C’est une affirmation abondamment relayée et répétée aveuglément par les médias mainstream aux ordres du pouvoir politique. Or, dans les faits, cela n’est pas le cas, puisqu’en dehors de leurs frontières officielles, ils assassinent des opposants politiques, des journalistes et des civils par millions depuis des décennies. Ils soutiennent et financent les pires dictatures du monde. Ils planifient des coups d’Etat et des famines, soutiennent et financent des organisations terroristes (selon les pays ; marxistes, anarchistes, identitaires, « islamistes », etc.) et imposent des conditions drastiques à de nombreux pays dits du tiers-monde, pour les maintenir dans la précarité, la dictature et la dépendance à l’égard de l’Occident.
Sur le plan intérieur aussi, il n’y a pas de démocratie ni de justice, en ce sens que le peuple ne décide plus des affaires politiques, et que les oligarques décident de tout, excluent des candidats sérieux et ne tolèrent que les candidats corrompus qui leurs sont acquis. Les réseaux pédocriminels et de narcotrafiquants prospèrent, de même que ceux qui sont impliqués dans la prostitution, la pornographie et le trafic d’êtres humains ; chaque année des milliers de migrants et de pauvres disparaissent des radars sans laisser officiellement de traces, se retrouvant dans ce genre de réseaux.
De nombreuses femmes sont violées, harcelées ou maltraitées et sont obligés de tout le temps s’habiller de façon sexy sur ordre de leurs supérieur(e)s hiérarchiques, les réduisant à n’être que des marchandises sexuelles au service du grand capital.
Beaucoup d’étudiant(e)s sont obligés de se prostituer pour financer leurs études, et les violeurs et pédocriminels au pouvoir ne sont jamais inquiétés pour leurs méfaits, leurs délits et leurs crimes, en plus de détourner chaque année des milliards d’euros et de $ qui disparaissent des comptes officiels… Même quand des commissions d’enquête sont lancées, aucune suite pénale et judiciaire n’existe pour les conduire en prison…
Les journalistes et présentateurs des grands médias s’autocensurent ou se révèlent complices, puisqu’il s’agit d’un milieu où tout le monde se connait et participent aux mêmes fêtes et assemblées, avec des dossiers compromettants sur chacun, et où la corruption s’avère systémique, et si quelqu’un ose parler, il est calomnié dans les médias mainstream et aussitôt viré et banni des différentes institutions publiques, et le fisc lui colle au dos en le persécutant, rendant sa vie infernale ou s’en prenant à sa famille.
Il y a aussi de nombreuses censures directes, où certaines maisons d’édition (proches du pouvoir et influentes) et grands médias, refusent de publier des informations ou des enquêtes qui mettraient à mal leurs amis politiciens ou financiers.
Ainsi, non seulement ces 2 pays ne sont pas démocratiques, mais on ne peut pas les qualifier de pays justes où l’Etat de droit est respecté, même si certains droits existent encore (ce qui est le cas aussi dans de nombreux pays dits autoritaires ou totalitaires), mais leurs actes criminels s’exportent dans les autres pays du monde où ils exercent leurs influences néfastes et même sataniques, ruinant l’économie des autres pays, y répandant la débauche et la décadence morale, la déchéance intellectuelle et y implantant des réseaux pédocriminels, sataniques et véreux.
En France et aux Etats-Unis, les discriminations, meurtres (y compris de la part des forces de l’ordre), les contrôles de police, les harcèlements de l’Etat, du fisc et des médias, visent en majorité certaines populations en priorité de façon arbitraire : les arabes, les noirs, les Musulmans, les femmes voilées, etc. Aux Etats-Unis, les meurtres injustifiés de la police envers des citoyens américains se comptent en plusieurs centaines (et plus si l’on compte les suspects ayant présenté une menace potentielle). Dans ces 2 pays encore, de nombreux opposant(e)s politiques, citoyens et jeunes issues de la banlieue sont souvent arrêtés et emprisonnés à tort, présumés coupables alors que certains d’entre eux étaient réellement innocents, et ont payé pour les crimes de « blancs issus de famille riche ».
« L’année 2022 a été particulièrement meurtrière. Selon les dernières données compilées par Mapping Police Violence*, les interventions policières ont coûté la vie à, au moins, 1176 personnes aux États-Unis sur cette période. Il s’agit d’un record depuis le lancement de cette base de données, en 2013. À titre de comparaison, selon ces mêmes calculs, la police a tué 1145 personnes en 2021, 1152 en 2020, 1097 en 2019, 1140 en 2018 ou encore 1089 en 2017. Le plus inquiétant en la matière est sans doute de constater que l’augmentation est linéaire, ou presque.
Pour comprendre l’importance de ce chiffre, cela représente plus de trois personnes tuées par la police chaque jour, quasiment 100 par mois. Il n’y a eu que 12 journées lors desquelles aucune mort suscitée par l’action des forces de l’ordre n’a été comptabilisée. Au contraire, neuf personnes ont péri le 2 septembre dernier, huit les 14 mars, 14 avril ainsi que le 2 et le 3 juin.
Les personnes noires ont plus de probabilités d’être tuées
Près de trois ans après le décès de George Floyd aux mains de la police de Minneapolis (Minnesota), qui avait suscité un immense mouvement de contestation, rien n’a, semble-t-il, changé. Ce constat est encore renforcé lorsque l’on sait que les personnes noires ont, statistiquement, trois fois plus de chances d’être tuées par la police que les personnes blanches. Entre 2013 et 2022, les premières totalisent 7,15 morts pour un million d’habitants contre 2,57 pour les secondes. Dans ce laps de temps, plus d’habitants noirs que de blancs ont été tués dans 48 des 50 plus grandes villes américaines. C’est particulièrement flagrant à Boston ou Minneapolis où 28 fois plus de noirs que de blancs sont décédés.
De même, lors du dernier exercice, à l’échelle nationale, les résidents noirs représentaient 24% des personnes tuées par les forces de l’ordre, alors qu’ils ne constituent que 13% de la population américaine. En s’intéressant de plus près aux circonstances de ces homicides, il est possible de constater que 132 des incidents relevés (11% du total) par Mapping Police Violence sont survenus dans des affaires dans lesquelles aucune infraction n’était alléguée. À l’inverse, seuls 370 faits (31 %) se sont déroulés en marge d’un crime violent présumé.
Pour l’essentiel, il s’agit donc de “rencontres policières de routine qui dégénèrent en meurtre”, fustige Samuel Sinyangwe, l’un des fondateurs de la plateforme, dans des propos relayés par The Guardian. “Ce qui est clair, c’est que le problème de la violence policière continue de s’aggraver et qu’elle est profondément systémique”, s’inquiète-t-il. Le site du Washington Post, qui répertorie les tirs mortels de la police, place aussi 2022 comme une année tristement record en la matière. Ces derniers ont fait 1096 victimes, rapporte-t-elle. Là encore, ce sont les personnes noires qui ont payé le plus fort tribut. “Si nous continuons à donner à la police plus d’argent et de pouvoir, nous continuerons à voir plus de violence policière”, conclut la Dr Elizabeth Jordie Davies, chercheuse à l’université Johns Hopkins et spécialiste des mouvements sociaux.
*Ce groupe de recherche à but non lucratif tient à jour une base de données sur les décès signalés aux mains des forces de l’ordre, y compris les personnes tuées par balle, battues, immobilisées ou soumises à l’usage du Taser » (“États-Unis : au moins 1176 personnes tuées par la police en 2022, un record”, TF1 Info, 6 janvier 2023 : https://www.tf1info.fr/international/etats-unis-au-moins-1176-personnes-tuees-par-la-police-en-2022-un-record-2244167.html).
On déplore aussi de nombreux faux-témoignages d’une partie des forces de l’ordre et du gouvernement pour dissimuler des faits accablants, pour justifier les « bavures policières » et la répression systémique contre des personnes qui ne présentaient aucune menace potentielle, de même que la politique menée par les gouvernements successifs a souvent conduit à une aggravation de la situation, et à protéger les politiciens et certains policiers qui leurs sont acquis, un certain nombre de délits et de crimes.
Dans de nombreux pays occidentaux (ainsi que dans les autres pays qui restent politiquement colonisés par les puissances occidentales), durant la crise covidiste, la dictature a été instaurée, tout en manipulant constamment l’opinion publique, en propageant des fakes news, en détournant l’argent public pour des mesures qui ont appauvri les populations, réduites considérablement leurs libertés fondamentales, et discriminées injustement des millions de personnes (citoyens lambda, boulangers, chercheurs, médecins, infirmiers, pompiers, etc.) tout en ayant conduit à la mort directe de plusieurs millions de personnes (décès corrélés avec la « vaccination à ARNm »), et d’autres millions de façon indirecte (refus de soigner les malades durant la « première vague Covid », confinements, menaces, pressions, suspensions de salaires et licenciements massifs ayant conduit aux suicides, aux violences familiales et sociales, etc.).
Encore aujourd’hui, des millions de femmes souffrent terriblement de cette politique. Et depuis des années, mais cette fois-ci plus particulièrement en France (contrairement aux Etats-Unis), des millions de femmes musulmanes sont traitées comme des criminelles et des citoyennes sans droits, où on leur refuse l’accès à l’éducation, à l’emploi, à la politique, à l’administration, au sport (des compétitions), aux sorties scolaires, etc., à moins qu’elles abandonnent leur intelligence, leurs convictions, leurs valeurs morales, leur dignité et leur liberté. En France, en 2023, les libertés positives (au sens moral et éthique) sont bafouées, et la débauche, le fascisme, l’obscurantisme (républicain) et la perversion sont élevés au rang de normes et de « vertus », et même parfois d’obligations, – le monde à l’envers ! -, et les médias (au service du fascisme politique) entretiennent constamment l’amalgame entre Musulmans et « islamistes » (sans que l’on ne sache jamais de quoi il en retourne réellement vu le flou qui entoure les notions qu’il manipule et emploie pour justifier les mesures liberticides et le fascisme de fait), la fermeture arbitraire de nombreuses écoles, associations, médias et maisons d’édition qui élevaient le niveau intellectuel et offraient une réelle pluralité intellectuelle et politique. L’argent public qui est détourné par l’Etat pour financer des gens corrompus, des vitrines médiatiques d’organisations terroristes et criminelles, pour financer des pseudo fact-checkeurs pour désinformer l’opinion publique et diffamer tous les chercheurs ou journalistes indépendants et intègres qui ne veulent pas cautionner les mensonges d’Etat ou la médiocrité intellectuelle des autorités, etc. L’esprit critique est diabolisé, les discriminations systémiques sont encouragées, la haine et la violence d’Etat sont banalisées, les parents sont dépossédés de leurs droits puis sont pointés du doigt face aux dérives et à l’incompétence de la classe politique, et la France devient de plus en plus oppressive et totalitaire, notamment avec ce projet de loi voté discrètement (sans en avertir l’opinion publique) au mois de juillet 2023, où l’Etat peut confisquer les terrains, biens matériels, richesses, services et citoyens sans qu’ils n’aient le choix, avec des menaces (emprisonnement + amendes) en cas de refus, si l’Etat veut mener une guerre contre un autre pays ou justifier une guerre civile en France.
Nous analyserons aussi 2 sujets sensibles qui illustrent parfaitement la nature abominable de la structure politique de ces 2 pays (et par extension, de tous les pays qui les « imitent », notamment à travers leur sécularisation et leur système politique).
Le satanisme et les démons parmi les jinns dans l’affaire Lola (scandale et tragédie qui ont secoué la France en 2022), qui est une affaire – parmi d’autres – qui est souvent étouffée dans de nombreux aspects. Tout d’abord, pour clarifier les choses il faut savoir que selon toutes les traditions spirituelles et les civilisations traditionnelles, le monde se compose de 3 degrés/dimensions :
1) corporel, physique et sensible : où les êtres humains évoluent de façon ordinaire et habituelle.
2) subtil, psychique et astral : là où évoluent habituellement les jinns dont les personnalités peuvent être similaires à celles des hommes, et qui disposent d’un libre arbitre, et pouvant être aussi des entités démoniaques (ce que la Bible appelle “démons”).
3) spirituel, angélique et céleste ; la dimension des Anges.
Les réseaux satanistes et pédocriminels font souvent appel aux shayâtins (pluriel de shaytân ; diable/satan), c’est-à-dire les démons parmi les jinns.
Les phénomènes de possession (parfois très marquées et défiant même les lois de la physique), de traces anormales sur le corps et de propos incohérents, lorsqu’il n’y a aucune anomalie sur le plan neurologique, peuvent être causées par des shayâtins. La prière, les ablutions, le dhikr/méditation, manger sainement, etc. sont aussi des rites qui protègent généralement contre les influences psychiques et sataniques. Nous sommes nombreux d’ailleurs à avoir été témoins de ce genre de phénomènes et d’êtres psychiques, après avoir éliminé toutes les hypothèses naturalistes et scientifiques possibles. Là où la religiosité diminue, le satanisme et ses manifestations prennent le relai… Avant l’Islam, beaucoup de régions (devenues musulmanes par la suite) étaient noyées dans le satanisme et l’idolâtrie, mais ces pratiques ont survécu dans certains endroits – souvent isolés -, sauf que depuis la sécularisation, ces pratiques sont de plus en plus répandues et parfois même assumées en public.
L’ésotérisme et l’exotérisme constituent les 2 dimensions complémentaires de toute civilisation traditionnelle et religieuse s’opposant au sécularisme (en façade) et l’occultisme (cachant souvent du satanisme), très éloignés de la spiritualité mais liés à de nombreuses influences psychiques et sataniques.
Karl Zéro était l’invité de la chaine YouTube Juste Milieu – émission diffusée publiquement le 4 juillet 2023 – où il expliquait la corruption endémique des institutions politiques françaises et le fait que de nombreux pédocriminels occupaient des fonctions importantes et n’étaient jamais inculpés ou mis en prison, alors que l’on parle de nombreux enfants et de femmes victimes de leurs abominations (“Ça discute avec Karl Zéro : affaire Lola, sorcellerie, rituels, omerta et pédocriminalité en France”, Juste Milieu, 4 juillet 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=CXb3yQ9o-fg).
Nous pouvons aussi mentionner les nombreuses enquêtes qui ont révélé l’ampleur des scandales et des atrocités qui impliquent de nombreux gouvernements occidentaux, y compris la France et les Etats-Unis. D’après Marion Sigaut – historienne, journaliste d’investigation, écrivaine et spécialiste de la sexualité et de la lutte contre la pédocriminalité -, depuis mai 68, la CIA et plusieurs institutions publiques ont relayé de rapports pseudo-scientifiques pour justifier et promouvoir l’adultère, l’homosexualité, la fornication, la pédophilie et d’autres déviances sexuelles.
Rapports pseudoscientifiques (sous la direction de Alfred Kinsey, criminel, pervers et manipulateur notoire au service des Rockfeller) repris par l’OMS, surtout depuis que l’OMS est passée sous la coupe de fondations corrompues et criminelles comme celles de Bill Gates et George Soros. Et depuis mai 68, le nombre de violences et de déviances sexuelles a explosé.
Pour elle, le patriarcat traditionnel (où le père veille à protéger sa famille et à subvenir à leurs besoins en se sacrifiant noblement) est une protection que l’oligarchie mondialiste et progressiste cherche à abattre pour détruire les valeurs morales et la famille qui protègent les enfants face aux différents prédateurs, d’où les mesures et propagandes en Occident pour détruire la dignité et la santé des enfants, et les livrer sans merci aux prédateurs sexuels qui diabolisent la famille et les parents (qu’ils cherchent à éloigner des enfants).
A l’ONU, une bataille se livre également entre les gouvernements pro-pédophilie et atteintes à la santé des enfants (majoritairement les pays occidentaux, qui souhaitent élargir les mesures pour lobotomiser les consciences, détruire les valeurs morales et la protection de l’enfance, ainsi qu’encourager l’homosexualité, la prostitution, l’adultère, la fornication, la déresponsabilisation des citoyens sur les plans sexuels et relationnels, les idéologies du genre et le changement de sexe pour les enfants, l’avortement généralisé et la dépopulation mondiale de façon générale) et les pays luttant contre la pédocriminalité et les violences et dangers contre les enfants, qui sont essentiellement les pays musulmans et chrétiens d’Afrique et du Moyen-Orient, ainsi que la Russie et la Chine.
De nombreuses enquêtes montrent la complicité des grandes maisons d’édition, des chaines TV, des institutions publiques, du gouvernement, du cinéma et du monde de la finance, qui travaillent en réseau, pour couvrir et alimenter les réseaux pédocriminels. Tous ses secteurs effectivement, sont dirigés par une oligarchie (une minorité qui concentre presque tous les pouvoirs), et qui donne des ordres à la majorité, exerçant une censure et diabolise leurs opposants. Cela est vérifiable aisément puisque leurs noms se retrouvent un peu partout.
“De Kinsey à Matzneff La pédophilie de réseau avec Francesca Gee et Marion Sigaut”, Mario Sigaut, 2 juillet 2023 : https://www.youtube.com/watch?app=desktop&v=g5SgD-GLL6k&feature=youtu.be
Mentionnons aussi le film documentaire Sound Of Freedom, sorti aux Etats-Unis le 4 juillet 2023, promu notamment par Mel Gibson, basé sur des faits réels, où de nombreuses personnalités du cinéma et de la politique témoignent des réseaux pédocriminels aux Etats-Unis et en Occident, ainsi que la volonté de certains réseaux qui ont infiltré l’ONU et de nombreux médias pour promouvoir la pédophilie et dépénaliser cette pratique abjecte. Mel Gibson a toujours été courageux et adopté une morale et un sens de la justice, même si tout ce qu’il a vu de sombre à Hollywood a pu déteindre sur lui, avec une phase où il avait des problèmes avec l’alcool. Mais c’est son combat pour la vérité et la justice qui lui ont valu énormément de problèmes avec Hollywood et le pouvoir politique aux Etats-Unis, mais fort heureusement pour lui, il avait une bonne partie de la population qui le soutenait, ainsi que d’éminents acteurs et journalistes qui confirmaient aussi ses dires sur les aspects sombres et criminels du monde politique et de celui de l’audiovisuel. Beaucoup de personnes et de spécialistes ont déjà salué son nouveau film documentaire, et notons que des députés (surtout conservateurs), et de nombreux journalistes, écrivains, intellectuels et chercheurs ont soutenu ce film documentaire et ont pu éviter que le film soit censuré.
En Occident, ceux qui défendent la promotion de la pédophilie sont généralement les partis liés au Forum de Davos et à George Soros (le parti démocrate aux Etats-Unis avec Joe Biden, Macron et son parti en France avec les médias comme Le Monde, Libération, France info, etc., et plus généralement la plupart des partis dits progressistes en Occident).
https://www.youtube.com/watch?v=hyyyKcfJRGQ ; le film se base globalement sur des faits réels et désormais bien documentés, mais prend évidemment quelques libertés scénaristiques pour le besoin du film.
En tête du box-office aux USA (pourtant sans avoir été promu par les grands médias), très peu de grands médias en parlent, pourtant pour une cause fondamentale abordant une tragédie mondiale – le trafic sexuel (et notamment d’enfants) -. Que faut-il penser du grand silence médiatique des grands médias occidentaux ? C’est la preuve qu’ils sont tenus par des oligarques eux-mêmes mêlés à ce genre de réseaux pédocriminels.
Le trafic sexuel d’enfants (et de femmes), la pédocriminalité et la vente d’organes d’enfants sont au cœur de l’Occident, dans des réseaux mêlant monde du divertissement et du cinéma, institutions politiques et sportives, autorités liées à l’immigration (environ 10 000 enfants migrants disparaissent chaque année en Europe).
“Où passent les enfants qui disparaissent ? “Sound of Freedom”, Lola…”, Karl Zéro Absolu, 7 juillet 2023 : https://www.youtube.com/watch?v=jqiffv5l4lU
Un autre exemple des pervers qui sont financés et subventionnés par l’Etat et invités souvent dans les médias mainstream pour y propager leurs abominations et leurs perversions : https://www.youtube.com/watch?v=IVPoOlY19Tk&feature=youtu.be
Mais dans le même temps, l’Etat criminalise ou sanctionne les parents qui éduquent leurs enfants selon les nobles valeurs de la Religion, de l’éthique et de la morale, ou qui contestent les dérives et l’extrémisme de l’idéologie LGBT et leurs théories pseudoscientifiques. L’Etat va même jusqu’à enlever – il s’agit bien d’enlèvement ! – les enfants pour les séparer de leurs parents sur cette seule base, alors que les enfants sont bien traités et bien éduqués par leurs parents.
L’éducation parentale est de plus en plus réduite et menacée en France, où les valeurs morales, les tenues vestimentaires pudiques, une alimentation saine et le refus de leur faire injecter des produits toxiques imposés par Big Pharma ou le refus de voir leurs enfants se faire endoctriner par des idéologies et croyances délétères fondées sur des perversions sexuelles ou des dérives sectaires et mentales, sont passibles de sanctions et d’enlèvements d’enfants. Par contre, quand l’Etat incite les enfants, via de nombreuses propagandes et manipulations mentales, pour changer de sexe – là ça ne pose pas de problème aux yeux de l’Etat -, l’enfant peut même se passer de l’autorisation parentale, alors qu’il s’agit là de lobotomie de l’esprit, de mutilation et défiguration non-nécessaires du corps, avec des complications médicales potentielles et une destruction de l’identité de l’enfant et de sa santé physique et mentale, conduisant parfois même certains d’entre eux au suicide.
Si des parents imposent à leurs enfants de bien se comporter, de porter un bonnet en hiver, un voile, un pantalon, des gants, de manger de façon équilibrée, ou de faire leur devoir à la maison, cela est vu dorénavant par les pervers et criminels au pouvoir, comme étant de la “maltraitance infantile”, mais quand ces mêmes pervers violent des enfants ou abusent de leur pouvoir, cela ne pose aucun problème et ce n’est pas de la maltraitance infantile, le monde à l’envers.
Début juillet 2023 en France, une polémique – relevant d’un nouveau scandale d’Etat en réalité – illustrait très bien ces dérives autoritaires de la part de l’Etat et de certains collèges complices de délation et de dérives autoritaires, notamment en raison de la fausse polémique autour des « abaya ». Le voile et la abaya sont des droits fondamentaux (du moins dans un Etat de droit et éclairé), que des femmes non-musulmanes (notamment chrétiennes et juives, mais aussi parfois hindoues, zoroastriennes, bouddhistes, animistes, et même non-religieuses parfois) portent aussi dans de nombreuses régions du monde (différentes sortes de voile et/ou de abaya selon les cas). Et les désigner comme « islamistes » (même si en soi ce n’est pas un crime, mais une « orientation politique », tant qu’aucun crime n’est promu ou commis) pour de simples vêtements pudiques est une honte. Le voile et la « abaya » existaient par ailleurs avant l’apparition de l’Islam Muhammadien, et existent en France depuis au moins le début de la chrétienté…ainsi que dans des oeuvres comme Le Seigneur des Anneaux, et n’a donc rien à voir avec « l’islamisme politique ». Il y a aussi une hypocrisie politique, puisque les slogans satanistes, LGBT, « républicains », anti-religieux ou athégristes sont autorisés dans de nombreux établissements publics, mais pas de simples vêtements pudiques où aucun motif politique particulier ni aucun slogan, ne sont imprégnés sur les vêtements, ce qui montre à quel point la « justification » politique pour interdire cela est à la fois absurde, incohérent et injuste, ce qui s’apparente donc à de l’obscurantisme et à une forme de totalitarisme. Il faut savoir que les chiffres liés à l’islamophobie sont énormément sous-estimés et sous-évalués en France, car beaucoup de femmes (et d’hommes musulmans) n’osent même plus porter plainte auprès de la police ou des instances juridiques, d’une part car les plaintes n’aboutissent que très rarement sur des choses concrètes, et d’autre part car les services concernés sont déjà surchargés et les victimes ne veulent pas les surcharger davantage. Enfin, beaucoup de victimes se contentent plutôt de signaler les agressions ou les injustices vécues et subies sur les réseaux sociaux ou auprès de leurs proches seulement. On est bien loin des personnes qui en France, cherchent absolument le buzz en mentant sur les « islamistes » ou les « frères musulmans », n’étant même pas victimes de réelles menaces, mais qui demandent une protection policière (financée par l’argent public) puis montent des cagnottes pour soutirer de l’argent aux gens haineux ou naïfs, et deviennent rapidement riches sur fond de désinformation et de propagande haineuse.
Même les moyens d’expression pacifiques, comme les manifestations sans débordement, sont souvent interdits en France, dans un contexte où le pouvoir politique confisque et viole toutes les libertés fondamentales des citoyens tout en jetant constamment de l’huile sur le feu, favorisant la corruption, la haine et la violence dans toutes les composantes du pays.
France, le 8 juillet 2023, un observateur français faisait remarquer ceci : « Arrestations arbitraires, usage injustifié de la force, attaques contre des journalistes…la Brav-M a (encore) fait de la merde (et comme d’habitude, ne sera pas inquiétée, elle est protégée au plus haut niveau de l’état) ».
En somme, des pays où l’intelligence, la décence, la morale, la dignité, la liberté (médicale, intellectuelle, religieuse, scientifique, …), la pudeur, la sagesse, la justice, la spiritualité, le sacré et la piété sont aux abonnés absents, et pire même, sont criminalisés et stigmatisés, sont des pays à la dérive, qui cachent encore plus d’aspects sombres dans les coulisses, et qui misent tout sur le fait de « sauver les apparences » jusqu’à ce que les scandales soient trop nombreux et importants pour être complètement dissimulés.