pfizer et Moderna, – dont leurs pseudo-vaccins constituent un échec sur tous les plans (sauf celui des profits financiers et celui de l’influence politique) – : « Après la folle course aux vaccins, l’heure est aux premiers bilans pour les laboratoires pharmaceutiques. La pandémie a créé un nouveau marché colossal pour les fabricants de vaccins. Si tous ne profitent pas de la crise sanitaire, certains industriels voient leurs ventes – et leurs profits – s’envoler grâce à la pandémie. Sur les trois premiers mois de 2021, le vaccin à ARN messager de Pfizer – développé en partenariat avec l’allemand BioNTech avec lequel il partage pour moitié les profits – a ainsi rapporté 3,5 milliards de dollars (2,9 milliards d’euros) au géant américain. Soit bien plus que ce que gagne le laboratoire pharmaceutique en un an grâce à la vente de certains de ses produits stars. Une très bonne affaire donc. D’autant que l’industriel, qui a déjà expédié plus de 430 millions de doses dans le monde, continue d’amasser les contrats auprès des Etats pour en fournir de nouvelles. Fort de ces performances, Pfizer a revu les prévisions de ses ventes de vaccins anti-Covid à la hausse. Au lieu des 15 milliards de dollars anticipés pour l’ensemble de l’année, le groupe estime qu’elles atteindront plutôt 26 milliards de dollars. Son compatriote, Moderna, n’est pas mal loti non plus. La biotech, qui a débuté ses livraisons aux Etats-Unis au même moment que Pfizer, compte gagner 18 milliards de dollars avec son vaccin en 2021. Un changement radical pour cette jeune entreprise, qui, jusqu’à présent, n’avait jamais réalisé de bénéfices. Son patron, le Français Stéphane Bancel, est aujourd’hui milliardaire, avec une fortune estimée à 3,5 milliards d’euros. Tout comme Ugur Sahin, le fondateur et dirigeant de BioNTech.
Ces deux biotech, inconnues du grand public il y a encore un an, ont vu les cours de leurs actions exploser grâce à la pandémie. La capitalisation boursière de Moderna a été multipliée par 3,5 en un an, pour atteindre 69,5 milliards de dollars. Celle de BioNTech s’élève à près de 43 milliards de dollars. De quoi réjouir les actionnaires. A côté de ces résultats flamboyants, les ventes de vaccins d’AstraZeneca (275 millions de dollars) et Johnson & Johnson (100 millions de dollars) font pâle figure.
Perspectives prometteuses
A l’inverse de leurs rivaux, ces deux laboratoires – qui ont développé des vaccins à adénovirus – ont fait le choix de vendre leurs doses à prix coûtant le temps de la pandémie. Mais la survenue de plusieurs cas rares de troubles thromboemboliques a jeté le doute sur cette technologie. Et les difficultés de production d’AstraZeneca, qui accumule les retards de livraison dans les commandes auprès de l’Union européenne (UE), n’ont pas arrangé les affaires du groupe anglo-suédois. (…) ». (“Vaccins contre le Covid-19 : Pfizer et Moderna engrangent les milliards de dollars”, Le Monde, 5 mai 2021 : https://www.lemonde.fr/economie/article/2021/05/05/covid-19-vers-des-profits-records-pour-pfizer-et-moderna_6079190_3234.html).
En Espagne, en Israël et en France, on sait déjà que la 3ème dose ne suffit pas pour les autorités, et qu’une 4ème dose sera à l’ordre du jour comme le rapporte BFMTV : « Covid-19: pour le président du Conseil scientifique, “il est possible que nous ayons besoin à un moment donné d’une 4e dose » (https://twitter.com/bfmtv/status/1468530044062650369?s=21 ; voir aussi “EN DIRECT – Covid-19: le plan blanc activé par l’ARS en Île-de-France”, BFMTV, 8 décembre 2021 : https://www.bfmtv.com/sante/en-direct-covid-19-pres-60-000-nouveaux-cas-enregistres-mardi-un-record-depuis-novembre-2020_LN-202112080150.html).
Mais l’OMS et Pfizer avaient déjà averti du fait que la vaccination (même à 80 ou à 90%) ne permettrait pas d’en finir avec le Covid rapidement, – même si Ugur Sahin (fondateur de BioNTech) s’était lamentablement fourvoyé dans ses prédictions tout en occultant les dangers de son pseudo-vaccin – et la crise et qu’on ne reviendrait plus à la vie d’avant et que ce ne sera pas terminé en 1 an comme l’avaient faussement annoncé les autorités politiques . La farce du Covid-19 doit encore durer 2 ou 3 ans selon Big Pharma, et l’OMS annonçait déjà une pandémie pire que le Covid pour l’après-Covid …
« Le Prof. Dr. Ugur Sahin, fondateur de la compagnie allemande de biotechnologie BioNTech dont le vaccin contre le coronavirus a montré une efficacité de 90%, la vie rependra son cours normal l’hiver prochain (2021-2022). Lors d’un reportage accordé à BBC, Sahin s’est dit convaincu qu’avec un vaccin aussi performant, le taux d’infection diminuera à coup sûr de moitié, même si ce n’est pas de 90%. « Ce qui permettra d’empêcher dans tous les cas la propagation de la pandémie » a-t-il ajouté. Sahin a fait savoir que le vaccin devrait être utilisé au plus tard, au début de l’année 2021, « si tout se passe bien ». « Notre objectif est de distribuer au moins 300 millions de doses à l’échelle mondiale jusqu’en avril 2021 » a indiqué le fondateur de BioNTech. Parmi les effets adverses du vaccin qui ont été constatés, figurent une douleur à l’emplacement où le vaccin a été effectué, ainsi qu’une faible fièvre dans les jours qui suivent la vaccination. « Aucun des effets adverses ne sont sérieux au point d’interrompre les travaux de développement du vaccin » s’est-il réjoui ». “Covid-19: Selon Ugur Sahin, fondateur de BioNTech, la vie reprendra son cours normal en hiver 2021”, TRT, 16 novembre 2020 : https://www.trt.net.tr/francais/science-sante/2020/11/16/covid-19-selon-ugur-sahin-fondateur-de-biontech-la-vie-reprendra-son-cours-normal-en-hiver-2021-1528710 ; de nombreux décès par milliers, des maladies graves par millions, – ce ne sont visiblement pas des choses prises au sérieux par Pfizer/BioNTech -.
« Santé publique France constate une reprise inquiétante de l’épidémie de coronavirus en France. Il ne faut pas s’attendre à un retour à la normale avant 2022 voire 2023, prévient Jean-François Delfraissy, président du Conseil scientifique (…) » : “Covid-19. Pas de retour à la normale avant 2022 ou 2023, selon le président du Conseil scientifique”, Ouest France, 23 juillet 2021 : https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-un-retour-a-la-normale-en-2022-ou-2023-previent-le-president-du-conseil-scientifique-2bafb4fe-ebde-11eb-b676-8e17cc91b749
« (…) Cette pandémie a été très sévère. Elle s’est répandue à travers le monde très rapidement et elle a touché chaque recoin de la planète, mais ce n’est pas nécessairement la pire”, a mis en garde le médecin, qui dans sa carrière a eu à affronter sur le terrain des agents pathogènes parmi les plus mortels. Tout en reconnaissant que le virus “se transmet très facilement et tue des gens (…) son taux de mortalité est relativement bas par rapport à d’autres maladies émergentes”, il nous faut “nous préparer à l’avenir à quelque chose qui sera peut-être encore pire”, a martelé le docteur Ryan. (…) ». “Pour l’OMS, il est urgent de se préparer “à pire qu’au Covid-19″”, Le Vif, 28 décembre 2020 : https://www.levif.be/actualite/international/pour-l-oms-il-est-urgent-de-se-preparer-a-pire-qu-au-covid-19/article-normal-1374069.html
« Une prochaine pandémie risque d’être “pire”, a prévenu lundi la scientifique britannique Sarah Gilbert, co-créatrice du vaccin d’Oxford/AstraZeneca contre le Covid-19, appelant à investir dans la recherche pour être mieux préparés à cette éventualité. “Ce ne sera pas la dernière fois qu’un virus menace nos vies et nos moyens de subsistance. La vérité est que le prochain pourrait être pire. Il pourrait être plus contagieux, ou plus mortel, ou les deux”. Cette professeure de vaccinologie à l’université d’Oxford, a appelé à ne “pas perdre” faute de financement les progrès scientifiques réalisés dans la lutte contre le coronavirus. “Nous ne pouvons pas permettre une situation où, après avoir traversé tout ce que nous avons traversé, nous constatons que les énormes pertes économiques que nous avons subies signifient qu’il n’y a toujours pas de financement pour la préparation à une pandémie”, doit-elle dire.
Omicron. Mme Gilbert s’est exprimée au sujet du variant Omicron, contre lequel le Royaume-Uni a accéléré sa campagne de rappel vaccinal et réintroduit le port obligatoire du masque dans les transports et les magasins. Ce variant “comporte des mutations déjà connues pour augmenter la transmissibilité du virus” et que “les anticorps induits par les vaccins, ou par la contamination par d’autres variants, peuvent être moins efficaces pour prévenir l’infection par Omicron”. Pour freiner la propagation de ce virus, le gouvernement britannique a annoncé le weekend dernier que les voyageurs se rendant au Royaume-Uni devront présenter un test négatif avant leur départ. Ils doivent déjà faire un test PCR au plus tard deux jours après leur arrivée, et s’isoler jusqu’aux résultats ». (“Coronavirus: “Le prochain virus pourrait être pire, plus contagieux, plus mortel”, selon Sarah Gilbert co-créatrice du vaccin d’AstraZeneca”, RTBF, 6 décembre 2021 : https://www.rtbf.be/info/dossier/epidemie-de-coronavirus/detail_coronavirus-le-prochain-virus-pourrait-etre-pire-plus-contagieux-plus-mortel-selon-sarah-gilbert-co-creatrice-du-vaccin-d-astrazeneca?id=10892408).
Les personnes immunisées contre le Covid par voie naturelle ont moins de risques de contracter des formes graves ou de transmettre le virus, bien plus efficace donc que la vaccination et où de nombreux vaccinés ne produisent pas quant à eux le taux d’anti-corps requis pour être immunisé contre le virus ou le transmettre. Mais les gouvernements occidentaux licencient, méprisent et exercent des pressions insoutenables envers des centaines de milliers de médecins et infirmières qui ont risqué leur vie pour sauver la population, et qui s’attachent à la médecine et à la science (d’où leurs craintes légitimes envers ces pseudo-vaccins, globalement inefficaces et dangereux) et attendent au moins que de vrais vaccins anti-Covid voient le jour (voir Covid-19 : «Vacciner des gens qui ont des anticorps, c’est une aberration», rappelle Véronique Rogez, Russia Today, 16 septembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=uZKPwNQfJbk).
Ne pouvant guère convaincre les personnes intelligentes ou sceptiques sur cette médiocrité vaccinale, tous les moyens sont bons pour justifier la « vaccination » obligatoire : « « Le Soir » s’est procuré l’avis de l’Institut fédéral des droits humains. Sa conclusion est limpide : la vaccination obligatoire n’est pas incompatible avec les droits humains » (“«La vaccination obligatoire respecte les droits humains»”, Le Soir, 8 décembre 2021 : https://www.lesoir.be/411088/article/2021-12-08/la-vaccination-obligatoire-respecte-les-droits-humains). Mais oublient-ils que ce n’est pas à une instance humaine profane de décréter quoi que ce soit en ce qui concerne ce que l’on veut injecter dans notre corps ? D’autant plus quand un parle d’un produit expérimental dont la toxicité est désormais très bien établie, et dont l’efficacité contre un virus peu mortel ou grave en soi (pour l’immense majorité de la population mondiale) est remise en question de jour en jour ?
Et que vaut l’avis d’un groupe composé de criminels et de gens soumis à des pressions cruelles et opposées à toute éthique ? Et n’ayant aucune autorité divine ou prophétique quelconques, leur avis n’a rien d’universel ou d’objectif, et n’a donc aucune valeur quand elle empiète sur la liberté de conscience, la santé et la dignité humaine… Il y a longtemps déjà, le regretté René Guénon l’avait déjà pressenti : « [au sujet des médecins de leurs « tracasseries »] Ces gens là en sont arrivés à s’emparer en quelque sorte du monde entier, et bientôt on n’aura plus le droit de vivre sans leur permission ». (René Guénon, Correspondance avec Louis Cattiaux, Octobre 1949).
Si nous éteignions les radios et les télévisions, peu de gens penseront encore que le Covid sévit, puisque les gens ne tombent pas comme des mouches dehors en raison du Covid, comme les médias et les politiciens nous l’avaient annoncé, et ce dès le début de la crise. Or, depuis longtemps, il existe des milliers de personnes qui chaque année, souffrent de la grippe dans beaucoup de pays – comme du cancer, de l’alcoolisme, de la drogue, … – mais les gens n’en ont guère peur car les médias n’en parlent pas à longueur de journées, et qu’aucune mesure liberticide n’a été imposée pour des raisons sanitaires ou politiques. Cette expérience de pensée, s’appuyant sur des données comparables, montre bien que le nœud du problème est politique, – voire idéologique – plutôt que sanitaire. Outre les nombreux biais et chiffres gonflés par les médias – cela a été démontré par d’éminents chercheurs -, la société numérique joue beaucoup en usant de la tyrannie des chiffres (qui, avec des biais de sélection ou de confirmation, pourront toujours « prouver » tout et son contraire) pour s’imposer et manipuler la masse.
Quand une nation abandonne la médecine préventive et ne met pas en place des mesures concrètes pour lutter contre ce qui atrophie la condition humaine (aussi bien concernant sa santé physique que mentale), elle finit par faire de la mort et de la maladie un commerce très juteux. Certains virus ne sont pas mortels en soi, mais ne le deviennent qu’en raison des trop nombreux facteurs de comorbidités qui fragilisent la santé humaine. Or, de nombreux vaccins se révèlent inefficaces contre les virus contagieux alors qu’une meilleure santé de base (zinc, vitamines C et D, absence d’obésité ou de diabète, activité sportive, contact avec la nature et l’air frais et « purifié », etc.) permettrait de bénéficier d’une bien meilleure santé individuelle et collective.
En conclusion, la prudence est de mise, les autorités politiques se révèlent très fourbes et peu dignes de confiance, ces vaccins ne sont pas du tout « sûrs » ni même « efficaces », et le système totalitaire qui se met en place au nom du « Covid-19 », – on parle déjà d’une nouvelle pseudo-religion appelée « Covidisme » avec ses « orthodoxes », ses « hérétiques », ses « dissidents », ses « pseudo-valeurs », ses « pseudo-rites » et ses « pseudo-dogmes » – ne saurait se justifier par la situation sanitaire, d’autant plus quand rien n’est fait de la part des gouvernements pour améliorer la santé des citoyens et des hôpitaux, ni même les facteurs et causes de mortalité comme l’obésité, le tabac, l’alcool, la drogue, le sucre industriel, le manque de sport et d’espace vert, la pollution, …
Les autorités politiques et sanitaires sont les rares criminels qui ne s(er)ont presque jamais poursuivis malgré les millions de personnes qui ont été massacrées ou tuées, ou qui ont vu indirectement leur vie détruite par leurs décisions directes… Or, le bilan est bien plus lourd que la totalité des attentats terroristes commis sur la même période, et qui sont d’ailleurs souvent la conséquence des manœuvres politiques exercées par les états les plus influents.
Et enfin, rappelons-nous que depuis des décennies la vaccination avec un virus qui est bien connu (la grippe, et qui mute très souvent) n’a pas réglé le problème des décès, de la contamination ou de la transmission. Il faut donc changer de stratégie et renforcer le système immunitaire par des voies naturelles et bien connues : zinc, vitamines C et D, fer, etc., et lutter contre l’obésité, le diabète, l’hypertension, la malnutrition, le sucre industriel et le stress qui sont les principaux facteurs de décès dans le monde. Le Covid comme la grippe s’attaquent essentiellement à ces personnes à risque. Une meilleure qualité de vie, un traitement précoce (qui existe déjà) et une meilleure prise en charge médicale permettent de considérablement diminuer l’impact des virus sur la santé et la société, sachant qu’il n’est pas toujours possible d’éradiquer un virus,- qui s’épuise et peut devenir beaucoup moins dangereux lorsque l’immunité collective (naturelle) se renforce mutuellement (la vaccination stimule une immunité spécifique et pas toujours efficace, mais non pas générale et durable comme le système immunitaire lorsque le corps contracte le virus). Il faut donc apprendre à vivre avec certains virus comme on le fait depuis de nombreuses générations, sans avoir à sacrifier pour autant nos libertés fondamentales, notre spiritualité et notre dignité. De même, vouloir éradiquer toutes les bactéries (même les bonnes) constitue un danger pour notre santé, et c’est vouloir affaiblir notre système immunitaire qui en a besoin pour se renforcer. On voit d’ailleurs que la vaccination massive n’a pas tout réglé le problème, et qu’elle l’a même empiré sur bien des aspects.
Notes et sources :
(1) N’importe qui donc, pour peu qu’il dispose d’un vaste réseau, peut introduire sur le marché un vaccin inefficace ou dangereux, – tout étant dédouané de toute responsabilité en cas d’échec ou de morts de masse comme c’est le cas pour Pfizer et Moderna -, et jouer la course contre la montre et jeter des suspicions sur tous les effets négatifs rapportés ou recensés, en disant : « nous ne pouvons pas être sûr que cela a été causé par le vaccin car d’autres causes ou médicaments peuvent causer ce genre de complications », – ce qui est vrai en soi mais ce qui ne dédouane pas pour autant la corrélation ou la causalité entre ledit vaccin et les complications observées -.
– Voir le documentaire Hold On (http://holdup-lefilm.fr/) diffusé le 24 novembre 2021 (la suite du documentaire Hold Up, contenant toutefois quelques affirmations erronées ou du moins contestables, – mais une partie des critiques visant Hold Up était elle-même erronée et ne remettait pas en cause les erreurs et hypothèses gratuites de l’OMS -), où tout est bien documenté et corroboré par les données médicales et les observations sur le terrain.
– Le Dr Peter McCullough sur les limites et dangers de la vaccination, l’efficacité du traitement précoce et l’importance de rejeter le nihilisme thérapeutique (AAPS, 2 octobre 2021) : https://crowdbunker.com/v/e7HuMWC5T6?fbclid=IwAR1QhXLKO4LW6VrEkP8IHniWha9UAZLkZ7EePlSZFgFSxTQXKd2jGFgVCSY
– La guerre des chiffres, l’illusion des statistiques et le cas du Covid, 4 août 2021 et mis à jour le 26 septembre 2021 : https://editions-hanif.com/la-guerre-des-chiffres-lillusion-des-statistiques-et-le-cas-du-covid/
– Ceci n’est pas un complot, février 2021 et réalisé par Bernard Crutzen https://www.youtube.com/watch?v=HH_JWgJXxLM
– Big Pharma, les labos tout puissants, Arte, 2018-2020 : https://www.youtube.com/watch?v=MML3F256Bjg
– Big Pharma, labos tout-puissants – Interview, Arte 2020 : https://www.youtube.com/watch?v=ma7rf7TjXaE
– Malaria Business, 4 décembre 2018 : https://www.youtube.com/watch?v=Ujn-p-Pwzzo
– BAM! Interview : Dr Martin Zizi Le point sur la vaccination, BAM! Belgian Alternative Media, 4 août 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=0eZGbpr5mEs
– Le dessous des chiffres du Ministère de la Santé, Décoder l’éco, 5 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=RwZE9Kyp9Zw
– Covid-19 : Statistiques et mensonges, suite, Décoder l’éco, 18 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=mtSRmw4qRvc
– “Retour sur l’émission “Et maintenant on fait quoi” avec le dr. Martin Zizi”, Kairos, 17 novembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=Xhvysw-rO78
– “Project Veritas : des scientifiques de Pfizer piégés en caméra cachée sur la vaccination ?”, Russia Today, 6 octobre 2021 : https://francais.rt.com/international/91375-project-veritas-scientifiques-pfizer-pieges-camera-cachee-vaccination ; voir la chaine YouTube de Project Veritas : https://www.youtube.com/c/veritasvisuals/videos
– La fabrique de l’ignorance, Arte, 2020 : https://www.youtube.com/watch?v=MltUGD07ePw
– Témoignages, les effets secondaires graves du vaccin contre le Covid-19 – Émission spéciale, Radio courtoisie, 22 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=-sQWeigfyIU
– Dr. Edouard Broussalian sur RTS 1, dans l’émission infrarouge 36.9° du 27 janvier 2021 : https://infovf.com/video/rts-infrarouge-edouard-broussalian–6029.html
– Laurent Toubiana : “Plus on avance, plus les vagues sont faibles”, Sud Radio, 26 novembre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=7a27tkDuNdA
– “Covid-19 : les doses du vaccin Moderna suspendues au Japon contenaient des particules métalliques”, Le Figaro, 1 septembre 2021 : https://www.lefigaro.fr/societes/covid-19-les-doses-du-vaccin-moderna-suspendues-au-japon-contenaient-des-particules-metalliques-20210901 : « (…) Les impuretés découvertes dans des lots du vaccin anti-Covid de Moderna au Japon se sont révélées après analyse être des particules métalliques, a déclaré mercredi l’entreprise américaine (…). Le Japon a annoncé la semaine dernière suspendre l’utilisation des vaccins issus de trois lots, représentant plus de 1,6 million de doses, après des signalements de plusieurs centres de vaccination ayant découvert des corps étrangers dans des fioles de vaccin. (…) Des analyses ont été conduites par Moderna sur l’un des lots en question: la particule retrouvée s’est révélée être de «l’acier inoxydable», selon un communiqué commun avec le groupe pharmaceutique japonais Takeda, qui importe et distribue le vaccin dans l’archipel nippon (…) Des régions japonaises ont depuis suspendu des injections du vaccin après la découverte d’autres lots contaminés (…) ».
– “Vaccin: au Japon, 1,63 million de vaccins Moderna suspendus pour anomalie”, Huffington Post, 26 août 2021 : https://www.huffingtonpost.fr/entry/vaccin-au-japon-163-million-de-vaccins-moderna-suspendus-pour-anomalie_fr_612723a3e4b0926643483ed1 : « Des corps étrangers trouvés dans les tubes. Le Japon a annoncé ce jeudi 26 août suspendre l’utilisation de 1,63 million de doses du vaccin de la biotech américaine Moderna contre le coronavirus, après des signalements de la présence d’impuretés dans trois lots distribués dans le pays ».
– Les clauses des contrats passés avec Pfizer seraient-elles abusives ?, Russia Today, 22 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=hh4T_mbZQbM
– Laurence Muller-Bronn : “La prolongation du pass sanitaire c’est la goutte d’eau pour les Français”, Sud Radio, 28 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=SwpGiz4gwYs
– Françoise Degois : “On nous parle de 3e dose mais pas de la réalité des hôpitaux ! Réveillez-vous !”, Sud Radio, 28 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=28AI52GK5YI
– Vincent Jauvert – “La mafia d’État”, enquête sur les hauts fonctionnaires, Sud Radio, 20 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=WDijGKhcec0
– Covid-19 – France – Vaccination, et si Hanouna avait raison, Juste milieu, 28 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=zBXsyYxUnls
– Faut-il vacciner les plus jeunes comme le demande le PDG de Moderna ?, Sud Radio, 27 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=opjeseClrag
– “En plein Covid, plus de 1.800 lits d’hôpitaux fermés ou supprimés en trois mois, selon FO”, La Tribune, 22 juin 2021 : https://www.latribune.fr/economie/france/en-plein-covid-plus-de-1-800-lits-d-hopitaux-fermes-ou-supprimes-en-trois-mois-selon-fo-887333.html : « Alors que la fin des restrictions liées au Covid-19 se dessine en France, dans les hôpitaux, le climat social reste tendu. “Il n’y a pas eu de changement de paradigme comme promis par Emmanuel Macron à Mulhouse”, a affirmé le secrétaire général de FO-Santé Didier Birig, lors d’une conférence de presse lundi. Le syndicat Force Ouvrière a fustigé la fermeture ou la suppression de plus de 1.800 lits d’hospitalisation au premier trimestre, réclamant que le gouvernement “rompe avec une approche essentiellement financière pour regarder les besoins de la population”. “Du 1er janvier au 31 mars 2021, en pleine pandémie, nous sommes parvenus à objectiver 1.800 suppressions ou fermetures de lit”, a-t-il détaillé (…) ».
– Comment 20% des lits d’hôpitaux sont-ils fermés faute de soignants, Draw my economy, 27 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=Z65YGkJgCo8
– Manque de soignants, lits fermés : Veut-on la fin de l’hôpital public ?, Sud Radio, 28 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=4YIGi9EuRYc
– Hôpital : 20 % des lits fermés faute de personnel- Reportage #cdanslair 27.10.2022, C dans l’air, 28 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=SSXRPvIhb90
– Voir le reportage de BFMTV en date du 28 octobre 2021 intitulé Hôpital : colère d’un médecin, car les infirmiers démissionnent en masse, et où dans certains hôpitaux on parle d’une baisse conséquente, à la fois du personnel qualifié, mais aussi des lits d’hôpitaux, comme dans l’hôpital Bichat à Paris, où on passe de 28 lits en soins intensifs à 4 seulement, et de 24 infirmières à 6, comme le rappelle le Pr Pierre Amarenco, chef du service neurologie dans cet hôpital parisien :
“Crise des hôpitaux : dans un service à bichat, il ne reste que 6 infirmières contre 24 habituellement”, BFMTV, 28 octobre 2021 : https://www.bfmtv.com/sante/crise-des-hopitaux-dans-un-service-a-bichat-il-ne-reste-que-6-infirmieres-contre-24-habituellement_AN-202110270591.html
– HÔPITAL PUBLIC : L’HEURE DE LA GRANDE COLÈRE | CONTRE-MATINALE, Le Média, 29 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=-0EAoG5gAVo
– “Covid : la Gironde, les Landes et le Lot-et-Garonne ne veulent pas verser le RSA aux non-vaccinés”, Sud Ouest, 30 octobre 2021 : https://www.sudouest.fr/gironde/covid-le-departement-de-la-gironde-ne-veut-pas-verser-le-rsa-aux-personnes-refusant-de-se-faire-vacciner-6760719.php : « Quinze Départements, dont la Gironde, affirment ce vendredi 29 octobre avoir écrit au Premier ministre pour demander une suspension du RSA pour les « personnes privées d’emploi suite à un refus d’obligation de vaccination. La Gironde refuse de rémunérer les antivax. C’est en substance ce qui se dégage du dernier communiqué du Département, écrit ce vendredi 29 octobre en réaction à la demande du gouvernement, qui réclame aux collectivités locales de verser le revenu de solidarité active (RSA) aux « personnes privées d’emploi suite à un refus d’obligation de vaccination ». (…) ».
– “Infertilité, maladies infantiles, retards de croissance : comment la crise climatique menace la reproduction humaine”, Le Parisien, 26 octobre 2021 : https://www.leparisien.fr/societe/sante/infertilite-maladies-infantiles-retards-de-croissance-comment-la-crise-climatique-menace-la-reproduction-humaine-26-10-2021-VCWC4MXXINDWBOYAEQFQFCMTPY.php
– “En Israël, « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des vaccinés » 2 doses”, Vigilance Pandémie, 9 août 2021 : https://vigilance-pandemie.info/2021/08/09/israel-vaccines-hospitalises : « (…) Interviewé sur une chaîne de télévision israélienne le 5 août, le docteur Kobi Haviv, directeur du Herzog Hospital de Jérusalem, indique que 95 % des patients hospitalisés pour une forme sévère de Covid-19 sont vaccinés. Par ailleurs, il indique que « 85 à 90 % des hospitalisations concernent des personnes entièrement vaccinées ». Quant à la prolongation de la protection des vaccinés dans le temps, celle-ci « diminue » et Kobi Haviv déclare : « Comme nous l’avons mentionné plus tôt, l’efficacité du vaccin est vraiment en baisse ». (…) En ce qui concerne les inquiétudes émises par le docteur Kobi Haviv vis-à-vis de la baisse d’efficacité des vaccins, elles sont aussi partagées par Sharon Alroy-Preis, la directrice des services de santé publique d’Israël. Sur la chaîne américaine CBS News, elle a déclaré le 1er août que les infections chez les personnes vaccinées en janvier sont deux fois plus importantes que chez celles vaccinées en mars. Elle a ajouté par ailleurs que ces infections étaient particulièrement problématiques pour les personnes de 60 ans et plus. D’autre part, Sharon Alroy-Preis a indiqué que la moitié des infections par la Covid-19 recensées actuellement dans le pays concernaient des personnes entièrement vaccinées : « Auparavant, nous pensions que les personnes entièrement vaccinées étaient protégées, mais nous constatons maintenant que l’efficacité du vaccin est d’environ 40 % ». La directrice des services de santé publique d’Israël a aussi souligné que les responsables de la santé publique commençaient à voir des signes de maladie plus grave parmi ces personnes entièrement vaccinées. Un constat qui, s’il devait se confirmer dans le temps, viendrait remettre en cause l’affirmation indiquant que le vaccin protège largement des formes graves du coronavirus. (…) ». Depuis, l’efficacité du vaccin est estimée à bien moins de 40%.
– Analyses sanguines post-injection : l’inquiétude grandit, Jérémie Mercier, 1 novembre 2021 : https://crowdbunker.com/v/8ToWq-sfOzY
– “Australie : depuis le début de la vaccination, près de trois fois plus de morts signalées après vaccin qu’attribuées à la covid-19”, France Soir, 10 septembre 2021 : https://www.francesoir.fr/societe-sante/australie-trois-fois-plus-de-deces-rapportes-vaccins-vs-covid : « L’Australie compte 25,858 millions d’habitants et attribue 1076 décès à la Covid-19, soit 41,62 décès par million d’habitants. Une mortalité très faible eu égard aux 169 301 décès en 2019 rapportés dans les statistiques nationales australiennes. L’Australie décompte 8,27 millions de personnes pleinement vaccinées, soit 32% de la population et 53% de la population a reçu une première dose. La base de données australienne des effets secondaires fait état de 487 décès signalés après vaccins covid – sur sélection des trois possibilités : Comirnaty (Pfizer-BioNtech), AstraZeneca et type de vaccin non identifié. Au 22 février 2021, l’Australie comptait 909 décès attribués à la covid-19, et 1076 décès au 9 septembre 2021. Soit 167 décès attribués à la covid-19 depuis le début de la vaccination. Sur la base de ce qui précède, il y a donc 2,91 fois plus de décès signalés après vaccin covid que de décès attribués à la maladie.
487 décès signalés après vaccin dans la base de données des effets secondaires, pour 167 décès attribués au Covid depuis le début de la vaccination. De plus, le site des effets secondaires recense 547 décès tous vaccins confondus depuis 1971. Les décès rapportés des vaccins Covid représente 487/547, soit 89% de tous les décès. Sur 6 mois, il y a donc huit fois plus de décès rapportés suite aux vaccins covid qu’en 50 ans pour les autres vaccins, avec un total de 60 décès (grippe, hépatite, rougeole, DTP) (…) ».
– Le face-à-face – Combien de Français sont tombés malade à cause du vaccin, Russia Today, 27 octobre 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=fIt_87gwlxM : le chercheur Philippe Froguel récite très bien le dogme de Big Pharma, mais à rebours de toutes les données médicales bien établies, et assène des contre-vérités… Le sénateur et médecin Alain Houpert a très bien rappelé certains éléments importants montrant la non-nécessité de la vaccination pour les personnes en bonne santé.
– “Covid : les vaccinés transmettent autant le variant Delta que les non-vaccinés, selon une étude”, Russia Today, 31 octobre 2021 : https://francais.rt.com/international/92158-covid-vaccines-transmettent-autant-variant-delta-non-vaccines-etude : « Selon une équipe de chercheurs britanniques, la vaccination ne limite pas la propagation du variant Delta, la charge virale étant similaire chez les vaccinés et les non-vaccinés. Pour les auteurs de l’étude, la vaccination n’est « pas suffisante ». Après avoir examiné 602 cas au Royaume-Uni, les chercheurs de l’Imperial College de Londres et de l’Agence de sécurité sanitaire britannique (HSA) ont conclu dans leur étude, publiée dans The Lancet le 29 octobre, que « bien que les vaccins restent très efficaces pour prévenir les maladies graves et les décès dus au Covid-19, les résultats suggèrent que la vaccination n’est pas suffisante pour prévenir la transmission du variant Delta dans les ménages avec des expositions prolongées (…) ».
– La Dr. Brigitte Milhau admettait sur CNEWS, en juillet 2015 déjà, qu’1 jeune sur 5000 (ce qui est énorme !), – selon la pharmacovigilance (donc environ seulement 1 à 5% des cas totaux) développait une myocardite, montrant clairement que la balance bénéfice/risque, rien que pour cette complication, était en défaveur du vaccin : https://mobile.twitter.com/les3chatons/status/1415703883314311168
– La Dr. Brigitte Milhau admettait aussi, – selon des études récentes – que le système immunitaire naturel est meilleur que celle induite par le vaccin (qui dure d’ailleurs moins longtemps) -. Quant à la contagiosité, les études officielles se contredisent, mais les faits indiquent que dans les 2 cas, le virus peut se transmettre aussi bien chez des personnes vaccinées que non-vaccinées, et ce dans un grand nombre de cas. Selon des études datant du mois d’août 2021, au-delà de l’inefficacité de la double vaccination dans le temps, même si le cycle de contagiosité d’un vacciné est plus court que celui d’un non-vacciné (selon la théorie officielle des pro-vax) la charge virale est identique chez les vaccinés comme chez les non-vaccinés. Voir l’intervention du Dr. Brigitte Milhau sur CNEWS 3ème dose : 18 millions de français concernés : https://www.youtube.com/watch?v=6KPOd79ho80
– Le Dr. Martin Kulldorff est professeur à la Harvard Medical School expert en biostatistique, et épidémiologiste. Il a cosigné La Déclaration de Great Barrington, un texte qui met en cause les politiques de confinement général à travers le monde. “Vaccinated people were 6.72 times more likely to get infected than those with natural immunity from prior #COVID disease”, 6 août 2021 : https://twitter.com/martinkulldorff/status/1423630939222122496 ; Il a dénoncé aussi les effets délétères du port prolongé du masque et du confinement sur la santé physique et mentale, – ayant causé de nombreux décès à travers le monde -, et n’est pas favorable à la vaccination pour les jeunes. Ses conclusions scientifiques sont partagées aussi par le Dr. Michael Levitt, biophysicien, biologiste et chimiste, – et prix Nobel de chimie en 2013 -, “Israel data: another piece of evidence of increased risk of infection after dose 1”, 23 septembre 2021 : https://twitter.com/prof_shahar/status/1440855916140662786
– Le Pr Philippe Parola (Chef de service des maladies infectieuses à l’IHU Méditerranée) disait aussi, le 10 août 2021, que la diminution des décès et des hospitalisations observée s’expliquait surtout par d’autres facteurs que la vaccination, comme le meilleur accès aux soins, les traitements préventifs, une meilleure immunité naturelle des personnes qui avaient été infectées lors des premières vagues, que le variant Delta était moins sévère et létal que le précédent, etc. “Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ?”, IHU Méditerranée-Infection, 10 août 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q
– Comment expliquer la diminution des décès et cas graves liés au Covid-19 ? Premièrement, la disparition naturelle progressive du virus, – il s’épuise (dans sa virulence également) au fur et à mesure, et avant l’existence des vaccins l’Humanité a toujours survécu aux différents virus -, l’augmentation de l’immunité naturelle de la population face au virus, la meilleure connaissance du virus et des personnes à risque (obèses, personnes diabétiques, …), la meilleure prise en charge (sachant qu’au début les autorités interdisaient aux personnes malades de se rendre à l’hôpital en cas de symptômes), et le fait que les personnes les plus fragiles (65 ans et plus avec des facteurs de comorbidité) sont déjà mortes lors de la première vague. De plus, les données montrent que le nombre de décès et de cas graves avait déjà nettement dénué avant la phase de vaccination, rendant celle-ci tout au plus inutile, et au pire, dangereuse, – puisque de nouvelles vagues de contamination et de décès sont apparues avec la vaccination massive dans tous les pays qui ont vacciné à grande échelle leur population -. C’est ce qu’expliquait en somme l’éminente spécialiste Nour de San en juin 2021, expliquant aussi que les données qui remontaient via la pharmacovigilance ne représentaient, selon certaines études, que 1 à 5% (Voir “La vaccination va-t-elle nous sauver”, BAM, 23 juin 2021 : https://www.youtube.com/watch?v=wUT6jzaRqXU) avec Nour de San (médecin en biologie clinique et développement de vaccins), Caroline Vandermeeren (Dr. en biochimie et biotechnologies et bio ingénieure en microbiologie industrielle pour les vaccins). La Dr. Caroline Vandermeeren signalait aussi qu’en 2020, il y avait environ 145 personnes de moins de 45 ans qui étaient décédées du Covid (officiellement, et avec des facteurs aggravant) en Belgique, et 2 fois plus de personnes décédées d’un accident de la route pour la même tranche d’âge malgré le confinement, et elle souligne les risques et les incertitudes à long terme sur les vaccins, donc selon son expérience et ses observations, la balance bénéfice/risque ne penche pas en faveur du vaccin pour les personnes en bonne santé et pour les jeunes. En poussant plus loin son raisonnement, on sait que le vaccin qui n’était pas une nécessité pour les moins de 45 ans, a tué des jeunes ou les ont conduits à des complications graves les handicapant à vie ou durant une période déterminée (courte ou longue) et à une hospitalisation.
Il y avait aussi l’intervenante Muriel Moser (biologiste à l’ULB) qui s’était trompée sur la supériorité de l’immunité vaccinale puisque les études les plus récentes (août et septembre 2021 en Israël, en UK et aux USA notamment) disent exactement l’inverse, même chose pour la charge virale qui est plus ou moins équivalente à celle des non-vaccinés (études de juillet 2021 aux Etats-Unis), elle semblait ne prendre en compte que des études anciennes, biaisées et affiliées à des firmes pharmaceutiques ayant des conflits d’intérêt, car on apprend aussi qu’elle se montre incroyablement naïve face aux études des firmes pharmaceutiques, car quand elle écrivait dans un article ceci : « Il a été développé de façon très rapide parce que ce qu’on appelle la plateforme technologique était au point. On savait exactement, grâce à leurs travaux, ce qu’il fallait faire pour produire un ARN messager qui permet à nos cellules de coder pour cette fameuse protéine Spike, dont on parle beaucoup, qui est la clé d’entrée du virus dans nos cellules. C’est donc la première étape de l’infection. On savait que la protéine Spike était une très bonne cible de vaccin, on savait que l’ARN messager pouvait justement être utilisé pour produire ce vaccin, et donc il suffisait de mettre le tout ensemble, ce qu’ils ont fait relativement rapidement puisque moins d’un an après l’infection, le vaccin était prêt (…) parce qu’il a déjà été testé, par exemple pour lutter contre le cancer, et des patients avaient déjà été injectés, mais pas à une échelle comme maintenant, puisqu’il y a maintenant environ six milliards de personnes dans le monde qui ont été injectées avec un vaccin ; pas tous avec l’ARN messager, mais quand même une grande proportion. On connaissait très bien la plateforme et de nombreux patients avaient déjà été injectés. (…) Ce qui est assez remarquable, et les chercheurs de BioNTech sont déjà en train d’y travailler, c’est que cette technologie va permettre non seulement d’induire une réponse immunitaire, donc un vaccin contre des virus, par exemple, mais ils sont également en train de mettre au point un vaccin contre la malaria, contre le HIV, et contre le cancer aussi. Il suffit donc d’injecter un ARN messager comme vaccin qui permet de produire différentes protéines qui sont des antigènes tumoraux, c’est-à-dire des antigènes qui sont exprimés spécifiquement par la tumeur. Ça, c’est déjà fait et c’est en étude clinique » (“Muriel Moser, immunologue : la technologie des vaccins à ARN “ouvre vraiment d’énormes perspectives de thérapies””, RTBF, 4 octobre 2021 : https://www.rtbf.be/info/societe/detail_muriel-moser-immunologue-la-technologie-des-vaccins-a-arn-ouvre-vraiment-d-enormes-perspectives-de-therapies?id=10853779). S’il est vrai que des vaccins à ARNm ont été développés contre la malaria, elle a oublié de dire que son efficacité était tellement faible (même selon les chiffres peu fiables fournis par les fabricants de ce vaccin), pour des risques graves voire mortels, raison pour laquelle la campagne de vaccination en Afrique a très vite échoué (voir le documentaire Malaria Business, sorti en 2018). Elle semble être au service des firmes pharmaceutiques, – on peut donc douter de son objectivité puisqu’elle serait partie prenante – ce qui expliquerait ses nombreuses erreurs et omissions, pourtant essentielles, pour comprendre tous les enjeux autour de ces vaccins.
– Steven Todd Kirsch (entrepreneur, inventeur, informaticien et ingénieur) n’avait pas non plus tort, quand il avait fait remarquer que lors des essais cliniques sur les patients volontaires pour le vaccin, il y avait plus de décès chez les vaccinés (20) que chez les non-vaccinés (14) qui avaient reçu un placebo. Enfin, en se basant sur les données de la VAERS (base de données de pharmacovigilance sur les décès et effets secondaires liés à la vaccination aux USA) et une méthode rigoureuse (à partir des données officielles), il dit que 200 000 américains sont déjà décédés du vaccin, mais s’il existe en effet des millions de témoignages sur les effets secondaires du vaccin et des dizaines de milliers de témoignages fiables sur les décès liés aux vaccins aux USA, on ne peut pas mettre tous les décès sur le compte du vaccin, ni même tous les effets secondaires, car même sans le vaccin, les gens peuvent faire des AVC, avoir des problèmes cardiaques, des problèmes de peau, etc., donc on peut certes parler de morts/complications de façon potentielle mais pas réelle. Ce que l’on sait est que parmi ces 200 000 décès, une partie est imputable aux vaccins car aucune autre cause n’a été identifiée ou concrètement suspectée, et enfin, que ce vaccin est peu efficace contre un virus dont la létalité reste très faible à lui seul, et que donc ce vaccin est inutile en plus d’être dangereux pour beaucoup de personnes. Voir le document “Have COVID vaccines killed ~ 200,000 Americans?”, de Steve Kirsch : http://www.skirsch.com/covid/Killed.pdf qui date de l’été 2021 et “Vaccine resources” du 20 septembre 2021 : https://www.skirsch.io/vaccine-resources/
Mis à jour le 28 décembre 2021.